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immigration - Page 594

  • Ce serait presque à mourir de rire ! Les "mal-généreux" de l'Ocean Viking attaqués par "leurs" migrants" !

    État d'urgence sur l'Ocean Viking, en proie à des troubles sécuritaires

    Bagarres, tentatives de suicide, menaces physiques envers l'équipage : la tension est devenue telle, à bord de l'Ocean Viking, que le navire humanitaire qui a recueilli 180 migrants en Méditerranée s'est déclaré vendredi en "état d'urgence", et réclame... un débarquement "immédiat" ! Une première !

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  • C’est écrit dans Le Monde : Assa Traoré, ou la fabrication d’une icône…

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    C’est souvent quand on veut trop bien faire que tout s’en va en quenouille. La preuve par la journaliste Zineb Dryef, ancienne de Rue89, dans le supplément dominical du Monde, qui signe un portrait d’Assa Traoré, qui est à peu près à Angela Davis ce qu’Henri Salvador fut à James Brown. Et c’est ainsi qu’à vouloir tout démontrer, c’est parfois à l’effet contraire qu’on aboutit.

    Naguère, c’étaient les héros et les saints que célébrait l’imaginaire collectif. Aujourd’hui, l’heure serait plutôt aux victimes et à leurs souffrances, réelles comme imaginaires : « J’ai raison parce que j’ai souffert et plus que toi, tant qu’à faire », tel est le bréviaire.

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  • Chaos à bord de l’Ocean Viking. Le bateau « humanitaire », qui a recueilli 180 migrants en Méditerranée, s’est déclaré en « état d’urgence »

    Bagarres, tentatives de suicide, menaces physiques envers l’équipage… SOS Méditerranée a annoncé que depuis 24 heures, « la situation à bord (NDLR: de l’Ocean Viking) s’est détériorée au point que la sécurité des 180 rescapés et de l’équipage ne puisse plus être garantie », obligeant le navire « humanitaire » à se déclarer en état d’urgence.

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  • Adama, c'est leur bidet

    Il faut toujours écouter les conseils du président de la République, qui sait ce qui est bon pour nous. J'ai donc recueilli pieusement ceux que nous a prodigués notre Jupiter élyséen, le 6 mai dernier. En bras de chemise, échevelé et l'œil enflammé (un spectacle proprement stupéfiant...), il avait disserté sur les mérites de Robinson Crusoé : « Les vrais idéalistes sont des grands pragmatiques. Quand Robinson part, il ne part pas avec des grandes idées de poésie ou de récit, il va dans la cale chercher ce qui va lui permettre de survivre du fromage... du jambon... des choses très concrètes ! » Macron négligeait toutefois de préciser les raisons de cette quête de nourriture : le navire sur lequel s'était embarqué son héros avait fait naufrage. Faut-il y voir une allégorie de la situation de la France aujourd'hui ? Devant l'écueil de la crise économique, faut-il commencer à stocker du fromage et du jambon ? (Sans oublier, très concrètement, le papier hygiénique... )

    Dans la même envolée lyrique et cocasse, l'auguste jupiteux s'était grimé en dompteur de fauves : « Là on entre dans une période où on doit en quelque sorte enfourcher le tigre. Et donc le domestiquer », avait-il dit. « Il ne va pas disparaître, le tigre, il sera là, la peur sera là dans la société, elle ne va pas disparaître. Mais le seul moyen qu’il ne nous dévore pas, c'est de l’enfourcher. » Tous les spécialistes vous le confirmeront...

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  • Dette de la France : qui sont les coupables ? Fin

    Jean-Yves Le Gallou considère que la poursuite des mouvements d'immigration à hauteur de 200 000 entrées régulières par an, et notamment le fait qu'un nombre croissant d'étrangers ou de Français d'origine étrangère procèdent au regroupement familial de leurs proches à des fins médicales, pose un problème structurel au système de santé français : « comment éviter son déséquilibre financier durable alors que ses recettes sont fondées sur une assise territoriale limitée (la production française) tandis que ses prestations, et donc les dépenses induites, sont potentiellement étendues au monde entier » À l'appui de sa démonstration, le conférencier donne l'exemple d'un Congolais entrant en France avec sa famille muni d'un simple visa de tourisme. Le lundi il dépose une demande de droit d'asile, le mardi il exige un hébergement à l'hôtel et, s'il ne l'a pas obtenu, dépose un référé auprès du tribunal administratif le mercredi. Au final - l'État les contribuables - paiera son logement pendant les dix-huit mois d'instruction de son dossier en créant de la dette supplémentaire. En 2009, il y a eu 47 686 demandeurs d'asile.

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  • I-Média – L’offensive anti-blanc se poursuit

    L’Oréal qui veut supprimer le terme « blanc » de ses produits, L’Obs qui évoque la fragilité des Blancs ou encore le JT de France 2 qui compte les Noirs chez les commissaires de police…

    Cette semaine aura marqué une accélération dans la haine anti-blanc, complaisamment relayée par les médias.

  • Dette de la France : qui sont les coupables ? Première partie

    Les 9 et 10 octobre dernier (2010), lors du Colloque du Club de l'Horloge ayant pour thème « La France en faillite ? Pourquoi nous croulons sous la dette et les impôts », Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia, a présenté une brillante communication sobrement intitulée « Qui a endetté la France ? »

    Pour lui, la réponse est simple, il s'agit de la dynastie des Endettors qui gouverne depuis 1981. Si, rappelle-t-il, il a été reproché à la IVe République son instabilité politique et son irresponsabilité financière, la Ve République, qui s'est voulue vertueuse à son origine, l'article 40 de la Constitution imposant aux parlementaires de gager les dépenses nouvelles qu'ils proposent par des économies correspondantes, n'a pas mieux tenu que sa devancière. Elle n'a résisté ni à Mai-68 ni à la crise pétrolière de 1973. Néanmoins, Raymond Barre a redressé la situation et présenté en 1980 le dernier budget en équilibre.

    En 1981, à l'arrivée de François Mitterrand, Endettor 1er, la dette de la France est inférieure à 300 milliards d'euros. A son départ elle atteint 650 milliards : Jacques Chirac, Endettor II, la double. Elle approche des 1200 milliards. En un peu plus de 20 ans, la dette a été multipliée par quatre. Endettor III, Nicolas Sarkozy : fait mieux en trois ans, il porte la dette à 1 600 milliards.

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  • La CEDH condamne la France

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    L'avis de Jean-François Touzé
    L'officine juridico-mondialiste dissimulée sous l'intitulé "Cour européenne des droits de l'homme" (CEDH) vient de condamner la France pour atteinte à la dignité humaine. 
    Notre pays aurait, en effet, commis la faute et le péché inexcusable aux yeux de la conformité globalisante de "laisser des migrants sans ressources et à la rue". Les Français pauvres et sans domicile peuvent, en revanche crever sans que les membres de la juridiction européiste ne fronce le moindre sourcil.
    Que la CEDH se rassure : quand les Français nous auront portés au pouvoir et que nous aurons instauré l'État national, il n'y aura plus aucune atteinte aux droits des migrants.
    Pour la raison très simple qu'ils auront tous été refoulés hors de notre territoire et que, progressivement mais sûrement, nous procéderons à une juste mais ferme rémigration.
  • À peine élus, les colistiers font un doigt d’honneur aux habitants

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    Les neuf colistiers du maire fraîchement élu de  (Oise) s’étaient réunis pour fêter leur victoire. Champagne, fiesta. Une photo pour immortaliser la soirée, doigts d’honneur tendus vers l’objectif. « On les a bien eus, allez tous vous faire… » De l’élégance, de la classe, l’équipe signe son éthique pour la commune. Le message semblant être adressé à quiconque regarde la photo, partisans et opposants se voient ainsi mis dans le même panier.

    Un tel chef-d’œuvre de convivialité méprisante ne pouvant rester confidentiel, l’une des participantes s’empresse de publier l’image sur Facebook, explique Le Parisien. On a le sens de la com’ ou on l’a pas. Elle l’avait.

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