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François Bégaudeau a encore frappé. Lundi 19 mai, l’écrivain chéri des médias de gauche était l’invité de la chaîne YouTube Crépuscule. L’occasion pour lui de jacter et s’écouter parler de littérature, de psychanalyse, mais aussi de sujets plus prosaïques comme celui de l’immigration.
Qui sont les traitres ? Qui sont ceux qui ont fait le lit des Frères musulmans en France ? Le rapport déclassifié sur leur infiltration, publié ce mercredi par Le Figaro, a été initié par Bruno Retailleau. Ce document confirme l’emprise de l’islam politique, champion de la dissimulation et de la victimisation, dans les rouages de la société. Cette mise au jour officielle de l’offensive frériste servira de base de réflexion à un Conseil supérieur de la défense nationale qui se tiendra ce matin à l’Elysée. Après les attentats islamistes de 2015, Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, déclarait encore : « Pour ma part, je ne parlerai jamais d’ennemi intérieur ».
Le cinéma français dans toute sa laideur. Alors que le Festival de Cannes bat son plein, certains acteurs en profitent pour se mettre en avant et afficher leur vertu. Nous avons ainsi eu droit au discours de l’inévitable Juliette Binoche, recouverte d’un linceul blanc en hommage à une Palestinienne morte à Gaza, ainsi qu’à un triste monologue de Laurent Lafitte en soutien aux migrants et aux « LGBTQIA+ ». Il ne manquait plus qu’un laïus sur les péchés de la France et son devoir impérieux de repentance. C’est désormais chose faite, grâce à Mathieu Kassovitz.
La quinquagénaire sortait de la station de métro Dupleix, vers 1 heure du matin, lorsqu’un inconnu l’a alpaguée avant de soulever sa jupe et de lui toucher les fesses.
On a l’air de commencer à s’inquiéter de l’entrisme des Frères musulmans en France. Mais on prend garde de bien les séparer de l’islam, ce qui fait penser à l’islamisme, qui n’a rien à voir avec l’islam, évidemment, qui est une religion de paix et d’amour, tout le monde sait cela. Ainsi la mascarade peut continuer. Tout comme les attentats aux cris de Allah Akbar n’ont rien à voir avec l’islam, les Frères musulmans sont à bien distinguer de l’islam afin de ne pas froisser « l’immense majorité » qui s’intègre parfaitement à la République. Qui s’intégrerait plutôt, uniquement dans le discours, car en pratique, ce n’est pas l’impression qu’on en a en regardant nos rues, désormais bordées de commerces communautaires, coiffeurs, barbiers, épiceries, dont on sait pertinemment que ce sont les façades à peu près acceptables d’un large processus de blanchiment d’argent sale. Ces mêmes rues qui se constellent de femmes voilées, lesquelles font le forcing pour entrer avec leur accoutrement, dans les écoles et les sports de compétition.
Il y a des « romans » d’anticipations qui très rapidement dépassent la fiction et de très loin. Ce fut le cas pour 1984 de George Orwell, qui décrivait la main mise totalitaire sur la société par la surveillance généralisée, une novlangue obligatoire, et l’interdiction absolue d’émettre des idées contraires à la doxa, comme le wokisme islamogauchiste qui gangrène toute la société désormais. Nous en vivons aujourd’hui en Europe tous les stigmates liberticides. Et bien le rapport des services de renseignements de 73 pages, déposé sur le bureau de Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, pour décrire l’emprise et la ramification des Frères musulmans sur la société française, démontre que les lanceurs d’alerte qui furent insultés et vilipendés, avaient une fois de plus raison, mais comme le disaient les romains il y a plus de 2 000 ans : Vox clamantis in deserto.
Les faits se sont déroulés en quelques minutes, en plein centre-ville de Givors. Vendredi 16 mai vers 21 heures (…) Selon les premiers éléments rapportés par le Progrès, un homme se serait approché d’elle, aurait tenté de l’embrasser de force et de lui baisser son pantalon.
« Faire basculer toute la société française dans la charia. » Alors que le rapport sur « Les Frères musulmans et l’islamisme politique en France », commandé par Gérald Darmanin, sera présenté ce mercredi 21 mai par Bruno Retailleau en Conseil de défense, une version déclassifiée a d’ores et déjà été publiée dans les colonnes du Figaro. Long de 73 pages, ce document conclut à l’existence d’un « risque frériste » en France. 139 lieux de culte affiliés aux Musulmans de France - « principale émanation des Frères musulmans en France » -, 280 associations, 21 établissements scolaires… Le rapport dresse le portrait d’une France gangrenée par les réseaux fréristes. Preuve du succès des Frères musulmans sur le territoire, un nombre non négligeable de Français de confession musulmane partagent désormais le « sentiment d’une "islamophobie", qui tend à devenir la croyance en une "islamophobie d’État" », notent les auteurs du rapport. Et si « le secteur éducatif apparaît comme la priorité de la branche française des Frères musulmans », le rapport appelle à ne pas négliger pour autant le « dynamisme de la prédication 2.0 ». En effet, comme le souligne le document déclassifié, les influenceurs « sont souvent une première porte d’entrée dans la découverte de l’islam et sont devenus le lien entre les idéologies islamistes et les jeunes francophones européens ».
« Il aurait reçu un coup de hache sur la route avant de venir s’écrouler sur le parking et de perdre tout son sang, soupire l’élu Moktar Allouache, adjoint au maire de Nogent-sur-Oise. C’est tellement choquant, rien que d’en parler j’en ai des frissons. » (…)
On a l’air de commencer à s’inquiéter de l’entrisme des Frères-Musulmans en France. Mais on prend garde de bien les séparer de l’islam, ce qui fait penser à l’islamisme, qui n’a rien à voir avec l’islam, évidemment, qui est une religion de paix et d’amour, tout le monde sait cela. Ainsi la mascarade peut continuer. Tout comme les attentats aux cris de Allah-Akbar n’ont rien à voir avec l’islam, les Frères Musulmans sont à bien distinguer de l’islam afin de ne pas froisser « l’immense majorité » qui s’intègre parfaitement à la République. Qui s’intégrerait plutôt, uniquement dans le discours, car en pratique, ce n’est pas l’impression qu’on en a en regardant nos rues, désormais bordées de commerces communautaires, coiffeurs, barbiers, épiceries, dont on sait pertinemment que ce sont les façades à peu près acceptables d’un large processus de blanchiment d’argent sale. Ces mêmes rues qui se constellent de femmes voilées, lesquelles font le forcing pour entrer avec leur accoutrement, dans les écoles et les sports de compétition.