La mécanique bien huilée du déni se sera donc grippée cette fois-ci.
Trop de témoignages, de photos, de vidéos sur les réseaux sociaux et dans la presse étrangère.
Malgré les tentatives du ministre de l’Intérieur, la vérité sur le Stade de France sera parvenue à s’imposer : les hordes de plusieurs centaines de prédateurs n’étaient pas des hooligans anglais mais des « migrants », des « mineurs étrangers » et des « jeunes des cités », pour reprendre les constats des policiers présents ce soir-là.