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immigration - Page 587

  • On ne peut vaincre l’ensauvagement qu’en restaurant Notre civilisation ! (II)

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    Les violences urbaines de Dijon, de Nice et d’ailleurs, les meurtres gratuits qui témoignent d’une totale indifférence à la vie des autres ont propulsé la notion d’ensauvagement au premier plan de l’actualité. Le fonctionnement médiatique de notre société nous habitue à traverser au pas de charge des séquences saturées par un sujet dominant. Certains sont imposés d’en haut par l’idéologie qui anime le microcosme des politiques et des communicants, comme le réchauffement climatique, d’autres s’imposent d’eux-mêmes mais sont récupérés par la sphère du pouvoir, comme la pandémie actuelle, qui accroît l’emprise sur la société civile, d’autres encore sont suscités par des groupes de pression idéologiques et déstabilisateurs comme l’étonnante incursion en France du « racialisme » prétendument antiraciste, qui a facilité la scandaleuse exploitation de l’affaire Traoré. Enfin, il y a ceux que les faits eux-mêmes placent en tête des informations. Les violences, les coups de couteau, les blessures, les handicaps à vie, les morts, pour un mauvais regard, pour une cigarette refusée, pour un rappel à l’ordre sont monnaie courante mais demeurent dans la zone grise des faits divers où les revendications islamistes sont signes de déséquilibre mental et les noms des auteurs oubliés ou maquillés. Et puis, en quelques jours, des morts particulièrement cruelles commis par des « sauvages », provoquent une vague émotionnelle et font monter à la surface la réalité que la France d’en-haut veut cacher : celle de ces quartiers et maintenant de ces villes où la loi qui règne n’est pas celle de l’Etat, mais celle des bandes qui vivent des trafics ou des communautés qui s’inspirent d’autres règles que les nôtres. Dans cette France à l’envers, c’est le citoyen qui doit fermer les yeux et baisser la tête, car à vouloir rappeler la loi, il risque sa vie. Cette question est évidemment plus importante que celle du Covid-19, car contrairement à la maladie, elle dépend entièrement de la volonté politique, et qu’elle est d’une durée plus longue. Elle est plus essentielle que l’écologie ou l’économie, car elle est nationale et non mondiale et dépend de nous. C’est pourquoi le gouvernement de contre-sens que notre pays subit depuis trois ans l’a superbement ignorée et écartée. Voici qu’elle lui est jetée à la figure.

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  • Nicolas Dupont-Aignan, après l’attaque déjouée d’une église dans le 93 : « On est dans un déni de réalité… il faut nommer les actes antichrétiens et réagir »

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    Dimanche dernier, au Blanc-Mesnil, en Seine-Saint-Denis, un forcené a menacé les fidèles d’une église, armé d’un fusil-mitrailleur, en criant « Allahou akbar ». L’attentat a été déjoué grâce à l’intervention d’un passant. L’auteur des faits comparaissait, ce jeudi 23 juillet, devant le tribunal de Bobigny. Le procès a été renvoyé au 14 août.

    Réaction de Nicolas Dupont-Aignan, qui dénonce les actes antichrétiens, auxquels on « s’est habitué » en France. Pour lui, celui qui a évité le drame au Blanc-Mesnil mérite la Légion d’honneur.

  • Lyon : des militants de Génération Identitaire ont rebaptisé de nombreuses rues en hommage à Axelle Dorier

    Lyon : des militants de Génération Identitaire ont rebaptisé de nombreuses rues en hommage à Axelle Dorier
  • Italie: un bateau de migrants par heure débarque à Lampedusa, le centre accueille dix fois sa capacité

    L’île italienne de Lampedusa atteint actuellement en moyenne un bateau avec des réfugiés toutes les heures. Le centre d’accueil de 100 places est bondé de près de 1000 personnes.

    […]L’île italienne de Lampedusa atteint actuellement en moyenne un bateau avec des réfugiés toutes les heures. Selon le service d’information en ligne italien « Mediterraneo Cronaca », le centre d’accueil de 100 places compte près de 1 000 personnes

    Welt.de

    https://www.tvlibertes.com/actus/italie-un-bateau-de-migrants-par-heure-debarque-a-lampedusa-le-centre-accueille-dix-fois-sa-capacite

  • La France aurait le plus grand nombre de détenus liés au terrorisme en Europe, selon une étude

    Une récente étude menée par le Centre international d’étude de la radicalisation (ICSR), au King’s College de Londres, portant sur dix pays européens, déplore que le continent n’a jamais autant compté de djihadistes dans ses prisons. Le constat dressé est sans appel : « Il y a plus de détenus condamnés pour des infractions liés au terrorisme qu’à aucun moment depuis le tournant du millénaire », a rédigé l’ ICSR.

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  • Face à l’ensauvagement de la société française, il est temps de renverser la table !

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    L’«  » de la société française est à la une, et c’est inévitable. Que signifie l’ ? En premier lieu, l’augmentation de la brutalité dans les rapports humains. En second lieu, le fait que les auteurs de ces violences sont étrangers à la culture nationale, que leurs comportements sont ceux de « sauvages » qui n’ont pas assimilé la civilisation dont nous héritons et qu’ils n’ont pas été assimilés à la nation réduite à « la République ».

    Il y a, dans notre pays, des espaces où le rapport de force domine l’État de droit parce que, démographiquement, des groupes d’origine étrangère sont plus nombreux que les autochtones et ne peuvent donc imiter le modèle de ces derniers, que les trafics et autre activités illicites constituent une part décisive de l’économie de ces secteurs et qu’enfin, l’école inhibée par les pressions, les menaces, les réticences ne remplit plus son rôle intégrateur. Quand la formation conduit à de petits emplois mal rémunérés alors que la délinquance et le crime rapportent bien davantage, notamment en raison du laxisme judiciaire à l’égard des mineurs, prétendre que la construction d’une école permettrait de fermer une prison est grotesque.

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  • Tabassé à coups de barre de fer pour avoir demandé le silence

    Tabassé à coups de barre de fer pour avoir demandé le silence

    Nicolas, père de famille de 35 ans, s’est réveillé après 15 jours de coma handicapé à vie. Un voisin témoigne de cette agression sauvage, qui s’est déroulée le 19 mai à Brest :

    «Ce soir-là, j’étais dans mon lit devant la TV, lorsque j’entends la porte d’entrée de l’immeuble qui claque. Quelques secondes plus tard, j’entends des bruits sourds violents. Je devine qu’on est en train de casser la porte vitrée. Je me lève et vois mon fils, devant l’œilleton de notre porte d’entrée, les yeux écarquillés. Il me fait signe de la main de reculer. Nous restons dans le salon et au son des bruits, nous comprenons que c’est très grave. Au début, je pensais à une bagarre entre dealers, mais j’entends une voix masculine appeler à l’aide : “au secours, aidez-moi !“. Je comprends qu’une victime innocente se fait agresser et j’appelle la police, qui a déjà reçu d’autres appels d’habitants de la cité. Je les supplie de faire vite : j’entends l’homme hurler et les fracas de son corps tomber à répétition contre ma porte. Il va mourir.

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  • Retour des djihadistes : « Ils sont français, qu’on le veuille ou non. » À voir !

      
    Capture d'écran
    Georges Michel
     – encore lui, désolé ! – milite pour que les  français, qui risquent la peine de mort en Syrie et en Irak, rentrent en France. 
    L’avocat, qu’il est toujours, est dans son rôle. Le ministre, c’est peut-être plus discutable, même si, il est vrai, la France, en février 2007, sous Jacques Chirac, a constitutionnalisé l’abolition de la peine de mort.
    Mais si la peine de mort est abolie en France, elle ne l’est pas en Syrie et en Irak, et personne n’a obligé ces « ressortissants français » à partir là-bas pour y faire le djihad.
    Le ministre des Armées, Florence Parly, n’avait pas eu ces pudeurs de gazelle, en 2017, lorsqu’elle avait déclaré : « Ce que nous voulons, c’est aller au bout de ce combat. Et, bien sûr, s’il y a des djihadistes qui périssent dans ces combats, tant mieux. »

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  • Barbarie, massacre, lynchage : Macron a parlé d' "incivilités", et... ça ne passe pas !

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    Il est absolument impossible de reprendre l'intégralité du raz-de-marée d'indignation et de révolte suscité par le scandaleux "incivilités" macronien pour parler de la mise à mort quasi quotidienne, dans des circonstances de plus en plus souvent atroces, d'honnêtes citoyens français. Demain, ce sera nous ! Par la folie migratoire criminelle du Système, qui laisse entrer en France n'importe qui depuis près de cinquante ans, nous sommes 66 millions de condamnés potentiels, en danger vingt quatre heures sur vingt quatre, sept jours sur sept et trois cent soixante cinq jours par an !

    Voici cependant quelques uns des messages postés depuis ce scandaleux "incivilités"...

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  • Pour un Conseil de Défense sécuritaire.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Emmanuel Macron réunira vendredi un énième Conseil de Défense afin d'étudier la mise en place de mesures supplémentaires en cas d'aggravation de la crise sanitaire, demain, après demain ou à la Saint Glinglin...
    En revanche, pas de Conseil de Défense pour traiter en urgence de l'ensauvagement d'une France livrée à la violence de la racaille. Pas de Conseil de Défense pour prendre les mesures qui s'imposeraient pour enrayer la montée fulgurante de la barbarie qui ensanglante le pays. Pas de Conseil de Défense pour mettre au pas ceux qui crachent leur haine de la France et des Francais. Pas de Conseil de Défense pour en finir avec les trafics des maîtres allogènes des cités. Pas de Conseil de Défense pour extirper des caves des banlieues où elles sont entreposées les armes de guerre qui demain tueront les nôtres. Pas de Conseil de Défense pour préparer la riposte la plus sévère à l'explosion des banlieues qui approche. Pas de Conseil de Défense pour rétablir l'ordre public. Pas de Conseil de Défense pour définir les conditions d'un arrêt total de l'immigration et organiser le retour de ceux qui ne doivent plus rester sur notre territoire national.
    Le coronavirus circule, c'est entendu... On le dit en tout cas. Mais le crime, la violence brute, la volonté de détruire, de brûler, de blesser et de tuer, galopent et se répandent dans les rues de nos villes et nos campagnes. Sans masques.