Les mots justes de Patrice Quarteron face au silence assourdissant de ceux qui font désormais des délinquants des victimes tout en oubliant les victimes de ces délinquants !
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Mort de la gendarme Mélanie Lemée : « Si Yassine s’était pris une bastos, il y aurait des fresques « Yassine for life » ». Patrice Quarteron
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150 détenus en lien avec le terrorisme sortiront en 2022 : la sénatrice Goulet face à Dupond-Moretti
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La théorie du « privilège blanc » à l’assaut du pouvoir, par Clément Martin (Les Identitaires)
Nouveau concept star des social justice warriors, le « privilège blanc » n’est pas qu’un gadget intellectuel à la mode. Cette idée gagne du terrain en France. La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNDH), fondée en 1947 par le Français René Cassin, juriste et proche collaborateur de Charles de Gaulle, vient de rendre son rapport annuel sur « la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie ». Rappelons tout d’abord que cette institution, autorité administrative indépendante (AAI), ne reçoit en théorie aucune commande de la part des pouvoirs publics. Son rôle est de conseiller. D’abord attachée à la définition classique des droits de l’homme (liberté d’expression, de circulation, de réunion, etc.), le nombre de ses attributions a beaucoup augmenté ces dernières années, alors qu’elle-même critique volontiers « l’inflation législative ». La lutte contre le racisme a rejoint son éventail d’actions depuis 1990 ainsi que « toutes les formes de haine anti-LGBT » en 2018. Alors qu’elle avait jugé la loi AVIA « disproportionnée et inopportune », la CNDH se convertit à la paranoïa ambiante autour du « privilège blanc », cité plusieurs fois dans son rapport présenté le 21 juin dernier. De plus, si elle récuse le droit de censure à des sociétés privées, elle « recommande [au gouvernement] de poursuivre l’amélioration de la coopération [de l’État] avec les fournisseurs d’accès à Internet, les hébergeurs et les sites de référencement aux fins de retrait des discours de haine en moins de 24 heures. » Quand on connaît l’interprétation de plus extensive, au niveau politique et judiciaire, de la notion d’incitation à la haine, il est clair que cette recommandation ne peut qu’amener à une censure plus rapide et plus large.
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Thomas Sowell: quand la « justice sociale » égare la société. La lutte contre les "discriminations" peut être toxique, par Michèle Tribalat.
Source : https://www.causeur.fr/
Dans Discrimination and disparities, l’économiste Thomas Sowell analyse le discours dominant sur les discriminations et la « justice sociale ». Il affirme qu’il produit des ravages dans l’éducation ou dans la délinquance.
Thomas Sowell est un économiste américain de la Hoover Institution à l’Université de Stanford qui se décrit lui-même comme un conservateur noir.
Il a placé son livre Discrimination and disparities sous le patronage de Patrick Moynihan – « Vous avez le droit d’avoir votre propre opinion, mais pas vos propres faits. » – et de Fernand Braudel – « Dans aucune société, toutes les régions ou parties de la population ne se sont développées également » – patronage qui dit tout de son ambition.
Les bons côtés de la discrimination
Avant qu’il prenne une connotation négative, discriminer consistait à discerner les différences et à choisir en conséquence. Cela revient, pour un employeur, par exemple, à juger d’après les informations dont il dispose sur les individus ou d’après des informations empiriques connues sur le groupe auquel ces derniers appartiennent. L’entrepreneur a tendance à jouer la sécurité, à défaut d’informations individuelles sécurisantes. Aussi, souvent, décide-t-il d’après les informations qu’il a sur le groupe. Il évalue son coût et se tromper peut être extrêmement pénalisant.
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Le populisme, condition du réveil des peuples (2010) 1/2
Les dirigeants occidentaux se méfient du peuple. Le plus souvent, ils refusent de prendre en compte l'expression de ses choix. Ou bien encore ils tentent de biaiser les modes de son expression publique. Les modifications de lois électorales y contribuent à l'occasion, instaurant un seuil de voix pour avoir des élus, envisageant telle mesure pour empêcher quadrangulaires ou triangulaires. D'une façon ou d'une autre, et ne serait-ce que par l'abstention, le peuple manifeste qu'il n'adhère pas à ces caricatures de démocratie. Il ne veut pas n'avoir le choix qu'entre des partis, UMP ou PS ou prétendus écologistes, qui sont d'accord sur des points aussi essentiels que la construction d'une Europe libérale, et plus précisément libre-échangiste, et sur une idéologie qui désarme les peuples d'Europe, l'idéologie dite « des droits de l'homme ».
Entre l’islamisation et américanisation des moeurs
L'électeur ne veut pas cautionner des "libéraux", souvent libéraux-libertaires qui, par un paradoxe apparent, sont d'accord pour instaurer une société de plus en plus policière, sécuritaire sans sécurité réelle, inégalitaire et communautarisée.
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La France et ses mosquées : la Turquie est désormais le premier propriétaire de mosquées en France
Analyse d’Annie Laurent sur La Petite Feuille Verte :
L’implantation du culte musulman en France métropolitaine remonte au début du XXème siècle. Depuis lors, le nombre de mosquées s’est considérablement accru sans que, pour autant, le droit afférent à leur édification n’ait fait l’objet d’une clarification.
LA GRANDE MOSQUÉE DE PARIS
La première mosquée fut celle de Paris, inaugurée le 15 juillet 1926, conjointement par le sultan du Maroc Moulay Youssef et le président de la République Gaston Doumergue. Cette construction répondait à une demande contenue dans un mémoire remis au gouvernement en 1916 par Paul Bourdarie, membre du Comité consultatif des Affaires indigènes. Il s’agissait de manifester la reconnaissance de la France envers les musulmans des territoires relevant de son domaine colonial pour leur loyauté durant la Première Guerre mondiale. « Aux yeux de beaucoup de responsables, la France avait contracté une dette d’honneur et de reconnaissance à l’égard de l’Islam » (Alain Boyer, L’Institut musulman de la Mosquée de Paris, CHEAM, 1992, p. 20).
Ayant accepté ce projet, le gouvernement ne pouvait cependant pas en être l’acteur direct puisqu’il comportait un lieu de culte, ce qui contrevenait à la loi de 1905 portant séparation des Églises et de l’État. Pour contourner l’obstacle, une loi votée en 1920, autorisa la construction, sur fonds publics, d’un Institut musulman placé sous la responsabilité d’une association relevant de la loi de 1901, en l’occurrence le Comité de l’Institut musulman à Paris dont l’objet comportait aussi explicitement l’édification d’une mosquée, le tout subventionné par l’État. « La vocation culturelle de l’Institut musulman a été volontairement mise en avant pour autoriser cette entorse aux règles de la laïcité » (Xavier Ternisien, La France des mosquées, Albin Michel, 2002, p. 40).
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La réponse cinglante de la France qui souffre à ceux qui voudraient la culpabiliser, par Jean-David Cattin (Les Identitaires)
Depuis quelques semaines, on entend moins les jérémiades du comité Adama et de leurs amis indigénistes. La manifestation place de la République le 13 juin est pour le moment leur dernier rassemblement d’ampleur. À n’en pas douter, l’action percutante de Génération Identitaire n’est pas étrangère à cette baisse de régime.
Elle a permis de mettre en lumière la haine des blancs qui motive bon nombre d’antiracistes. Mieux, grâce à un sondage qui lui a fait suite, elle a aussi permis de démontrer que le racisme antiblanc était une réalité pour 47 % de Français (17 % ne se prononcent pas). Après des semaines de matraquage médiatique sur l’existence d’un « racisme systémique » en France, ils sont seulement 30 % à y croire.
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Suède : 8 communes sur 10 devront faire des économies drastiques pour compenser le coût de l’accueil des migrants
Selon une enquête réalisée par SVT, huit municipalités sur dix prévoient de réaliser des économies en réduisant fortement les dépenses.
(…) 46% des municipalités déclarent qu’elles doivent économiser dans le domaine des personnes handicapées. Environ le même nombre, 50%, doit baisser les dépenses liées aux soins individuels et familiaux.
La ville de Bengtsfors a décidé d’un budget permettant d’économiser 25 millions de couronnes suédoises l’année prochaine. « La situation est tendue et nous sommes maintenant obligés de faire des efforts », a déclaré Göran Eriksson, directeur municipal.
Comment en est-on arrivé là ?
« Je pense qu’il y a deux raisons. Nous avons été généreux et avons reçu beaucoup de nouveaux arrivants, mais au fond, c’est aussi un problème démographique. Nous avons une population vieillissante et la municipalité se vide », a déclaré Göran Eriksson, directeur municipal de Bengtsfors.
Parmi les mesures prévues pour économiser de l’argent figure la fusion de ceux qui s’occupent de l’intégration des migrants avec ceux qui travaillent sur le marché du travail et dans le secteur social. La diminution du nombre de terrains de jeux. On s’attend aussi à ce que l’utilisation de l’éclairage public soit réduite de 20% et que le déneigement ne se produise que lorsque les chutes de neige seront vraiment très importantes.
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Les droits du sol Des éléphants dans un magasin de porcelaine, jusqu'à quand?, par Bérénice Levet.
Source : https://www.causeur.fr/
La trêve touristique imposée par la crise sanitaire est inespérée. Voici enfin l’occasion de réfléchir à l’avenir d’un secteur mettant en péril les sites et monuments qui font la France
La Sainte-Chapelle, ou l’« alternative économique… »
Au lendemain de l’incendie qui a gravement endommagé la cathédrale Notre-Dame de Paris, on a vu se former à quelques encablures, en face du palais de justice, des grappes de touristes, le regard, ou plutôt le smartphone, prothèse et substitut de l’œil touristique, tourné vers les hauteurs. Qu’observaient-ils ? La flèche de la Sainte-Chapelle. Celle de Notre-Dame venait de s’ébouler et le circuit balisé par les tour-opérateurs promettait une flèche ? Qu’à cela ne tienne, on leur en a dégoté une autre !
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Sénat : un rapport alarmant sur l’islam politique en France
«L’islamisme radical est polymorphe, s’insinuant dans tous les aspects de la vie sociale et tend à imposer une nouvelle norme sociale en se prévalant de la liberté individuelle.» […]
«On pose un sujet de société: toute la France, sauf l’Ouest, est touchée par un islam radical», prévient la rapporteur, la sénatrice LR Jacqueline Eustache-Brinio (Val-d’Oise). «Aujourd’hui, en France, on assigne à résidence des gens au nom d’une norme religieuse. On ne peut pas l’accepter. C’est maintenant ou jamais qu’il faut réagir», met-elle en garde.
[…]http://www.fdesouche.com/1398471-senat-un-rapport-alarmant-sur-lislam-politique-en-france