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immigration - Page 671

  • « Sadic » Khan et les nouveaux égorgeurs de Londres

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    Bernard Plouvier

    Tout le monde le sait, nos paisibles immigrés algériens ont ravagé, ces jours derniers, quelques quartiers de Paris, Lyon, Nantes (entre autres lieux festifs) dans les suites d’une victoire sportive de la République algérienne, où les activités mafieuses sont plus connues que les exploits sportifs.

    On comprend que les « jeunes » aient voulu célébrer l’événement. Ils l’ont fait à leur façon : pillages, incendies de voitures, attaques de commissariats et caillassages des voitures de police et de pompiers, agressions physiques diverses – les femmes violées n’osent même plus porter plainte, d’autant que les « forces de l’ordre » macroniennes ne sont guère intéressées : les grands patrons carriéristes nagent dans le sens du courant de Fringant Jeune Président.

    Eh bien, il en va de même à Londres ! Les journaux qui ne pratiquent pas l’auto-censure sur l’immigration exotique – le Brexit connaîtrait même un regain de ferveur – évoquent la « perte de la maîtrise des rues dans certains quartiers du Grand Londres ». Bref, il y a des zones de non-droit chez Britannia, comme à Marseille, Roubaix, Rouen, Saint-Étienne, Toulouse etc.

    Il faut dire que la Perfide Albion nous avait précédés en matière d’émeute raciale. Lorsque François le Mondialiste (rien à voir avec François II, le Gras) était arrivé à Londres, pour sa première visite officielle, cornaqué par son petit génie Attali, en 1981, il avait assisté à une émeute de Jamaïcains…  il aurait pu tomber sur une émeute de Pakistanais ou d’Ougandais : on vit avec la racaille qu’on importe.   

    Chacun se souvient qu’en mai 2016, un avocat politicien travailliste est devenu Lord-maire de Londres, avec le soutien d’une grosse partie de l’électorat de souche européenne : le mahométan de souche pakistanaise Sadiq Khan, dont la femme s’exhibe voilée dans sa limousine… à quand la burka et le burkini ?

    Or, les chiffres de la criminalité & de la délinquance londoniennes sont tombés en ce beau mois de juillet. En trois années de fonction, l’équipe du maire mahométan a remporté le grand prix du chaos. Les agressions au couteau – certes bien connues dans la ville de Jack, The Ripper, mais sur un mode occasionnel et somme toute artisanal – ont explosé de 52%, dépassant un peu les 108 000 en trois ans. Les cambriolages ont crû de 17% ; c’est une simple peccadille, car les vols avec agression physique ont augmenté de 59%.

    Comme Washington, avant qu’une équipe énergique décide de la nettoyer grâce au sain principe de « la tolérance zéro » (très peu apprécié du crypto-islamiste Barak Hussein Obama, allez savoir pourquoi ?), Londres est devenue capitale du crime et de la violence. Le jeu de mots sur le nom du Lord-maire circule sur toutes les lèvres tuméfiées.

    Encore un effort dans la régression sociale et le Paris macronien rivalisera avec le Londres des nuits sadiques, pour la plus grande joie de la racaille inutilement importée.  

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  • La niaiserie journalistique française

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    A propos, il reste quelques albums, Apocalypse Flamby d'Ignacecliquez là

    Lu sur Forum SI :

    CAN : L’ALGÉRIE GAGNE LA COUPE ET LA RÉPUBLIQUE HUMILIE LA NATION FRANÇAISE

    Le vendredi 19 juillet en fin de soirée, l'Algérie a gagné la Coupe d’Afrique des nations et des milliers de supporters algériens déchaînés ont immédiatement occupé les Champs-Elysées, de même qu’ils descendaient dans les rues d’autres grandes villes françaises, par exemple à Marseille.

    A l’heure où ces lignes sont écrites, soit le 20 juillet à 0 heure 10, aucun incident grave n’a encore été signalé. Mais le vrai problème n’est pas là. Il est que, alors que la République interdit aux Gilets jaunes, c’est-à-dire à des Français qui sont ici dans leur propre pays, de manifester sur les Champs-Elysées, elle laisse une population étrangère encercler l'Arc de triomphe, soi-disant pour « exprimer sa joie ».

    Tout ceci est scandaleusement immonde. Une fois de plus, la République montre à quel point elle déteste la France et les Français.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/07/20/la-niaiserie-journalistique-francaise-6165373.html

  • France : la disparition – Le Samedi Politique avec Barbara Lefebvre

     

    La disparition de la France avec Barbara Lefebvre

    Barbara Lefebvre est enseignante d’histoire-géographie. Avec son dernier ouvrage, C’est ça la France (Albin Michel), l’auteur nous livre un constat accablant de la situation du pays, entre mépris de soi et communautarisme. Un essai qui tire la sonnette d’alarme pour d’urgence renouer avec la Patrie.

    Les symboles dévoyés ou raillés

    Depuis plusieurs dizaines d’années, les symboles de la France sont voués aux gémonies… Associés aux fameuses « heures les plus sombres de l’histoire », les drapeaux tricolores n’ont plus le droit de citer dans la sphère publique en dehors des manifestations sportives. Un vide rapidement comblé par les identités de nations étrangères et les symboles européens.

    L’école devenue terreau du communautarisme

    A force d’adaptations et de révisions de l’histoire, l’Education Nationale ne remplit plus son rôle. Les élèves annoncent quand ils le veulent encore des poncifs bien-pensants où la repentance de la France tient un rôle toujours grandissant. Entre discrimination positive, culte victimaire et poids grandissants des Indigènes de la République, la machine à intégration s’est enraillée.

    L’explosion d’une nation

    Les territoires se morcellent, les populations se séparent, le communautarisme est désormais perceptible dans tous le pays. Entre les quartiers totalement défrancisés et les zones périphériques désertées par les services publics, le pays est devenu un amoncellement de zones de non-droit… Celles où le droit n’existe plus et celles qui n’ont plus le droit à rien.

    https://www.tvlibertes.com/le-samedi-politique-france-la-disparition-avec-barbara-lefebvre

  • Ni France des homards, ni France des kebabs… on a le droit ?

    Ce n’est pas rien, d’être porte-parole du gouvernement. On en est à la fois le miroir, l’émissaire, le traducteur, l’intermédiaire, l’avocat, l’identité. On porte cette parole du gouvernement respectueusement comme le Saint-Sacrement et sans la travestir.

    Si Sibeth N’Diaye est ce fidèle reflet, il y a de quoi s’interroger.

    Le premier langage, celui que l’interlocuteur perçoit tout d’abord, est celui du corps. Passons sur le piercing lingual, qu’elle « tient à conserver malgré ses fonctions de porte-parole du gouvernement », explique Gala (11 juillet 2019), parce qu’il « lui rappelle son engagement passé et le travail de terrain qu’elle effectuait pour convaincre les jeunes de se mobiliser, notamment après le coup de tonnerre du 21 avril 2002 », et qu’elle « avait entamé un tour de France avec l’UNEF entre les deux tours de la présidentielle, pour convaincre la jeunesse étudiante de se mobiliser contre le FN ». Quel rapport ? Mais admettons. Après tout, s’il ne l’empêche pas de s’exprimer – l’organe sur lequel il est posé étant quand même son outil de travail -, cela ne nous regarde pas.

    Passons sur ses tenues bigarrées diverses et variées. Les goûts et les couleurs, ma foi… et convenons que les costumes ajustés d’Emmanuel Macron ont remplacé les tenues tirebouchonnées de François Hollande sans que cela ne change d’un iota le mal-être des Français.

    Ses atours « très décontractés » – comme les décrit (toujours) Gala – du 14 juillet ont fait, en revanche, légitimement tousser. Son tee-shirt imprimé « Tous les garçons et les filles », refrain de Françoise Hardy, sera sans doute du meilleur effet sur la plage, mais aucun ministre n’aurait eu l’idée d’arriver accoutré de son pendant masculin, version Jacques Dutronc « Je suis un opportuniste, je retourne ma veste », même si c’est souvent vrai.

    Emmanuel Macron n’arborait ni tongs ni bermuda, les forces armées qui défilaient devant la tribune officielle dans leur costume chamarré auraient assez peu apprécié. La moindre des choses, pour un porte-parole, serait de se mettre modestement au diapason. Mais casser les codes est devenu le nouveau code. Et ses origines, qu’elle convoque à l’envi pour tétaniser ses détracteurs, ne sont pas le sujet. J’ai fait ma première communion au Sénégal, pays natal de Sibeth N’Diaye, et me différenciais, ce matin-là, à mon grand dam, des autres enfants par deux caractéristiques, les photos peuvent en témoigner : ma couleur de peau, à laquelle nul ne pouvait rien, et ma tenue que je reprochais in petto à ma mère… je portais robe à bretelles et sandales quand toutes les fillettes avaient les épaules couvertes et des socquettes bien tirées dans des chaussures fermées, ce qui, trouvais-je, me faisait ressembler par comparaison à une va-nu-pieds.

    Mais ce sont surtout ses mots du 17 juillet, pour commenter la démission du ministre de l’Écologie, qui ont déchaîné les passions sur les réseaux sociaux : « Tout le monde ne mange pas du homard, on mange plutôt du kebab. » Pour la porte-parole de l’Élysée, exit le jambon-beurre, la quiche lorraine, la salade parisienne, le petit salé, la galette bretonne, le gratin dauphinois et tutti quanti… le plat populaire français symbolique est désormais le kebab.

    En février 2017, Emmanuel Macron ironisait sur « les petits bourgeois », « les immobiles », ces empêcheurs de consommer en rond qui s’opposaient aux ouvertures le dimanche parce que, ce jour-là, « on reste chez soi à manger la blanquette de veau en famille ». Ce dont Emmanuel Macron rêvait, sa porte-parole Sibeth N’Diaye l’a fait : la France blanquette de veau n’est plus, écrasée entre la France des hauts lieux, celle des homards, et la France des banlieues, celle des kebabs. Avec le néant au milieu.

    Son piercing, suggère Gala, serait un porte-bonheur dans sa lutte contre l’extrême droite ? Si elle multiplie ce genre de déclarations, au vu des tombereaux d’indignation, c’est tout un champ de clous en rangs serrés qu’il va falloir planter avant les prochaines élections.

    Gabrielle Cluzel

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Brandir un drapeau est un acte éminemment politique

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    Par Malika Sorel*

    LE FIGARO. - Dimanche dernier, après la qualification de l’Algérie, il y a eu 282 interpellations suite aux désordres causés par des supporteurs algériens. Doit-on y voir de simples « débordements » liés à la liesse ou le symptôme d’un malaise plus profond ?

    Malika SOREL. - Ce n’est pas la première fois qu’on observe ce phénomène, et cela prend une ampleur inquiétante, du fait du nombre de personnes enclines à braver l’ordre républicain. Par ailleurs, hisser ou planter un drapeau n’est jamais anodin. C’est un acte éminemment politique qui symbolise, tout comme l’hymne national, un ancrage moral, l’attachement à un socle de principes et de valeurs, et bien sûr un enracinement sentimental. Brandir le drapeau sous le nez de l’ancien pays colonial, c’est l’expression d’une revanche sur l’Histoire. Une revanche qui s’est trouvée légitimée par le candidat Macron lorsqu’il a accusé la France de « crime contre l’humanité ». L’Occident freudien justifie, excuse, et son monde politique affiche au grand jour sa trouille des « jeunes » de l’immigration. Il est donc perçu comme accommodant, conciliant, peureux : traduire « dévirilisé ». Cet Occident n’inspire plus ni respect ni crainte, sentiments ici intimement liés. Est désormais profondément ancrée la conviction que pour obtenir, il faut faire peur ; terrible spirale !

    Au-delà des violences, comment expliquez-vous ce besoin d’afficher bruyamment leur identité d’origine pour des jeunes souvent nés en France ?

    C’est bien la démonstration que la naissance en France n’est pas un critère d’analyse pertinent ! L’arrivée continue de migrants produit un réenracinement dans les mœurs d’origine. L’intégration s’est dégradée dans le temps avec le refus croissant de respecter les principes républicains, à commencer par la laïcité et la liberté qui permet à chacun de choisir sa propre vie. Ce sont les femmes qui en subissent de plein fouet les conséquences. J’ai souvent pensé que si les menaces avaient pesé en priorité sur les hommes, nos gouvernants auraient su réagir promptement. Afficher son identité d’origine, c’est montrer son allégeance et ainsi avoir la paix, car à mesure que l’État cédait aux revendications communautaires, le groupe culturel d’origine accroissait sa pression – voire sa répression – sur chacun des membres supposés lui appartenir. C’est la capitulation de l’État qui pousse un nombre croissant de personnes de l’immigration à tourner le dos à l’intégration culturelle. Autre faute: avoir installé une prime à la non-assimilation. Du fait des politiques de discrimination positive progressivement mises en place, s’afficher ou se revendiquer de la « diversité » peut parfois faire office de coupe-file. Il n’y a plus vraiment de raison pour que les enfants de l’immigration s’assimilent. Or, le gouvernement prévoit d’intensifier ces politiques.  

    « C’est un pauvre cœur que celui auquel il est interdit de renfermer plus d’une tendresse », expliquait Marc Bloch dans L’Étrange Défaite. Peut-on reprocher aux enfants de l’immigration leur fierté pour leurs origines ? Celle-ci est-elle incompatible avec le respect, voire l’amour, de la France ?

    Nul n’interdit de renfermer plusieurs tendresses dans son cœur, mais Marc Bloch disait bien plus important: que la France était la patrie dont il ne saurait déraciner son cœur et qu’il s’était efforcé de la défendre de son mieux. Il est mort pour la France! Nous ne sommes pas du tout dans la même situation. Nombre de parents éduquent leurs enfants dans un respect quasi religieux de leur pays d’origine. Et c’est lui qui devient ainsi le vrai pays de leurs enfants. Un pays qui n’a rien fait pour eux et qu’ils adulent. Quant à la France, c’est elle qui leur a donné ce qu’ils possèdent, les prend en charge si besoin... Le problème n’est donc pas économique, et l’amour ne se décrète ni ne s’achète ! Le passé douloureux de la France se trouve constamment remis sur le devant de la scène, et il n’est plus question que de lutte contre des discriminations et une « islamophobie » dont les Français de souche se rendraient coupables. Des lois sont votées pour contraindre l’expression et empêcher ainsi les Français de dire ce qu’ils ont sur le cœur. Il ne fait plus bon être français dans ce pays que je ne reconnais plus. Mon chagrin est infini.

    Dans votre dernier livre notamment, Décomposition française, vous montrez toute la complexité du processus d’assimilation. Est-ce toujours un choix douloureux ?

    Oui. S’assimiler à un autre peuple que celui de ses ancêtres est une décision personnelle, intime, qui se joue entièrement sur le registre affectif et moral. Au sein d’une même famille, et évoluant dans un même environnement, certains enfants s’assimilent, d’autres pas. Cette problématique dépasse par ailleurs largement l’approche simpliste et nuisible de l’origine des prénoms. Ayant travaillé à l’intérieur du système politique et administratif, je peux témoigner du fait que beaucoup de ceux qui ont participé à mener la France dans la situation actuelle portaient des prénoms chrétiens.

    Vous plaidez plutôt pour l’intégration...

    Je plaide pour la reconnaissance du fait  que l’intégration est un processus à l’issue non prédictible qui peut déboucher ou pas sur une assimilation. Or le code civil, qui imposait que l’octroi de la nationalité française soit subordonné à l’assimilation, a été violé. La citoyenneté a été vidée de sa substance. Plus grave encore, les papiers d’identité confèrent un droit de propriété sur la terre. Les élites ont donc disposé de la France comme si elle leur appartenait en propre, ce qui est contraire au principe démocratique inscrit dans la Constitution : « Le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ».

    François Hollande, dans Un président ne devrait pas dire cela, évoquait le risque de la partition. Comment l’éviter ?

    J’ai abordé à maintes reprises la liste des erreurs à éviter et des politiques à déployer. L’urgence ici, c’est d’alerter sur deux projets en cours qui pèseront sur la cohésion nationale. Le président a évoqué l’idée d’une organisation de l’« Islam de France ». L’opération a déjà commencé dans les territoires avec une circulaire adressée aux préfets par le ministre Castaner. L’expérience montre que le risque existe que certains membres partagent de près ou de loin des idéologies incompatibles avec la République. Or, la défense de l’intérêt général commande non pas le placement sous tutelle d’une partie des descendants de l’immigration, mais au contraire leur émancipation pour qu’ils puissent vivre leur religion dans sa seule dimension de foi, donc dépouillée de ses dimensions politiques. Par ailleurs, en reconnaissant récemment les diasporas africaines, le président donne corps à l’existence de plusieurs peuples sur un même territoire : les diasporas sont des peuples qui gardent un sentiment de leur unité malgré l’éclatement géographique (Dominique Schnapper). Il accélère, là aussi sans le vouloir, la partition de la France. Qui saura lui faire entendre raison? Il y a urgence.

    (*) Décomposition française. Comment en est-on arrivé là ? (Fayard) a reçu le prix Honneur et Patrie de la Société des membres de la Légion d’honneur.

    Source : Le Figaro 19/07/2019

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Têtes à Clash n°53 : Discrimination positive, quotas de boursiers

     

    Franck Tanguy reçoit François Bert, Serge Federbusch, Tarick Dali et Patrick Mignon. Ils débattent de la discrimination positive, de la démission du ministre d’Etat de l’écologie, François de Rugy, et de leurs recommandations culturelles pour l’été.

    https://www.tvlibertes.com/tetes-a-clash-n53-discrimination-positive-quotas-de-boursiers

  • Débordements algériens : le désastre annoncé – Journal du vendredi 19 juillet 2019

     

    Débordements algériens : le désastre annoncé

    Une finale de compétition continentale de football et un chaos annoncé. Après plusieurs rounds d’observations lors des précédentes rencontres, les pouvoirs publics s’avèrent incapables d’empêcher les exactions des supporters algériens sur le sol français.

    FaceApp et Big Data : Le journalisme à deux vitesses

    Alors que des milliers de personnes publient sur le net des photos d’eux vieillies grâce à FaceApp, une application pour smartphones, les medias alertent sur la sécurisation des données. Une mise en garde massive quasi inédite.

    Swimmy, le Airbnb des piscines qui a la cote

    Alors que l’été est propice à baignade, de nombreux particuliers n’hésitent pas à mettre leur piscine privée en location. Parmi ces plateformes, Swimmy, une start-up au succès grandissant.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/debordements-algeriens-le-desastre-annonce-journal-du-vendredi-19-juillet-2019

  • Gestion des flux migratoires : Salvini défie l’axe Paris-Berlin

    Affrontement, aujourd’hui jeudi 19 juillet, à Helsinki entre Rome d’un côté et Paris et Berlin de l’autre sur la question des ports de débarquement et la gestion des migrants. L’axe franco-allemand veut envoyer tous les migrants en Italie, et Salvini dit Non.

    La table des négociations à Helsinki sur le sujet a sauté après des vives discussions entre les partenaires européens concernant une requête avancée par le ministre de l’Intérieur italien et l’île de Malte :  changer les règles sur le premier port sûr. Salvini a rappelé le cas de Carole Rackete et a souligné comment les ONG avec leurs manœuvres tentent de se substituer aux Etats nationaux :

    « Sea Watch 3 a violé les lois italiennes et a éperonné un bateau patrouilleur italien. »

    Mais Merkel et Macron font pression pour faire passer un document qui intervient exactement sur ces règles concernant les débarquements, et non dans le sens voulu par l’Italie et Malte.

    Ces deux dernières contestent l’idée du port le plus sûr pour les débarquements des migrants. Leur ministre de l’Intérieur craignent, fort justement, de devoir régir seuls tout le poids des arrivées, et que la relocalisation des seuls détenteurs du statut de réfugiés laissent dans leur pays la masse de clandestins.

    Salvini, avant la rupture à la table d’Helsinki, avait insisté pour que soit renforcé l’engagement pour prévenir les départs et augmenter les expulsions, en insérant pour cela une liste des pays sûrs permettant « des réadmissions automatiques. Parce que c’est une chose des arrivées en provenance de zones de guerre, c’en est une autre celles venant de Tunisie ou d’Albanie ». Aucune de ces demandes , y compris celle sur la révision des règles concernant le port le plus sûr, n’a été agréée.

    En somme encore une fois l’axe Paris-Berlin, tout en professant des leçons de bonne conscience humanitariste, tourne le dos au problème et de cette façon laisse tout le poids des flux migratoires sur les épaules de l’Italie et de Malte.

    Salvini, après la rupture à Helsinki, a invité la France, l’Allemagne et Malte à un nouveau sommet en septembre pour discuter encore une fois des règles concernant l’immigration.

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/gestion-des-flux-migratoires-salvini-defie-laxe-paris-berlin/110649/

  • Tu parles d'une fête nationale

    6a00d8341c715453ef0240a46ea9a4200c-320wi.jpgDepuis longtemps, on n'avait assisté au spectacle d'un pays aussi déchiré qu'en ce 14 juillet. Souvent accusé de complaisance avec le pouvoir, Le Figaro faisait ainsi état dès 13 h 34 d'un premier bilan de ce 14 juillet, se basant sur un chiffrage communiqué par l'AFP et la Préfecture de Police : 173 personnes interpellées, notait le journal, en marge du défilé.

    Des heurts ont éclaté, dit le journal, entre les gilets jaunes et les forces de police, sur l'avenue des Champs-Élysées en début de ce dimanche après-midi, peu après la fin du défilé militaire du 14 juillet. 'Heurts entre gilets jaunes et CRS avenue des Champs-Élysées avec des jets de lacrymogènes et des interpellations', a témoigné, peut-on encore lire, notre journaliste sur place, Roman Geyer. D'après lui, un périmètre de sécurité a été établi autour du Fouquet's qui a rouvert ce dimanche, après avoir été saccagé lors d'une manifestation en mars dernier. Les "gilets jaunes" tentent de monter des barricades avec des barrières pour occuper l'avenue des Champs-Élysées, etc.

    Technologiquement très brillant, nous assure-t-on cette année, avec l'apparition des drones et d'un homme volant, tout cela est encore gâché par l'incurie du ministère de l'Intérieur et par l'impopularité du pouvoir.

    Malheureusement on doit donc, en effet, constater que ce qui devait représenter une fête "nationale", et qui est reconnu comme tel dans la Constitution, se traduit à Paris par un affrontement entre Français.

    Quoi qu'on puisse penser de la dérive, et de la récupération, du mouvement des gilets jaunes, que l'on croyait terminé, on ne peut que déplorer le fait que plusieurs centaines de personnes aient été arrêtées après avoir simplement sifflé Emmanuel Macron.

    Les concessions financières et administratives du pouvoir n'ont donc pas suffi à cicatriser entièrement cette plaie. A vrai dire pourtant plus personne ne peut en expliquer ni les raisons ni les objectifs, encore moins les convergences, entre black blocs, frontistes, anarchistes et cégétistes.

    En théorie, lorsque fut votée, par une majorité versaillaise élue en 1871, la fixation de la fête "nationale" au 14 juillet, il s'agissait, prétendait-on alors, de commémorer l'illusoire fête de la Fédération, elle-même premier anniversaire de la prise de la Bastille. Et c'est, au bout du compte, cette dernière émeute que la mémoire retient, y compris aux États-Unis où on parle du Bastille-Day. On pourrait appeler ça aussi le jour où la tête du malheureux gouverneur de Launay fut brandie sur une pique. Le célèbre chef des Marseillais, Jourdan dit Coupe-Tête se vantait de l'exploit. C'est à lui et à ses bandes hideuses, dépenaillées et venimeuses montées à Paris, en fait depuis Avignon, que l'on doit l'adoption du nom de "Marseillaise" donné au chant composé par à Strasbourg par Rouget de l'Isle pour l’armée du Rhin, qu'ils beuglaient à l'été 1792 lors de l'affreuse journée du 10 août.

    Cette année-ci, dans la soirée, au moment même où notre Luxembourgeois préféré Stéphane Bern, lui-même assez clairement orléaniste, faisait rechanter patriotiquement cette Marseillaise au populaire ténor Roberto Alagna, le communautarisme algérien commençait, à Paris ses interminables klaxons. On a pu les entendre dans mon quartier jusque très tard dans la nuit, malgré l'intervention des forces de police si mal dirigées par M. Castaner. À Lyon et à Marseille se sont produits des incidents encore plus graves : véhicules brûlés, feux de poubelles, barricades sur la voie publique, etc.

    On peut légitimement s'interroger, et on devrait le faire sérieusement, avant qu'il soit [vraiment] trop tard, au-delà de l'idée un peu trop indulgente d'une gentille fête qui a mal tourné, sur la signification de cette violence, de ces flambées chaque année plus fréquentes et plus insupportables.

    De bons esprits invoqueront peut-être l'article 23-7 du Code Civil. Qu'on en juge d'après sa rédaction. "Le Français qui se comporte en fait comme le national d'un pays étranger peut, s'il a la nationalité de ce pays, être déclaré, par décret après avis conforme du Conseil d'État, avoir perdu la qualité de Français." Cette rédaction mièvre, d'application quasi impossible, remonte à juillet 1993. Combien des 282 personnes interpellées en cette occasion le dimanche, contre 74 trois jours auparavant, en entendront même la rumeur ?

    Cette fête ne m'a jamais réjoui, je l'avoue. Elle se trouve assortie d'un défilé militaire. Cette invention consolante, supposée reconciliatrice, remonte au "brave" général Boulanger, ministre de la Guerre en 1886. La bravoure la plus significative de l'intéressé consista, quelques années plus tard, en 1891, à se suicider sur la tombe de sa maîtresse.

    Ma réticence fondamentale pour la révolution française[1], et pour l'héritage boulangiste, n'en sort ainsi que renforcée.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    [1] Sur le même sujet : cf. L'Insolent du 17 juillet 2008 "De la révolution, du 14 juillet, du jacobinisme et de l'horreur qu'ils doivent nous inspirer."

    https://www.insolent.fr/2019/07/tu-parles-dune-fete-nationale.html

  • Vladimir Poutine attaque l’accueil des migrants : « Où sont les intérêts de la population autochtone ? »

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    Vladimir Poutine, président de la Russie, accordait récemment au Financial Times un entretien très commenté dans lequel il attaquait frontalement le libéralisme menant à l’accueil des migrants par de nombreux pays européens. Voici la traduction d’extraits de cet entretien par les soins de Polémia.

    Financial Times : Une question générale maintenant. J’ai parlé au début de notre entretien d’une fragmentation. Un autre phénomène aujourd’hui est la vive réaction populaire contre les élites et l’establishment et vous avec vu cela avec le Brexit. Peut-être parlerez-vous de l’Amérique de Trump. Vous avez vu cela avec l’AFD en Allemagne, en Turquie et dans le monde arabe. Combien de temps pensez-vous que la Russie pourra rester immunisée contre ce mouvement global de réaction contre l’establishment ?

    Vladimir Poutine : Vous devez examiner les réalités dans chaque cas particulier. Bien sûr il y a des tendances, mais elles sont seulement générales. Dans chaque cas particulier, lorsque l’on regarde la situation, et la manière dont elle se déroule, vous devez prendre en compte l’histoire du pays donné, sa tradition et ses réalités. Combien de temps la Russie restera-t-elle stable ? Le plus longtemps sera le mieux. Parce que de nombreuses choses, et sa position dans le monde, dépendent de sa stabilité, de sa stabilité intérieure.

    Ultimement, le bien-être du peuple dépend tout d’abord de sa stabilité. Une des raisons, la raison interne, pour laquelle pour laquelle l’URSS s’est effondrée, est que la vie quotidienne était difficile pour le peuple, dont les salaires nets étaient très bas. Les magasins étaient vides et le peuple perdait le désir intrinsèque de préserver l’Etat. Les gens pensaient que les choses ne pouvaient pas empirer, quoi qu’il arrive. Or il advint que la vie devint pire pour de nombreuses personnes, spécialement au début des année 1990, lorsque la protection sociale et le système de santé s’effondrèrent et que le système industriel s’émiettait. Le régime soviétique était probablement inefficace mais au moins les gens avaient un travail. Après l’effondrement ils l’ont perdu. Donc vous devez étudier chaque cas particulier de manière séparée.

    Que se passe-t-il en occident ? Quelle est la raison du « phénomène Trump », comme vous l’avez dit, aux Etats-Unis ? Que se passe-t-il aussi en Europe ? Les élites au pouvoir se sont détachées du peuple. Le problème évident est le fossé entre les intérêts des élites et ceux de l’écrasante majorité du peuple. Nous ne devons pas négliger cette possibilité. Une des choses que nous devons faire en Russie est de ne jamais oublier que le but de l’exercice et de l’existence de tout gouvernement est de créer une vie stable, normale et sûre pour le peuple, et d’œuvrer pour un avenir meilleur.

    Il y a aussi la prétendue idéologie libérale qui a survécu à son objectif initial. Nos partenaires occidentaux ont admis que de nombreux éléments de l’idéologie libérale, comme le multiculturalisme, ne sont plus tenables. Quand le problème des migrations est devenu une préoccupation majeure, de nombreuses personnes ont admis que la politique multiculturaliste n’était pas efficace, et que les intérêts de la population nationale devaient être placés en premier. Il est vrai que ceux qui font face à des difficultés dans leur propre pays, pour des motifs politiques, ont aussi besoin de notre aide. C’est un bel idéal, mais où sont les intérêts de la population autochtone quand le nombre de migrants se dirigeant vers l’Europe de l’ouest n’est pas une simple poignée, mais des milliers ou des centaines de milliers de personnes ?

    Financial Times : Angela Merkel a-t-elle commis une faute ?

    Vladimir Poutine : Une faute cardinale. On peut critiquer Trump pour son intention de construire un mur entre le Mexique et les Etats-Unis. Peut-être cela va-t-il trop loin. Je ne veux pas discuter cela. Mais il devait faire quelque chose contre l’énorme flux entrant de migrants et de narcotiques. Personne ne fait rien. On dit à l’envi que ce n’est pas bien. Mais qu’est-ce qui n’est pas bien ? Que faut-il faire ? Personne n’a rien proposé. Je ne dis pas qu’un mur doit être construit, ou les droits de douane relevés de 5 % par an avec le Mexique. Ce n’est pas ce que je dis, cependant quelque chose doit être fait. Trump cherche au moins une solution.

    A quoi je veux en venir ? Ceux qui sont concernés à propos de cela, les Américains ordinaires, regardent cela et disent : « C’est bien, au moins il fait quelque chose, en proposant des idées et en cherchant une solution ». Les tenants de l’idéologie libérale ne font rien. Ils disent que tout va bien et que tout est comme cela devrait être. Ils sont installés dans leurs bureaux confortables tandis que ceux qui sont confrontés aux problèmes chaque jour, au Texas ou en Floride, ne sont pas heureux, et ils devront bientôt gérer leurs problèmes eux-mêmes. La même chose est en train de se passer en Europe. J’ai discuté de ce problème avec mes collègues mais personne n’a la réponse. Ils disent qu’ils ne peuvent pas mener une politique dure contre l’immigration pour de multiples raisons. Pourquoi exactement ? Juste parce que. « Nous avons des lois » disent-ils. Et bien alors, changez les lois ! Nous aussi avons des problèmes dans notre propre sphère. Nous avons ouvert les frontières avec les anciennes républiques soviétiques, mais au moins ces gens là parlent russe. Vous voyez ce que je veux dire ? Et en outre nous avons pris des mesures pour rationaliser les choses dans ce domaine. Nous travaillons avec les pays d’origine de ces migrants, on leur apprend le russe à l’école, et nous travaillons aussi avec eux ici. Nous avons durci la législation afin de montrer que ces migrants doivent respecter les lois, les coutumes et la culture de notre pays.

    En d’autres mots, la situation n’est pas si simple en Russie non plus, mais nous avons commencé à travailler à l’améliorer. Alors que l’idéologie libérale présuppose que rien n’a besoin d’être fait. Les migrants peuvent tuer, piller et violer avec impunité car leurs droits en tant que migrants doivent être protégés. De quels droits s’agit-il ? Chaque crime doit être assorti d’une peine. Donc l’idéologie libérale est devenue obsolète. Elle est venue en conflit avec les intérêts de l’écrasante majorité de la population.

    Entretien accordé par Vladimir Poutine au Financial Times 17/07/2019

    Source : Traduction Polémia

    Crédit photo : Vladimir Poutine lors de son discours fédéral du 1er mars 2018 – Site officiel du Kremlin, Creative Commons Attribution 4.0 International

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