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Après l’attaque au couteau perpétré à Villejuif au cri d’Allah Akbar vendredi dernier, même scénario à Metz et à la gare d’Austerlitz dimanche.
A Metz, c’est un homme de 30 ans, fiché S, qui a été neutralisé par des policiers hier dimanche midi dans le quartier Borny. Il était armé d’un couteau, criait “Allah Akbar“et menaçait une patrouille de police. La police a tiré à quatre reprises après sommation, l’homme a été blessé à la jambe et conduit à l’hôpital.L’individu était notamment connu par les services de la DGSI pour saproximité avec la mouvance salafiste.
C’est un chiffre que le gouvernement refuse de révéler depuis plusieurs jours et pourtant nos confrères d’Europe 1 affirment avoir obtenu le nombre de voitures brûlées la nuit de la Saint Sylvestre et c’est un record en France. D’après les informations d’Europe 1, 1.457 véhicules ont été incendiés sur tout le territoire pendant la nuit du 31 décembre 2019. Un bilan qui détrône de 13% celui de l’an dernier, qui faisait déjà office d’année « record ». D’après les autorités, la nuit a connu moins d’incendies graves qu’à l’accoutumée, mais par endroits, la nuit a été très chaude. C’est notamment le cas à Strasbourg, où la mairie indique que pas moins de 220 véhicules ont brûlé.
Adepte de l'euphémisme et de la litote, le Premier ministre Édouard Philippe a cru bon de reconnaître ce mardi matin sur l'antenne d'RTL que "la menace terroriste était élevée", tandis que le Figaro du 7 janvier titrait "Cinq ans après Charlie, la menace islamique n'a pas baissé". Celà au moment où se multiplient les attaques au couteau et où les prêcheurs djihadistes encouragent les leurs à frapper les "infidèles" partout où ils le pourront.
Non, bougies, fleurs, peluches et marches blanches des bobos et des gogos n'ont étrangement pas suffi à terroriser les terroristes, pas plus que nos pauvres "sentinelles" statiques et impuissantes, nos actions désordonnées au Sahel ou en Syrie ou les pauvres lois supposées sécuritaires, décalées et prises dans l'urgence, destinées à limiter les effets sans que jamais ne soient traitées les causes du mal
Non, la menace n'a pas reculé et ne reculera pas tant que des mesures d'exception contraignantes et sans faiblesse ne seront pas prises contre les propagandistes du salafisme et du wahhabisme, tant que ne seront pas interdites les organisations liées aux Frères musulmans, tant que ne seront pas mis hors d'état de nuire leurs agents, tant que ne sera pas définitivement stoppée la déferlante migratoire, tant que ne sera pas appliquée une politique drastique de rémigration et tant que la France n'aura pas établi un État national d'autorité et d'identité européenne.
Autrement dit tant que la Droite nationale ne sera pas au pouvoir.
Pour Eric Zemmour, « le Brexit n’est pas économique…les classes populaires ont voté Brexit pour l’identité, pour rester anglais » (« Face à l’info » du 07 Janvier 2020).
L’assassin de Mme Halimi ne devrait pas être jugé parce qu’il subissait des « bouffées délirantes » liées à un excès de cannabis. Le meurtre de Villejuif est confié en revanche au parquet antiterroriste en raison de la préméditation des agressions, de leur modalité et des cibles choisies, de la conversion à l’islam du meurtrier enfin, qui joue un rôle déterminant
Malgré leurs différences et le flottement qui accompagne l’information sur ces affaires comme sur beaucoup d’autres, on y trouve le même couple conceptuel en pas de deux : le terrorisme islamiste et les troubles mentaux, passagers ou persistants. Soit il s’agit d’exonérer la religion en glissant vers la maladie, et on peut suspecter dans cette distinction qui surgit très et trop rapidement une tendance à l’aveuglement volontaire. Soit il y a entre cette religion et les troubles mentaux une connexion pour le moins troublante.
« La tentative d’attaque de policiers par un homme fiché S, armé d’un couteau, dimanche 5 janvier 2020 dans le quartier de Borny à Metz a provoqué un début d’émeutes urbaines dans ce quartier populaire [sic] de l’agglomération.
Dimanche après-midi, un homme âgé de 30 ans, connu pour radicalisation, s’est montré menaçant envers des passants et une patrouille de police en criant « Allah Akbar ». Pour l’instant, le parquet antiterroriste n’est pas encore saisi [ah bon… – NDCI] mais travaille avec celui de Metz pour savoir si les faits peuvent être qualifiés de terroriste.
L’assaillant a été neutralisé par la police après le tir de plusieurs balles notamment dans ses jambes. Il a été blessé sans que son pronostic vital ne soit engagé.
Après l’intervention de la police dans le quartier pour neutraliser le suspect, des tensions ont éclaté à proximité des lieux où se sont déroulés des faits. Des cocktails molotov ont été lancés vers les policiers déployés dans le quartier. Certains ont été retrouvés allumés au sol sans être lancés ou utilisés.
Des poubelles ont également brûlées près de certains immeubles d’habitation ou encore sur la voie utilisée par les bus METTIS. [sic]
Selon le maire de Metz, Dominique Gros, quelques incidents ont émaillé la nuit avec trois voitures brûlées dans un parking rue du Béarn et des abribus dégradés. » (source)
Christian Chesnot et Georges Malbrunot sont deux spécialistes reconnus de l’islam du Proche Orient et de l’islam de France, par extension. Leur intervention sur le dossier plombé de la construction de mosquées, et en particulier des mosquées cathédrales en France, ne peut pas passer inaperçue, après Nos très chers émirs sont-ils vraiment nos amis ? Ils publient Qatar Papers, une plongée dans le mécénat islamique de Doha et de sa minuscule principauté.
Qatar papers d'où viennent ces papiers ? Nos deux journalistes Chesnot et Malbrunot, ne sont pas très diserts sur leur source le veut la déontologie du métier. Ils invoquent « un lanceur d'alertes » qui leur a fait passer des centaines de dossiers, pour la plupart en arabe, archivés par une ONG au nom parfaitement banalisé Qatar Charity. Il a fallu traduire cette mine de renseignements de première main, pour s'apercevoir que presque toutes les constructions de mosquées importantes en France et en Europe avaient reçu une véritable manne financière, - cela se compte par millions d'euros chaque fois - de cette étrange entreprise islamique de bienfaisance.
Voici encore une conséquence néfaste de cette immigration incontrôlée et encouragée par des sociétés occidentales trop généreuses. Inutile d’attendre des féministes une réaction suite à la lecture de cet article du New-York Times traduit par le site Fdesouche : :
Les femmes choquent leurs villages traditionnels d’Afrique de l’Ouest en gagnant de l’argent et en gérant de grands ménages pendant que leurs maris sont en Europe à la recherche d’un emploi (…)
Dans toute l’Afrique de l’Ouest, les villages ont été vidés de leurs maris et de leurs fils dans la fleur de l’âge qui étaient partis en Europe pour chercher du travail et ne sont jamais revenus. Les femmes, se rendant compte qu’elles ne verraient peut-être jamais l’argent que leurs hommes leur avaient promis d’envoyer chez elles, ont progressivement assumé ce qui est considéré comme un rôle d’homme, en gagnant de l’argent et en dirigeant de vastes ménages composés de beaux-parents et d’autres membres de la famille élargie (…)
Le réveillon de la Saint-Sylvestre 2019 à Bruxelles a quelque peu (sic) malmené l’image idyllique du « vivre ensemble », que veulent imposer les propagandistes du « village mondial » : « Pharmacie saccagée et pillée, poubelles et voitures en feu, pompiers agressés, etc. », a relaté La Libre Belgique.
Face à cette situation, la bourgmestre de Molenbeek, Catherine Moureaux, a pris une mesure d’exception pour la nuit du 31 décembre : les poubelles des quartiers seront… déplacées !
Les pompiers – on se demande bien pourquoi ! – restent sceptiques sur une telle mesure : « On sait bien qu’il y aura des débordements. Les politiques n’auraient pas pris des mesures s’ils ne craignaient pas des incidents. Mais retirer les poubelles des rues pour éviter les incendies, cela ne sert strictement à rien. Et la prochaine étape, ce sera quoi ? On va retirer les voitures, les abribus ? Le vrai problème est le laxisme face aux comportements de ces jeunes qui, l’an dernier, n’ont pas hésité à tout saccager sur leur passage et à s’en prendre aux services de secours. »