L’assassinat barbare d’un professeur d’histoire, coupable d’avoir voulu expliquer à ses élèves l’importance de la liberté d’expression, est l’aboutissement extrême des menaces et des pressions régulièrement exercées dans les établissements scolaires par des familles qui font passer la loi de leur religion avant la loi de la nation. Il est aussi la conséquence d’un laxisme trop fréquent, qui refuse de reconnaître la réalité : la volonté des islamistes d’imposer progressivement leurs conceptions politico-religieuses, incompatibles avec les valeurs de notre culture.
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Assassinat d’un professeur : l’impuissance de nos dirigeants face à l’islamisme, par Philippe Kerlouan.
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Casseneuil : des musulmans envahissent la mairie et obtiennent la démission d’un élu. Apaisement ou soumission ?
Une semaine après l’assassinat de Samuel Paty et les vérités qui émergent sur les censures et les autocensures dont certains enseignants font preuve au sujet de l’islam pour ne pas être inquiétés, et alors que personne ne s’émeut guère qu’un inspecteur de l’Éducation nationale était missionné pour lui rappeler, à lui, les règles de neutralité et de laïcité, un événement vient jeter le trouble.
Résumé par La Dépêche : « Une partie de la communauté musulmane de Casseneuil a investi la mairie de cette commune proche de Villeneuve-sur-Lot pour protester contre des messages postés par un élu municipal sur un réseau social. Il s’agirait selon les manifestants de propos racistes. Présent en mairie, l’élu s’est excusé et a annoncé sa volonté de démissionner. »
L’élu a effectivement démissionné en présentant des excuses et le nouveau maire s’est aussi désolidarisé de lui.
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Pour que la guerre ne soit pas perdue d'avance
On ne gagnera pas la guerre contre l'islamo-terrorisme dans la confusion. La prétention d'imposer de force la laïcité suppose en effet que la religion mahométane soit compatible avec l'idée que la république se fait elle-même de la laïcité.
Or, le laïcisme, que l'on confond avec la laïcité, godille entre ambiguïtés, faiblesses et illusions. Et, c'est le premier drame, nous demeurons docilement régis par des principes constitutionnels et par une jurisprudence interprétative qui les rend paralysants.
Tous les actes politiques de combat que peut envisager le gouvernement, se heurtent, dans ce domaine à des tribunaux administratifs, au conseil d'État et, au dessus, de l'édifice au Conseil constitutionnel. Tout ce dispositif amène nos brillants ministres à reculer quand il s'agit de dissoudre une association subversive ou de fermer une mosquée salafiste.
Ah quand les cibles désignées de ce type de mesure sont qualifiées d'extrême droite : c'est facile. Personne ne protestera.
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En 2017, un livre choc avertissait des ravages de l’islamisation à l’école
Par Camille Galic, journaliste et essayiste… ♦ En 2017, dans son ouvrage Tarek, une chance pour la France ?, Jean-François Chemain récoltait de nombreuses anecdotes glaçantes démontrant que le désastre rendu visible par la décapitation de Samuel Paty couvait depuis de nombreuses années. Retour sur ce livre avec la republication de sa critique par Camille Galic initialement parue en juillet 2017.
PolémiaLe général Badou voyait dans l’institution scolaire un facteur décisif d’intégration. On peut toutefois nourrir quelques doutes à ce sujet à la lecture du témoignage de Jean-François Chemain qui, une décennie durant consultant dans des cabinets anglo-saxons, a choisi de passer l’agrégation d’histoire et d’enseigner dans un collège situé en zone d’éducation prioritaire. Dans cette ZEP il a eu tôt fait de constater que « l’islam, en banlieue, est une “culture de classe”, celle des “pauvres”, des “dominés”, que les “riches”, les “Français”, les gens du centre-ville piétineraient à loisir, et à laquelle chacun s’identifie peu ou prou. Un avatar de la lutte des classes, en somme » :
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Entretien – Joachim Véliocas : « Il y a tout un écosystème islamiste »
Avec l’attentat de Conflans-Saint-Honorine qui a coûté la vie à Samuel Paty dans les conditions abominables que l’on sait, une personnalité se détache en marge de cette affaire : Abdelhakim Sefrioui. Qui est-il ? Réponses de Joachim Veliocas.Une personnalité se détache, Abdelhakim Sefrioui, de l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine. Il est inconnu du grand public, c’est pourtant un radicalisé notoire qui catalyse les haines en toute impunité sur le sol français. Il avait médiatisé auprès de la communauté musulmane l’appel à la fatwa contre Samuel Paty. Qui est cette personnalité ?
Depuis les années 2000, il milite de toutes les manières possibles. Il avait créé un petit collectif. Ils allaient partout et étaient vraiment très actifs. Ce collectif s’appelait Cheikh Yassine, du nom du chef fondateur du Hamas qui avait été neutralisé en 2003 par Israël. Il faut savoir que Cheikh Yassine a commandité des attentats terroristes en Israël.
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Charles Prats : “au moins 5 millions de fantômes qui bénéficient de prestations sociales”
Le magistrat Charles Prats était l’invité des Grandes Gueules vendredi pour évoquer le sujet de la fraude aux prestations sociales à l’occasion de la sortie de son livre, intitulé “Cartel des fraudes”. En France, selon lui, le montant de la fraude aux finances publiques, sociale ou fiscale, est largement supérieur à celui du trafic de drogue.
[…] “Il y a des réseaux criminels qui s’organisent (…) La fraude sociale sociale n’est pas une fraude de pauvres”, expliquait à notre micro Pascal Brindeau, rapporteur de la commission d’enquête parlementaire sur la fraude aux prestations sociales. Lui estime que le montant total de la fraude oscillerait entre 14 et 45 milliards d’euros chaque année. […]
“Il y a eu une commission d’enquête parlementaire (sur le sujet). (…) On a 5 millions au moins de fantômes qui bénéficient de prestations sociales alors qu’il ne sont pas censés exister. Le 8 septembre la Cour des comptes a publié un rapport et nous montre qu’on est même au delà.” […]
RMC-BFM TV (Vidéo) via Fdesouche
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Immigration : reprenons notre liberté d’action !
L’assassinat de Samuel Paty par un immigré musulman tchetchène qui s’est radicalisé sur notre territoire remet en lumière, une fois de plus, la problématique plus générale de notre politique d’immigration et de droit d’asile. Les nations européennes, dont la France, se sont petit à petit liées les mains au fil des traités et ont organisé et amplifié l’appel d’air immigrationniste que nous connaissons aujourd’hui. Toutefois, les pays du groupe de Visegrád (Pologne, Tchéquie, Slovaquie, Hongrie) refusent ce diktat et arrivent à limiter la submersion migratoire.
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Les « beurs » et la Kalachnikov, par Philippe Germain.
Aujourd’hui bien oublié, dans le second septennat Mitterrand, l’Iman Khomeiny tenta une stratégie de Djihad – guerre sainte – pour la conquête du Maghreb à partir de la France. Elle allait avoir des conséquences dramatiques que nous payons encore et la décapitation de Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie à Conflans‚ vient nous le rappeler.
Pour comprendre l’engrenage, il faut se souvenir de pourquoi Khomeiny voulait cette conquête du Maghreb, comment il comptait s’y prendre et avec qui.
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Zemmour : “43% des allocataires de la CAF sont nés à l’étranger. Il faut remettre de la préférence nationale partout !” Onfray : “Qu’est-ce que c’est que 120 attaques au couteau par jour si ce n’est une guerre civile ?”
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Les islamistes ne cherchent pas le séparatisme ; ils veulent soumettre l’ensemble de la société française aux règles de la charia
Extraits d’une tribune de Marion Maréchal dans le Figarovox :
Voici donc la 267e victime de l’islamisme depuis 2012. Après les enfants, les militaires, les policiers égorgés devant leur petit garçon, les journalistes, les adolescentes à Marseille, le chef d’entreprise décapité, le curé dans son église, les innombrables victimes du Bataclan ou de Nice, c’est au tour du professeur.
L’histoire semble se répéter dans l’horreur mais celle-ci se distingue en ce qu’elle met en exergue les multiples complicités, la chaîne humaine qui a désigné la cible à abattre, la fatwa 2.0 avant que l’assassin ne passe à l’acte. On y découvre des élèves, des profs, des associations locales, des imams, de multiples relais anonymes sur le net. Un cas de dénonciation qui ne semble pas isolé dans l’Éducation nationale mais qui, cette fois, a trouvé le bourreau pour la mise à mort.