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immigration - Page 592

  • Chauffeur agressé à Bayonne : une foule immense à la marche blanche.

    L'épouse et les trois filles du chauffeur agressé ouvre la marche blanche avec plus de 6 000 personnes, ce mercredi à Bayonne © Crédit photo : Emilie Drouinaud

    Source : https://www.sudouest.fr/

    Ce mercredi soir, la famille du chauffeur de bus agressé dimanche à Bayonne, organise une marche blanche. Une foule immense, de plus de 6 000 personnes, accompagne le cortège sous les applaudissements.

    Ce mercredi soir, la famille du chauffeur agressé organise une marche blanche depuis l’arrêt de bus Balichon où il a été frappé dimanche soir, jusqu’à l’hôpital où il est admis, et se trouve en état de mort cérébrale.

    Une foule nombreuse, plus de 6 000 personnes, accompagne le cortège, sous les applaudissements, avec des gens tous habillés en blanc. De nombreux agents de Chronoplus et des élus sont présents.

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  • KEMI SEBA ET LA MANIPULATION DE BLACK LIVES MATTER – Les Reportages de Vincent Lapierre

  • Philippe Monguillot, battu à mort par des voyous ethniques – Privilège blanc ?

    9654-20200711.jpgPour avoir simplement voulu contrôler le ticket de l’un d’eux et exigé des trois autres qu’ils portent un masque, Philippe Monguillot, chauffeur de bus à Bayonne, a été battu à mort dimanche par quatre voyous ethniques de cette zone de non-France qu’est le quartier Balichon. Une agression d’une sauvagerie extrême qui, après celle de Thomas, tué de huit coups de couteau par un « jeune » tout juste sorti de prison (Présent daté du 7 juillet), et le meurtre du gendarme Lemée, écrasée par le multirécidiviste Yacine E. (Présent daté du 8 juillet), témoignent de l’ensauvagement croissant et plus qu’inquiétant de notre pays sous les effets conjugués du laxisme judiciaire, de l’immigration massive et de la haine anti-Blancs et anti-police excitée par le lobby antiraciste et les médias.

    Moussa, Moghlamed, Selim…

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  • Tribune : Remigration cordiale, remigration martiale, par Romain Sens.

    Source : https://lincorrect.org/

    Les Français d’origine européenne doivent rester ultra-majoritaires sur leur sol sous peine de mort de la France. Fort de ce constat, la conclusion s’avère logique. Si les Français d’origine extra-européenne sont trop nombreux pour vivre en bonne intelligence avec les Français de souche européenne, alors un grand nombre d’entre eux doit repartir.

    La rapidité avec laquelle notre pays court à l’abîme, que celui-ci prenne la forme d’un grand basculement anthropologique comme le nomme Jérôme Fourquet, où les Français de souche européenne deviendraient une minorité au sein du peuple Français, d’une séparation territoriale, d’une scission, d’une fracturation comme a pu le diagnostiquer François Hollande à la fin de son mandat présidentiel, situation qui, logiquement devrait mener tout droit à une sécession, ; ou que cet abîme ne se matérialise plutôt par la guerre de tous contre tous théorisée par Hobbes, la guerre civile que l’histoire de France a souvent connue, cette rapidité avec laquelle se dessine un sombre horizon ne peut qu’amener le citoyen non résigné à envisager d’autres pistes.

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  • Mort de la gendarme Mélanie Lemée : « Si Yassine s’était pris une bastos, il y aurait des fresques « Yassine for life » ». Patrice Quarteron

    Les mots justes de Patrice Quarteron face au silence assourdissant de ceux qui font désormais des délinquants des victimes tout en oubliant les victimes de ces délinquants !

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  • 150 détenus en lien avec le terrorisme sortiront en 2022 : la sénatrice Goulet face à Dupond-Moretti

  • La théorie du « privilège blanc » à l’assaut du pouvoir, par Clément Martin (Les Identitaires)

    Nouveau concept star des social justice warriors, le « privilège blanc » n’est pas qu’un gadget intellectuel à la mode. Cette idée gagne du terrain en France. La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNDH), fondée en 1947 par le Français René Cassin, juriste et proche collaborateur de Charles de Gaulle, vient de rendre son rapport annuel sur « la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie ». Rappelons tout d’abord que cette institution, autorité administrative indépendante (AAI), ne reçoit en théorie aucune commande de la part des pouvoirs publics. Son rôle est de conseiller. D’abord attachée à la définition classique des droits de l’homme (liberté d’expression, de circulation, de réunion, etc.), le nombre de ses attributions a beaucoup augmenté ces dernières années, alors qu’elle-même critique volontiers « l’inflation législative ». La lutte contre le racisme a rejoint son éventail d’actions depuis 1990 ainsi que « toutes les formes de haine anti-LGBT » en 2018. Alors qu’elle avait jugé la loi AVIA « disproportionnée et inopportune », la CNDH se convertit à la paranoïa ambiante autour du « privilège blanc », cité plusieurs fois dans son rapport présenté le 21 juin dernier. De plus, si elle récuse le droit de censure à des sociétés privées, elle « recommande [au gouvernement] de poursuivre l’amélioration de la coopération [de l’État] avec les fournisseurs d’accès à Internet, les hébergeurs et les sites de référencement aux fins de retrait des discours de haine en moins de 24 heures. » Quand on connaît l’interprétation de plus extensive, au niveau politique et judiciaire, de la notion d’incitation à la haine, il est clair que cette recommandation ne peut qu’amener à une censure plus rapide et plus large.

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  • Thomas Sowell: quand la « justice sociale » égare la société. La lutte contre les "discriminations" peut être toxique, par Michèle Tribalat.

    Source : https://www.causeur.fr/

    Dans Discrimination and disparities, l’économiste Thomas Sowell analyse le discours dominant sur les discriminations et la « justice sociale ». Il affirme qu’il produit des ravages dans l’éducation ou dans la délinquance.

    Thomas Sowell est un économiste américain de la Hoover Institution à l’Université de Stanford qui se décrit lui-même comme un conservateur noir.

    Il a placé son livre Discrimination and disparities sous le patronage de Patrick Moynihan – « Vous avez le droit d’avoir votre propre opinion, mais pas vos propres faits. » – et  de Fernand Braudel  – « Dans aucune société, toutes les régions ou parties de la population ne se sont développées également »  – patronage qui dit tout de son ambition.

    Les bons côtés de la discrimination

    Avant qu’il prenne une connotation négative, discriminer consistait à discerner les différences et à choisir en conséquence. Cela revient, pour un employeur, par exemple, à juger d’après les informations dont il dispose sur les individus ou d’après des informations empiriques connues sur le groupe auquel ces derniers appartiennent. L’entrepreneur a tendance à jouer la sécurité, à défaut d’informations individuelles sécurisantes. Aussi, souvent, décide-t-il d’après les informations qu’il a sur le groupe. Il évalue son coût et se tromper peut être extrêmement pénalisant.

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  • Le populisme, condition du réveil des peuples (2010) 1/2

    Les dirigeants occidentaux se méfient du peuple. Le plus souvent, ils refusent de prendre en compte l'expression de ses choix. Ou bien encore ils tentent de biaiser les modes de son expression publique. Les modifications de lois électorales y contribuent à l'occasion, instaurant un seuil de voix pour avoir des élus, envisageant telle mesure pour empêcher quadrangulaires ou triangulaires. D'une façon ou d'une autre, et ne serait-ce que par l'abstention, le peuple manifeste qu'il n'adhère pas à ces caricatures de démocratie. Il ne veut pas n'avoir le choix qu'entre des partis, UMP ou PS ou prétendus écologistes, qui sont d'accord sur des points aussi essentiels que la construction d'une Europe libérale, et plus précisément libre-échangiste, et sur une idéologie qui désarme les peuples d'Europe, l'idéologie dite « des droits de l'homme ».

    Entre l’islamisation et américanisation des moeurs

    L'électeur ne veut pas cautionner des "libéraux", souvent libéraux-libertaires qui, par un paradoxe apparent, sont d'accord pour instaurer une société de plus en plus policière, sécuritaire sans sécurité réelle, inégalitaire et communautarisée.

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  • La France et ses mosquées : la Turquie est désormais le premier propriétaire de mosquées en France

    La France et ses mosquées : la Turquie est désormais le premier propriétaire de mosquées en France 

    Analyse d’Annie Laurent sur La Petite Feuille Verte :

    L’implantation du culte musulman en France métropolitaine remonte au début du XXème siècle. Depuis lors, le nombre de mosquées s’est considérablement accru sans que, pour autant, le droit afférent à leur édification n’ait fait l’objet d’une clarification.

    LA GRANDE MOSQUÉE DE PARIS

    La première mosquée fut celle de Paris, inaugurée le 15 juillet 1926, conjointement par le sultan du Maroc Moulay Youssef et le président de la République Gaston Doumergue. Cette construction répondait à une demande contenue dans un mémoire remis au gouvernement en 1916 par Paul Bourdarie, membre du Comité consultatif des Affaires indigènes. Il s’agissait de manifester la reconnaissance de la France envers les musulmans des territoires relevant de son domaine colonial pour leur loyauté durant la Première Guerre mondiale. « Aux yeux de beaucoup de responsables, la France avait contracté une dette d’honneur et de reconnaissance à l’égard de l’Islam » (Alain Boyer, L’Institut musulman de la Mosquée de Paris, CHEAM, 1992, p. 20).

    Ayant accepté ce projet, le gouvernement ne pouvait cependant pas en être l’acteur direct puisqu’il comportait un lieu de culte, ce qui contrevenait à la loi de 1905 portant séparation des Églises et de l’État. Pour contourner l’obstacle, une loi votée en 1920, autorisa la construction, sur fonds publics, d’un Institut musulman placé sous la responsabilité d’une association relevant de la loi de 1901, en l’occurrence le Comité de l’Institut musulman à Paris dont l’objet comportait aussi explicitement l’édification d’une mosquée, le tout subventionné par l’État. « La vocation culturelle de l’Institut musulman a été volontairement mise en avant pour autoriser cette entorse aux règles de la laïcité » (Xavier Ternisien, La France des mosquées, Albin Michel, 2002, p. 40).

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