En début de semaine, Trump a annoncé une suspension temporaire de l’immigration, pour protéger les emplois des américains, alors que 22 millions d’entre eux ont perdu leur travail en un mois. Voila une mesure claire, ferme, et l’on peut compter sur lui pour l’appliquer avec opiniâtreté. En Europe, les médias semblent se demander pourquoi une telle mesure, alors que les États-Unis sont en pleine pandémie et que les flux migratoires ne sont pas forcément intenses en ce moment précis. Et de pointer, comme toujours, le prétendu populisme compulsif et pulsionnel du président Américain, sa démagogie préélectorale.
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Immigration : Trump anticipe, l’Union européenne tergiverse et sera bientôt submergée
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Agression de Zemmour: où est passé l’esprit #JesuisCharlie?
Eric Zemmour ne peut plus faire ses courses dans son quartier, un jeune homme l’insulte, lui crache dessus, le filme en train de porter ses victuailles dans la rue puis se met en scène : défenseur on sait de quoi, il tombe le masque et dès le lendemain recommence son numéro sur les réseaux sociaux.
« Je ne suis pas d’accord avec Zemmour, mais … »
On a connu une justice plus réactive car, en ces temps de coronavirus, cracher sur quelqu’un est un acte loin d’être anodin. Mais je m’attendais surtout à une révolte de tous ceux qui défendent les libertés à longueur de temps, les journalistes défendant un confrère, les directeurs de chaîne qui ont besoin de commentateurs de talent, les femmes et les hommes politiques, le défenseur des libertés, les membres du gouvernement… Je lis les commentaires, dont certains sont assortis de la précaution « je ne suis pas d’accord avec Zemmour, mais … ». Parce qu’il faut être d’accord avec Zemmour pour lui permettre d’aller faire ses courses comme tout Français ?
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Combien de Zemmour anonymes, sans appel du Président ni considération du parquet ?
l y a, dans nos vies, des coïncidences étranges, plus ou moins drôles. Ce fameux 30 avril 2020, alors qu’Éric Zemmour se faisait insulter en rentrant chez lui, il m’est arrivé la même chose, devant chez moi, avec ma famille, quasiment à la même heure. Dans des circonstances et par un individu comparables à l’agresseur d’Éric Zemmour. Nous avons dû nous réfugier chez nous et vite fermer le portail, car l’agresseur s’est précipité vers nous et s’est mis à taper sur notre boîte à lettres, déversant insultes et menaces.
Nous appelons immédiatement le 17. On me demande de déposer une pré-plainte sur Internet. Ce que je fais. Je signale le danger, les risques, et je précise que nous tenons à pouvoir sortir de chez nous sans être insultés ni menacés. Pré-plainte sur Internet, Monsieur.
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La gauche perdant son emprise sur la vie intellectuelle, il lui reste la haine ou le discrédit
Tandis qu’Eric Zemmour a été pris à partie dans la rue, le gouvernement annonce la création d’une plateforme labellisant les informations sur le Covid-19. Dans Valeurs Actuelles, le Père Danziec analyse :
[…] La domination de la gauche sur la vie intellectuelle française, on l’observe, ne fonctionne plus. Faute de renouvellement, son logiciel apparaît plus que jamais périmé. Le réel, qui finit toujours par parler, a repris le dessus. Ils nous avaient promis un monde sans barrière, un univers sans classe, du plaisir sans limite. Le résultat fait peine à voir. Les pays sont confinés chez eux. La crise économique s’annonce sans précédent. Et, comme l’a montré le mouvement des Gilets Jaunes, la société crève de l’injonction à jouir sans entraves. Les pavés n’ont pas découvert une plage mais conduit à une impasse. Dans ce contexte de faillite de la gauche, le dialogue devient menaçant pour qui veut conserver sa place ou délétère pour qui refuse de se remettre en cause. Le progressisme l’a bien compris, à trop jouer avec le dialogue il pourrait finir par s’y brûler. Pour éviter la confrontation, il lui reste deux grands moyens : la haine ou le discrédit.
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Charles Prats: « La fraude sociale, c’est 30 milliards d’euros par an »
Ancien magistrat de la Délégation nationale à la lutte contre la fraude (DNLF) au ministère du Budget, Charles Prats estime que 2,5 millions d’individus « fantômes » bénéficieraient de 30 milliards de prestations sociales indues.
LE FIGARO.- L’Allemagne consacre au financement de ses dépenses de santé une part de richesse équivalente à celle de la France, affiche une pression fiscale moindre, et pourtant, son système de santé a mieux résisté que le nôtre. Comment expliquez-vous ce paradoxe ?
Charles Prats.– L’Allemagne a beaucoup plus de lits d’hospitalisation par rapport à sa population que la France, et il y a plus de médecins et moins de personnels administratifs dans les établissements de santé. Schématiquement, en Allemagne, on dépense plus d’argent pour soigner que pour administrer. En France, le débat se focalise souvent sur les impôts. On se chamaille pour savoir qui va se faire taxer et de combien. La question fondamentale devrait d’abord être: comment l’argent public est-il dépensé ?
Les spécialistes évoquent pour la France 56 % de dépense publique par rapport au PIB. Où va l’argent ?
Regardez l’état de nos armées, de notre police, de notre justice… (Suite de l’interview dans le Figaro
http://www.fdesouche.com/1370115-charles-prats-la-fraude-sociale-cest-30-milliards-deuros-par-an
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Le multiculturalisme menace-t-il notre civilisation ?
"Les éveilleurs" nous a adressé, ce jeudi, le message suivant. Nous "donnons" volontiers cette vidéo, extrêmement intéressante, qui dure un peu plus de deux heures. Ceux qui l'avaient déjà écoutée (ou qui étaient dans la salle) l'écouteront sûrement de nouveau, et avec plaisir; et ceux qui n'en avaient pas eu connaissance apprécieront sûrement, aussi, de l'avoir "en réserve", quitte à l'écouter en plusieurs fois...
La Rédaction
Chers Éveilleurs,
Le 15 décembre 2017, nous recevions Michel DE JAEGHERE, Directeur du Figaro Histoire, et Mathieu BOCK-COTE, essayiste québécois, venus analyser les ressorts et effets du multiculturalisme sur nos sociétés occidentales, en proie à une immigration massive depuis plusieurs décennies, à la lumière notamment d'un précédent historique, la disparition de l'empire romain.
Un échange passionnant entre ces deux érudits à voir et revoir !
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À qui profitent les politiques publiques ?
En France et en Europe, les populations issues de l'immigration sont devenues les bons clients des politiques publiques.
La politique de la ville fête ses 40 ans, le Fonds Social Européen ses 60 ans. Vous connaissez la première avec ses avatars : zones d'éducation prioritaire, zones urbaines sensibles, plans banlieues, contrats de ville, écoles de la deuxième chance... Le second, le FSE, plus méconnu, n'en est pas moins généreux avec ses milliards déversés à tous les pays pour leurs politiques de l'emploi, de l'insertion et de lutte contre les discriminations. L'État-providence existe encore pour certaines catégories. De plus en plus, des politiques publiques à l'unisson d'une discrimination positive assez discrète, concentrent des crédits vers des territoires et certains publics.
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Banlieues et antifas: à Villeneuve-la-Garenne, la convergence des luttes n’a pas eu lieu, par Edouard Chanot.
Source : https://fr.sputniknews.com/
La nuit du 21 avril, une vingtaine de militants «black bloc» se sont rendus à Villeneuve-la-Garenne pour s’attaquer aux policiers avec les émeutiers. L’alliance a tourné court. Une petite histoire qui en dit long sur l’impossible union de la gauche radicale et des banlieues. L’essayiste Anne-Sophie Nogaret analyse la situation pour Sputnik.
Ils espéraient une convergence des luttes. Ils voulaient aider. Cette nuit-là, entre le 21 et le 22 avril à Villeneuve-la-Garenne, une vingtaine d’antifas ont voulu apporter aux émeutiers des zones sensibles leur connaissance des confrontations avec les forces de l’ordre. «Nul besoin d’être un expert en mouvements sociaux pour les distinguer», précise le Bondy blog pour Mediapart: «Ils sont blancs pour la plupart, globalement plus âgés que les jeunes à la manœuvre, et tout dans leur attitude et leur équipement trahit une certaine habitude de la révolte de rue.»
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Attaque de Colombes : c’était bien un islamiste radicalisé !
On a d’abord parlé d’un homme fragile psychologiquement, selon la formule consacrée. Mais, après quelques jours de garde à vue, il a bien fallu reconnaître que l’auteur de l’attaque contre deux policiers, lundi à Colombes, présentait le profil d’un islamiste radicalisé. Selon Le Parisien, c’est « un individu très politisé, connaisseur du conflit israélo-palestinien et présentant un fort intérêt pour l’actualité au Mali et en Somalie ».
Aucun commentateur n’a encore osé dire ouvertement qu’il ne supportait plus d’être confiné dans un immeuble HLM et qu’il a craqué. Lundi, en fin d’après-midi, il se met au volant de sa BMW – une voiture ordinaire pour qui est au chômage – avec deux couteaux et une lettre manuscrite où il prête allégeance à l’État islamique, affirmant sa volonté « de se lancer à corps perdu dans la bataille pour imposer la charia sur l’ensemble de la terre ». Rien ne paraît planifié. Il achète du pain dans une boulangerie puis, à 500 mètres de chez lui, aperçoit deux policiers en train de contrôler le conducteur d’un véhicule : « Il appuie sur l’accélérateur et percute de plein fouet les deux fonctionnaires, blessant plus légèrement un policier municipal », raconte Le Parisien.
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Sécession des “jeunes” des “quartiers”, par Aristide Renou.
Source : https://www.politiquemagazine.fr/
La partition du territoire français, où ont émergé et se sont consolidées des zones de non-droit, est confirmée par un article du Bondyblog, qui soutient la cause des « insurgés » [sic] de Villeneuve-la-Garenne.
Le Bondyblog a fait paraître un article sur la colère raisonnée des habitants de Villeneuve-la-Garenne. Article très intéressant par ce qu’il révèle malgré lui. Le propos est celui que l’on peut attendre du Bondyblog et de Médiapart : tout cela n’est qu’une légitime révolte dans un « quartier populaire », provoquée par la brutalité policière. Et en même temps une révolte finalement très limitée et très responsable : presque rien n’a été détruit (quelques véhicules, des poubelles, ça ne compte pas). Bref, les « jeunes » sont admirables et ont simplement soif de justice.
Mais l’article mentionne aussi que « une vingtaine de militants antifascistes sont venus prêter main-forte aux jeunes du coin. » On les repère très facilement, nous dit l’auteur de l’article : « ils sont blancs pour la plupart, globalement plus âgés que les jeunes à la manœuvre, et tout dans leur attitude et leur équipement trahit une certaine habitude de la révolte de rue. » Bizarrement, la sauce ne prend pas avec les « jeunes » du quartier.