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immigration - Page 597

  • Des musulmans peuvent-ils être vraiment Français ? Exceptionnellement, oui. D’une manière générale, non

    Des musulmans peuvent-ils être vraiment Français ? Exceptionnellement, oui. D’une manière générale, non

    A propos du film Les Misérables, sur la violence des bandes à Montfermeil, le maire de cette ville, Xavier Lemoine, écrit dans Le Figaro, en évoquant les émeutes de 2005 :

    […] En trois mots il s’agit de faire connaître, respecter et aimer la France. C’est cette politique que devrait porter la nation tout entière. Mais à regarder la complaisance pour tout ce qui dénigre et culpabilise la France, on mesure l’écart abyssal qu’il y a. «Tout royaume divisé contre lui-même périra.» Rien de moins.

    Pour aller plus loin dans la compréhension et la recherche de solutions je ne peux que redire ce qu’en 2005, convoqué après les émeutes par l’Intérieur, Matignon puis l’Élysée, j’ai dit: «Le seul document qui vaille la peine d’être lu pour nous éclairer sur les événements en cours est la lettre de Charles de Foucaud à René Bazin du 29 juillet 1916». À nul endroit mes interlocuteurs n’en ont ri. Tous l’ont lue. Par trois fois la réponse fut: «M. le maire c’est vous qui avez raison, (un silence) mais comment le dire?». Il est maintenant minuit moins cinq.

    Voici un extrait de cette lettre :

    Des musulmans peuvent-ils être vraiment Français ? Exceptionnellement, oui. D’une manière générale, non. Plusieurs dogmes fondamentaux musulmans s’y opposent ; avec certains il y a des accommodements ; avec l’un, celui du Mehdi, il n’y en a pas ; tout musulman, (je ne parle pas des libre-penseurs qui ont perdu la foi), croit qu’à l’approche du jugement dernier le Mehdi surviendra, déclarera la guerre sainte, et établira l’islam par toute la terre, après avoir exterminé ou subjugué tous les non-musulmans. Dans cette foi, le musulman regarde l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s’il est soumis à une nation non musulmane, c’est une épreuve passagère ; sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l’engage à subir avec calme son épreuve ; « l’oiseau pris au piège qui se débat perd ses plumes et se casse les ailes ; s ‘il se tient tranquille, il se retrouve intact le jour de la libération », disent-ils ; ils peuvent préférer telle nation à une autre, aimer mieux être soumis aux Français qu’aux Allemands, parce qu’ils savent les premiers plus doux ; ils peuvent être attachés à tel ou tel Français, comme on est attaché à un ami étranger ; ils peuvent se battre avec un grand courage pour la France, par sentiment d’honneur, caractère guerrier, esprit de corps, fidélité à la parole, comme les militaires de fortune des XVIe et XVIIe siècle : mais d’une façon générale, sauf exception, tant qu’ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du Mehdi, en lequel ils soumettront la France.

    https://www.lesalonbeige.fr/des-musulmans-peuvent-ils-etre-vraiment-francais-exceptionnellement-oui-dune-maniere-generale-non/

  • L'hypocrisie des bobos sur l'immigration enfin dévoilée

  • Dhimmitude : tout le monde ne se laisse pas faire

    2307618253.jpgLa chronique de Philippe Randa

    Lors de sa revue de presse le lundi 18 novembre, la journaliste Amandine Begot sur RTL a dû faire sursauter plus d’un sourcilleux garde-chiourme de la Bien-pensance lorsque celle-ci a raconté la monté des incivilités en France… Dans le temps, les incivilités  expliqua-t-elle, c’était surtout les week-ends, de la part de quidams en fort état d’ébriété. Mais aujourd’hui, c’est partout et à tout bout de champs et par forcément sous l’effet de l’alcool. On crie, on menace pour un oui ou pour un non, pour un regard ou un mot mal interprété, ou encore pour… un refus de dhimmitude !

    Amandine Begot relata le témoignage d’un homme qui attendait son tour à une caisse de supermarché. Une « femme voilée » lui demanda de lui céder sa place. Il refusa parce qu’il était pressé d’aller chercher à temps ses enfants à l’école… Hurlements de la femme voilée à qui il refusait d’obéir et qui l’a poursuivi de ses insultes jusqu’à sa voiture, le traitant de… raciste ! Ben voyons…

    Une scène qui vous en rappelle une autre ? Beaucoup d’autres ?

    Ce qui est plus étonnant, c’est que ce triste – et de plus en plus courant – fait-divers ait été relaté à une heure de grande écoute (juste avant Laurent Gerra). Depuis des décennies, les journalistes avaient appris à taire l’origine des voyous ou autres faiseurs de troubles, terrorisés à l’idée d’être accusé par les associations auto-proclamées anti-racistes de « faire le jeu de l’extrême droite. »

    Comment expliquer un tel changement d’attitude ? Une telle libération de la parole ? Un tel retour à une information libre et honnête sur « la première radio de France » comme RTL aime tant à le rappeler ?

    Tout change pour que rien ne change, dit-on habituellement, mais est-ce toujours exact ? Ne devra-t-on pas dire désormais « Tout change parce que ça a trop changé » ? 

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    Ecoutez les émissions cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/11/29/dhimmitude-tout-le-monde-ne-se-laisse-pas-faire-6194363.html

  • Immigration : et revoilà les quotas

    Alors que la question migratoire demeure une préoccupation pour de nombreux Français, Emmanuel Macron lance son offensive en faveur des quotas d’immigrés professionnels. Une concertation sur ce dossier a même été ouverte jeudi en présence des syndicats.

    L’éternel retour des quotas !

    Jeudi 28 novembre, le ministre du Travail a reçu les principales organisations syndicales pour causer quota ! L’objectif gouvernemental, convaincre les fameux « partenaires sociaux » du bien fondé des quotas migratoires professionnels et chiffrer des objectifs secteur par secteur. 

    Sans surprise les organisations syndicales, CGT en tête, ont fait grise mine, celles-ci n’étant pas franchement enthousiastes à l’idée de à s’attaquer au sujet tabou de l’immigration. Ce qui n’a pas empêché le ministère du travail de se féliciter d’une réunion qui a je cite « permis d’établir une méthode de travail et un calendrier ». Le Rendez-vous est donc pris pour le mois de janvier.

    Un coup de com’ difficilement réalisable

    Mais que sont ces fameuses « méthodes de travail » ? Concrètement, il s’agit en réalité de confier le chiffrage des besoins supposés et des offres envisagées aux services de statistiques du ministère du travail : la Dares et Pôle emploi, ces deux organismes, dont l’efficacité est sujette à caution, vont lister les emplois disponibles, métiers par métiers et régions par régions. Puis, ils vont vérifier qu’aucune personne compétente pour le poste ne se trouve déjà en France – ce qui, dit en passant, devrait déjà être fait -, avant d’établir la compétence de potentiels migrants économiques pour des postes sans travailleurs disponibles.

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  • Gaspard Proust à propos de la France : « La réalité, c’est que la France est devenue un pays multiculturaliste : alors quel intérêt de devenir français ? »

    Gaspard Proust à propos de la France : « La réalité, c’est que la France est devenue un pays multiculturaliste : alors quel intérêt de devenir français ? »

    Le numéro du Point en date du 28 novembre publie un entretien avec Gaspard Proust.

    On y apprend que l’humoriste a une double nationalité suisse et slovène (la Slovénie étant son pays d’origine) et n’a pas la nationalité française. Il est d’ailleurs interrogé sur ce sujet :

    « Pourquoi n’avoir jamais demandé la nationalité française ? ».

    Sa réponse est franche et cruelle :

    « En 1990, j’étais au lycée français d’Alger. J’étais un petit Slovène. A cette époque, je regardais la France, admiratif, me disant que, si un jour j’avais le passeport français, je pourrais dire à mes enfants : Voyez, maintenant vous faites partie d’une nation immense où vos ancêtres –même si vous avez chopé le train en route- s’appellent désormais Charlemagne, Louis XIV, Napoléon, de Gaulle, Hugo, Molière, Baudelaire, Camus, Monet, Rodin, David, Poussin etc… La France, ce n’est pas seulement une vague idée fumant au-dessus de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, c’est une réalité brute, c’est une terre, un peuple, une culture ; bref, un monde. Aujourd’hui je connais peu de personnes venant des pays de l’Est –et je ne parle même pas des amis suisses- qui voudraient du passeport français. Car un pays qui se méprise à ce point-là, qui s’incline devant tout n’est plus attirant… Je vois du matin au soir les hommes politiques éructer « La République : La République ! La République ! » Mais des républiques, il y en a plein dans le monde. Ce qui m’intéresse, ce n’est pas le mode d’organisation de votre démocratie, mais ce qui fait que la France est la France et non pas la Slovénie, l’Allemagne, l’Algérie ou la Corée du Sud. La réalité, c’est que la France est devenue un pays multiculturaliste : alors quel intérêt de devenir français si on me fait l’éloge de pouvoir tout le temps la ramener avec mes origines ? J’ai même changé mon prénom et mon nom, car je ne voulais pas qu’on me renvoie d’où je viens. Je veux me fondre parmi les Français. Or ce n’est plus audible aujourd’hui.»

    https://www.lesalonbeige.fr/gaspard-proust-a-propos-de-la-france-la-realite-cest-que-la-france-est-devenue-un-pays-multiculturaliste-alors-quel-interet-de-devenir-francais/

  • Le Cheval de Troie de l’Islam radical

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    Le cheval de Troie de l’Islam radical

    Pour la plupart, les pays de l’Europe, comme certains états du Monde, sont dans le viseur de l’Islam radical et du terrorisme. Depuis longtemps déjà, la France fait partie de ces nations que les islamistes convoitent depuis de longues années, pour y installer in fine, au moment opportun, le système politico-religieux qui règne dans les républiques où l’Islam est la religion officielle. Bien que ce phénomène ne soit pas récent, il s’est installé peu à peu dans les banlieues et dans les cités au cours des années 80, sans que quiconque y prête une grande attention.

    En fait, il s’est créé alors de véritables communautés silencieuses qui, au-delà de leurs coutumes et de leurs traditions, ont mis en place une sorte d'idéologie basée essentiellement sur la religion islamique. Cependant, à cette période, l’esprit d’alors, n’allait pas dans le sens d’un conquête possible du pouvoir. Pour la plupart, les musulmans se contentaient d’une situation de ghetto où ils retrouvaient leurs repères et leur croyance.

    Les générations qui ont suivi n’ont pas eu le même raisonnement. Bien au contraire. Elles ont considéré que leurs parents ou leurs aïeuls avaient été victimes de la nation, par manque de considération et de justice sociale. Il faut dire et admettre que les divers gouvernements français qui se sont succédé, à droite comme à gauche, n’ont pas été à la hauteur de leurs missions politiques qui consistent à assurer aux citoyens une place réelle dans la société. Dans un tel contexte, les banlieues ont eu un sentiment réel d’abandon, malgré les plans financiers très coûteux qui leur avaient été dédiés. La discrimination, l’illettrisme, le chômage important, ont été les principaux facteurs de révolte qui ont touché particulièrement les jeunes des cités. Et c’est ainsi que s’est développé une hostilité, voire des sentiments de haine envers la France et les Français de souche. Ce mécanisme s’est révélé notamment chez une catégorie de citoyens issus de l’immigration et devenus français, soit par naturalisation, soit par le « droit du sang », soit encore par le « droit du sol », ou aussi par le mariage.

    Aujourd’hui, tous ces individus revendiquent leurs droits de citoyens français à part entière et sur ce point, on ne peut le contester car ils entrent entièrement dans le cadre républicain qui prévoit spécialement l’égalité et la justice entre les hommes. Mais un problème sérieux apparaît quand ces mêmes individus considèrent que la France leur doit tout et qu’elle doit donc se plier à leurs exigences politiques, sociales et religieuses. Parmi eux, des groupes radicaux se sont constitués avec le développement du salafisme d’où est né ensuite le djihadisme. Ces groupes toujours plus nombreux au fil du temps, sont à l’heure actuelle très bien organisés et depuis plusieurs années, ils ont réussi à s’infiltrer dans tous les secteurs clés de l’économie et des administrations. Dans un premier temps, ils ont réussi à s’introduire dans les entreprises privées et dans les structures commerciales, avant de pénétrer dans la fonction publique : armée, police, gendarmerie, impôts, enseignement, La Poste, Culture et communication, collectivités locales et régionales, SNCF, douanes, etc … etc … Sans oublier leur implantation dans les grandes complexes de notre Pays : transports en commun, RATP, aéroports, sites sensibles de gardiennage, réseaux d’informations et de renseignements.

    Ainsi, l’attentat du 3 octobre à la Préfecture de police de Paris a démontré que la mouvance salafiste agissait au cœur de la sécurité et de la défense, capable de tuer et de massacrer froidement, comme d’anéantir, le jour venu, la République et la démocratie.

    Il est clair qu’à ce niveau, tout citoyen est en droit de se poser les vraies questions sur le rôle de l’Islam dans ces assassinats et ces atrocités. Les « défenseurs » d’un certain islam, celui que l’on nomme par exemple « L’islam de France » ne voient dans ces crimes qu’un minorité d’individus fortement radicalisés qui agissent plutôt en tant que terroristes et non d’islamistes, même si leurs actes délictueux sont revendiqués au nom de la religion musulmane.

    Pour autant, il ne faut pas se méprendre sur les intentions de la plupart des fidèles de l’Islam. À première vue, on peut penser que les musulmans modérés ne cautionnement pas le terrorisme. En fait, il est très rare de voir la communauté musulmane s’indigner contre les attentats et sur ce point, les exemples sont nombreux, tant la France a été confrontée depuis 2012 aux drames les plus douloureux provoqués par les djihadistes.

    En réalité, une très grande partie de la communauté musulmane, bien que modérée, est complice directement ou indirectement du Djihad qui opère sans cesse partout dans le Monde, contre les États, et en particulier les pays démocratiques. Concrètement, cette communauté musulmane attend patiemment que les djihadistes fassent leur « sale boulot » avant de pouvoir s’imposer définitivement au sein d’une future république qu’elle souhaite « islamiste ».

    L’Islam radical a adopté une politique de conquête discrète par le biais de l’éternelle méthode du Cheval de Troie. Quand les conquérants auront assiégé la France dans tous ses lieux stratégiques, ils s’y installeront définitivement en prenant les commandes de la Nation en déroute.

    Soyons clairvoyants : Il n’y a pas deux « Islam » comme certains voudraient bien nous le faire croire, à savoir : l’Islam d’ailleurs et l’Islam de France. Sur le terrain, il n’y a qu’une sorte d’Islam : celui qui veut conquérir l’Europe pour la dominer et la coloniser dans le même esprit que l’Islam du VIII° siècle, les arabes voulaient conquérir le Royaume franc. Mais, après plusieurs batailles, le chef militaire franc Charles Martel aura raison le 25 octobre 732 aux portes de Poitiers, de l’armée musulmane commandée par le général Abd al-Rahman.

    En conclusion, la France ne doit pas subir une invasion islamiste. Si, conformément aux règles de la République française et en vertu de la loi de 1905, les musulmans ont le droit évident de pratiquer leur religion dans leurs lieux de prière, l’Islam doit rester toutefois en dehors de toute idéologie politique, notre nation ne devant en aucun cas s’islamiser, directement ou indirectement.

    Les siècles passés ont fait de la France, un pays exceptionnel : son histoire, sa culture, son patrimoine architectural, son industrie, sa philosophie des lumières représentent la puissance et la gloire de notre nation. De même, par le sacrifice de ses enfants au cours des conflits et des guerres, la France a été également un exemple de courage et de volonté. Aussi, il n’est pas concevable que la grandeur de notre Pays soit balayée par un courant islamiste qui constituerait le malheur de nos compatriotes et des générations futures.

    Pierre Reynaud

    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/le-cheval-de-troie-de-l-islam-219395

  • Éric Zemmour : “Le Pape est idéologiquement et stratégiquement un homme de gauche qui prépare l’islamisation de l’Europe”

    Sur CNews, Éric Zemmour a fait cette déclaration forte : “Le Pape est idéologiquement et stratégiquement un homme de gauche qui prépare l’islamisation de l’Europe“.

    Le polémiste réagissait alors sur le pape et le nucléaire face à Odon Vallet, historien des religions, notamment administrateur de la société des lecteurs du journal Le Monde.

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  • En France, Google fait un don important à des associations pro-immigration

    Sur son blog officiel, le géant de Mountain View rappelle qu’il a lancé – en mai dernier – le Google.org Impact Challenge en France, un appel à projets de 3 millions d’euros, invitant les associations et les acteurs de l’économie sociale et solidaire à proposer leurs idées pour promouvoir l’inclusion numérique.

    C’est ainsi que le 19 novembre dernier, 10 finalistes ont présenté leurs “idées innovantes” à un panel de jurés lors d’une cérémonie à la Maison de l’Artisanat.

    Parmi les projets qui vont recevoir un don très important, on note deux associations qui viennent en aide aux réfugiés en France…

    Le 1er prix du jury Konexio recevra un don de 600.000 euros pour son projet de parcours de formation au numérique gratuit pour un usage personnel et professionnel à destination des jeunes des quartiers défavorisés et des migrants.

    Le 2e prix du jury Unis-Cité recevra 500.000 euros afin de favoriser l’intégration des réfugiés en France grâce à un parcours de formation au numérique animé par des jeunes en service civique.

    Voir l’annonce complète sur le blog de Google France : https://france.googleblog.com/2019/11/google-recompense-10-associations.html

    https://fr.novopress.info/

  • Zoom – M. Maffesoli et H. Strohl : Du modèle républicain à l’idéal communautaire

    Michel Maffesolli, professeur émérite à la Sorbonne et Hélène Strohl, inspectrice générale des affaires sociales honoraire, présentent « La faillite des élites – La puissance de l’idéal communautaire ». Pour eux, ceux qui nous gouvernent n’ont pas su remettre en cause leur grille d’analyse de la société. Un aveuglement qui les a conduit à nier le retour en force d’un être sociétal, des tribus, à reconnaître la puissance du surnaturel. Face à la chute du modèle républicain, Michel Maffesoli et Hélène Strohl proclament l’avènement de l’idéal communautaire et de la solidarité des réseaux…

    https://www.tvlibertes.com/zoom-m-maffesoli-et-h-strohl-du-modele-republicain-a-lideal-communautaire

  • Voile, communautarisme, immigration : la présidentielle 2022 en ligne de mire ?

    Le professeur de droit Christophe Boutin analyse la situation migratoire en France et la stratégie d’Emmanuel Macron sur cette question en vue de sa potentielle réélection en 2022.

    De ce que les polémiques concernant les réponses présidentielle et gouvernementale à l’immigration se multiplient, certains n’hésitent pas à imaginer que nous serions déjà dans la précampagne des élections présidentielles de 2022, où l’on nous annonce comme quasi-inévitable un nouvel affrontement au second tour entre Marine Le Pen et l’actuel locataire de l’Élysée. Outre que les prévisions à si long terme doivent toujours être prises avec infiniment de précautions, ce serait oublier, d’abord, que le président doit faire face à une visibilité accrue de l’immigration, avec des interactions entre des questions différentes, et qu’il peut aussi faire des choix politiques résultant d’échéances électorales plus proches. Le premier point de cette visibilité accrue de l’immigration relève en effet de l’impact des obligations vestimentaires que s’imposent certains fidèles de la religion musulmane, et qui, quoi qu’en aient des commentateurs qui n’hésitent pas à convoquer pour cela l’image des vestales de la Grèce antique ou celle des nonnes de nos couvents, ne relèvent pas des pratiques usuelles dans notre aire culturelle – et moins encore de nos jours. On sait que depuis quelques années la France tente de réglementer ces pratiques, se lançant dans un jeu du chat et de la souris dans lequel l’État est nécessairement perdant lorsque les provocations de ceux qui entendent braver les normes reçoivent un large soutien médiatique et politique.

    Au nom de la lutte contre l’islamophobie, ce mot que tentent d’imposer les courants islamistes les plus directement politiques, qu’il s’agisse de ceux qui sont proches des Frères musulmans ou de ceux soutenus par des États wahhabites, il s’agit, d’une part, d’imposer une législation sur le blasphème et, d’autre part, de pouvoir en finir avec des mesures restrictives. Mais à raison de l’importance de la population musulmane présente sur le territoire français, cette revendication rend plus visible, en même temps que plus conflictuelle, la question de l’immigration. D’une part, parce que cette dernière n’est clairement plus pensée en termes d’intégration des migrants à une communauté culturelle leur préexistant, mais bien comme devant faire coexister sur le même territoire des groupes communautaires différents ; d’autre part parce qu’il ne s’agit pas ici de quelques dizaines de bouddhistes en robes safran, vus alors avec amusement, mais de groupes devenus territorialement majoritaires dans certaines zones.

    Cet aspect de contrôle territorial lié à une immigration rendue plus visible par l’appartenance religieuse l’est tout autant si l’on évoque la violence qui sévit dans ce que l’on nomme par euphémisation les «quartiers difficiles». Cette dernière aboutit on le sait à l’interdiction d’action des services publics de l’État – services de sécurité, bien sûr, mais aussi pompiers, ambulances ou médecins –, dans des zones passées sous le contrôle effectif de groupes de délinquants dans lesquels la proportion de personnes issues de l’immigration semble plus élevé que la moyenne nationale – même si l’interdiction de statistiques ethniques peut laisser planer un doute.

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    https://fr.novopress.info/