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immigration - Page 704

  • Violences à Paris, Lyon, Marseille : l’État ne fait plus peur, par Philippe Bilger

    Bien sûr, l’effet est facile qui consiste à coaguler tout ce qui s’est passé de gravement transgressif durant la nuit du 14 juillet.

    Mais la réalité ne ment pas qui, notamment à Paris, à Lyon et à Marseille, montre que l’État ne fait plus peur parce que son autorité est non seulement défaillante mais, pire, absente.

    Certes, ce ne sont pas les déclarations qui manquent et on peut être assuré, sur ce plan, que le verbe politique largement entendu dénoncera le présent et fera espérer pour l’avenir une France enfin apaisée, qui saura se tenir comme on peut le dire d’un enfant bien éduqué.

    La pire des attitudes serait une résignation citoyenne s’habituant à cet état de choses et l’expression d’une lassitude à force d’interpeller, de semoncer l’État pour rien.

    J’ose cette banalité : il n’est pas normal qu’à Paris, on frappe et dégrade, qu’à Lyon, on incendie des voitures et qu’à Marseille, on s’en prenne aux CRS.

    Ou bien doit-on admettre le triste constat d’un pouvoir qui a accepté que, dans notre pays, il y ait un niveau inévitable et irrésistible de désordres et d’atteintes aussi bien humaines que matérielles et que, donc, il se laverait les mains face à cette prétendue inéluctabilité ?

    Faudra-t-il finir par penser que nos gouvernants ne sont pas capables de mener de front dans notre République une double démarche : faire respecter la morale publique par certains d’entre eux et en tirer les conséquences, faire respecter l’ordre sans cesse perturbé par une minorité de nos concitoyens ici ou là, quelle que soit leur origine, et par des étrangers sans droit ni titre.

    Christophe Castaner est un bouc émissaire commode. On ne peut plus se voiler la face. Quand tout va mal sur le plan de la sécurité, il ne s’agit plus seulement d’incriminer la police, le ministre, mais le Premier ministre et le président de la République. Quand un chaînon a durablement craqué, c’est à eux qu’on doit demander des comptes et de l’action.

    Pour avoir l’honneur de se faire passer pour Jupiter, il convient au moins de pacifier notre quotidien. Sauf à considérer que les échecs sont pour les uns et l’impunité pour les autres. Je ne vois pas au nom de quoi, sinon par une révérence de principe mais absurde à l’égard de ce petit monde qui dirige et administre, on arrêterait notre indignation au milieu du gué au lieu de la laisser aller plus haut.

    Nulle part l’incompétence, l’impéritie ne seraient ainsi tolérées.

    J’ai évoqué Christophe Castaner. Quand il y a eu récemment « la dérive violente de certains supporteurs algériens » se comportant chez nous comme pas une seconde ils n’auraient pu le faire chez eux, tout ce qu’a su proposer l’intéressé a été un tweet : « Ceux qui se sont livrés à cela méprisent à la fois […] les valeurs du football mais aussi le pays dont ils ont célébré la victoire » (Le Figaro).

    Je devine les fauteurs de troubles terrorisés après une telle analyse qui n’est qu’un commentaire, une réaction molle et explicative alors que la France attendait une réaction forte !

    On ne peut pas à la fois donner à la France des leçons de morale républicaine, du genre répétitif, contre le clivage et l’exclusion, pour la générosité à l’égard des migrants de moins en moins politiques, de plus en plus économiques, pour l’Europe qui nous protège, bref, le discours habituel contre le RN, et tout laisser faire pour que celui-ci monte, monte…

    Ce dessein, ce cynisme seraient scandaleux mais je ne suis même pas sûr qu’il y ait une telle intelligence perverse derrière ce « foutoir » et ces débordements telles une lamentable habitude, une déplorable impuissance ?

    S’il y avait seulement de l’incurie, un amateurisme qui valide passivement ce qu’il n’a plus envie d’empêcher, ce qu’il ne sait plus réprimer ?

    Philippe Bilger

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • LAETITIA AVIA A-T-ELLE UNE DENT CONTRE LA LIBERTÉ D'EXPRESSION ?

  • Que se passerait-il si des « binationaux » algéro-français brandissant des drapeaux français déferlaient au cœur d’Alger ?

     
    Que se passerait-il si des « binationaux » algéro-français brandissant des drapeaux français déferlaient au cœur d’Alger ?

    De Bernard Antony :

    Que se passerait-il si des « binationaux » algéro-français brandissant des drapeaux français déferlaient au cœur d’Alger et des autres grandes villes d’Algérie pour « fêter », avec les formes motorisées de la fantasia, une victoire de l’équipe de France de fouteballe ? Et si, un très grand nombre des plus excités de ces supporters s’avisaient de briser des vitrines, de piller les magasins et d’incendier des dizaines de voitures ? Et si, de plus, cela se produisait le jour de la célébration de la fête nationale algérienne ?

    On imagine sans mal les réactions :

    – des Algériens bien sûr, qui d’ailleurs ont été très fellaghalement éduqués à commémorer ce jour (1er novembre 1954) sans aucune repentance de ce qu’en fut l’atroce réalité, à savoir des assassinats de pieds-noirs et de musulmans patriotes français,

    – de la police et des autorités judiciaires algériennes : les casseurs et incendiaires, de surcroît jugés comme traîtres puisque brandissant des drapeaux français, ne seraient pas prêts de sortir de prison avant des mois, des années et peut-être pas vivants…

    Mais c’est bien la peine pour l’État français d’organiser un beau défilé du 14 juillet avec notre admirable armée et d’inaugurer la veille à Cherbourg le premier d’une série de sous-marins ultra-perfectionnés alors que tant de rues sont livrées à la faune de casseurs, de pillards et d’incendiaires algériens brandissant, conquérants, leurs drapeaux.

    On imagine comment seraient traités de pareils transgresseurs de la paix civile en Russie, aux États-Unis, en Israël ou au Japon…

    La politique qui s’impose à l’égard de ces vandales tient en deux mots : « dedans ! », puis « dehors ! ». D’abord « dedans », c’est-à-dire « au trou » après les justes condamnations qui s’imposent pour saccages, vols et incendies. Ensuite « dehors », c’est-à-dire à leur sortie de prison le renvoi dans leur si prospère Algérie de tous ceux parmi ces délinquants ayant la nationalité algérienne, étant donné que dans les cas très fréquents de doubles nationalité, ils doivent être déchus de la nationalité française.

    Quand donc s’exprimera à la tête de l’État la détermination d’en finir avec les barbares de « Nique la France » ?

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  • Un 14 juillet placé sous le signe de l’invasion

    Quel pays accepterait que le centre de sa capitale et de ses plus grandes villes soit ravagé par les supporters d’un pays étranger ? Un seul au monde, peut-être, la France.

    Le Rassemblement national, après la casse de jeudi, avait pourtant demandé au gouvernement d’interdire aux supporters algériens de venir sur les Champs-Elysées. On se doutait que le risque était que ces derniers ajoutent le plaisir du pillage au plaisir de la victoire, dans le match Algérie-Nigéria. Ces manifestations violentes derrière le drapeau algérien avaient l’allure de provocations en haine de la France. Les Champs-Elysées avaient vu le matin même le défilé de nos troupes, puis des tensions avec les Gilets jaunes, mais derrière le drapeau tricolore, quand même. L’invasion de la même avenue par des masses étrangères, et cette marée de drapeaux algériens était une vision parfaitement insupportable.

    Des violences, nous y avons eu droit, à nouveau, non seulement sur les Champs, à partir de 2 heures du matin environ (25 arrestations), mais aussi à Marseille vers la Porte d’Aix, où des bandes masquées ont affronté la police jusque tard dans la nuit, et à Lyon ainsi que dans plusieurs communes de sa banlieue. Dans le Rhône, de très nombreuses voitures ont en outre été incendiées. Lundi matin, les médias officiels s’efforçaient de minimiser la casse, mais les images étaient là, et on commence à se demander ce que peut nous réserver la finale.

    Délinquants à double titre

    L’invasion algérienne des Champs-Elysées n’est pas le seul évènement à avoir gravement terni les cérémonies. Nous avons en effet assisté, le vendredi soir précédant ce week-end du 14 juillet, à l’assaut du Panthéon par 400 à 700 immigrés clandestins. Ces hommes étaient encadrés par des militants (blancs) d’extrême gauche, réunis au sein de divers collectifs, des collectifs bénéficiant de financements eux-mêmes étrangers. Envahissant cette ancienne église du quartier latin, volée à l’Eglise par la Révolution, et transformée en mausolée pour les grandes figures du système, ils ont occupé les lieux jusqu’au soir, chassant les touristes du quartier. Ces envahisseurs étaient délinquants à double titre : ils n’avaient aucune qualité pour séjourner dans notre pays. En outre ils s’étaient emparés d’un bâtiment public, qu’ils ont donc occupé plusieurs heures. Pour moins que ça, des mouvements identitaires ont été dissous, et des militants condamnés à de la prison ferme. L’objectif des doubles délinquants : « obtenir des papiers et des logements pour tous ».

    Certes ils n’ont pas profité de leur séjour pour violer le cercueil de Simone Veil ou de quelques autres panthéonisés, mais même s‘ils l’avaient fait, nul doute que des circonstances atténuantes leur auraient été trouvées.

    La manifestation s’est poursuivie à l’extérieur du bâtiment. Ils ont reçu le soutien d’élus mélenchonistes et de militants écologistes. Evidemment, à plusieurs centaines, et certains de leur impunité, ces commandos peuvent réitérer sans problème leurs actions. 37 arrestations ont été opérées, au cours des affrontements, mais « uniquement pour vérifier les identités », ont pris la précaution de préciser les autorités, trop inquiètes de voir dégénérer une situation qu’elles reconnaissent ne plus être capables de maîtriser.

    Emeutes d’Africains par ici, d’Algériens par-là, c’était un 14 juillet classique, unissant les Français dans la ferveur républicaine, en somme.

    Francis Bergeron

    Article paru dans Présent daté du 15 juillet 2019

    https://fr.novopress.info/

  • La profanation du Panthéon, nouvelle étape de la lâcheté des gouvernants ?

    Et si l’injure faite aux grands noms de la France aux marches du Panthéon était l’ultime étape de la lâcheté des gouvernants ?Ces clandestins aux ordres d’associations, qui ont pignon sur rue, illustrent l’ultime dérive de nos institutions.
    Dérive, puisque quiconque s’affranchit de nos lois peut provoquer l’État, souiller la République et ridiculiser la France à l’étranger. 
    Ceux qui commettent un acte empreint d’un tel mépris à l’égard de la France agissent de cette façon parce qu’ils sont conscients de la déliquescence de nos institutions, du silence d’un peuple joué par les « puissants », de la lâcheté des clercs.
    On ne peut que noter le silence du pouvoir face aux provocations de ceux qui ont instrumentalisé ces troupes clandestines. 
    Or, les associations qui les ont encadrés ont désormais des comptes à rendre à la nation.
    Leur activisme d’hier doit conduire le pouvoir à prendre des sanctions propres à mettre un terme à ces provocations, et il ne peut s’agir de menaces verbales mais d’actes de nature à mettre enfin un terme à ces provocations et l’existence même de ces associations.
    Spectateurs aujourd’hui d’actes inadmissibles, parions que les Gaulois se réveillent demain et que les responsables politiques du pays prennent enfin conscience des périls à venir. 
    Général de division (2S) Daniel Roudeillac

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/07/la-profanation-du-pantheon-nouvelle.html

  • Désinformation à rebonds autour du thème du grand remplacement.

    Une courte video punchy, à ne pas mettre à la portée de toutes les oreilles…

  • En Italie, le plus grand centre d’accueil de migrants en Europe ferme ses portes. “Promesse tenue” pour Matteo Salvini !

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    L’ancien plus grand centre d’accueil de migrants en Europe, situé à Mineo, près de Catane (est de la Sicile), a fermé le mardi 9 juillet officiellement ses portes en présence de son plus grand opposant, le ministre de l’Intérieur Matteo Salvini.

    Promesse tenue“, s’était félicité l’homme fort du gouvernement italien une semaine auparavant lorsque les derniers hôtes avaient été transférés du centre d’accueil de migrants de Mineo vers une autre méga-structure en Calabre.

    Matteo Salvini a également déclaré :

    Le centre ferme et c’est une journée splendide (…) Nous sommes passés des paroles aux faits ! […] Nous économiserons pas mal d’argent : nous œuvrons pour trouver un nouvel emploi aux ex-travailleurs du centre, mais la Sicile, Catane et Mineo ne peuvent pas baser leur avenir sur l’immigration.

    https://fr.novopress.info/215058/en-italie-le-plus-grand-centre-daccueil-de-migrants-en-europe-ferme-ses-portes-promesse-tenue-pour-matteo-salvini/

  • La France est colonisée

    La France est colonisée

    Six mois de prison ferme ont été requis jeudi dernier contre trois militants de Génération Identitaire car ils voulaient empêcher une immigration illégale.

    Pendant ce temps :

    • Jeudi soir, le drapeau français a été remplacé par le drapeau algérien à Tours
    • des magasins ont été pillés à Paris par des supporteurs algériens
    • une femme est morte à Montpellier, renversée par un Algérien
    • des immigrés clandestins ont occupé le Panthéon
    • Hier soir, 250 supporters algériens ont été interpellés (en France)
    • Hier soir, la place de l’Etoile à Paris a été envahie par des Algériens (mais où sont les LBD ?) :

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  • Immigration : on invoque les droits de l’Homme, mais on oublie ceux du Citoyen

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    En ce 14 juillet, jour de fête nationale, un mot vient au lèvres : « fierté ». Fierté nationale, bien sûr, qu’on doit ressentir aujourd’hui, par exemple en regardant l’habituel défilé sur les Champs-Élysées.

    En revanche, les Champs-Élysées (la plus belle avenue du monde, dit-on) éveillent-ils encore un sentiment de fierté sans partage ? Depuis l’année dernière, ils sont, au contraire, devenus à plusieurs reprises le lieu d’expression de nos échecs, le rendez-vous de nos contradictions, notamment celles qui opposent les priorités des discours officiels à la réalité de notre pays et à ses exigences, le terrain de protestation préféré, même lorsque celle-ci prend l’apparence de la fête. Le saccage de l’Arc de Triomphe, le vandalisme subi par les magasins de luxe ou les banques ont eu un retentissement dans le monde entier. Surtout, ils faisaient apparaître la rupture entre deux et peut-être trois France : celle qui vit bien la mondialisation, celle qui en souffre et qui, en gilets jaunes, manifestait sur le territoire symbolique de la première, et puis celle qui est à l’affût de tout désordre pour casser et pour piller. Mesure-t-on à quel point les gentils rassemblements contre le réchauffement climatique et la priorité accordée dans les discours présidentiels à cette question, heureusement marginale en France, cachent les véritables priorités ?

    Parmi celles-ci, ce sont encore les Champs-Élysées qui en ont souligné récemment la plus urgente : l’immigration. Non seulement celle-ci est excessive et depuis fort longtemps, mais encore elle n’est pas contrôlée et limitée à d’éventuels besoins économiques : elle prospère par le regroupement familial et le maintien sur le territoire de clandestins, elle est facilitée par la générosité du droit d’asile et l’accompagnement social excessif, comme l’aide médicale d’État. Enfin, l’assimilation des étrangers ne fonctionne plus. On fabrique des Français de papiers qui ont souvent une autre nationalité et n’éprouvent manifestement pas le sentiment d’une appartenance à la nation française. Les débordements qui se sont produits après la victoire de l’équipe de football algérienne sont un signe inquiétant de l’échec de notre politique d’immigration. Ils ne doivent pas être minimisés car ils rappellent le match interrompu entre les deux équipes française et algérienne en 2002 : « Marseillaise » sifflée, pelouse envahie par les supporters algériens, dont beaucoup possédaient sans doute la « double nationalité ». Un journal commentait, à l’époque, en écrivant que la France n’avait pas réglé le problème de ses banlieues, comme si la question était sociale et la France responsable de la mauvaise réponse. Non, c’est la politique d’immigration suicidaire qui est la cause de cette difficulté. Tout vient de la confusion entre la résidence et la citoyenneté. La France est devenue un terrain vague sur lequel il suffit de se trouver pour se croire les mêmes droits que les nationaux. On invoque les droits de l’Homme, mais en oubliant que notre déclaration évoque les droits de l’Homme et du Citoyen, et que ceux du second l’emportent évidemment sur ceux du premier.

    Être citoyen, c’est être membre de la Cité, être solidaire de son destin. L’acquisition automatique de cette dignité, la possibilité d’avoir plusieurs « nationalités », la réduction des avantages du citoyen par rapport à l’étranger, la capacité pour un « double-national » d’être élu, voire ministre, sont absurdes. La politique poursuivie et amplifiée par Macron est absurde. Dans ce domaine plus que dans d’autres, le principe de précaution devrait jouer : peut-on accepter que pèsent dans des élections des choix qui ne reposent pas sur la volonté de servir l’intérêt du pays ? Lorsqu’on va brandir, sur les Champs-Élysées, un autre drapeau que le nôtre, qu’on se livre à une démonstration de force et à des débordements, il y a derrière ces comportements la même intention provocatrice. Mais c’est un autre lieu de notre fierté nationale, le Panthéon, que des clandestins ont osé occuper pour revendiquer des droits, alors même que ces droits devraient être suspendus à un seul : le droit d’être présents sur le territoire français… qu’ils n’ont pas.

    En ce jour de fête nationale, il faut plus que jamais affirmer que l’identité nationale est indissociable de la citoyenneté et que notre pays est en train de voir disparaître l’une et l’autre !

    Christian Vanneste

    https://www.bvoltaire.fr/immigration-on-invoque-les-droits-de-lhomme-mais-on-oublie-ceux-du-citoyen/

  • Les islamistes, passagers clandestins du progressisme

    Le plan stratégique des islamistes consiste à évoluer dans l’ombre des progressistes. Objectif: prendre le contrôle des musulmans du pays. Analyse.

    La France accueille cinq ou six millions de musulmans. Prendre le contrôle de cette population est essentiel pour les islamistes et ils ont un plan pour y parvenir. En douter serait sous-estimer leur intelligence et leur capacité à mettre en œuvre une stratégie de long terme.

    Le plan stratégique des islamistes consiste à évoluer dans l’ombre des progressistes. Ces derniers ouvrent le chemin tel un char qui avance dans une ville dévastée nommée civilisation française. Le char repousse les attaques des résistants à coups de canon et brûle tout ce qui tient encore debout, vestiges insupportables d’un monde qui doit disparaître. La poussière soulevée après chaque détonation couvre les silhouettes de fantassins qui marchent au rythme du blindé, ce sont les islamistes, une troupe bigarrée où se mêlent les insignes et les uniformes : salafistes, djihadistes, frères musulmans. Ce désordre n’empêche en rien la formation d’un front uni que peu d’entre nous perçoivent, les yeux fixés sur le char et les oreilles bouchées par le bruit des explosions.

    La France: une terre à prendre

    Passagers clandestins du progressisme, les islamistes se laissent porter par la vague. Le jour venu, ils se retourneront contre le char et ses occupants. Bien malin qui dira quand ce jour adviendra.
    Les islamistes mènent une guerre asymétrique, ils s’en prennent au « climat » général de la société qu’ils veulent modifier et non aux forces de l’ordre en particulier. Ils savent qu’ils seront écrasés par les policiers et les gendarmes s’ils s’avisent de prendre les armes pour de bon. Leur stratégie est tout aussi brillante que perfide : elle consiste à démobiliser la jeunesse française en la privant de l’esprit guerrier et de l’estime de soi. Un pays privé de sa jeunesse est un pays à genoux : une terre à prendre. Les jeunes détiennent le monopole de la violence spontanée, cruelle et facile à mettre en œuvre. Toutes les armées du monde le savent.

    Culte du pacifisme et «pas d’amalgame»

    La jeunesse française, quand elle est bien commandée, est capable de « mettre une raclée » aux djihadistes les plus aguerris au cœur du Sahel ou du Levant. L’islamisme n’aime pas la jeunesse version Arnaud Beltrame. Il lui préfère la jeunesse qui rigole et qui ricane des malheurs de la France. Il aime le rap quand il invite à l’inceste (nique ta mère) ou à brûler le drapeau bleu blanc rouge (nique la France). Il tolère le dealer qui empoisonne les âmes et les muscles de ceux qui sont en âge de changer le monde par la force.

    L’islamisme n’a pas peur de la bourgeoisie, il la méprise car il regarde ses chaînes de télévision et mesure le désarmement moral promu par ses affidés : haine de soi, érotisation permanente du réel, bannissement de la punition, culte béat du pacifisme et de la repentance etc. Il se sert d’elle comme d’une grande machine à déradicaliser la société, un mécanisme implacable qui bannit la violence défensive et tolère celle qui vient d’autrui. C’est ainsi qu’après chaque attentat, les Français posent des fleurs sur les lieux du massacre et chantent en cœur « pas d’amalgame ». Toute attaque donne lieu à une cérémonie de « déradicalisation » collective démultipliée par les médias et les leaders d’opinion. L’essentiel est de s’injecter ensemble une dose de repentance, de bonne foi (« ne pas stigmatiser ») et de haine de soi (« l’ennemi c’est l’extrême-droite »).

    Pour lire la suite, c’est ici !

    https://fr.novopress.info/