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immigration - Page 859

  • Une loi pour incarcérer les fichiers S !, par Guy Rouvrais

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    Il n’y aurait donc rien à faire ! Les fichés S n’ayant rien commis d’illégal et n’étant pas condamnés, on ne saurait les incarcérer ou les mettre en rétention. Il faut attendre. Quoi ? Qu’ils nous aient frappés ! Et, alors là, vous verrez la machine policière et judiciaire se déployer dans toute sa force et les complices impitoyablement traqués. Et d’ici là ? Rien. On garde seulement un œil sur eux, on fait des « sondages » pour savoir où ils en sont, mais s’ils se tiennent tranquilles, on les laisse en paix. Redouane Faïd était de ceux-là, père peinard du salafisme, charmant garçon aux dires de ses voisins, rien ne laissait présager un passage à l’acte. Daech est prompt à exploiter les failles de nos moyens de répression, il est probable qu’il conseille à ses sbires de ne pas se faire remarquer pour qu’on abandonne leur surveillance et qu’ils puissent ainsi semer la terreur.

    Les Français en ont assez d’entendre nos ministres nous expliquer après chaque attentat ou presque, que l’assassin islamiste, fiché S, était bien connu des services de police et que, d’ailleurs, il allait être convoqué sous peu pour faire le point avec lui. De deux choses l’une : ou bien le fichage doit permettre d’empêcher ceux qui y figurent d’agir ou s’il n’est pas fait pour ça, il est inutile. Or, ceux qui y sont inscrits sont des suspects, potentiellement capables de tuer, égorger, poser des bombes. Dans ce cas, le principe de précaution qui figure dans notre Constitution, devrait imposer de les mettre hors d’état de nuire avant qu’ils frappent.

    Mais la loi ne nous le permet pas, dit-on à gauche et à droite. Alors, si la loi actuelle ne l’autorise pas, faisons-en une nouvelle ! Les temps changent, la loi change. N’est-ce pas ainsi qu’on justifie la légalisation de l’avortement, le « mariage » gay, la PMA ? Puisque les mœurs évoluent, la loi doit suivre, dit-on. Ne serait-ce donc valable que pour la dégradation des mœurs et non pas la protection de nos concitoyens ?

    C’est une question de volonté politique, le juridique suit, il y a dans les cabinets ministériels des spécialistes ! Quand on a voulu bâillonner les partisans du respect de la vie, bafouer le droit à la liberté d’expression, on a inventé ce délit inédit « d’entrave à l’avortement », visant à empêcher de fournir aux femmes enceintes une alternative à l’avortement. Où étaient-ils alors les thuriféraires de l’Etat de droit ?

    Mais si la créativité juridique est en panne pour empêcher les fichés S de tuer, qu’on se réfère à l’action de tous les Etats quand ils sont en guerre : ils mettent en rétention les ressortissants des pays étrangers à titre préventif. Ce qui fut fait en France, en 1939, lors de la déclaration de guerre : des milliers d’Allemands résidant sur notre sol furent mis en rétention à Montrouge et au Vél d’Hiv. Ils n’avaient rien fait contre nous, mais ils représentaient un danger potentiel. Or, nous sommes en guerre contre le terrorisme islamique. Les gouvernements successifs nous l’ont dit et répété. S’il ne s’agit pas d’une simple façon de parler pour prendre la pose du chef de guerre, il faut passer de la parole aux actes et appliquer les lois de la guerre en incarcérant les fichés S qui ont fait acte d’obédience à l’Etat islamique.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 28 mars 2018

    https://fr.novopress.info/210188/une-loi-pour-incarcerer-les-fichiers-s-par-guy-rouvrais/

  • Allemagne : une élève est battue parce qu’elle est blonde et chrétienne, le directeur d’école lui conseille le hijab

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    Allemagne – dans une école de Francfort, une élève a été victime de harcèlement par des élèves musulmans parce « qu’elle était blonde, chrétienne et ne portait pas de foulard islamique », le directeur de l’école a suggéré que la victime devait se couvrir d’un hijab pour avoir la paix.

    La mère de l’élève a confié à BILD que sa fille était victime de harcèlement de la part de filles musulmanes à un point tel qu’elle devait «la faire sortir de l’école pour la protéger».

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  • « FICHES « S » ? LA METHODE ROOSEVELT !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat 

    Longue est la liste des crimes commis par les adeptes de Dae’ch dans notre pays : deux gendarmettes abattues en 2012 dans le Var, un chef d’entreprise décapité, la tuerie de « Charlie Hebdo » et de l’hyper cacher de la Porte de Vincennes, deux policiers assassinés devant leur enfant, à leur domicile dans les Yvelines, deux jeunes filles égorgées à la Gare Saint-Charles de Marseille, un policier tué sur les Champs Elysées, sans oublier, bien sûr, les massacres du Bataclan et de Nice, les crimes de Mérah à Toulouse. Et dans l’Aude, la furie islamiste a encore frappé la semaine dernière. Et c’est dans ce contexte que Macron a supprimé l’état d’urgence qui permettait, un peu, de semer la crainte dans les milieux djihadistes en France et facilitait, surtout, la tâche des forces de l’ordre, pour perquisitionner les domiciles des suspects.

    On nous dit, à la louche, qu’il y aurait une vingtaine de milliers de suspects fichés « S » qui se baladent dans la nature, plus ou moins surveillés par nos services de sécurité et de renseignement. Sachant qu’il faut, au minimum, une dizaine d’agents pour effectuer la surveillance d’un terroriste potentiel 24 h sur 24, on mesure là, l’impossibilité matérielle qu’il y a à assurer une totale sûreté à nos concitoyens.

    Expulser les suspects étrangers, supprimer la double nationalité

    D’efficaces mesures pourraient, pourtant, être prises rapidement. D’abord expulser tous les suspects étrangers dans leur pays d’origine, retirer la citoyenneté française à ceux qui ont une double nationalité, - on ne peut être à la fois de Sparte et d’Athènes, de Rome et de Florence !-, refuser le retour des familles de « repentis » des théâtres d’opération de l’Etat islamique, supprimer toutes les aides sociales à ces suspects. Et, bien sûr, n’accorder de visa aux ressortissants des pays touchés par l’islamisme militant, qu’au compte-goutte.

    Roosevelt n’avait pas fait dans le détail !

    Le 7 décembre 1941, une attaque aéronavale japonaise commandée par l’amiral Tojo, en deux vagues successives d’un total de 400 avions, avaient détruit 188 appareils US, tué 2043 Américains et blessé 1178 autres à Pearl Harbour, dans l’ile d’Oahu, archipel des îles Hawaï. La réaction ne se fit pas attendre. Le 19 février 1942, soit deux mois après, le Président des Etats-Unis Roosevelt, signait l’ordre d’incarcération des quelques 110 000 Japonais et Américano-japonais résidant aux USA. Dans le cadre du War relocation centers, ils étaient internés : hommes, femmes, vieillards et enfants, dans des baraquements dressés en toute hâte dans les Etats de Californie, de Washington et d’Oregon, sur la côte Ouest. Après expulsion des indésirables du territoire français, les autorités françaises devraient interner ou mettre en résidence forcée tous les autres « fichés S ». De Gaulle le fit à l’encontre des patriotes « Algérie française », hélas une référence ! Cela nécessiterait, certes, une logistique importante. Mais l’armée, la gendarmerie et leurs réservistes sont là : camps de toile et Algécos feraient l’affaire. Demandons la recette à l’ancien Shérif Arpaio du comté de Phoenix, en Arizona, où il est candidat républicain aux sénatoriales, il connait son affaire ! Et rien n’empêcherait ceux à qui le goût de la semoule viendrait à manquer d’aller demander l’asile dans un pays du Maghreb ou du golfe par exemple !

    Un héros français

    Le sacrifice suprême du colonel Arnaud Beltrane qui a offert sa vie pour sauver un otage, est la marque d’un homme d’honneur. Combien de ces étoilés et autres politiciens présents à la cérémonie des Invalides seraient capables d’un tel geste ? Qui d’entre nous ? Soyons honnêtes, fort peu. C’est d’autant plus écœurant que cet hommage rendu à l’héroïque officier, avait comme une odeur de récupération par un pouvoir qui, s’il ose, enfin, désigner l’ennemi, n’a pas, - pas encore ? -, choisi tous les moyens, TOUS les moyens mis à sa disposition pour éradiquer ce mal qu’est l’islamisation rampante de notre patrie avec, surtout, son volet fondamentaliste.

    Islamophobie ?

    Certains diront que l’on ne peut stigmatiser un segment de la population et, qu’en aucun cas, il ne faut pratiquer l’amalgame. C’est vrai que beaucoup de nos compatriotes musulmans vivent sous le règne de l’omerta, et qu’ils ne sont, ni de près, ni de loin, des adeptes du terrorisme islamiste. Mais force est de constater que les « territoires perdus de la République » et autres « zones de non droit », sont les taches noires de la triste peau de léopard qu’est devenu l’hexagone, et que ce ne sont ni des Lapons, ni des Esquimaux, encore moins des bushmen qui les peuplent. Et c’est là que se pratiquent de juteux trafics divers et variés. Les autorités militaires, en tout cas, en sont bien conscientes, puisqu’elles entrainent leur infanterie dans des « Cenzub », ou Centre de combat en zones urbaines. Et mon petit doigt me dit que des officiers israéliens nourris des expériences au Sud-Liban et dans la bande de Gaza, doivent inspirer nos penseurs militaires ! Car, un jour, à défaut d’un inacceptable consentement d’une partition du pays, il faudra bien reconquérir tous ces quartiers, toutes ces cités sans âme, où le terrorisme islamiste trouve un fertile terreau en dépit des milliards déversés depuis des années dans le cadre de l’inefficace « politique de la ville ». En un mot comme en cent, « il faudra prendre le taureau par les cornes », si je puis dire !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/03/28/fiches-s-la-methode-roosevelt-6038552.html

  • Le gouvernement tarde à réagir contre l’invasion de Mayotte

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Cela fait aujourd’hui une semaine que les autorités de l’État à Mayotte ne peuvent plus reconduire chez eux les Comoriens en situation irrégulière. Le gouvernement de l’Union des Comores a en effet pris la décision de refuser de laisser débarquer les Comoriens faisant l’objet d’une décision d’éloignement. Le bateau qui fait presque quotidiennement la navette, et qui raccompagnait près de 100 Comoriens dans l’île d’Anjouan, avait ainsi dû faire demi-tour mercredi dernier.

    Le ministre de l’outre-mer, Annick Girardin, avait promis une « action ferme et déterminée » du gouvernement à l’égard des Comores, mais on ne voit toujours rien venir !

    La décision unilatérale de l’Union des Comores place Mayotte dans une situation catastrophique. Le centre de rétention est plein et plus aucune expulsion forcée ne peut être organisée depuis une semaine. Or, chaque année, ce sont environ 20 000 Comoriens qui sont reconduits à la frontière, sans que l’on ne soit bien sûr qu’il n’en rentre pas davantage sur le territoire chaque année… Si d’aventure les Comoriens en situation irrégulière ne sont plus éloignés, Mayotte sera submergée, sauf réactions de la population.

    Face à l’impuissance croissante des autorités, les citoyens mahorais commencent à s’organiser eux-mêmes pour faire face à l’invasion.

    De fait, des comités dits de décasage ont été constitué, notamment dans le Nord de l’île. Il s’agit pour les Mahorais de se regrouper pour inciter les clandestins à abandonner leurs cases illégales et à rentrer chez eux. S’ils ne partent pas, ils les conduisent à la gendarmerie. Mais si l’État ne peut plus les éloigner, on peut redouter que ces groupes mahorais fassent disparaître les intrus par d’autres moyens plus radicaux. En attendant, certains Comoriens ont accepté de repartir aux Comores de leur plein gré, par avion aux frais de l’État.

    A Paris, l’exécutif peine à prendre les décisions qui s’imposent.

    Selon Le Monde, le ministère de l’outre-mer et Matignon plaident pour un renforcement de la coopération avec l’État comorien, en contrepartie d’un engagement de sa part à lutter contre l’immigration clandestine. Le ministère des affaires étrangères, qui a l’oreille de l’Élysée, suggère quant à lui de créer une association entre Mayotte et les Comores dans le cadre d’un accord de coopération régionale.

    S’il n’est guère contestable que la place de Mayotte devrait être dans les Comores et non en France, la faiblesse de l’exécutif dans cette crise diplomatique est effarante.

    Il suffirait en effet de bloquer les visas et permis de séjour des Comoriens, ainsi que les transferts de fonds vers les Comores, pour débloquer pacifiquement la situation. L’ancien député Mansour Kamardine et Marine Le Pen ont chacun fait des propositions dans ce sens.

    https://fr.novopress.info/

  • Les actes antisémites proférés par des musulmans sont passés sous silence en raison de la doxa antiraciste

    Que se passe-t-il ce soir sur BFM TV ?

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • « DJIHAD LOL » : LES ADOLESCENTES RADICALISÉES PLUS NOMBREUSES QUE LES GARÇONS !

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    On pourrait résumer cela en quelques mots : « crise d’adolescence radicale », « rien dans le crâne, tout dans le portable », « djihadisme LOL »…

    La compagne de Redouane Lakdim, le terroriste de Trèbes, assassin de quatre personnes et qui en a blessé quinze autres, est en garde à vue depuis deux jours. Elle a 18 ans, non seulement ne renie rien de la folie meurtrière de son compagnon mais aurait regretté qu’il n’ait pas fait davantage de victimes dans notre France, pays de « mécréants ». Lorsque les policiers l’ont interpellée, elle aussi a crié « Allah akbar », et si elle nie toute implication dans l’équipée meurtrière de Lakdim, elle a curieusement posté, au matin de l’attentat, une sourate disant que « les mécréants étaient promis à l’enfer ».

    Cette douce jeune fille se prénomme Marine. On nous dit qu’elle s’est convertie à l’âge de 14 ans, radicalisée à 15, devenant la compagne de Lakdim qu’elle avait, paraît-il, l’intention d’épouser prochainement. Elle a aujourd’hui 18 ans, est sans profession. On imagine qu’elle a dû passer moins de temps sur les bancs du collège que sur son smartphone. Connue comme son petit ami pour des délits de droit commun, elle passait en effet beaucoup de temps à cracher sa haine de la France sur les réseaux sociaux, ce qui lui a valu d’être fichée S, elle aussi, pour sa radicalisation islamiste.

    Dans cette époque où les agissements du porc Weinstein et de ses épigones ont entraîné le retour d’un féminisme larmoyant qui veut voir en toute femme une innocente victime, on hésite à se pencher sur ces adolescentes tentées par la sauvagerie meurtrière. Et pourtant, contrairement à une idée reçue, les jeunes filles sont majoritaires parmi les adolescents radicalisés. C’est en tout cas ce que disaient les chiffres du ministère de l’Intérieur en août 2016, quand, après l’assassinat du père Hamel à Saint-Étienne-du-Rouvray, une gamine de 16 ans a été arrêtée à Melun, en Seine-et-Marne. Elle était prête, elle aussi, à passer à l’acte.

    Les faits sont là mais rien ne change dans les discours. La gauche continue de nier ce qui relève de l’évidence quand des salauds ne se réjouissent pas carrément de la mort d’un homme parce qu’il est militaire… On nous dira, comme toujours, que Redouane Lakdim sentait peser sur son dos le poids de la colonisation, de la relégation, de la misère, du chômage… Qu’au fond il n’a fait que venger la mémoire de ses pairs. On connaît la rengaine.

    Et sa petite amie ? Mystère…

    En ce mois d’août 2016, un policier de haut rang confiait au Figaroque les jeunes filles se laissent hameçonner par « le “kit de vie” qui leur est proposé : “trouver le prince charmant”, “s’engager dans l’humanitaire” et “fonder une famille pour repeupler un califat fantasmé” ». Piéger également par « le “pilonnage” de messages, parfois une centaine par jour, qu’elles reçoivent une fois sous influence de leur gourou : “Comment es-tu habillée ? Quelles prières as-tu faites ? Qui as-tu rencontré ? As-tu serré la main à un homme aujourd’hui ? Ne sors pas seule”. » Il ajoutait également que les filles seraient davantage « partantes » (alors pour la Syrie) car « elles pensent qu’elles ne seront a priori pas envoyées au combat comme les garçons ».

    À cette même époque, le magazine Psychologies donnait la parole au thérapeute familial Serge Hefez qui suivait plusieurs de ces jeunes filles, converties à un islam extrémiste. Il y confiait la sidération de parents découvrant la seconde vie de leur adolescente : « Bien moins malmenées par la vie que d’autres, certaines adolescentes s’enflamment pour une cause qui présente surtout l’immense avantage de les opposer en tout point à leurs parents. »

    http://www.bvoltaire.fr/djihad-lol-adolescentes-radicalisees-plus-nombreuses-garcons/

  • TERRORISME : LE GOUVERNEMENT NOIE LE POISSON (L’Imprécateur)

    Quel terrorisme endogène ?

    À propos du nouveau carnage qui vient d’avoir lieu à Trèbes, le président de la République a déclaré « Nous devons faire face à un terrorisme endogène, extrêmement diffus, difficile à anticiper ».

    Ce président qui se pique un peu trop vite d’être un littéraire, ne devrait pas ignorer le sens du mot  » endogène «  (savoir : qui est produit par la structure elle-même en dehors de tout apport extérieur – Larousse). Nous venons donc d’apprendre deux choses. La première, que nous avons recolonisé et francisé à l’insu de notre plein gré le Maroc d’où le tueur vient et où le drapeau français flotte sur tous les bâtiments publics… La seconde, que la France est un pays de civilisation et de religion musulmanes depuis l’invasion arabo-musulmane du VIIIème siècle puisque le tueur en question a tué en invoquant Allah ce que, pour une fois, aucun média n’a nié.

    Un attentat purement EXOGÈNE

    L’attentat de Trèbes n’a rien d’endogène. Il est EXOGÈNE (étranger) dans ses deux composantes principales : 1/ le tueur et la religion qu’il a invoquée pour tuer. 2/ Redouane Lakdim est né au Maroc en 1992, de parents marocains, et il était toujours marocain quand il a commis son attentat. Il n’a pas acquis récemment la nationalité française par amour de la France et désir de s’intégrer, mais par commodité stratégique ; il avait besoin d’un passeport français pour ses activités illégales de trafic d’armes et de drogues et ses déplacements à l’étranger.

    Le trafic d’armes était connu des services de police qui avaient arrêté Lakdim en raison de ses relations intimes avec un trafiquant d’armes de Carcassonne et découvert chez lui des armes. Mais tout ce gentil monde était en liberté, ce qui montre qu’il est en France presqu’aussi facile de se procurer des armes qu’aux États-Unis. Il suffit de savoir aller commander dans le Dark Web [1] ou de trouver l’un des nombreux trafiquants de Marseille, Saint-Denis, Lyon, etc. Cette histoire d’armes est passée sous silence par la presse officielle du Ministère de la Vérité pour ne pas gâcher l’argument « Redouane Lakdim était un petit délinquant, on ne pouvait pas prévoir ». Macron devrait savoir que justement,« gouverner c’est prévoir… Il n’y a rien à gagner à transiger avec l’erreur » (Émile de Girardin)

    Il a crié « Allah(ou) akbar » en ouvrant le feu sur les clients et le personnel du Super-U de Trèbes pour signer son appartenance à l’islam. Musulman de naissance, il se serait comme on dit « radicalisé ». Un élément de langage utilisé par la désinformation pour faire croire qu’il y aurait deux islams bien distincts, l’un doux et pacifique, l’autre radicalisé cruel et féroce. Vision simpliste qui nie la réalité : il n’y a qu’un islam que ses adeptes pratiquent avec plus ou moins de conviction et respect total des préceptes de Mahomet. De même, il y a des chrétiens ou des juifs qui vont ou pas à la synagogue ou à l’église, qui prient ou non, qui appliquent plus ou moins les préceptes de l’église ou de la torah.

    La grande majorité des français ne pratiquant pas se reconnaît « baptisée et de culture chrétienne », plus choquée par l’égorgement par un musulman d’un prêtre que par toute autre forme d’assassinat.

    Le crime est l’une des composantes de l’islam

    La quasi-totalité des musulmans peut basculer dans le crime si l’on s’en prend à un symbole fort de l’islam. D’ailleurs, un chroniqueur de Cnewsexpliquait dimanche matin, que « l’islam à l’eau-de-rose » est en voie de disparition, les salafistes wahhabites faisant une propagande d’enfer dans les mosquées pour démontrer que l’islam « modéré », c’est le péché le plus grave que seul le djihad peut racheter. Mais là encore, l’État refuse, pas dans ses éléments de langage mais dans les faits, de fermer les mosquées salafistes et d’expulser les imams, au moins les algériens, les saoudiens et les qataris, qui sont les plus virulents.

    Les Français d’autrefois l’avaient vite compris :l’islam est fondamentalement guerrier et violent, comme en témoignent toutes les guerres en cours dans le monde et l’esprit de conquête islamique, un moment calmé par la colonisation, est revenu en force. Il a fallu plus de dix siècles à la France pour commencer à chasser à partir de Poitiers en 732, les derniers colons musulmans de Provence. Nos gouvernements disent d’un côté que nous sommes en guerre contre le djihadisme et « en même temps » font tout pour nous faire accepter l’envahisseur, sa langue, ses mœurs, sa religion, sa justice et le vivre-ensemble.

    Les juristes sont-ils complices du terrorisme islamique ?

    Les juristes disent que les lois interdisent d’expulser ou de priver de la nationalité française et de leurs aides sociales les criminels musulmans avant qu’ils soient passés à l’acte et aient été condamnés. Rappelons-leur qu’il existe un article de la Constitution, qui les y autorise. Il dit en substance « L’absence de certitudes ne doit pas retarder l’adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles pour la société ». Pour le moment, mode écolo oblige, il n’est appliqué que pour les questions environnementales et avant toute autre raison, justifier des impôts verts.

    Nul besoin d’une nouvelle modification de la Constitution pour l’appliquer au terrorisme « endogène » de Macron, une loi reprenant le principe de précaution suffirait :« L’absence de certitudes, compte tenu des connaissances policières et du vide juridique actuel, ne doit pas retarder l’adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles pour la société française ». Il semble que le gouvernement n’en veuille pas, parce qu’il est imprégné d’internationalisme migratoire au nom de « valeurs humanistes » dévoyées, et des injonctions de la finance internationale et de la commission européenne toutes deux en phase avec l’immigrationnisme islamique.

    Trois citoyens innocents d’un petit bourg catalan paisible et un officier supérieur de la gendarmerie sont morts, tués par un ennemi de la France en guerre parce que nos gouvernements n’ont su ni voir le danger, ni l’anticiper. Ce n’est pas faute de moyens, c’est faute de volonté, par faiblesse, incompétence, irresponsabilité généralisée et suivisme européo-international.

    Une loi permet le refus et la déchéance de nationalité

    De plus, fiché « S » depuis 2014, connu pour diverses activités illégales, drogue, armes, vols, etc., condamné mais chaque fois très vite libéré en vertu de la doctrine Taubira aujourd’hui reprise par Macron, Redouane Lakdim n’aurait jamais dû être naturalisé français. Un article de loi, l’art 25-1 du Code Civil, permet le refus d’octroi de la nationalité et sa déchéance si l’individu concerné « s’est livré au profit d’un État étranger à des actes incompatibles avec la qualité de Français et préjudiciables aux intérêts de la France ».

    Le ministre de l’Intérieur explique qu’il était si gentil qu’on ne pouvait pas se douter qu’il passerait à l’acte ! Avec un multirécidiviste ? Et l’État Islamique revendique le crime à son profit ! Et Macron veut que ses crimes soient « endogènes » ce qui permet d’absoudre le gouvernement et l’administration de leurs multiples fautes et erreurs ! – Croit-il sérieusement qu’un discours et quelques mots détournés de leur sens suffiront à faire oublier que 4 personnes dont un officier supérieur sont morts et 16 autres blessés à cause de l’incurie du gouvernement ?

    L’Imprécateur

    [1] Le Dark Web ou Web Profond (Deep Web en anglais) appelé aussi Web Caché, décrit, dans l’architecture du Web, la partie de la toile non-indexée par les moteurs de recherche généralistes.

    https://minurne.org/billets/14966

  • Union d'un jour débats de toujours

    6a00d8341c715453ef01b8d2e62d82970c-320wi.jpgC'est une chose magnifique que l'union nationale. Quand elle nous rassemble, au-delà des étiquetages, elle ne doit pas se ternir de querelles subalternes. Profitons-en pour rappeler que dans les occasions précédentes les Français ont témoigné, trop brièvement mais au-delà des incertitudes ravageuses, combien nous devons avoir confiance, sinon dans nos politiques, encore moins dans nos technocrates, mais dans notre police, nos services de renseignement, notre gendarmerie, notre armée.

    Car en ce 28 mars, cinq jours après l'attentat de Trèbes c'est la France unanime qui rend hommage, avec émotion, à l'héroïsme du lieutenant-colonel Beltrame. En même temps, l'unanimité nationale entend aussi s'investit sans véritable exception autour des victimes de l'attaque de Trèbes du 23 mars comme de Mireille Knoll, assassinée la veille.

    Commençons, avec ce cas, à évoquer, hélas, les choses qui fâchent. Sans nous engouffrer dans aucune polémique, malsonnante dans le contexte, reconnaissons, à propos de l'horrible meurtre dont celle-ci a été la victime, que le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb n'a pas fini de nous surprendre. Il nous certifie, en effet, que son assassin n'était "pas du tout radicalisé".

    Son inspiration ne fait pourtant guère de doute, son complice l'ayant entendu crier le rituel "Allahou akbar".

    Or, ce qui montre le peu de sérieux de notre ministre, c'est précisément l'argument qu'il invoque : Yacine M., selon lui, ne doit pas être considéré comme un islamo-terroriste puisqu'il compte, nous précise-t-on, 22 à 24 inscriptions au TAJ, traitement d'antécédents judiciaires.

    Islamiste ? "Pas du tout. Lui, ‑ à entendre le locataire de la place Beauvau – c'était le profil petit voyou de quartier qui allait faire des rapines."

    Mais précisément, cher Monsieur le Ministre, ci-devant maire de Lyon, vous devriez le savoir : c'est dans ce vivier de la délinquance ordinaire que se recrutent les plus acharnés des djihadistes, endoctrinés dans les prisons, après avoir été dressés contre la France dans les écoles de la République.

    Cela se manifeste dans le cas de Yacine M.

    Cela se retrouve exactement dans le cas de Radouane Lakdim.

    Tristes débats, pauvres divisions : les uns veulent à tout prix ménager ce qu'ils considèrent comme la deuxième religion du pays. Pour eux, sans doute, les assassins ont quelque chose à voir avec le protestantisme. Pour eux il ne convient pas de voir en face l'existence d'un antisémitisme musulman dans les banlieues.

    Le philosophe Robert Redeker observe enfin que "l'unanimisme dans la célébration ne doit pas cacher – comme elle le voudrait pourtant – que le geste héroïque de ce militaire met notre culture bien mal à l'aise. J'imagine le président de la République tourmenté : comment peut-on célébrer à la fois Mai 68 et Beltrame ? La réponse est évidente : en occultant quelque peu les motivations de son acte héroïque, en insistant sur les valeurs consensuelles, d'une généralité un peu vide, plutôt que sur ce qui les fonde. En présentant devant les masses un tour de passe-passe semblable à celui auquel se livrent les officiels lorsqu'ils proclament que les soldats de la Grande Guerre sont morts pour la paix, pour la réconciliation entre les nations, pour des valeurs, alors qu'ils sont morts pour la France, pour la patrie…"

    Essayons, autant que possible, de leur arriver à la cheville.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/

  • En finir avec le terrorisme islamiste

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    Nous sommes en guerre contre le terrorisme », ne cessent de répéter les porte-paroles de l’oligarchie. Mais au-delà de ces propos incantatoires, rien n’est fait qui soit à la hauteur de cet enjeu guerrier. Pour Ligne droite il convient de commencer par stopper toute nouvelle immigration, de contenir l’islam hors de l’espace public et de retrouver la fierté de ce que nous sommes. Ce n’est que sous ces trois conditions que toutes les mesures répressives qui sont à amplifier considérablement pourront produire pleinement leurs effets bénéfiques et ramener la paix dans notre pays.
    Prendre la mesure de l’enjeu

    Les attentats islamistes se multiplient. Variant les méthodes, les cibles et les lieux, ils reviennent maintenant de façon lancinante dans l’actualité au point d’introduire la peur et l’horreur au cœur de la vie quotidienne des Français. Face à ce fléau, les dirigeants de notre pays semblent chercher avant tout à éviter les amalgames, à occulter la dimension islamique du problème et à laisser croire qu’ils agissent efficacement.
    Nous sommes en guerre contre le terrorisme, répètent-ils à l’envi, comme si cette affirmation pouvait suffire à écarter la menace. Mais la formule est révélatrice par elle-même de la crainte du système d’affronter la réalité, car c’est à un ennemi qu’on fait la guerre, pas à une méthode de combat. En 1940, les Britanniques faisaient la guerre aux Allemands, pas aux bombardements. En refusant ainsi de désigner clairement l’ennemi, la classe politique et médiatique s’interdit de prendre la juste mesure de la menace et de définir les meilleurs moyens de la contrer.

    Désigner l’ennemi

    Ligne droite estime donc nécessaire d’affirmer clairement qu’une fraction du monde musulman, qu’on peut qualifier d’islamiste, mène contre nous une guerre sans merci avec l’arme du terrorisme. Aussi, les djihadistes ne sont-ils pas, comme on le répète souvent aux Français, des cas marginaux, pathologiques, voire psychiatriques. Quel que soit leur niveau d’éducation, ce sont des hommes de conviction, déterminés à se battre pour leurs croyances et, ce qui n’est pas rien, à mourir pour elles. Il est donc absurde de penser qu’on pourra les déradicaliser avec quelques cours sur le vivre ensemble ou les droits de l’homme.

    Par ailleurs, ces combattants ne sont pas des individus isolés. Ils vivent au sein de la population islamique installée sur notre sol et s’y trouvent, tels les révolutionnaires de Mao Tsé-toung, comme des poissons dans l’eau. Certaines études indiquent en effet qu’environ un tiers des musulmans présents en France partagent leurs convictions islamistes. Et si l’écrasante majorité d’entre eux n’est pas prête à passer à l’acte, certains n’hésitent pas à aider les djihadistes, à les équiper et à les protéger.
    Dès lors, le problème prend toute sa dimension : la France doit faire face à une population de plus de deux millions de personnes qui engendre et protège des individus prêts à commettre des actes barbares contre son peuple.

    Stopper l’immigration

    Or l’islamisme est le produit naturel de l’islam et la présence envahissante de ce dernier est la conséquence directe d’une immigration massive et incontrôlée qui se développe depuis plusieurs décennies sur notre territoire. Une immigration plus active que jamais qui apparait maintenant comme l’une des principale cause de la montée du terrorisme islamique. Aussi Ligne droite considère-t-elle comme essentiel de prendre une mesure de sauvegarde à la hauteur de la menace et de stopper toute nouvelle immigration, principalement en provenance des pays musulmans.

    Retrouver la force et la fierté

    Pour autant, il ne suffit pas d’empêcher le danger de se développer, il faut également traiter le djihadisme déjà présent sur notre sol. Un djihadisme qui se nourrit d’abord du mépris que ressentent les islamistes à l’égard de la France et des Français qu’ils jugent faibles et décadents. Aussi un renouveau de notre pays changerait-il la donne. Si les Français célébraient à nouveau leurs valeurs, s’ils retrouvaient la fierté de ce qu’ils sont et la force de défendre leurs intérêts, ils inspireraient à nouveau le respect et beaucoup d’immigrés chercheraient à s’assimiler plutôt qu’à haïr la France. Le retour à une nation forte et fière, enracinée dans son identité, est pour Ligne droite la deuxième condition de la victoire contre les islamistes.

    Contenir et respecter l’islam

    La troisième concerne la légitimité de notre pays à combattre l’islamisme dans les pays musulmans. S’il s’agit d’y défendre nos intérêts on peut la justifier au nom de la real Politik, mais, le plus souvent, l’ingérence moralisatrice de la France se retourne contre elle. D’autant que la propension des pays occidentaux à vouloir imposer partout leur modèle de société constitue, par son arrogance, une puissante explication de la haine que suscite notre pays. Aussi Ligne droite estime-t-elle nécessaire de revoir entièrement les relations de la France avec le monde musulman en les fondant sur deux principes simples. Exiger de l’islam en France l’observation stricte de toutes nos règles de civilisation, mais afficher en retour un grand respect pour la civilisation musulmane en terre d’islam, en reconnaissant l’indépendance des pays islamiques et en s’abstenant de toute ingérence quel que soit le régime dont ils se dotent.

    Réprimer et prévenir

    La mise en application de ces trois principes fondamentaux créerait les conditions d’une victoire contre l’islamisme en France et en Europe.
    Encore faudrait-il dans le court terme engager réellement l’action répressive à l’encontre des islamistes en commençant par s’en donner les moyens. Pour cela, il est indispensable d’augmenter les effectifs et les équipements des services de renseignement qui accomplissent d’ores et déjà un excellent travail. Il faut renforcer les forces de l’ordre et donner à la garde nationale embryonnaire la dimension d’un vaste corps de volontaires nombreux, motivés et facilement mobilisables.
    Fort de ces moyens renforcés, il convient d’engager une action de harcèlement contre les islamistes visant à réduire leurs appuis sur notre sol. Il importe ainsi de procéder à l’expulsion systématique des étrangers fichés S et de placer les nationaux en rétention. Puisque la plupart des djihadistes sont des repris de justice, il est également nécessaire de procéder à l’expulsion de tous les délinquants étrangers ainsi que des clandestins. Quant aux djihadistes français partis combattre à l’étranger, il faut les empêcher définitivement de revenir sur le territoire national. Il convient par ailleurs de fermer les mosquées suspectées de promouvoir le djihad, d’expulser les imams radicaux, de démanteler les organisations islamisantes et de reprendre le contrôle des zones de non droit. Enfin, sur le plan de l’action psychologique, il est indispensable d’en finir avec l’obsession pathologique du refus de l’amalgame et de demander aux musulmans et à leurs représentants de condamner les islamistes sans ambiguïté, ce qu’ils ne font que très rarement.
    Le terrorisme islamique n’est que la partie émergée du problème colossal que pose à notre pays l’immigration massive de musulmans qui ne s’assimilent pas. Pour venir à bout de ce fléau, Ligne droite considère en conclusion qu’il faut apporter enfin une vraie solution au problème de l’immigration.
    Tout le reste n’est que faux-semblant.

    Texte repris du site Ligne droite

    https://fr.novopress.info/210177/en-finir-avec-le-terrorisme-islamiste/#more-210177