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immigration - Page 747

  • Le Samedi Politique S02E03 L’impossible Islam de France ? avec Majid Oukacha

    Sarkozy, Hollande, Macron, tous ont eu à cœur de se pencher sur le sujet. Avec plus de 5 millions de musulmans – selon les chiffres officiels – en France, la tentation d’organiser l’Islam de France est devenue un serpent de mer de la vie politique. Au début du mois, Hakim El Karoui, ancien collègue du président Macron à la banque Rothschild et ancien conseiller de Jean-Pierre Raffarin a terminé un rapport sur l’islamisme pour l’Institut Montaigne.

    Au programme, taxe halal et arabe à l’école…

    Majid Oukacha, blogueur et essayiste (Il était une foi : l’Islam https://www.amazon.fr/était-une-foi-lislam-lhistoire/dp/1975751191), et ancien musulman nous livrera son analyse de la situation de l’Islam en France.
    https://www.tvlibertes.com/2018/09/22/25871/le-samedi-politique-avec-majid-oukacha

  • Crise migratoire, Macron et Merkel à l’attaque contre les gouvernements identitaires

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    Crise migratoire et arrivée au pouvoir de gouvernements décidés à protéger leur pays du Grand Remplacement ne font pas bon ménage : la rencontre des chefs d’États à Salzbourg en Autriche le 19 septembre dernier destinée à aplanir ou faire converger les divergences sur la gestion des flux de clandestins n’a vraiment pas été un succès de ce point de vue-là.

    Pour planter le décor d’une Union Européenne en crise, le jeune chancelier autrichienSebastian Kurz avait invité ses homologues à se réunir au Manège des rochers, une salle de concert de Salzbourg, cadre romantique aux lumières tamisées, pénombre annonciatrice du crépuscule des dieux de l’immigration, Jupiter Macron et Merkel l’ange noir de son peuple allemand…

    Aucun accord visant à rétablir la « redistribution » des migrants au sein de l’Europe et l’ouverture des ports italiens fermés par Matteo Salvini aux débarquements de clandestins n’a été trouvé entre les États membres de l’UE. Les désaccords subsistent entre les pays de l’Est et l’Italie d’un côté, résolument pour une politique de fermeté envers de l’immigration-invasion, et les pays de l’Ouest arrimés au couple immigrophile franco-allemand.

    Après cette défaite de l’humanitarisme mortifère pour les peuples européens, Emmanuel Macron a rejeté la responsabilité des « crises et tensions » par rapport aux migrants et à l’accueil sur les gouvernements qui usent selon lui d’une approche dure en « refusant ainsi de respecter le droit humanitaire et international ». Il a tout spécialement visé l’Italie qui n’accueille pas les bateaux de migrants. « Les pays ne veulent pas de Frontex ou de la solidarité ? Ils sortiront de Schengen. Les pays ne veulent plus de l’Europe ? Ils sortiront des fonds structurels » a-t-il menacé.

    Son message était proche de celui d’Angela Merkel. « Ce n’est pas possible que chacun choisisse ce qu’il veut » avait-elle déclaré lors de la discussion sur la « solidarité flexible » sur les migrants. Cette solidarité flexible, idée du président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, consisterait à faire payer les pays qui ne veulent pas de migrants par des contributions plus élevées. La proposition n’est pas du goût de la chancelière allemande qui préfère le crépuscule des peuples européens en inondant toute l’Europe de migrants…

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/crise-migratoire-macron-et-merkel-a-lattaque-contre-les-gouvernements-identitaires/98297/

  • Immigration : l’Europe toujours dans l’impasse

    Le billet de Patrick Parment

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    Au sommet européen de Salzbourg (Autriche), les 19 et 20 septembre,  où l’Anglaise Theresa May s’est sentie humiliée en raison du rejet de son plan de sortie de l’Europe, il a également été question d’immigration. Une fois de plus, les chefs d’Etat européens ont montré qu’ils étaient incapables de prendre des décisions fortes. Le pompon en revient, une fois de plus, à la calamiteuse chancelière allemande, Angela Merkel qui n’a rien trouvé de mieux que d’entraîner ses homologues européens sur la voie de la collaboration avec les pays d’Afrique du Nord : Egypte, Tunisie, Maroc. On se souvient des tractations que la dame avait voulu mener en solo avec la Turquie et qui ont fait l’objet d’un odieux chantage de la part des Turcs. Ce qui avait valu à ce pays d’empocher 6 milliards d’euros et d’exempter de visa les citoyens turcs  souhaitant voyager dans l’espace Schengen, véritable porte ouverte à une immigration déguisée.

    Une fois de plus Calamity Merkel entraîne l’Europe sur une voie de garage, car on sait trop bien que les aides apportées ne servent à rien. Les migrants empruntent toujours la filière turque et la Libye qui, depuis l’intervention du couple frénétique Sarkozy-Juppé, est ingérable en raison du chaos politico-militaire qui y règne. Et ce d’autant que pour les bandes armées qui font la loi dans le pays, les migrants constituent une véritable rente de situation. Il faut reconnaître que seule l’Algérie, ayant décidé d’employer la manière forte, évite d’avoir à affronter le problème.

    On comprend mal pourquoi, l’Europe n’emploie pas l’arme économique dont elle dispose pour ramener à la raison tous ces pays méditerranéens qui font office de transit à l’immigration subsaharienne. Menacer de couper les ponts économiques, toutes les aides et leur imposer de coûteux visas, voici qui les ramèneraient à une juste évaluation du monde mais serait surtout un signe fort pour toute l’Afrique subsaharienne qui verraient d’un coup toutes ces filières devenir obsolètes. Pour se faire, il nous faudrait des hommes de conviction et non pas des libéraux shootés aux indices boursiers de Londres ou Washington.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Julien Sanchez : « Un interdit religieux n’a pas à entrer à l’école »

    Le maire de Beaucaire Julien Sanchez a mis fin, en janvier 2018, aux repas de substitution qui étaient proposés dans les cantines scolaires de sa ville, les jours où du porc était servi. Pour cela, il doit faire face à la plainte déposée par trois associations, dont la LICRA, et par le préfet du Gard.

    Pour Boulevard Voltaire, Julien Sanchez revient sur cette affaire et dénonce un communautarisme grandissant qui porte atteinte à la laïcité.

    Vous passez mardi en procès pour trois plaintes sur le même sujet.
    Pouvez-vous nous expliquer de quoi il s’agit?

    À Beaucaire, commune de 16.000 habitants et 4e commune du Gard, depuis le mandat de mon prédécesseur en 2009, lorsque du porc était servi dans les cantines publiques des écoles, des repas de substitution étaient mis en place. J’ai mis un terme à ces repas de substitution depuis janvier 2018. La Licra, la ligue des droits de l’homme, le préfet du Gard au nom de l’État et une association locale d’opposants au Rassemblement national ont porté plainte.

    Vous reproche-t-on de faire acte de discrimination à l’égard d’enfants de confession ne leur permettant pas de manger du porc ?

    Non. On me reproche d’aller contre l’intérêt supérieur de l’enfant. Apparemment, certains aliments contreviendraient à l’intérêt supérieur de l’enfant. Le porc doit avoir des particularités que j’ignore.
    Car, pour moi, le porc n’est pas particulièrement allergène. Je ne regarde que cela lorsque je sers à manger aux enfants. La religion n’a pas à entrer dans une enceinte scolaire. C’est l’interdit religieux qui voudrait me dicter de faire un repas de substitution. Chez moi, ce n’est pas un interdit religieux qui dicte au maire ce qu’il a à faire. La République est supérieure à toute volonté personnelle comme l’engagement religieux.

    C’est une application stricte et simple de la laïcité.

    Oui. Une application qui consiste à ne pas vouloir qu’un interdit religieux dans une enceinte scolaire. S’il y avait des particularités allergènes, médicales ou autres, je voudrais bien l’entendre. Le porc n’est pas allergène. C’est une viande produite en France. Notre agriculture va suffisamment mal à cause de l’Union européenne. Il faut justement soutenir notre agriculture française. Il n’y a pas de raison de mettre un repas de substitution les jours où le porc est servi et uniquement ces jours-là. Je pourrais entendre que certains veuillent imposer un double choix tous les jours, certaines villes le font. Mais à Beaucaire, on offrait uniquement un 2e choix les jours où le porc était servi. Il n’y a aucune justification à cela.
    C’était contraire à l’intérêt supérieur de l’enfant puisque les enfants étaient sur des tables séparées selon ce qu’ils mangeaient. Les petits qui mangeaient du porc étaient à certaines tables et ceux qui n’en mangeaient pas étaient à d’autres tables. Ça fait penser à l’Apartheid.

    On peut comprendre que des associations portent plainte contre vous, mais comment expliquez-vous la plainte de la préfecture dans la mesure où l’intérêt supérieur de l’enfant est supérieur aux lois de ce pays ?

    J’étais très étonné de la plainte du préfet du Gard. Le mémoire du préfet est assez étonnant puisqu’il contrevient à mon sens à plusieurs principes.
    D’abord, à la libre administration des collectivités territoriales. Comme si le maire n’avait pas le droit d’annuler les repas de substitution. Un maire a le droit de modifier son plan local d’urbanisme, de supprimer des choses, de créer des impôts, de faire tout un tas de choses, mais il n’aurait pas le droit de supprimer des repas de substitution. Il doit y avoir une règle non écrite, parce que je n’étais pas au courant au moment de mon élection. Au moment de mon élection, on ne m’a pas dit que j’avais droit de tout faire sauf de supprimer les repas de substitution. C’est tout simplement une atteinte à la libre administration des collectivités territoriales.
    Ensuite, le préfet me dit que si à Beaucaire aucun repas de substitution n’avait été mis en place, nous aurions pu ne pas en avoir. Dans ce cas, ce n’est pas grave. En revanche, comme ces repas ont déjà été mis en place par mon prédécesseur, on me dit que je dois les maintenir.
    Donc quand un maire a privilégié le communautarisme lors de son mandat, on est ensuite condamné à maintenir le communautarisme dans les cantines. Le préfet nous dit que dans certaines villes, il peut y avoir des repas de substitution et dans d’autres, ne pas y en avoir.
    Le tribunal administratif va se poser la question de savoir pourquoi certaines villes auraient le droit et d’autres non. Je crois qu’il y a une atteinte au principe d’égalité des collectivités.
    Nous plaiderons cela et également le fait qu’un interdit religieux n’a pas à entrer dans une enceinte scolaire alors que le communautarisme prend de plus en plus d’ampleur en France.

    Julien Sanchez

    http://www.bvoltaire.fr/julien-sanchez-un-interdit-religieux-na-pas-a-entrer-a-lecole/

  • Comprendre que le choc des civilisations est une menace pour l’Europe

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    Ligne Droite cliquez ici

    Nombreux sont ceux qui, dans les hautes sphères du monde occidental, n’ont pas pleinement pris en compte la dimension multipolaire du monde d’aujourd’hui et rejettent l’idée même du choc des civilisations. Ligne droite considère au contraire que cet antagonisme constitue une réalité incontournable du XXIe siècle. Une réalité qui conduit la plupart des civilisations mondiales à s’opposer à l’Europe, la civilisation qui les a dominées dans le passé et leur donne aujourd’hui des leçons de morale. Elles le font par des moyens aussi puissants que l’immigration, le terrorisme, la concurrence économique sauvage ou la colonisation culturelle et, ce faisant, menacent la survie même de l’Europe.

    Le monde est multipolaire

    Depuis la chute du mur de Berlin en 1988 et l’effondrement du bloc soviétique, le monde a en effet considérablement changé. Il n’est plus structuré par l’affrontement idéologique entre l’Est et l’Ouest et, s’il a cessé d’être bipolaire, il n’est pas devenu unipolaire pour autant car les États-Unis, certes sortis vainqueurs de la guerre froide, sont loin d’avoir rassemblé le monde autour d’eux. En effet, la mondialisation économique a fait émerger d’autres entités dont certaines retrouvent leur puissance passée et qui s’imposent désormais avec force sur la scène mondiale. Aussi la planète est-elle devenue clairement multipolaire.

    Une réalité qui peine cependant à être reconnue par les Occidentaux. Les Américains continuent en effet de se comporter comme s’ils avaient le leadership mondial et leur hostilité obsessionnelle à l’égard de la Russie conduit à se demander s’ils ont réellement pris la mesure des mutations géopolitiques. Quant aux Européens, soumis comme toujours au politiquement correct, ils refusent la réalité du monde multipolaire, jugée non conforme à la vision mondialiste de la pensée unique. Il n’est donc pas étonnant dans ces conditions que le choc des civilisations qui résulte de cette nouvelle donne semble totalement absent de leurs préoccupations.

    Le choc des civilisations est une réalité

    Il s’agit pourtant d’une réalité majeure qui domine la scène internationale et détermine la plupart des conflits et des antagonismes que connaît le monde aujourd’hui. Les principaux pôles de puissance structurant la planète sont en effet tous porteurs d’une civilisation qui leur est propre et qu’ils affirment avec fierté. Tel est le cas de la Chine mais aussi de l’Inde et des États-Unis ainsi que de la Russie ou du Japon. C’est également le cas du monde musulman car ce dernier, s’il n’est certes pas organisé sur un territoire unique centralisé par un État fort, constitue néanmoins avec l’oumma des croyants une entité spécifique et puissante. Quant à l’Afrique et à l’Amérique du Sud, elles connaissent également l’émergence de fortes puissances tels le Brésil et, si elle ne se fourvoie pas, l’Afrique du Sud.

    L’Europe a suscité l’animosité des autres civilisations

    L’Europe est quant à elle un cas particulier car, si elle est porteuse d’une civilisation brillante et originale, rongée par la division et la bienpensance, elle ne constitue pas en l’état actuel un pôle de puissance géopolitique. Et, surtout, elle présente la singularité d’avoir été pendant de nombreux siècles la civilisation dominante, celle qui a conquis et soumis le monde entier, celle qui a imposé ses valeurs et sa culture à tous les peuples. Aujourd’hui, affranchis de cette tutelle, ceux-ci nourrissent à l’égard de l’Europe un sentiment sourd de revanche qui fait d’elle la cible des blocs civilisationnels qu’ils constituent désormais. Aussi subit-elle comme les États-Unis la rancœur de tous ceux qui ont eu autrefois à connaître son imperium.

    Cette situation est encore aggravée par la propension actuelle de l’Occident à vouloir imposer au monde entier ses principes et ses institutions, la démocratie et les droits de l’homme. Ce qui crée dans le monde une animosité croissante à son encontre, voire une hostilité qui se transforme en haine lorsque cette volonté d’imposer son modèle va jusqu’à l’emploi massif de la force armée comme ce fut le cas en Irak.

    Dans le choc des civilisations, l’Europe est la cible des autres puissances

    Dès lors, le choc des civilisations est bien réel, mais il ne se traduit pas comme certains pourraient le penser par un affrontement de toutes contre toutes. Il existe certes une concurrence entre les blocs civilisationnels qui prend parfois la forme d’affrontements locaux de nature identitaire mettant souvent aux prises des musulmans avec d’autres peuples. Mais, à l’échelle de la planète, le choc des civilisations est avant tout un antagonisme qui oppose toutes les civilisations à l’Occident et plus particulièrement à l’Europe. Celle-ci est donc bien, qu’on le veuille ou non, la principale  cible  du choc des civilisations, un choc qui s’apparente à une guerre plus ou moins larvée mais bien réelle. Car, contrairement à ce que l’on peut croire, ce choc des civilisations n’a rien de théorique ni de symbolique. Il ne s’agit pas d’une sorte de compétition culturelle mais d’un affrontement violent qui menace la survie même de l’Europe et se trouve être sous-jacent à tous les grands problèmes qu’elle rencontre aujourd’hui.

    Le choc des civilisations, c’est l’invasion migratoire et le terrorisme islamique

    Qu’est-ce en effet que l’immigration massive et incontrôlée que subissent les pays européens sinon une invasion non violente perpétrée par les civilisations musulmane et africaine qui cherchent à imposer à notre continent leurs peuples, leur culture et leur religion ? L’immigration de peuplement que nous subissons n’est finalement qu’une offensive pour substituer une autre civilisation à la nôtre et, avec ces mouvements migratoires, c’est le choc des civilisations qui s’impose sur notre sol.

    Il en va de même en plus violent avec le terrorisme islamique. Car ces attaques sanglantes lancées contre l’Europe sont bien le fait des tenants de la civilisation musulmane qui s’en prennent à la civilisation européenne et chrétienne.

    Le choc des civilisations, c’est la guerre économique provoquée par la libéralisation des échanges

    Sur le plan économique, le libre-échangisme sauvage a permis aux nations autrefois sous-développées, et principalement à la Chine, de lancer contre l’Europe une offensive industrielle et commerciale qui les a conduites à s’emparer d’une partie du potentiel économique européen. Comment en effet ne pas voir que, sous couvert de libéralisation des échanges, c’est une véritable guerre économique qui nous est faite et qui se traduit pour l’Europe par des pertes considérables de richesse génératrices de chômage et d’appauvrissement ?

    Le choc des civilisations, c’est l’offensive culturelle américaine

    Si l’on dissocie l’Europe du bloc occidental, force est aussi de constater que notre continent subit sur le plan culturel les assauts civilisationnels des États-Unis d’Amérique. La langue, les usages, les mœurs et les arts venus d’outre-Atlantique s’imposent à nous au point d’effacer ce qui faisait la spécificité culturelle de la civilisation européenne. Un processus qui n’a rien de naturel et qui s’apparente bien à une guerre, certes très feutrée mais bien réelle, engagée contre nous par les États-Unis dès la fin du second conflit mondial.

    Aussi faut-il regarder la réalité en face : l’Europe subit un choc des civilisations de très grande amplitude qui se manifeste à la fois sur le plan militaire avec le terrorisme, sur le plan identitaire avec l’immigration, sur le plan économique avec la mondialisation et sur le plan culturel avec l’américanisation.

    Il est donc temps que les Européens se réveillent et prennent conscience de la guerre civilisationnelle qui leur est faite. Il est grand temps qu’ils s’érigent enfin en un pôle de puissance pour défendre leur commune civilisation.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’immigration aggrave la crise politique en Allemagne

    L’immigration aggrave la crise politique en Allemagne

    D’Olivier Bault dans Présent :

    De nouvelles tensions se font sentir en Allemagne entre les trois partis de la grande coalition : la CDU de la chancelière Angela Merkel, la CSU bavaroise du ministre de l’Intérieur Horst Seehofer et le SPD social-démocrate. La raison de ces tensions : la promotion au poste de secrétaire d’Etat chargé de la sécurité au ministère de l’Intérieur de Hans-Georg Maassen, le chef de l’Office fédéral de protection de la Constitution (BfV), le service de contre-espionnage allemand.

    La gauche voulait la peau de Maassen depuis qu’il avait mis en doute l’authenticité d’une vidéo circulant sur Internet sur laquelle on voyait des manifestants présumés de Chemnitz pourchasser des immigrants. Merkel elle-même s’était basée sur cette vidéo pour dénoncer des scènes « de chasse à l’homme collective » et de « manifestations de haine » qui « n’ont pas leur place dans un Etat de droit ».

    Comme nous l’avions signalé dans Présent le 6 septembre, le procureur général de Saxe avait démenti « l’existence d’une chasse anti-immigrés ». Le ministre-président de Saxe, membre de la CDU, avait vertement critiqué les médias et les membres de la classe politique pour leurs manipulations, et Hans-Georg Maassen avait affirmé publiquement « partager le scepticisme envers les informations des médias sur des extrémistes de droite qui auraient pourchassé » des étrangers car, a-t-il dit, « il n’y a aucune preuve que la vidéo de cet incident présumé qui a circulé sur Internet soit authentique ».

    Le désaveu était cuisant pour Angela Merkel, mais aussi pour la gauche qui accusait l’AfD, coorganisateur de certaines des manifestations à Chemnitz, de « coopérer avec les néonazis », certains députés du Bundestag demandant même que le parti national-conservateur soit mis sous surveillance par le BfV de Maassen. Dans la foulée, on a accusé Maassen d’avoir transmis les données sensibles d’un rapport confidentiel à l’AfD.

    Tabassé à mort par plusieurs « migrants »

    Après Chemnitz, des manifestations du même type éclataient dans la ville de Köthen à la suite de la mort par infarctus d’un jeune Allemand violemment tabassé par plusieurs « migrants ». La peur de voir les troubles s’étendre imposait sans doute, aux yeux de la gauche immigrationniste, de changer au plus vite le chef du contre-espionnage qui refusait de prendre part à la propagande politico-médiatique contre les manifestants de Chemnitz et Köthen.

    Oui, mais voilà : le ministre de l’Intérieur, Horst Seehofer, a de nouveau mis sa démission dans la balance, et il a donc fallu à Angela Merkel négocier un compromis pour sauver son fragile gouvernement. Le compromis en question a donc consisté à promouvoir Maassen au poste de secrétaire d’Etat afin de libérer la place de chef du BfV, ce qui provoque aujourd’hui la fureur de la gauche.

    https://www.lesalonbeige.fr/limmigration-aggrave-la-crise-politique-en-allemagne/

  • I-Média n°216 – Faut-il censurer Zemmour ?

    Et si Hapsatou s’appelait Corinne ?

    « Votre prénom fait insulte à la France », Ce sont les mots d’Eric Zemmour face à Hapsatou Sy sur le plateau des Terriens Du Dimanche. Le journaliste aurait dérapé et Hapsatou menace de porter plainte. Mais l’indignation apparait comme orchestrée.

    Le zapping d’I-Média

    La mer méditerranée pourrait « devenir un camp de d’extermination comme n’importe quel camp nazi ». Sur AJ+ , le média Qatari, George Gumpel, ancien rescapé des camps de concentration, fait une compara raison pour le moins osée. Mais oublie que les « migrants » ont choisi de venir en Europe.

    Faut-il censurer Zemmour ?

    Eric Zemmour aurait il fait le dérapage de trop ? Après le clash dans l’émission les Terriens du dimanche, nombre de journalistes s’indignent et en appellent à la censure du journaliste.

    Les tweets d’I-Média

    France Info continue de prétendre que l’agression d’une athlète noire en Italie était « raciste ». Relayant un incident à la Mostra de Venise, Jean Marc Fou, directeur de l’information internationale de Radio France a fait référence à l’agression de Daisy Osakua qui avait reçu fin juillet un œuf dans la figure. Sauf que l’agression était le fait de trois jeunes chahuteurs inspirés par les réseaux sociaux, Le « racisme » n’avait rien avoir dans cette histoire.

    Benalla, les contre-feux

    Affaire Benalla, le retour ! Alors que l’audition du bras droit d’Emmanuel Macron enflamme les réseaux sociaux, la justice et les médias organiseraient un contre feux en ressortant plusieurs affaires politico-judiciaires : Fillon , Guéant, Sarkozy.

    https://www.tvlibertes.com/2018/09/21/25867/i-media-n216-affaire-zemmour-hapsatou-sappelait-corine

  • 1300 policiers à l’assaut des zones de non-droit

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    L’annonce d’un prochain départ du ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, intervient au moment précis où s’opère le premier déploiement d’un contingent de 1 300 policiers aguerris, qui vont être affectés à soixante zones que l’on n’ose appeler des zones de combat. Une véritable petite armée, donc, pour affronter ce qui est devenu une guérilla urbaine.

    Sans aller jusqu’à regretter le politicien Collomb – qui tenait beaucoup de l’inspecteur Colombo, mais sans avoir à son actif le même pourcentage de réussite –, on ne peut que s’interroger sur l’annonce de son départ, formulée si tôt, alors que démarrent seulement les premières opérations de « reconquête ».

    Les élections municipales sont prévues pour 2020, sans doute en mars. Et si Collomb se réoriente dès maintenant sur la ville de Lyon, c’est la certitude d’une vacance à la tête du ministère de l’Intérieur, quelle que soit la date effective de sa démission, et quelles que soient les qualités de son successeur. La reconquête des « quartiers difficiles », des « cités », fait partie de ces dossiers qui nécessitent une grande disponibilité, une autorité non contestée, du sang-froid, et un certain sens politique.

    Aujourd’hui les voyous se sentent mieux protégés que les policiers. Les émeutes de Nantes, en juillet dernier, l’ont encore montré. Comme l’ont montré les saccages après la Coupe du monde de football. La reconquête doit d’abord s’opérer dans les têtes, à commencer par les têtes des policiers, ces derniers n’ayant plus aucune confiance dans les hautes sphères de leur hiérarchie.

    Mardi, Gérard Collomb a solennisé, à la cité des Tarterêts, à Corbeil, la mise en place de « quartiers de reconquête républicaine » (QRR). Reconquête ? Mais quel sinistre aveu ! Cela signifie donc qu’actuellement ces territoires sont perdus, qu’ils sont occupés par l’ennemi. Et l’ennemi, ce sont les trafiquants de drogue, les islamistes, les mafias maghrébines ou d’Afrique subsaharienne, que rejoignent actuellement des milliers de clandestins.

    De la sympathie pour les « républiques islamiques »

    Mais pourquoi une reconquête « républicaine » ? Aucune reconquête royaliste n’est à l’ordre du jour, dans ces quartiers. Serait-ce pour éviter de parler de reconquête française ?

    Car l’Etat islamique se veut aussi républicain que nos républicains. Les trafiquants de drogue ne remettent pas en cause la République. On peut même dire qu’ils sont parfaitement indifférents à la forme de nos institutions, même s’ils regardent avec sympathie du côté des… « républiques islamiques » africaines.

    Collomb a reconnu qu’un « contre-modèle social » était désormais implanté dans ces quartiers. Cette injection massive de policiers sur les soixante principales zones de non-droit montre pour l’heure une prise de conscience de la dimension quasiment militaire de cette « reconquête ».

    C’est une véritable petite guerre qui se prépare. Et en ce sens, l’emploi du mot reconquête n’est pas innocent. Même si l’on sait que la vraie victoire ou la défaite ne se jouera pas sur le terrain, mais à Paris, dans les arcanes ministériels, dans les médias.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • Marine Le Pen convoquée pour une expertise psychiatrique : URSS, le retour

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    Jusqu’où ira le régime dans sa persécution du premier parti d’opposition ?

    Non, chers auditeurs, les faits ne se déroulent pas dans l’URSS du temps du regretté maréchal Brejnev qui internait ses opposants dans des hôpitaux psychiatriques, mais dans la France contemporaine, sous la présidence éclairée d’Emmanuel Macron. Rappelons la genèse de l’histoire. En décembre 2015, le journaliste Jean-Jacques Bourdin, recevant Gilles Kepel au micro de BFMTV, s’est payé l’incroyable culot de faire le parallèle entre le FN et… Daech ! Dénonçant, je cite un « dérapage inacceptable » et des « propos immondes », Marine Le Pen avait alors posté sur son compte Twitter trois photos d’exaction de l’Etat islamique, avec ce commentaire laconique : « M. Bourdin, Daech, c’est ça ! ». Le jour-même, Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur de l’époque, procédait à un signalement de ces photos auprès de la direction de la police judiciaire, et, séance tenante, le Parquet aux ordres lançait une enquête pour, je cite, « diffusion d’images violentes ». Un délit passible d’une amende de 75.000 euros et de 5 ans d’emprisonnement. « Je suis mise en examen pour avoir dénoncé l’horreur de Daech. Dans d’autres pays ça me vaudrait une médaille » avait alors ironisé la patronne du FN, ajoutant, je cite toujours : « La persécution politique n’a même plus la limite de la décence ». De son côté, Gilbert Collard, également mis en examen pour le même motif, avait enchéri, je cite : « Bourdin compare le FN à Daech : le poids des mots, le choc des bobos ! »

    Mais les limites de la décence viennent d’être pulvérisées…

    Dans le cadre de cette affaire, Marine Le Pen vient en effet d’être convoquée pour une… expertise psychiatrique ! « Bien entendu, je n’irai pas », a prévenu hier la patronne du Rassemblement National, ajoutant, je cite toujours : « J’attends de voir comment les magistrats comptent m’y contraindre », fin de citation. Rappelons que dans le cadre de l’affaire des assistants parlementaires du FN, les juges financiers français Renaud van Ruymbeck et Claire Thépaut – cette dernière, membre du très rouge Syndicat de la magistrature – ont obtenu la saisie de 2 millions d’euros d’aide publique due au Rassemblement national, alors même que l’affaire n’est pas encore jugée et que le parti de Marine Le Pen est donc présumé innocent. Oui, en vérité, toute ressemblance avec la défunte Russie brejnévienne ne serait que pure coïncidence…

    https://www.radiocourtoisie.fr/2018/09/21/bulletin-de-reinformation-du-21-septembre-2018/

  • Éric Zemmour a raison : les prénoms sont les symptômes de la santé d’une civilisatio

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    Les enfants ne sont pas responsables de leur prénom, les parents, si ! Après la polémique qui a opposé Éric Zemmour à la chroniqueuse Hapsatou Sy, dans la dernière émission des « Terriens du dimanche », le site Fdechouche a publié une étude sur l’octroi des prénoms en France. Elle constate la chute des prénoms issus du calendrier grégorien au profit de prénoms, plus ou moins excentriques, rattachés à une mode par nature éphémère, ou de prénoms musulmans.

    On ne s’étonne guère que, non seulement la Seine-Saint-Denis ou les Bouches-du-Rhône, mais de plus en plus de départements subissent ce phénomène. Certains se réjouissent du triomphe de la diversité française. D’autres, sans doute plus lucides, voient, dans le choix d’un prénom étranger, notamment musulman, la volonté de marquer sa différence et le refus de s’intégrer. Quand Éric Zemmour estime que la mère d’Hapsatou Sy « a eu tort » d’appeler ainsi sa fille, il considère avec regret que ce n’est pas un signe de la volonté de s’intégrer.

    Il est évident, surtout dans les circonstances actuelles, que donner un prénom lié à l’islam ne facilite guère l’intégration, encore moins l’assimilation. Pour Éric Zemmour, la France est « une terre avec une histoire, un passé » et « les prénoms incarnent l’histoire de la France » : l’affirmer, ce n’est pas insulter ceux qui portent un prénom étranger ni leur enlever le droit d’être un enfant de la République.

    Mais appeler aujourd’hui son enfant Mohammed n’est pas neutre. C’est, en effet, le prénom du prophète de l’islam (à la réputation pour le moins controversée). Loin d’être un signe positif d’intégration, c’est une marque de défiance envers la France, sa culture et ses racines, puisque l’islam ne fait aucune distinction entre le religieux et le politique. Rien n’empêcherait les parents, s’ils voulaient garder un lien avec leur culture d’origine, de manifester, pour eux et leurs enfants, la volonté de s’intégrer en choisissant, en premier, un prénom français et, en second, un prénom usité dans le pays d’où ils viennent.

    Mais veulent-ils, précisément, s’intégrer ? L’existence de quartiers où l’on se sent étranger quand on y pénètre est la preuve qu’une partie de la population d’origine immigrée ne souhaite pas aimer la France. Ou ne l’aimerait que si elle adoptait toutes les coutumes et les préjugés issus de l’islam. Il n’est même pas besoin d’être adepte des théories du Grand Remplacement pour constater que c’est déjà ce qui se passe dans certains territoires.

    Quand, dans Un président ne devrait pas dire ça, le livre de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, François Hollande révèle ce qu’il pense véritablement de l’immigration, de l’islam et de l’identité, il ne fait que répéter le sentiment de beaucoup de Français : « Comment peut-on éviter la partition ? Car c’est quand même ça qui est en train de se produire : la partition. » Dommage qu’il n’en ait pas tiré les conséquences quand il était au pouvoir.

    Au lieu de favoriser l’assimilation des populations d’origine immigrée, dont une grande partie est de confession musulmane, nos dirigeants, par angélisme ou par adhésion au multiculturalisme, cèdent aux revendications communautaires, dont relève le choix du prénom. C’est tout juste s’ils ne stigmatisent pas les parents qui choisissent un prénom tiré du calendrier des saints et ne se félicitent pas de voir fleurir les prénoms musulmans, comme un signe de renouveau.

    Nos dirigeants marchent sur la tête et, tels des nécrophiles, se réjouissent d’une France moribonde, oublieuse de ses racines.

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/eric-zemmour-a-raison-les-prenoms-sont-les-symptomes-de-la-sante-dune-civilisation/