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immigration - Page 744

  • Montreuil : le PCF se trompe de peuple

    6a00d8341c715453ef022ad3b40e0f200b-320wi.jpgLe 26 septembre à l'aube le maire PCF de Montreuil surgissait à la tête d'un commando de 150 immigrés. Il entreprenait l'occupation, que l'État juge illégale, de locaux appartenant à l’Agence pour la formation professionnelle des adultes. Soutien de Pierre Laurent. Applaudissements des apparatchiks. Ce coup de force spectaculaire était revendiqué par un tweet de son instigateur :

    Patrice Bessac  "J’ai procédé ce matin à la #réquisition officielle des bureaux vides de l’AFPA, propriété de l’État, pour une mise à l’abri des travailleurs migrants du foyer Bara de Montreuil."[1]

    Ledit foyer Bara est ainsi décrit comme "un haut lieu de la communauté malienne francilienne, avec son marché, ses coiffeurs, son restaurant, qui sert 1 200 repas par jour à prix imbattables, aux résidents et à toutes les familles installées dans les parages.

    Prévu pour 150 personnes, le foyer géré par Coallia en héberge plus de 400 dans des chambres étriquées et le long des couloirs dans des lits pliants, moyennant 140 euros par mois."[2]

    Bessac lui-même, après avoir paraît-il passé une nuit dans ce bâtiment commente ainsi la situation : "C’est indigne, sale, avec des rats, et même dangereuxIl y a urgence à évacuer ! L’État se comporte en marchand de sommeil."

    Dirigeant communiste de 40 ans, Patrice Bessac maire de Montreuil ne mérite d'indulgence pour son engagement d'extrême gauche, ni au titre d'une extraction prolétarienne humiliée, ni de l'immaturité de la jeunesse.

    C'est étudiant en Philosophie à Toulouse qu'il adhérait à un PCF déjà moribond.

    Et une fois ses études terminées, en 1999, son premier emploi ne se situe pas en usine où il semble ne s'être jamais attardé. Il atterrait dans les bureaux du Parlement européen. Après cette éprouvante expérience, il devient l'indispensable attaché de presse de Marie-Georges Buffet.

    Celle-ci fut ministre de la Jeunesse et des Sports du gouvernement Jospin. Elle travaille alors dans le sillage de Robert Hue, qui fut le premier président de l'Histoire du Parti. Son coming out franc-maçon et son ralliement au parti socialiste n'ont pas encore été accomplis. Marie-Jo, de son côté, devenue secrétaire nationale du parti après le XXXIe Congrès en octobre 2001 aspire son petit protégé vers le haut des cercles dirigeants. Le jeune Pessac animera donc le Collectif de lutte contre les discriminations liées à l'orientation sexuelle dépendant du comité national. En 2000, il entre au conseil national lors du congrès de Martigues du PCF, puis au comité exécutif national en 2005. En 2004, il est élu en Ile-de-France sur la liste menée par Marie-Georges Buffet, lors des élections régionales. A l'occasion du XXXIIIe congrès, le camarade Bessac est désigné secrétaire de la fédération de Paris.

    À l'époque de cette ascension, le PCF se situe dans la perspective de l'élection présidentielle de 2002 où le candidat Hue obtiendra 960 000 soit 3,37 % des voix contre son score précédent de 2,6 millions de suffrages et 8,64 % : un affaissement électoral historique dont le PCF ne s'est jamais remis.

    Aujourd'hui, totalement coupé de l'ancienne classe ouvrière et paysanne française, le PCF en est réduit à licencier au compte goutte ses permanents pour motif économique.[3]

    À Montreuil, il est vrai, il est parvenu à reprendre le pouvoir municipal. Dans ce bastion historique, pendant quelques années, de 2008 à 2014, avait régné l'insupportable gauchiste pseudo-écolo Dominique Voynet. Il s'est résigné à ne plus s'appuyer sur les éléments populaires français. Il fait droit à la nouvelle dialectique d'extrême gauche. La novlangue et la ligne des fossoyeurs appellent ainsi populaires, les couches et les quartiers peuplés d'immigrés.

    Se trompant de peuple, le PCF ne peut dès lors que confirmer son déclin.

    JG Malliarakis  

    Apostilles

    [1] Cf. Twitter : @PatriceBessac 06 h 00 - 26 sept. 2018

    [2] cf. Le Monde

    [3] cf. Est-et-Ouest chronique du 26.9 :"Licenciements au PCF"

    http://www.insolent.fr/

  • Éric Zemmour : « C’est le grand effacement de l’Histoire pour correspondre au Grand Remplacement des populations »

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    Éric Zemmour sans cris d’orfraie ni indignation orchestrée, c’est possible… sur Boulevard Voltaire. Un entretien apaisé, sans tabou, passionnant et décapant. Écoutez-le !

  • Travailler ou prier, faut-il choisir ? – Journal du jeudi 27 septembre 2018

    Société / Travailler ou prier, faut-il choisir ? 
    Les entreprises se mettent au rythme des religions. Selon une étude menée par l’Observatoire des faits religieux en entreprise, les salariés n’hésitent plus à prendre des congés pour motif religieux. L’islam est en première ligne.

    Politique / Macron pas à la fête chez les patrons
    Emmanuel Macron voit sa cote de popularité chuter auprès du patronat… le vernis présidentiel de startupper s’effrite petit à petit et les différents acteurs économiques se rendent compte qu’ils ont affaire à un haut-fonctionnaire.

    International / Guerre du Yémen : un conflit par correspondance ?
    Le Yémen connait une guerre civile depuis maintenant plus de quatre ans… 10 000 morts après et alors que cinq millions d’enfants sont menacés par la famine, le conflit qui met aux l’Iran face à une coalition arabo-occidentale pourrait finalement se déplacer au Liban.

    International / Hong Kong toujours plus chinois !

    L’actualité en bref

    Serveur TVL

    Lien dailymotion
    https://www.tvlibertes.com/2018/09/27/25970/travailler-prier-faut-choisir-journal-jeudi-27-septembre-2018

  • Les blancs dans de beaux draps?

    sardanapale-300x237.jpgLa tirade de Francis Blanche dans le film de Georges Lautner La Grande Sauterelle  (avec la non moins  regrettée Mireille Darc) est restée célèbre: «un jour j’ai pris une cuite à San Cristobal elle a duré sept ans. » Les électeurs aussi se réveillent parfois (souvent) avec la gueule de bois du fait de leur mauvais choix qui impacte leur vie quotidienne pour de longues années.  Bruno Gollnisch restait dans la référence au  monde (des) hispanophone(s)  avec ce tweet  posté hier :  « Après la candidature de Manuel Valls à Barcelone, Anne Hidalgo pourrait peut-être se présenter à San Fernando, et laisser Paris respirer un peu ?…» M. Valls, naturalisé français à l’âge de 20 ans, a officialisé en effet mardi sa candidature à la Mairie de Barcelone pour  défendre le projet d’« une ville globale et ouverte sur le monde »…comme c’est original! Vivre et travailler au pays? L’ex Premier ministre  de François Hollande, profondément  impopulaire sous nos latitudes, privé de  l’espace politique social-démocrate-européiste qui a été préempté par Emmanuel Macron et ses marcheurs, part donc tenter sa chance ailleurs,  dans la capitale catalane qui l’a vu naître. Il brillait déjà par son absence  à l’assemblée nationale où il avait été réélu l’année dernière,  de manière très contestée et  d’une très courte tête,  face à la candidate de LFI Farida Amrani dans sa  circonscription d’Evry et de Corbeil.

    Sur France inter,  les gauchistes de service n’ont pas manqué d’ironiser sur l’annonce  de cette seconde carrière de Manuel Valls. La comique/animatrice/journaliste Charline Vanhoenacker, grimée en  danseuse caricaturale  de flamenco  pour  incarner  la nouvelle  compagne de l’ex Premier ministre – la richissime Susana Gallardo, héritière des laboratoires pharmaceutiques espagnols Almirall -,  faisait dire à cette dernière: « Je suis tellement soulagée que Manuel soit candidat à Barcelone, je n’avais pas du tout envie de vivre à Evry . Evry, non ! Y a pas de assez de blancos ». Une  référence aux propos qui furent beaucoup reprochés  à M.  Valls par ses adversaires de gauche, lorsqu’en   en 2009,  alors maire d’Evry, il avait au cours d’une promenade avec un de ses collaborateurs, scène  filmée par la télévision,   demandé (pas assez) discrètement  à celui-ci  – pour une question de standing ? , pour masquer le  grand remplacement? – d’avoir autour de lui plus « de blancs, de whites, de blancos. »

    Blancos qui ne sont pas toujours à la fête dans les hauts lieux du vivre ensemble, n’en déplaisent aux chroniqueurs de France inter. La polémique zemmourienne a été ainsi remplacé ces dernières heures par les très nombreuses réactions devant le clip mêlant  musique et récit fictionnel du  rappeur de Noisy-le-Grand  d’origine camerounaise   Nick Conrad, intitulé Pendez les blancs (PLB) .  Un blanc est bel et bien pendu dans ce court-métrage après avoir été violenté et humilié. Les paroles sont à l’avenant: « Je rentre dans des crèches je tue des bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents, écartelez-les pour passer le temps, divertir les enfants noirs de tout âge petits et grands…»  Ce clip mis en ligne mi-septembre sur internet (supprimée de YouTube depuis) a été dénoncé en premier par le député RN Gilbert Collard, suivi par son collègue LR Bruno Retailleau. De LFI à Gérard Collomb en passant par la Licra, toute la classe politique a ensuite embrayé pour dénoncer  des propos  abjects, haineux, écœurants…  Le parquet de Paris a ouvert  hier   une enquête pour provocation publique à la commission d’un crime ou d’un délit.

    Ce clip pose en tout cas la question bien réelle de ce qui est permis de dire ou de montrer sous l’angle de la fiction. Il ne saurait être question en effet  dans ce cadre d’assimiler systématiquement  un auteur  ou un acteur  à l’histoire qu’il raconte,  de les confondre avec les propos ou les turpitudes des personnages qu’ils mettent en scène… A fortiori quand l’auteur en question, au nom justement de la fiction,  revendique une opposition complète  entre les idées, les valeurs qui sont les siennes et le récit qu’il narre.

    C’est cette vérité-là  que Nick Conrad, qui dit jouer ici (sans ambiguïté ?)  « un personnage de raciste»,   met en avant  pour se justifier  sur le site de  RTL , face à l’émotion suscitée par le réalisme très  violent  de son clip: « 80% des gens de l’équipe du clip sont des blancs. » « Mes amis blancs me soutiennent». «Un raciste un vrai pour de vrai ne peut pas se vanter de prendre le micro et dire des choses abominables. »

    «En disant pendez les blancs » poursuit-il,  « on est dans la provocation, c’est vrai.»  Mais ce discours  « n’est pas un appel à la haine » , c’est  « une fiction qui montre des choses qui, du début à la fin, sont vraiment arrivées au peuple noir, tous les éléments qui sont cités dans le morceau, un à un, ont vraiment touché et marqué le peuple noir dans sa chair. » À travers PLB, il s’agit d’ «interpeller, toucher les gens. Nous restons des humains, d’un côté comme de l’autre. »

     « Ce morceau est plus profond qu’il n’y paraît »  indique encore le rappeur de Noisy-le-Grand.  « Je ne peux pas renier ce que j’ai écrit, ça touche le racisme, c’est la beauté de ce morceau, ça reste de l’art ». Un art qui emprunte à l’inversion des rôles entre tortionnaires blancs et victimes  noirs souligne RTL  qui pointe une  scène de ce clip  ou « deux noirs – dont le rappeur – font mordre le trottoir à leur victime blanche pour ensuite écraser sa tête avec un grand coup de pied derrière le crâne. Une scène qui fait évidemment référence au film American History X, sur les néonazis aux États-Unis qui font subir la même chose à un noir. » La pendaison, ajouterons-nous,  renvoie aussi très clairement au lynchage de noirs dans les Etats du sud des Etats-Unis avant-guerre,  thème de la  la célèbre  chanson Strange fruit de Billie Hollyday, écrite à la  fin des années 30 (« southern trees bear a strange fruit…»).

    « Moi aussi dans ma vie il m’a été donné de voir des scènes choquantes » a encore déclaré le rappeur, en prenant en exemple les peintures d’Eugène Delacroix au Louvre »! A tout prendre, parions que nos compatriotes sont moins choqués  par la contemplation de La  mort de Sardanapale et la  vision des  esclaves blanches de son harem  assassinées sur le   lit de leur maître acculé au suicide,   que par le clip de ce monsieur…A chacun ses appétences et ses références…  Mais Nick Conrad   explique que « le rap est né dans le ghetto, il a pour mission de dénoncer les choses. Un artiste a pour but de s’inspirer du monde pour dénoncer, que ça plaise ou non.  C’est l’essence même du rap. En France plus qu’ailleurs, on a du mal avec la vérité. »

    En France on a surtout du mal a accepter de voir débarquer dans l’espace public  des appels à la haine raciale qui sont pour le coup  très fréquents  dans toute une frange  du rap aux Etats-Unis ou la question sociale  est très racialisée. En France, nos élites ont aussi  du mal à accepter cette vérité, à savoir que la racisme  antiblanc, n’en déplaisent aux hypocrites de la gauche soumise clientiéliste, à la  nébuleuse socialo-trotsko-bobo,  est une incontestable réalité. La grande  majorité des Français  de souche européenne vivant dans des quartiers très pluriels ou dans des banlieues  où ils sont minoritaires, en ont fait l’expérience.

    Marine l’a tweeté, « alors que de nombreux compatriotes subissent un racisme anti-Blanc dont aucun expert autoproclamé ni média ne parle, cette provocation ne doit pas rester impunie. Il n’y a rien d’artistique dans ce qui est purement et simplement un appel à la haine et au meurtre ! ». Le sénateur RN  des bouches-du-Rhône Stéphane Ravier l’a souligné pareillement: «Dans des quartiers, le Blanc est une cible, comme le flic ou le pompier. Mais Rokhaya Diallo et autres spécialistes de l’antiracisme à but lucratif et à sens unique vont nous dire que le racisme anti-Blancs n’existe pas ?»

    Le racisme antiblanc  est même constitutif  des agressions violentes  en constante augmentation sur notre sol. Et cette réalité-là vaut aussi pour les autres pays européens touchés par l’immigration massive.  Bref,  le clip de Nick Conrad n’aurait pas tant choqué s’il ne  renvoyait  pas à une violence à connotation raciale perçue comme une menace bien réelle et  grandissante. 

  • La corde pour les Blancs : la fin de l’hypocrisie

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    Médine et son tee-shirt vantant les mérites du djihad sur fond de sabre tranchant n’étaient qu’un avant-goût. Les amuse-bouches du festin vivrensembliste auquel nous sommes conviés. Sans plus tarder, le plat de résistance nous arrive en la personne d’un certain Nick Konrad, rappeur-baratineur de Noisy-le-Grand d’origine camerounaise (et inversement), qui appelle en toute simplicité à pendre les Blancs. Enfin du parler vrai.

    Le clip au visuel immonde et les paroles d’une cruauté sans nom n’y vont pas par quatre chemins : la race noire est supérieure et nous autres blancs-becs ne méritons pas de vivre. Et voilà. La poésie est là, palpable, la corde aussi, le sang… Tant de réalisme force l’admiration du bobo moyen. Si tout va bien, il finira pendu et cette perspective le remplit de branchitude. Si Médine méritait le Bataclan, celui-là devrait être proposé pour le Stade de France. Un show grandiose suivi d’une tournée dans les crèches, conformément aux paroles du morceau qui n’oublient personne :

    « Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs, attrapez-les vite et pendez leurs parents, écartelez-les pour passer le temps. Divertir les enfants noirs de tous âges, petits et grands, fouettez les fort, faites le franchement que ça pue la mort que ça pisse le sang. »

    JoeyStarr battu sur son propre terrain. Enfant de chœur du rap. Mollasson de banlieue. Grosse déception dans la famille Hollande. Un artiste en qui ils avaient toute confiance… Détrôné, ridiculisé par un petit nouveau.

    Malgré l’appel au meurtre avec démonstration réaliste à l’appui, suintements de haine à chaque seconde et scènes insoutenables, les gentils modérateurs de YouTube ont mis en ligne le clip sans sourciller. Puis retiré ce mercredi « car il ne respectait pas le règlement de YouTube concernant les contenus incitant à la haine ». Sans blague ? Combien de réunions pour en arriver à cette terrible décision ?

    L’antiracisme à la sauce racaille tombe le masque. L’argument n’était qu’un prétexte à s’affirmer en tant que race supérieure… Un faux-semblant destiné à hypnotiser le gogo bien-pensant. Après Médine et le cran au-dessus franchi par ce Nick Konrad, quelle sera l’étape suivante ? Quelles seront les répercussions terribles sur les banlieues chauffées à blanc ? L’avenir est plus noir que jamais.

    Jany Leroy

    http://www.bvoltaire.fr/la-corde-pour-les-blancs-la-fin-de-lhypocrisie/

  • Et si le Grand Remplacement commençait par le prénom donné ?, par Caroline Parmentier

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    9205-20180927.jpgChasse à l’homme contre Zemmour

    La gauche culturelle et immigrationniste orchestre depuis des jours un cirque pas possible autour de la comédie d’Hapsatou Sy au sujet de son prénom. La droite Figaro est d’une lâcheté totale (voir l’article de Francis Bergeron dans Présent d’hier). Le but étant de faire interdire définitivement Eric Zemmour d’antenne ce que réclament aujourd’hui Hapsatou Sy et de nombreux journalistes et médias français.

    Eric Zemmour, issu d’une famille juive d’Algérie et qui connaît le prix de l’assimilation, estime dans son combat contre le multiculturalisme (qui est le sujet de son dernier livre) que donner un prénom français à ses enfants est une marque d’intégration et d’assimilation. Et qu’à l’inverse, donner un prénom étranger est un signe communautaire : « Prendre un prénom français signifie je veux rentrer dans votre communauté, je veux m’assimiler, je veux adopter votre histoire, préserver l’identité nationale, puisque l’identité d’une nation et de toute communauté de vie commence avec des individus dont le nom les identifie à elle. »

    Comment contester que l’africanisation et la maghrébisation des prénoms en France dans les maternités, dans les écoles, sont un signe avancé de grand remplacement ? On ne peut nier que donner un prénom musulman est aussi le signe d’une pratique religieuse. Peut-on adorer la France et appeler son fils Mohamed ? Ou Seif el-Islam (glaive de l’islam) comme le joueur de foot Ribéry ?

    Dire cela aujourd’hui, c’est interdit. C’est du racisme, du colonialisme, c’est odieux, c’est ignoble. Zemmour a provoqué un tsunami aussi violent que grotesque où tout le monde y est allé de sa larme ou de sa charge haineuse. Toujours très amusant de voir des vieux journalistes bedonnants qui n’ont jamais habité ailleurs que dans les beaux quartiers et des bourgeoises emperlées du Figaro dont les filles s’appellent Blanche et Bérangère, se croire obligés de dire sur les plateaux télé et radio qu’Hapsatou est un ravissant prénom et qu’on n’a pas fait plus joli.

    Le cinéma de François Morel

    Il fallait entendre dans la matinale de France Inter François Morel, ex-Deschiens – ce qui fait que l’on a toujours envie de se marrer quand il dit un truc sérieux – déclamer avec lyrisme la litanie solennelle des prénoms étrangers qui « ont fait la France et qui ne figurent pas dans le calendrier chrétien » : Ibrahim Maalouf, Marek Halter, Omar Sy, Pablo Picasso, Marjane Satrapi, Vassily Kandinsky, Joann Sfar, Zinedine Zidane, etc. Se terminant en apothéose par Hapsatou Sy… (il faudra que l’on nous explique en quoi cette chroniqueuse de quatre sous, candidate malheureuse de « Danse avec les stars », représente l’excellence française). Le tout ponctué de « Vive la France, vive la France » grandiloquents. Il fallait voir les journalistes bouleversés sur le plateau essuyant ostensiblement des larmes pour comprendre à quel point de soumission idéologique on est rendu.

    A l’image de la réponse d’Ibrahim Maalouf : « Très fier d’être le premier nom cité par François Morel lorsqu’il s’agit de faire la guerre à l’obscurantisme idéologique. Je vous invite à appeler vos fils IBRAHIM. C’est juif, musulman et chrétien. Et ça, ça fera bien chier Zemmour. »

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 25 septembre 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Contre le racisme anti-français, anti-chrétien, anti-blanc, anti-humain, l’AGRIF a gagné et gagne

    Contre le racisme anti-français, anti-chrétien, anti-blanc, anti-humain, l’AGRIF a gagné et gagne

    Encore un procès de gagné pour l’AGRIF :

    Victoire dans l’affaire du FRAC de Lorraine après 9 ans de procédure !

    Après avoir obtenu gain de cause devant le tribunal de grande instance de Metz, la Cour d’appel de la même ville avait débouté l’AGRIF de ses poursuites contre l’infâme exposition de l’Infamille. La Cour de cassation vient de casser très fermement cet arrêt de débouté en rappelant que les juges devaient juger l’atteinte au principe de la dignité humaine qui leur était ainsi soumis par l’AGRIF ! Dignité humaine, voilà bien tout le sens du combat de l’AGRIF ! La Cour d’appel de Paris est désignée pour rejuger l’affaire.

    Forte de cette victoire, l’AGRIF engage des poursuites contre Nick Conrad, raciste rappeur sanguinaire anti-blanc :

    À la suite de la publication sur Youtube d’un clip de rap de 9mn le 17 septembre appelant à pendre les blancs et dont le visionnage soulève le cœur devant la perversité sans limite des horreurs, l’AGRIF, dans sa longue continuité de lutte contre pareilles abominations, engage immédiatement les poursuites qui s’imposent.

     

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  • L’Aquarius transportait des Libyens riches avec leurs bagages et leur chien : et on veut nous faire pleurer sur la misère ?

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    L’Aquarius aura, décidément, rendu bien des services. Aux migrants qu’il aura transportés d’un bord à l’autre de la Méditerranée, bien sûr. Mais, surtout, à la cause qu’il voulait défendre : en ce 26 septembre 2018, il l’a complètement discréditée. Et c’est tant mieux. Le jour même où des organes de presse de la gauche bien-pensante publiaient l’appel de 150 personnalités en faveur d’une ouverture totale des frontières et d’un accueil inconditionnel des migrants.

    Ce matin, France Info donnait la parole au directeur de SOS Méditerranée, propriétaire de l’Aquarius, qui faisait le point sur les conditions de transport des 58 migrants qu’il est allé chercher dans les eaux libyennes, les arrachant aux gardes-côtes. Et le reportage est agrémenté par l’intervention du coordinateur de Médecins sans frontières. Un seul message : la vie difficile de ces pauvres gens à bord, dans la tempête. J’imagine des Érythréens ayant marché durant des centaines de kilomètres, ayant été victimes d’agressions multiples dans des camps libyens, etc.

    L’info du matin, c’était donc ce titre :

    « “On a plus de trois mètres de vagues et de creux” : à bord de l’Aquarius, la houle, le doute et des conditions de vie précaires. »

    Dans la voiture, je compatis par mon ventricule gauche. Mais mon droit me dit : euh, s’ils n’ont pas plus de problème et de souci que le mal de mer, bon, faut peut-être arrêter de prendre les auditeurs, et tous les Français, pour des idiots.

    Puis vient le soir, et l’article du Monde avec ce titre :

    Sur l’Aquarius : « Ce sont surtout des familles libyennes qui étaient bien établies. »

    On se pince. Mais où sont nos Subsahariens ? Nos Soudanais ? Nos Érythréens ayant tout perdu ?

    Ben non, on apprend que l’Aquarius a servi de moyen de transport vers l’Europe à des familles libyennes riches qui ont pris soin de faire suivre leurs bagages, et… leur chien. Et nos humanitaires « sauvent » donc le chien, aussi.

    « Un gros toutou au poil blanc et frisé qui répond au nom de Bella. “Je n’allais pas le laisser, c’est un péché”, explique aujourd’hui Malak (le prénom a été modifié). Ça fait huit ans qu’on vit avec, c’est un vieil ami. Et il n’a pas payé pour le voyage. »

    Ah ah ah… Et le reportage continue, loin, loin, bien loin du mal de mer, avec « cette femme libyenne de 44 ans, aux cheveux teints en blond, qui plaisante ».

    Autre exemple de pauvre migrante ? Ibtissem :

    « Modéliste pour une société italienne, elle dessine des maillots de bain et de la lingerie. Elle a beaucoup voyagé à travers le monde et une partie de sa famille est installée en France. Son mari travaille comme concessionnaire automobile. »

    Dans le transport de migrants, c’est comme dans tous les moyens de transport, il y en a pour tous les budgets, et là, l’Aquarius a pris le virage du haut de gamme. Cela plaira certainement à la gauche bien-pensante, de demander aux Français de financer le transport et l’installation en Europe de migrants riches…

    L’Aquarius et tous les aquariophiles de Mediapart et d’ailleurs, va falloir arrêter de nous prendre pour des idiots. Car c’est plus le ventricule gauche ou droit qui m’a secoué, c’est le ventricule Salvini.

    En tout cas, une chose est sûre, l’Aquarius a trouvé son nouveau pavillon en ce 26 septembre 2018 : celui du f… de gueule.

    Dominique Monthus

    http://www.bvoltaire.fr/laquarius-transportait-des-libyens-riches-avec-leurs-bagages-et-leur-chien-et-on-veut-nous-faire-pleurer-sur-la-misere/

  • Chemnitz. L’Allemagne face à son destin

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    En Allemagne, la politique ethnomasochiste et cosmopolite d’immigration ne passe plus. La contestation populaire s’étend après chaque nouvel acte violent commis par un migrant. Aujourd’hui, l’Allemagne semble arrivée à un tournant. C’est en tout cas l’avis d’Olivier Tisier.

    Chemnitz : fin ou renaissance du peuple allemand ?

    Voilà plus d’une semaine que l’Allemagne ne parle que de ça. Dans chaque ville, à chaque coin de rue, dans chaque commerce, chaque entreprise, chaque kneipe et Kiosk à Lotto de Bundesrepublik… absolument partout !

    Récapitulons brièvement les faits. Chemnitz, une ville modeste de Saxe. 240 000 habitants, un soir de week end. On fête le 845e anniversaire de la ville dans une ambiance bonne enfant si propre à l’Allemagne. Quand soudain des “réfugiés“ s’en prennent à une jeune allemande dans l’idée de la violer. Un groupe d’Allemands lui vient alors en aide. Parmi eux Daniel Hillig, 35 ans. Il sera poignardé par les agresseurs et perdra la vie. Scénario tragique mais hélas dorénavant classique qui n’est pas sans rappeler la mort du jeune Adrien Perez 26 ans poignardé lui aussi à mort en France à Grenoble cet été à la sortie d’une boîte de nuit dans l’indifférence quasi générale des autorités.

    La suite ? Un coup de tonnerre, une mobilisation sans précédent, des marches et des manifestations en hommage à son acte de courage mais aussi la colère d’un peuple allemand qui est complètement à bout. Un peuple allemand qui a fait sécession avec la politique de Merkel et plus généralement avec ses élites classiques. Tout un peuple ? Hélas non, les traditionnels antifas organisent contre-manifestations, blocages et violences à l’endroit des quidams qui témoignent leur peine et leur légitime colère. Les médias ? Comme d’habitude acquis au politiquement correct et au pas d’amalgame. Ils ont pour mission de prévenir par la doxa toute évolution droitière de l’opinion. Mais aussi de maintenir la police sous pression afin de la rendre zélée sous peine d’être taxée d’empathie voire de collusion avec le peuple qu’elle est chargée de défendre. Et pour finir les traditionnels artistes engagés décidant d’organiser un concert gratuit à Chemnitz pour que l’amour soit plus fort que la haine. Le slogan est breveté internationalement, il faut le croire.
    Déjà la propagande s’enclenche, le nazisme serait de retour en Allemagne

    Oui vous avez bien entendu le nazisme! L’extrême droite menacerait à nouveau la viabilité de l’état allemand et il faudrait à nouveau la combattre pieds à pieds sans attendre. Les contre-manifestations antifas ont d’ailleurs réunis plusieurs milliers de personnes, sentant à juste titre qu’à Chemnitz se jouait une bataille symbolique. Pour l’occasion la société flixbus et blablacar ont même offert des Gutschein, des bons d’achats en cadeau permettant de se rentre à Chemnitz à moindre frais pour y défendre le vivre ensemble aux côtés des bolchos et d’assister aux concerts de rockeurs millionnaires… Mais hélas pour tous ces sinistres représentants d’une Allemagne déconfite, bien plus nombreux étaient les anonymes et les militants nationalistes de toute obédience venus rendre hommage à plusieurs reprises à Daniel. “Nous sommes le peuple” scandaient ils comme d’autres avant eux lorsqu’ils défiaient le pouvoir totalitaire de la RDA.

    Il y aura un avant et un après Chemnitz car cela a été le crime de trop

    Les Allemands de l’Est ne pardonneront ni n’oublieront jamais. Il faut bien comprendre qu’après guerre on a troqué en Allemagne de l’Ouest le sentiment national contre une douce qualité de vie. Beaucoup d’Allemands de l’Ouest se sont alors vautrés dans un matérialisme répugnant fait de grosses berlines impeccables, de costumes Hugo Boss, d’appartenance à des clubs de tennis ou de golf, de voyages sur des îles plus ou moins lointaines en compagnie de créatures exotiques plus ou moins majeures… bref la panoplie intégrale du gros beauf fier de son affiliation à une classe moyenne supérieure tant fantasmée. Mais en Allemagne de l’Est, ce fut bien différent et il existe encore des survivances de traditions anciennes, de solidarités locales, de sociabilités et de comportement non-mercantiles. Les “ossies” , les habitants de l’Est placent leur art de vivre avant toute autre contingence. Ce sont des gens rugueux, peu ouverts au compromis et manquant de souplesse dans les affaires. Mais la préservation de leur modus vivendi est à ce prix. Et c’est de là que provient cette solidarité ethnique. Celle là même qui a fait fuiter le nom de l’assassin et son origine dans la presse ainsi que celles de ses complices. J’imagine qu’un fonctionnaire de justice n’a pas voulu laisser passer. Notons encore que l’importance de l’implication des corps constitués dans un processus révolutionnaire s’avère toujours crucial.

    Pour aborder l’affaire sous le volet politicien, indiquons que l’AfD, parti qualifié d’extrême droite a lui aussi manifesté. C’est le seul parti chez qui on ne peut reprocher une quelconque récupération politique car ils ont fait du refus de l’immigration leur cheval de bataille. En Saxe, ils sont de plus sur leurs terres et le cortège fut suivi par plusieurs milliers de personnes.

    On entend parler en France d’une arrogance allemande, d’une domination allemande. La domination politique et économique de l’Allemagne sur l’Europe est incontestable mais la domination culturelle ou la fierté nationale ?
    Elle n’existe presque plus ailleurs qu’en Allemagne de l’Est. Figurez-vous que les gens ont plus peur de se faire traiter de facho à l’ouest que d’avouer leur tristesse et leur colère face à la mort de cet homme qui est venu en aide à une femme. Je discutais avec une amie à Berlin originaire du land de NRW, elle ne m’a pas un instant parlé de la mort de cet homme qui est pourtant l’événement principal. Elle m’a confié sa crainte de voir l’extrême droite arriver au pouvoir. On a véritablement corrompu le peuple allemand, on l’a acheté avec de l’argent, du papier et ce dès la fin de la guerre et le début du processus de dénazification qui a vu tous les membres de l’enseignement supérieur suspecté de sympathie nazie être mis au rancard. Et dans tous les segments de la société avec notamment l’utilisation du fameux Fragebogen (le Questionnaire) sur lequel a écrit un auteur qui nous est cher, Ernst von Salomon. Questionnaire visant à tirer les vers du nez et à ficher les éventuels éléments réticents au nouvel ordre démocratique et marchand. L’Allemagne a troqué sa vitalité, sa fierté, sa capacité à se penser comme un peuple… bref son identité contre du divertissement et du confort c’est à dire pour devenir en bout de course un pays de vieillards jouisseurs.

    Ce qui s’est passé à Chemnitz, cet horrible drame se reproduira à nouveau, nous le savons tous. Il incombe aux jeunes Allemands d’inverser maintenant le cours de l’histoire. Tout n’est peut être pas perdu. L’Allemagne de l’Est se dresse face au pouvoir de Berlin. Il faut que d’autres foyers révolutionnaires se lèvent ailleurs et en particulier à l’Ouest. Mais le dynamisme allemand agit hélas sur tous ou presque comme du bromure. Paralysant ici et là toute volonté de révolte. C’est triste à dire mais il n’y aurait qu’une crise économique violente, plongeant l’Allemagne dans la misère pour relever ce peuple, peuple qui conserve malgré tout en lui des qualités d’organisation, de sérieux et un stoïcisme dans l’épreuve qui continue de forcer notre admiration.

    Olivier Tisier

    Texte repris du site Polemia

    https://fr.novopress.info/212053/chemnitz-lallemagne-face-a-son-destin/

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    durer.pngLaurent Wauquiez s’est apparemment lui aussi converti à la méthode d’enfumage du en même temps macronien, comme l’atteste sa rencontre  lundi à Berlin  avec Angela Merkel  au siège de son parti la CDU.  Le Figaro le rapporte, le dirigeant de LR  a «(tressé) des louanges  à Angela Merkel, l’une des grandes figures politiques de l’Europe, sans doute une des dernières vraies références qui permet de tenir un débat à l’échelle européenne. » Pourtant,  refusant de condamner la politique de fermeté sur les questions migratoires du Premier ministre hongrois Viktor Orban, «à la fin de l’été (M. Wauquiez) dénonçait l‘immigration de masse qui présente une menace pour la civilisation européenne.  La formule claque, à l’opposé du nous y arriverons d’Angela Merkel en 2015, au plus fort de la crise migratoire. Mais Laurent Wauquiez évite toute critique. »  Critique dont ne se prive pas dans un autre domaine  Nicolas Sarkozy, indiquait une dépêche de l’Afp, lequel estime que  « l’actuel locataire de l’Élysée est entouré de gens inexpérimentésAvec Macron, ça risque de très mal finir, a-t-il même lâché devant des élus. Des propos que tenaient déjà l’époux de Carla Bruni en octobre dernier. »

    « De telles prédictions inquiètent-elles l’entourage d’Emmanuel Macron ? Ses conseillers lui réclament en tous cas régulièrement des conseils, révèle  Le Figaro. On veut faire comme vous, confieraient certains membres de la garde rapprochée du président à Nicolas Sarkozy.Ce ne sont pas les seuls. Selon le quotidien, l’entourage de François Hollande a demandé l’an dernier conseil à ses équipes  (sic) pour savoir s’il fallait se rendre au dîner du Crif (Conseil représentatif des institutions juives de France) en tant qu’ex-président.»

    Une telle recension laisse pantois sur le niveau des adeptes du nouveau monde:   qui voudrait vraiment faire comme Sarkozy ? Faut-il rappeler, comme le fit alors Bruno Gollnisch  le bilan du  quinquennat Sarkozy ? Les Français ont beau avoir la mémoire courte, comment oublier que le sarkozysme à l’Elysée ce fut  la poursuite de la désindustrialisation, la paupérisation accélérée du monde rural,  de la France périurbaine,  la fuite de nos jeunes diplômés à l’étranger, l’incapacité à enrayer le  chômage de masse, la montée de la pauvreté,  une marginalisation accrue de la France sur la scène internationale, notre inféodation à l’entité bruxelloise,  à l’Otan, la catastrophe libyenne et l’arrivée d’un million d’immigrés supplémentaires?

    Flux migratoires qui se poursuivent, quand bien même pour faire passer  la grosse pilule de l’immigration dite légale mais subie, ce gouvernement entend donner un message médiatique  de fermeté (en carton-pâte). Porte-parole du gouvernement , Benjamin Griveaux a rejeté la prétention de l’ONG SOS Méditerranée, spécialisée dans l’importation d’immigrés clandestins via son affrètement du  bateau  l’Aquarius,  de débarquer  58 migrants à Marseille. « Ne tombons pas dans le piège que certains nous tendent» a affirmé M. Griveaux. « Nous recherchons une solution européenne selon le principe du port sûr le plus proche. L’humanité, c’est de faire accoster le navire dans le port le plus proche et le plus sûr » a expliqué le cabinet du Premier ministre…

    Le PS, les associations et officines  antiracistes habituelles, LFI ont joué la partition qui est la leur dans cette pièce de théâtre en hurlant au scandale. Jean-Luc Mélenchon est monté au créneau, drapé dans son costume de  prophète de la France plurielle« On ne peut plus continuer cette hypocrisie qui consiste pour monsieur Macron à prendre des grands airs face aux xénophobes et ensuite refuser l’accueil à des malheureux. Il est évident que l’Aquarius doit pouvoir revenir à Marseille, il y a un devoir inconditionnel d’accueil de la détresse » a-t-il déclaré.

    Déjà le 7 septembre à Marseille, le lider maximo de LFI avait affirmé que M. Macron était « le plus grand xénophobe au monde»…avant de nier  piteusement avoir tenu ses propos, pourtant dûment enregistrés, lorsqu’il rencontra quelques heures plus tard le président de la république sur le Vieux- Port. Stéphane Ravier lui, assume. Le sénateur RN des Bouches-du-Rhône s’est dit formellement opposé au débarquement des migrants dans la capitale phocéenne, ne serait-ce que pour ne pas susciter des espoirs d’accueil qui contribueront à grossir le nombre déjà considérable de candidats au départ vers l’Europe. «Il faut que les clandestins soient  reconduits dans des conditions humaines  vers les rivages qu’ils ont quitté»,  a précisé Stéphane.  « Ce  trafic d’êtres humains doit cesser, nous ne pouvons ajouter de la pauvreté à la pauvreté dans une ville comme Marseille qui compte déjà  20% de pauvres »…ce que M. Mélenchon ne doit pas ignorer…

    La solution à cette cette crise des migrants  consiste en effet à  refuser tout laxisme, toute fausse générosité dont les effets pervers et criminels  sont une évidence  pour les Européens comme pour les immigrés. En ce sens, le nouveau gouvernement italien  tient  ses promesses avec l’approbation en conseil des  ministres hier d‘un décret-loi visant à protéger plus efficacement les Italiens de la déferlante migratoire et par conséquent,  à entraver les activités illicites des passeurs.

    Au nombre des mesures mesures avancées, a été édictée la remise à plat du système des  permis de séjour dit humanitaires, un biais par lequel  25% des immigrés clandestins arrivant en Italie obtenaient l’asile. Les permis en question seront désormais délivrés au compte-goutte et par exception. Autres exemple de ce tour de vis, les immigrés ayant un casier judiciaire  ou dont la dangerosité est établie ne pourront accéder au statut de demandeur d’asile;   ceux  ayant été condamnés pour des faits  de terrorisme seront déchus de leur nationalité italienne,  les  bâtiments squattés par les clandestins pourront désormais être évacués plus rapidement (sans obligation de relogement)…

    Comme l’a résumé le ministre de l’Intérieur  Matteo Salvini, dont la popularité encore croissante  s’explique aussi par sa volonté  de tenir ses promesses,  « c’est un pas en avant pour rendre l’Italie plus sûre. » Et dans cette optique, ce décret-loi (qui doit être  signé par le président italien  Sergio Mattarella et validé par le Parlement  pour entrer en vigueur)  sera efficace a-t-il assuré   « pour combattre avec plus de force les mafieux et les passeurs, pour réduire les coûts d’une immigration exagérée, pour expulser plus rapidement les délinquants et les faux demandeurs d’asile, pour révoquer la citoyenneté aux terroristes, pour donner plus de pouvoirs aux forces de l’ordre. » Ne plus subir pourrait être la devise de ce nouveau gouvernement, autrement dit, où il y a une volonté, il y a un chemin !

    https://gollnisch.com/2018/09/25/ne-plus-subir/