Les États-Unis ne sont pas la France. La justice ne repose ni sur la revanche ni sur le désordre. Les États-Unis connaissent, une fois de plus, des émeutes raciales. La violence urbaine n’y est pas nouvelle. La situation de la minorité noire, la seule à être venue dans le pays, non pour y vivre mieux et plus librement, mais amenée de force sous le régime de l’esclavage, y est spécifique. Depuis Martin Luther King, des progrès ont été réalisés, dont le symbole a été l’élection de Barack Obama. En politique, comme au cinéma, les Noirs ont conquis des places, mais les pesanteurs sociologiques et historiques subsistent. Depuis Malcolm X, le désir d’assimilation fondé sur l’égalité des droits a laissé place, chez certains, à une volonté de revanche qui accentue la fracture. La véhémence de « Black Lives Matter » en témoigne, qui met en exergue les « victimes de la police » noires.
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N’importons pas, en France, la question raciale américaine !
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Entreprise de subversion de racisme décolonial : Macron pris de panique
L’entreprise de déstabilisation de l’État que nous observons au travers de la récupération de l’affaire George Floyd aux États-Unis et son amalgame avec celle d’Adama Traoré en France est typiquement révélatrice d’une opération de subversion des esprits. Or, la réaction du chef de l’État consiste, non pas à dénoncer cette entreprise et à condamner fermement les violences contre les forces de l’ordre, mais à enjoindre le gouvernement à s’emparer des différents volets du sujet, la déontologie policière (qui existe déjà et qui punit les comportements racistes) mais aussi la politique de la ville (qui a montré ses limites et son échec) et le racisme (comme si toute la France était raciste !).
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Marion Maréchal : « Les indigénistes sont les enfants monstrueux de la gauche de SOS Racisme »
L’Institut de sciences sociales économiques et politiques (ISSEP) va ouvrir une antenne en Espagne. Sa directrice générale, Marion Maréchal, s’en explique au micro de Boulevard Voltaire. L’occasion, pour elle, de donner son analyse sur les manifestations racialistes qui traversent les États-Unis mais aussi la France.
Après deux ans d’existence, l’ISSEP ouvre une antenne à Madrid. Pourquoi s’ouvrir à l’européen et pourquoi en Espagne ?
Nous continuons notre développement. La motivation qui nous a conduits à construire l’ISSEP, à savoir former une nouvelle élite au service de la nation et de la cité, est un besoin qui ne s’arrête pas à la France. Ce besoin est profond dans toute l’Europe de l’Ouest, et notamment en Espagne. Une équipe espagnole nous a demandé à pouvoir importer ce modèle chez eux. Nous avons pu aller au bout de la démarche. Aujourd’hui, l’ISSEP Madrid a ouvert ses portes. La première formation commencera dès septembre prochain.
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Un gendarme qui a participé à l’arrestation d’Adama Traoré raconte: « il y a toujours eu une opposition violente de cet individu. Il y a eu des violences, des rebellions, des outrages, des fuites »
Un des fonctionnaires qui a participé à l’interpellation d’Adama Traoré, le 19 juillet 2016, avait déjà effectué « 3 ou 4 » interpellations houleuses dans les années précédentes. L’avocat de la famille demande que « toutes les procédures » impliquant Adama Traoré et les gendarmes présents le 19 juillet soit versées au dossier.
[…] En cause, les déclarations du gendarme nommé « Romain » devant l’IGGN (le service d’enquête interne à la gendarmerie) le 29 juillet 2016 : « Je ne peux pas vous dire combien de fois j’ai procédé à son interpellation mais peut être trois ou quatre fois en 3 ans. A chaque fois, cela s’est toujours mal passé car il y a toujours eu une opposition violente de cet individu. Il y a eu des violences, des rebellions, des outrages, des fuites ».
L’avocat de la famille s’interroge donc sur l’existence d’un « différend » entre des membres des forces de l’ordre et Adama Traoré. […]
Yassine Bouzrou déduit de ces faits qu’il existait une « animosité » entre le gendarme et Adama Traoré et s’interroge sur une volonté de « vengeance » du gendarme.
[…] L’avocat du gendarme concerné, Rodolphe Bosselut dénonce un « feuilleton » entretenu par l’avocat de la famille : « Découvrir au bout de quatre ans d’instruction qu’il y aurait encore des actes à réaliser ou des témoins-clefs à interroger, déclare l’avocat à RTL, c’est la preuve d’une seule chose : la volonté de faire durer artificiellement le dossier pour l’exploiter médiatiquement ».
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LA POLICE EST-ELLE RACISTE ET VIOLENTE ?
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Philippe de Villiers : « La France est notre mère, aimons-la. Ceux qui ne la respectent pas, qu’ils dégagent ! »
Dans son dernier livre, Les Gaulois réfractaires demandent des comptes au Nouveau Monde, Philippe de Villiers, critique la gestion de la crise sanitaire par Emmanuel Macron et le « nouveau monde » prôné par le Président.
Au micro de Boulevard Voltaire, le fondateur du Puy du Fou revient sur ses récents échanges avec Emmanuel Macron et explique le concept de nouveau monde et ses incohérences. Il réagit également à l’actualité récente, en particulier sur les contestations « antiracistes ».
Les Gaulois réfractaires demandent des comptes au Nouveau Monde. C’est le titre du livre que vous publiez chez Fayard. Hier, vous étiez sur le plateau de BFM TV et vous avez détaillé ce qu’a dit Emmanuel Macron d’Édouard Philippe lorsque vous lui demandiez « pourquoi Édouard Philippe ne déconfine t-il pas ? » Emmanuel Macron vous a répondu « il gère son risque pénal ».
Quelle est précisément votre relation avec Emmanuel Macron ?Il y a le Puy du Fou et la France. Le Puy du Fou, c’est la passion d’une vie et Emmanuel Macron a multiplié les attentions depuis qu’il est venu au Puy du Fou. Il serait inélégant, voire insultant pour moi, de croire qu’Emmanuel Macron a voulu par ses attentions acheter le silence d’un esprit libre. Je lui ai demandé deux choses. De sauver le Puy du Fou, c’est fait. Et de sauver la France, ce n’est pas fait.
Il aurait voulu « assassiner son Premier ministre ». Vous auriez été un parfait missile de croisière sur cette séquence…
Il me parle et ne m’a jamais dit de garder pour moi ce qu’il me dit. Je considère que le missile de croisière en question est arrivé sur le Puy du Fou. On a failli mourir et le pays est en train de crever. Il faut établir les responsabilités. “Les Gaulois réfractaires” est une expression d’Emmanuel Macron. Les Gaulois réfractaires réputés indociles et indisciplinés sont sortis de leurs parois où ils étaient devenus des troglodytes recroquevillés, enfermés, encasernés, embastillés.
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Face au racisme des pro-Traoré, de courageux militants dressent une banderole contre le racisme anti-blanc
Ce samedi 13 juin, vers 14h45, une banderole sur laquelle est inscrit
« Justice pour les victimes du racisme anti-blanc – White Lives Matter »
a été déployée sur le toit d’un immeuble donnant sur la place de la République à Paris, en pleine manifestation organisée par le comité « La vérité pour Adama ».
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Castaner ne veut plus qu’on touche à ses vrais potes !
Ce qui est terrifiant, c’est l’effondrement de l’intelligence collective dans notre pays ! L’exemple est donné en haut : d’abord, il y a Castaner, occupant la Place Beauvau uniquement en raison de sa faiblesse et de sa totale dépendance à l’égard de celui qui l’y a mis en dehors de tout critère objectif, au point qu’on a dû le doubler d’un vrai policier. Castaner n’est pas le chien de garde de la société, comme il devrait l’être, mais uniquement celui de son maître, dont il aboie les ordres en écho avec la maladresse d’un Rantanplan !
Ainsi, donc, l’émotion peut l’emporter sur la loi si, bien sûr, elle est d’extrême gauche et importée des États-Unis au profit des délinquants : le ministre de l’Intérieur est clairement du côté du désordre et baigne dans son idéologie superficielle de socialiste dont la réflexion n’a jamais dépassé le niveau des slogans. L’antiracisme, c’est bien, le racisme, c’est mal. Quand les gilets jaunes manifestaient avec, en queue de cortège, les Black Blocs chargés, comme par hasard, de créer les « tensions » en fin de journée afin qu’on puisse généreusement interpeller, gazer, éborgner les premiers en oubliant les seconds, les potes de Castaner, c’étaient les flics !
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Macron veut-il humilier le peuple de France ?, par Olivier Perceval.
Après le gouvernement des hommes par la peur, voilà celui de la honte et de la repentance qui refait surface. On ne nous laissera pas une minute de répit. Les manifestations dans le monde entier, qui se veulent antiracistes, mais en réalité terriblement et dangereusement racialistes sont animées par les mêmes bobos moralisateurs qui distillaient la peur hier et invitent à la honte collective aujourd’hui. Les donneurs de leçon sont toujours reconnaissables au discours usé de bourgeois de gauche en permanence dans la détestation de leur héritage culturel.
Ils reçoivent aujourd’hui l’appui de communautés, groupusculaires et non représentatives, qui profitent de l’aubaine pour exiger des blancs qu’ils se mettent à genou afin d’expier les fautes de leurs ancêtres. Pour ces incultes (mais l’on peut douter de leur réelle ignorance) « La France, l’État français est un État totalitaire, terroriste, esclavagiste, colonialiste »
Les médias s’extasient devant le calme des manifestations en oubliant un peu vite les exploits des casseurs et pillards qui se sont exprimés à leur aise dans les premières heures du mouvement. Bref, à en croire les plateaux télés et radiophoniques, il y aurait consensus : L’Occident est coupable, l’Occident doit s’incliner, l’Occident doit s’humilier et payer…
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Le courage de la loi et de l’ordre !, par Christian Vanneste.
Une peur chasse l’autre, un ennemi remplace l’autre : le Covid-19 s’éloigne. Déjà l’on entend des réflexions sur les excès de panique qu’il a suscités. Il est vrai que les pays qui ont su l’affronter avec une méthode efficace n’en ont subi que des effets mesurés. La France n’est pas de ceux-là. La vague virale a atteint l’Amérique après l’Europe. On peut s’étonner qu’un vaste mouvement de protestation rassemblant des foules ait lieu aux Etats-Unis alors que l’épidémie y sévit encore fortement.
Un Afro-Américain court davantage le risque d’être tué par un membre de sa « communauté » que par un policier, mais l’image insupportable, ici celle d’un policier étranglant avec le genou sur le cou un homme noir interpellé, a, comme d’habitude, servi de détonateur à une onde de choc psychologique et planétaire. Une video, un slogan devenu un mouvement, « Black Lives Matter », des rassemblements, des défilés, parfois des émeutes avec violences, vols et incendies, le rite des policiers un genou à terre pour communier avec l’émotion collective : tout ceci, en dépit des risques sanitaires de l’épidémie, correspond à un trait typique de nos sociétés post-modernes où les emballements affectifs denses et courts dans le temps, relayés par les médias dans le monde entier, se propagent par mimétisme, chacun croyant devoir déposer sa fleur, faire son geste, pour avoir l’âme en paix, dans un élan processionnaire, quasi religieux, et quelque peu masochiste. Le racisme a chassé le Covid comme ennemi n°1. Il s’agit bien sûr du racisme blanc contre les noirs, qui fait partie de ces motifs de « dénigrer », si j’ose dire, notre civilisation qui décidément ne vaudrait plus rien. Dans l’autre sens, ça ne compte pas, car c’est une juste revanche des opprimés contre les oppresseurs. Il y a longtemps que les raisonnements ont déserté la bulle médiatique dans laquelle nous vivons. Plus que jamais, chacun ne se sent lui-même qu’en sentant comme les autres…