
Le 16 juillet dernier, un immigré soudanais, connu des services de police, tuait de sang-froid trois jeunes gens de 16, 18 et 20 ans parce qu’ils étaient venus à l’aide de jeunes femmes qu’il importunait. Ayant quitté les lieux, il y est revenu armé d’une arme blanche afin de les tuer. La veille, un jeune homme de 23 ans était tué au couteau par un clandestin à Amiens et, le même jour, un jeune homme de 22 ans était poignardé à mort à Metz. Le 17, c’est à Fleury-d’Aude qu’un jeune saisonnier était poignardé. On se souvient de l’égorgement d’Alban Gervaise, médecin militaire, devant les yeux de ses enfants de 3 et 7 ans qu’il allait chercher à leur école catholique. Son meurtrier avait déclaré avoir agi au nom de Dieu.







