La victime présentait une profonde blessure au cou, “à la limite d’une décapitation”. Jean-François Assal a décrit “un geste d’une violence extrême au niveau des vertèbres”, en ajoutant que “la force exercée sur le cou était importante”. L’autopsie a confirmé que la jeune femme avait été égorgée et qu’elle présentait 16 blessures, dont des plaies de défense, indiquant une tentative de résistance.
La mère de la victime, retrouvée assise sur le lit en train de marmonner des prières, a été interpellée. “Bien que Française, née en France et ayant fait des études en France, elle a refusé de communiquer autrement qu’en langue arabe”, a déclaré le procureur.