Allemagne. Thuringe. Lors des élections pour le Parlement de Thuringe de ce 27 octobre 2019, les patriotes de l’AfD arrivent deuxièmes avec 23,4 % des voix et décrochent 22 sièges. Les communistes de Die Linke sont premiers. Les démocrates-chrétiens de la CDU et les sociaux-démocrates du SPD chutent. Les écologistes restent au Parlement et les libéraux du FDP y entrent.
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Élections en Thuringe : l'AfD double son score et arrive deuxième.
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Le Samedi Politique : « Schengen, c’est la double peine pour l’immigration » Florian Philippot
1 220 jours ! C’est le temps écoulé depuis que les Britanniques ont voté en faveur du Brexit… 1 220 jours plus tard, la Grande-Bretagne est toujours dans l’Union Européenne. Il y a 10 jours, un accord de sortie a été trouvé entre les dirigeants européens et Boris Johnson… Pour autant, la partie n’est pas terminée puisque la chambre des députés britanniques a décidé de valider l’accord tout en réclamant plus de temps pour étudier le texte… Une attitude difficile à comprendre…
Florian Philippot, ancien eurodéputé et président des Patriotes, nous explique que les élus britanniques ont trahi leur peuple. Toujours favorable au Frexit (la sortie de la France de l’Union Européenne), il revient sur les blocages que chaque pays rencontre au quotidien dans sa politique intérieure vis à vis de la législation bruxelloise.
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Près de 80% des Français sont inquiets concernant la laïcité, révèle un sondage
Le nombre de Français inquiets pour la laïcité en France a augmenté de 20% depuis 2005, huit personnes sur dix estimant qu’elle est aujourd’hui menacée, selon un sondage Ifop.
Huit Français sur dix jugent la laïcité aujourd’hui menacée en France, selon un sondage Ifop pour le Journal du Dimanche, lequel montre une inquiétude partagée quelle que soit l’appartenance politique.
D’après cette étude, 78% des personnes interrogées contre 22% pensent que la laïcité est menacée («tout à fait» pour 35%, «plutôt» pour 43%).
La proportion est semblable à celle enregistrée en novembre 2015. En revanche, à la même question posée en 2005, seuls six Français sur dix (58%) jugeaient la laïcité menacée.
L’inquiétude sur ce sujet est majoritaire quelle que soit la préférence partisane. Les sondés se déclarant proches du RN sont les plus inquiets (91%), devant les sympathisants de LR (85%), de LREM (79%), de LFI (68%) et du PS (64%).
Les sondés sont également 80% (contre 20% d’un avis contraire) à penser que «la question de la laïcité se pose aujourd’hui différemment en France s’agissant de la religion musulmane». Ils sont encore 61% à penser que «l’islam est incompatible avec les valeurs de la société française».
À noter que ces deux questions ne sont pas posées dans les sondages concernant les autres religions.
Interrogés sur les forces politiques les plus à même de lutter contre l’islamisme en France, les sondés citent en premier lieu le RN (37%), puis le gouvernement et la majorité LREM (20%), LR (15%), LFI (13%), EELV (9%) et enfin le PS (6%).Les Français interrogés sont très majoritairement favorables à l’interdiction des prières de rue (82%) et à l’interdiction du port de signes religieux (croix, voile, kippa, etc.) pour les usagers des services publics (75%), les accompagnants de sorties scolaires (73%) et les salariés du secteur privé (72%).
Source: Sputnik
Photo couverture: CC BY 2.0 / amrufm / Layar Tanchap Merdeka 68
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3000 migrants arrivent chaque année à Montpellier, selon le maire de la ville
Lengadoc Info – On sait désormais combien de migrants arrivent chaque année à Montpellier et c’est Philippe Saurel lui même qui l’a révélé il y a quelques jours à l’occasion du festival de cinéma méditerranéen Cinemed.
3 000 migrants par an à Montpellier
La 41e édition du Cinemed, qui a débuté le 18 octobre dernier et qui se terminait samedi 26 octobre aura au moins permis de connaître le nombre de migrants que la ville de Montpellier accueille chaque année.
En effet, à l’occasion de ce festival, présidé cette année par le maire pro-migrants de Palerme, Leoluca Orlando (centre-gauche), le maire de Montpellier Philippe Saurel a été interrogé dimanche dernier par le journal Midi Libre sur la question de l’accueil des migrants dans sa ville. Celui-ci a alors reconnu que Montpellier recevait « environ 3 000 migrants par an ».
Submersion migratoire en cours à Montpellier ?
Le chiffre avancé par Philippe Saurel est particulièrement important si on le rapporte à l’évolution démographique de Montpellier. Selon l’INSEE, la population de la métropole de Montpellier (une trentaine de communes) a augmenté de 7 500 habitants par an entre 2011 et 2016.
Selon les chiffres du dernier recensement, la ville de Montpellier comptait en 2015 une population immigrée (personne née à l’étranger, dont la nationalité d’origine est étrangère, et qui vit en France. Parmi les immigrés sont donc comptabilisés les étrangers et les personnes ayant acquis la nationalité française au cours de leur vie. Source INSEE) de 44 803 habitants soit 16,1 % de la population de la ville contre 9,2 % au niveau national.
Article paru en premier sur Lengadoc-info
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Nouvelle garde à vue pour le militant Cédric Herrou, interpellé à la frontière en compagnie de deux clandestins
Selon une source policière au Figaro, l’agriculteur et militant pro-migrants Cédric Herrou a été interpellé ce matin à 9h30 à la frontière italienne par des CRS en compagnie de deux personnes présentées comme étant en situation irrégulière au péage de La Turbie (Alpes-Maritimes). Les trois hommes ont été remis à la Police aux frontières (PAF) des Alpes-Maritimes. Cédric Herrou aurait été arrêté pour le motif d’«aide à l’entrée et à la circulation de personnes en situation irrégulière». Les deux personnes qui l’accompagnaient feraient partie des compagnons d’Emmaüs Roya, la communauté paysanne créée par Cédric Herrou cet été.
Cet agriculteur et militant anarchiste désormais célèbre avait fait abolir le “délit de solidarité” avant d’être relaxé d’un procès pour aide à l’immigration illégale.
Sur Twitter, plusieurs élus de gauche, LFI et PCF ont dénoncé cette arrestation et demandé sa libération. -
Mantes-la-Jolie : un guet-apens avec plus de 100 individus, des blessés et… « aucune interpellation » ?
Je n’ai aucune compétence judiciaire ou policière. Simple citoyen, je vois défiler, depuis des années, au sujet des violences qui embrasent régulièrement le pays, toujours les mêmes séries de faits, avec exactement les mêmes éléments de langage – et de réalité – dans la presse. Ainsi, pour les féminicides, le conjoint ou l’ex était déjà violent, souvent connu de la police et de la Justice, mais celle-ci n’a pas réussi à le mettre hors d’état d’assassiner sa femme. Pour les attentats, les terroristes radicalisés étaient aussi connus, parfois signalés, parfois fichés S, mais là encore, la Justice n’a pas su, ou voulu, éviter le passage à l’acte meurtrier. Et puis, pour les pièges tendus par des « jeunes » de banlieue aux pompiers et aux policiers, on a, aussi, toujours le même scénario : la voiture qui brûle comme appât, le coup de fil, les pompiers escortés et le guet-apens. À Mantes-la-Jolie, c’est encore ce qui s’est produit, jeudi soir.
Certes, on retrouve toujours les condamnations des ministres, dont l’un, Laurent Nuñez a reconnu que c’était une « attaque extrêmement violente ». Certes, la Justice a ouvert une enquête pour « violences avec guet-apens, arme et en réunion », « participation à un groupement formé en vue de la commission de violences » et « outrages » sur personne dépositaire de l’autorité publique.
Mais on retrouve aussi, dans le compte rendu de ce « fait divers » par 20 Minutes, la phrase fatidique : « Aucun individu n’a été interpellé. »
Et le simple citoyen de s’interroger. Pourquoi ? La nuit était trop noire ? Les individus cagoulés ? Et ceux qui sont allés directement aux urgences après leur petite attaque ? Ou bien fallait-il laisser retomber la tension ? Permettre à ces jeunes de retrouver leurs esprits après leur coup de feu ? Par crainte d’un embrasement ? Parce que la Justice avance à son rythme ? Parce que la police, déjà contrainte de battre en retraite, n’aurait pas les moyens de ? Il faudra, un jour, nous le dire. Sinon, le simple citoyen se fera son idée. Mais toutes ces raisons cumulées n’ont rien de rassurant. Surtout quand on sait comment la Justice et la police, par exemple lors de manifestations de gilets jaunes, ont procédé à des interpellations « préventives » en mobilisant des moyens exceptionnels, on s’interroge.
Et le simple citoyen pourrait se dire, un jour : si la police ne peut pas, alors… Alors qui ? L’armée ? Mais peut-être que les chefs de la police, et les hommes au-dessus d’eux, ceux pour qui ces choses qui se déroulent dans l’espace public sont un petit peu l’affaire quand même, s’interrogent aussi : alors qui ? Alors quand ?
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Déchéance de la nationalité : pour une application systématique.
Condamné à quatre ans de prison pour avoir voulu rejoindre les rangs de Daech en Syrie, le "franco-marocain" Fayçal Aïd Messoud vient de se voir retirer la nationalité française.
Une décision rarissime puisque seulement seize déchéances de la nationalité ont été prononcées en vingt ans, dont treize pour terrorisme.Une goutte d'eau dans l'océan de la dislocation française.Rappelons qu'en raison des conventions internationales qui interdisent de "fabriquer" des apatrides, seuls, en théorie, peuvent être déchus de la nationalité les bi nationaux.Des conventions que la droite nationale au pouvoir devra formellement dénoncer le jour venu pour retrouver sa liberté d'agir, de déchoir et d'expulser.Ce qui sera d'autant plus aisé que si la "Déclaration universelle des droits de l'homme" de 1948 indique bien que "tout individu a droit à une nationalité", il ne s'agit que d'un texte à portée philosophique et non contraignant, et que si la France a signé la convention onusienne de 1961 relative à la réduction des cas d'apatridie et celle du Conseil de l'Europe de 1997, elle ne les a pas ratifiées.Nous aurons ainsi toute liberté de prendre les décisions qui s'imposent. Pas seulement dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, mais dans celui, global, de la reconstruction identitaire de notre Pays. -
Le Parlement européen rejette une résolution proposant de porter systématiquement assistance aux migrants et de les répartir dans l’UE
Le Parlement européen a rejeté jeudi de justesse, par 290 voix contre 288, une résolution favorable au sauvetage et à l’accueil systématique des migrants et de les répartir dans l’Union européenne.
Réuni à Strasbourg, a rejeté cette résolution qui invitait notamment les « Etats membres à évacuer rapidement les centres de détention en Libye et à transférer les migrants, notamment vers l’Union européenne» et demandait «instamment aux Etats membres de soutenir pleinement les opérations d’évacuation du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés depuis la Libye et d’intensifier les mesures de réinstallation» en créant «des couloirs humanitaires vers l’Union européenne ».
Un rejet salué par la droite
Le rejet de la résolution a été salué par les députés européens du Rassemblement national (RN). Nicolas Bay et Jordan Bardella évoquent une «belle victoire» dans l’hémicycle du Parlement européen.
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Voile islamiste : les petits calculs électoraux d’Emmanuel Macron…
Depuis qu’Emmanuel Macron a fini par comprendre qu’un second tour l’opposant à Marine Le Pen, en 2022, serait peut-être autre chose qu’une simple formalité à expédier, ça carbure du neurone, dans les hautes sphères du pouvoir.
D’où les récentes sorties présidentielles relatives à l’immigration – tiens, ce ne serait donc plus une chance pour la France ? –, sans oublier celles concernant une islamisation de moins en moins rampante, due à cette même immigration de masse. Mais comme le résident de l’Élysée débute dans le populisme, il y a évidemment un peu de retard à l’allumage.
Ainsi, quand Jean-Michel Blanquer, sa caution droitière, pose la question consistant à savoir si « le port du voile est souhaitable dans l’espace public », Emmanuel ne peut que botter en touche. Ce n’est plus Jupiter mais Ponce Pilate : « Le port du voile dans l’espace public n’est pas mon affaire. C’est ça, la laïcité. » Et d’ajouter : « Le port du voile dans les services publics, à l’école, quand on éduque nos enfants, c’est mon affaire. C’est ça, la laïcité. »
Passons sur cette laïcité à géographie variable, sachant que si la rue est un espace public, l’école l’est tout autant. Passons aussi sur la nature du voile, « signe religieux » à l’en croire, alors qu’il s’agit d’un signe éminemment politique. La preuve en est que Tareq Oubrou, recteur de la mosquée de Bordeaux, confiait récemment à ses ouailles, sous les yeux de l’auteur de ces lignes, que si « les femmes musulmanes tiennent absolument à masquer leurs cheveux, un carré de soie à la Grace Kelly, un turban à l’Arletty ou un canotier à la Maurice Chevalier emplissent parfaitement cette fonction » et qu’il n’est « nul besoin de se déguiser en bédouine du VIIe siècle pour être une bonne musulmane », sachant que « cet accoutrement ne peut qu’à juste raison crisper des Français se sentant de plus en plus étrangers en leur propre pays ».
Le gag, car c’est bien d’un gag électoraliste qu’il s’agit, c’est qu’un Emmanuel Macron n’en finit plus de piller l’argumentaire lepéniste en reconnaissant : « Le voile, aujourd’hui, est utilisé dans certains quartiers, dans certaines circonstances et par certains – qui ne sont pas majoritaires [parfaitement exact, mais ne sont-ce pas les minorités agissantes qui finissent par prendre le pas sur les majorités silencieuses ? NDLR] mais qui en font un élément de revendication et un des instruments ou des signaux d’une forme de séparatisme dans la République. Ce qu’on appelle le communautarisme. »
En revanche, il y a là comme une sorte de hiatus dialectique consistant à toujours se prévaloir des « valeurs de la République » alors qu’il serait autrement plus simple d’invoquer les mœurs françaises. Et le Président de s’égarer en évoquant le comportement de certains islamistes refusant, au nom de la religion, de continuer à adhérer aux « valeurs de la République ».
Soyons honnêtes, voilà qui ne regarde pas que les islamistes. Allez demander aux catholiques de conviction s’ils font plus confiance aux lois de la République qu’à celles de l’ordre naturel quant au mariage homosexuel, à la PMA et la GPA…
Pareillement, si certains musulmans posent problème en France, c’est aussi et avant tout parce qu’ils sont issus de l’immigration. Pour ne citer que le seul exemple russe, si la présence d’une forte minorité islamique n’est pas un problème là-bas, c’est, à en croire Vladimir Poutine, que les musulmans russes sont russes avant d’être musulmans, étant nés en Russie il y a déjà un paquet de siècles.
Mais remettre en cause la politique migratoire n’est pas dans le viatique des puissants sponsors ayant amené Emmanuel Macron au pouvoir. Lesquels ont, sans cesse, besoin de nouveaux immigrés, que ce soit pour le BTP, son premier employeur ; mais également pour les EHPAD, histoire de soigner leurs parents, et dans l’uberisation galopante de notre société afin de livrer, à toute heure, pizzas et sushis à leurs enfants.
D’où l’impuissance structurelle du Président sur le sujet, nonobstant sa coutumière habileté manœuvrière.
D’où, encore, la montée en puissance sondagière d’une Marine Le Pen reprenant à la fois couleurs et espoir et inquiétant Emmanuel Macron en vue de 2022.
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Angleterre. « Bâtards de Blancs » : des paysagistes attaqués à la hache par un gang extra-européen
Une nouvelle affaire de violence extra-européenne sur fond de haine des Blancs a fait l’actualité judiciaire ces derniers jours en Angleterre.Angleterre : Habibur Rahman était sur « son territoire »
Une simple altercation de la route qui vire au cauchemar pour un paysagiste.Voici la trame de ce qui s’est déroulé dans une rue de Rochdale, ville du nord-ouest de l’Angleterre située non loin de Manchester, en cet après-midi du 17 octobre 2017.Le gérant d’un restaurant local, un certain Habibur Rahman, alors âgé de 27 ans et visiblement agacé par la conduite d’une vieille dame au volant, a couvert d’insultes cette dernière.Une scène à laquelle ont assisté des paysagistes travaillant dans la rue.L’un d’entre eux demandera au conducteur de se calmer.Ce qui sera considéré comme une véritable offense pour Habibur Rahman, menaçant les hommes de revenir avec des renforts pour les attaquer.
Habibur Rahman. Source : Manchester Evening NewsCe qu’il va faire peu après.
C’est alors une vingtaine d’individus qui va s’en prendre aux paysagistes.
Lesquels ont eu la mauvaise idée de lui avoir « manqué de respect » sur « son territoire ».
Tandis que les ouvriers tentent de quitter rapidement la propriété où ils travaillaient pour échapper aux représailles, l’agresseur de 27 ans leur bloque la sortie avec son véhicule.
C’est alors que, pris au piège, les hommes vont subir un véritable assaut de violence« Bâtards de Blancs »Par la suite, l’un des paysagiste, âgé de 18 ans, se fera couper la main avec une hache par l’un des assaillants.D’autres portaient des couteaux, des machettes, un marteau et un poignard.Le propriétaire de la hache, un dénommé Mohammed Awais Sajid, a par ailleurs frappé l’un des paysagistes à la poitrine, lui brisant les côtes et provoquant un affaissement pulmonaire.Selon le témoignage de la victime, le coup de hache visait initialement sa tête…Il faudra attendre que l’un des ouvriers parvienne à démarrer une tronçonneuse pour que les agresseurs prennent enfin la fuite.La main de la victime après les coups de hache. Source : Manchester Evening NewsPar ailleurs, lors de l’audience au tribunal de Manchester Minshull Street Crown, le caractère raciste de certaines insultes a bien été confirmé.
« Bâtards de Blancs », « vous êtes dans mon pays », a proféré Habibur Rahman au moment des menaces.
En leur précisant qu’ils allaient « se faire poignarder ».Le verdict, rendu il y a quelques jours, a vu Mohammed Awais Sajid être étrangement acquitté de tentative de meurtre et n’être condamné qu’à 18 ans d’emprisonnement après avoir été reconnu coupable des blessures commises.
Quant à Habibur Rahman, il n’a été condamné qu’à quatre ans et demi de prison pour avoir été reconnu coupable d’avoir cassé le nez de l’une des victimes avec un poignard.
Enfin, sur les 12 individus arrêtés en janvier 2018 dans le cadre de l’enquête, neuf ont été libérés sans inculpation.De son côté, le juge Potter a déclaré qu’aucun membre du groupe n’avait manifesté « une once de remords » tout au long des procédures, refusant de témoigner lors de deux procès.
La vie suit donc son cours dans le « paradis » multiculturel britannique.AKCrédit photo : Publicdomainpictures.net (CC0/Petr Kratochvil)
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