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Têtes à Clash - Attentat de Trèbes : fichés S, en faisons-nous assez pour les empêcher d'agir ?
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DES ATTENTATS À LA PETITE DÉLINQUANCE : L’ÉTAT NE NOUS PROTÈGE PLUS !
L’information est passée inaperçue. Il faut bien dire que les actualités ont été surchargées en événements dramatiques, en horreurs épouvantables, comme nous y sommes tristement habitués depuis désormais près d’une décennie. Rue Pasteur, à Tomblaine, en Meurthe-et-Moselle, Kévin M. est mort après avoir reçu plusieurs coups de couteau, sous les yeux de sa compagne et de ses trois enfants. Il a été tué pour une banale dette d’argent.
Tous les jours, en France, des gens meurent ainsi, assassinés de la plus atroce des manières. Quand ce ne sont pas des islamistes qui tirent au pistolet sur des innocents, qui écrasent des passants au volant d’un 36 tonnes ou qui égorgent des héros comme le lieutenant-colonel Beltrame, ce sont des petits voyous qui tabassent, qui poignardent ou qui violent les femmes, sans que l’État ne semble en mesure de pouvoir endiguer le phénomène.
En cause, notamment, le laxisme judiciaire qui donne un sentiment d’impunité aux voyous. Le parcours de Redouane Lakmid, terroriste islamiste de l’Aude, est exemplaire de tout ce qui ne va pas dans notre pays. Ce binational franco-marocain naturalisé en 2004 après que son père a obtenu la nationalité française a connu un parcours chaotique, parsemé de nombreuses arrestations pour trafic de stupéfiants ou outrages à agent détenteur de la force publique.
Bien évidemment, il était aussi fiché S pour sa sympathie à l’égard des idées djihadistes. Un personnage qui se confond donc avec ses prédécesseurs : Khaled Kelkal, Mohammed Merah, Salah Abdeslam, Chérif et Saïd Kouachi, Sid Ahmed Ghlam, Abdelhamid Abaaoud, Samy Amimour, Amedy Coulibaly, Ismaël Omar MostefaÏ, Mehdi Nemmouche, Ahmed Hanachi, etc.
Nous souffrons de deux maux différents qui se nourrissent l’un l’autre. L’immigration et le laxisme, c’est-à-dire l’inaptitude de l’État à garantir l’ordre public, sont deux fléaux parallèles. Le résultat est visible quotidiennement. Songeons à Murielle Knoll, rescapée de la Shoah âgée de 85 ans, assassinée puis brûlée dans son appartement parce que juive. Ses enfants n’auront même pas une photo en souvenir pour la pleurer, car il ne reste plus rien d’autre que des cendres.
L’État doit reprendre en main l’école et l’éducation des jeunes dans les endroits où la République et la France sont bafouées, et où les voyous ont plus d’autorité que les professeurs. Mai 68 a entraîné l’émergence d’une culture de l’excuse insupportable qui fait du criminel une victime de la société. Cette inversion des valeurs a ensauvagé la France. Désormais, la police est vue comme un instrument de répression, alors qu’elle est l’outil de notre protection.
Si nous n’agissons pas vite, la France sera purement et simplement détruite, deviendra une zone de guerre rongée par l’insécurité, les gangs et l’islamisme. Posez-vous la question aux prochaines élections : est-ce ce pays que vous entendez léguer à vos enfants ? Les responsables de la violence aveugle des rues portent des noms. Ils ont dirigé des partis politiques, des associations. Ils ont désarmé les forces de l’ordre, pris les commandes des syndicats de la magistrature. Ces gens ont échoué, le « vivre ensemble » qu’ils ont promu est, présentement, un « subir ensemble ».Dominique Bilde Députée européenne du FN -
L’islamisme gagne du terrain dans les clubs amateur
FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Des notes confidentielles provenant des services de renseignements alertent au sujet de « dérives communautaires » sévissant dans quelques clubs de sports amateur, notamment aux environs de Toulouse.Dans un reportage de France 2, une femme témoigne du mépris dont elle fait l’objet de la part d’islamistes, mépris du fait de sa tenue ou, même du fait de sa simple présence dans le club.
La religion y a donc pris le pas sur l’activité sportive. On savait déjà que dans des clubs de boxes, ou de football, la radicalisation islamiste devient virale. Cette propagation n’est évidemment ni surprenante ni anodine, le sport étant un excellent vivier pour recruter.
Ne doutons pas que le nouveau plan anti-radicalisation annoncé par le Premier ministre saura mettre bien vite fin à ces pratiques.
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PAS DE PANIQUE, CECI N’EST PAS UN ATTENTAT…
« Nous ne sommes pas dans une affaire de terrorisme, très clairement », a déclaré le procureur de la République de Grenoble. Nous voilà rassurés. Le jeune Anouar N., qui a foncé jeudi au volant d’un véhicule sur un groupe de militaires de Varces, dans l’Isère, n’est pas un terroriste. « On n’est pas dans une tentative d’homicide, plus dans les violences avec arme », a-t-il ajouté. C’est vrai, ça, lorsque quelqu’un tente de renverser volontairement des passants dans la rue, au volant de sa bagnole, c’est pour expulser une certaine violence, rien d’autre, pas pour « homicider ». En gros, la différence entre la course de vachettes et la corrida. Et le procureur, bonhomme, de conclure : « Il faut ramener cette affaire à de plus justes proportions. » Circulez, y a rien à voir, messieurs-dames. Le procureur a peut-être raison. Il a sans doute raison. Il a forcément raison.
Néanmoins.
Cette affaire nous amène à nous poser quelques questions. Qu’est-ce qui fait la différence entre un acte terroriste et un simple acte de violence avec arme (au passage, on notera qu’un véhicule est une arme par destination) ? La « réussite » de l’acte ? Le niveau de terreur éprouvée par les cibles ? Nos soldats sont des gars aguerris, comme l’expliquait, hier, sur l’antenne de BFM TV, le chef d’état-major de la 27e brigade de Montagne ; plus aguerris, en tout cas, qu’une vieille dame revenant de ses commissions. Ils n’ont donc pas été terrorisés et ont eu les bons réflexes. Ou bien encore, est-ce le fait que l’auteur n’a pas prononcé le mot magique, le sésame, le fameux « Allah Akbar » ? Le lien avec une entreprise terroriste ? On le sait maintenant, Daech et compagnie fonctionnent comme une franchise. Nos terroristes « endogènes » ne reçoivent pas d’ordres en écoutant la radio le soir dans le grenier, attendant patiemment que soit lâché sur les ondes le nom de code qui leur enjoindra de déclencher une action. Daech « valide » a posteriori. Sûrement pas quand ça rate.
En tout cas, si l’acte de violence de Varces n’est pas un acte terroriste, cela y ressemble beaucoup. Le procédé est bien celui utilisé par les terroristes. L’affaire se termine bien pour nos militaires. Mais imaginons que l’un d’eux ait eu les jambes broyées ou le crâne fendu : que l’acte soit qualifié de terroriste ou pas, le résultat était le même.
Aujourd’hui, en France, on le sait, le terrorisme islamiste se nourrit de la délinquance et de la criminalité. Mais l’« incident » de Varces montre qu’en retour, d’une certaine façon, la délinquance et la criminalité se nourrissent du terrorisme islamiste. En effet, foncer en véhicule sur des militaires ou des policiers est un procédé utilisé par les terroristes. Le terrorisme fait donc des émules à bon compte, ce qui concourt, évidemment, à installer un climat, sinon de terreur, tout du moins d’insécurité permanente dans le pays. La preuve : hier matin, les enfants des écoles environnantes ont été confinés. On en est donc là, aujourd’hui, en France.
Ceci n’est donc pas un attentat terroriste, nous dit le procureur. Dont acte.
Les médias nous disent qu’Anouar N., vingt-quatre ans, vingt-cinq condamnations au compteur tout de même, aurait traité les soldats de « sales Français ». Étonnamment, l’expression « injure raciste » n’est pas employée par les médias et le procureur ne semble pas avoir retenu ce fait, tout du moins dans les déclarations rapportées par la presse. Il est vrai que le jeune homme aurait été sous l’empire de l’alcool. Joker…
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Tentative d’attentat à Varces. Pourquoi vouloir cacher l’origine de son auteur à l’opinion publique ? – par Aristide Leucate
Il importe de ne pas prendre les gens pour des imbéciles et d’accepter de regarder ce que l’on voit.
Il est, comme ça, des séries noires qui s’apparentent à la fameuse formule, attribuée en son temps à Jacques Chirac, selon laquelle « les emmerdes arrivent toujours en escadrille ». Sauf qu’en d’autres circonstances, c’est-à-dire en dehors de l’égorgement intentionnel d’un gendarme lors d’une attaque terroriste, ces fameuses « séries noires » alimentent habituellement et en abondance la rubrique des faits divers de la presse quotidienne régionale.
Dans la matinée de ce jeudi, une voiture a foncé sur des chasseurs alpins du 7e BCA (le fameux et légendaire « 7 » à la fière et indestructible devise « de fer et d’acier ») près d’une caserne à Varces-Allières-et-Risset (Isère), non loin de Grenoble, sans, heureusement, que l’on ait à déplorer de victimes parmi les militaires. Et l’auteur de cet acte a fini par être interpellé par les policiers de la brigade de recherche et d’intervention.
Comme un air de déjà-vu, si l’on en croit Le Dauphiné qui relate que « le 1er janvier 2016, en début d’après-midi, quatre militaires du 93e régiment d’artillerie de montagne (Varces), en patrouille dans le cadre de l’opération Sentinelle devant la grande mosquée de Valence, avaient été attaqués par un automobiliste qui, au volant d’une Peugeot 307 SW rouge, leur avait foncé dessus, à trois reprises ».
Il faut être aveugle ou de singulière mauvaise foi pour ne pas voir dans cette réplique au mode opératoire quasi similaire – de la cible militaire jusqu’au véhicule incriminé qui serait une voiture volée de la marque Peugeot – un acte criminel délibéré s’inscrivant précisément dans le contexte de la récente et meurtrière attaque de Trèbes (Aude). Le suspect ayant même proféré des insultes en arabe, il est encore plus malaisé de ne pas en déduire, avec le plus élémentaire bon sens, que nous ne sommes pas en présence d’un mahométan dans ses grandes œuvres djihadiques.
En résumé, à écouter les principaux médias télévisés, « l’on ne sait rien du profil de l’automobiliste, mais l’on sait que ces actes n’ont pas de caractère terroriste ». D’une manière générale, ce type de commentaire ressortit bien souvent à l’argument d’autorité – parce qu’émis par un média –, voire à la pétition de principe. La valeur à y accorder est donc à peu près insignifiante ou nulle, tant le recours à des notions comme celle de terrorisme, voire d’attentat, s’avère plutôt délicat au regard de notre Code pénal. En d’autres termes, les journalistes, y compris « spécialisés » (ou peu s’en faut), n’y entendent fifre.
Il convient, en effet, de se reporter aux articles 421-1 à 421-2-6 pour avoir une idée de ce que la société entend réprimer lorsqu’elle incrimine de la sorte tel ou tel agissement criminel commis « en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur ».
Or, on ne demande pas à un journaliste de faire office de juridisme patenté, mais de rapporter les faits avec le maximum d’honnêteté et le minimum de parti pris – sauf, en cas contraire, à annoncer préalablement la couleur, le journalisme d’opinion n’étant pas moins acceptable que celui d’investigation.
De fait, il importe de ne pas prendre les gens pour des imbéciles et d’accepter de regarder ce que l’on voit. En l’occurrence, une approche purement factuelle de l’événement n’interdit pas de tirer explicitement les conclusions qui s’imposent d’évidence. Ainsi, sans s’abriter derrière des périphrases et autres duperies euphémistiques, doit-on considérer que l’homme qui voulait écraser des militaires souhaitait symboliquement attenter à l’État et notamment à sa politique – plutôt pusillanime – d’éradication de l’islamisme hors de ses frontières, notamment en Afrique – des éléments du 7e BCA étaient partis combattre au Mali. La parlure arabisante de l’auteur nous renseigne, qui plus est, sur ses origines extra-européennes, ce qui oblige, volens nolens, à un amalgame d’autant plus salutaire qu’il ose montrer l’ennemi en ses multiples avatars (loup solitaire ou chien de meute).
Pratiquer autrement relève du mensonge par omission, voire d’une dénégation obstinée et suspecte du réel à des fins clairement manipulatoires et dolosives. Tel est, hélas, l’état pitoyable dans lequel se trouve majoritairement le journalisme nord-coréen européen.
Aristide Leucate
Texte repris du site Boulevard Voltaire
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Un signe
Par Hilaire de Crémiers
Le geste héroïque de celui qui est devenu le colonel Beltrame et qui est honoré par la France entière, comme il se doit, ne peut se comprendre dans sa radicalité que si on lui reconnaît son double caractère de chrétien et de patriote. Totalement chrétien, totalement français, tel est le signe donné.
Les Français ne sont pas idiots ; ils ont compris ; et ceux qui savent – et ils sont plus nombreux qu’on ne le croit – n’ont pas pu s’empêcher d’immédiatement faire un rapprochement avec le père Maximilien Kolbe qui a échangé sa vie en 1941 dans le camp d’Auschwitz avec celle d’un père de famille condamné sur un choix arbitraire à périr de consomption.
À Trèbes, Arnaud Beltrame a réussi à sauver une mère de famille.
Les mêmes Français qui savent leur histoire malgré la pensée officielle, l’ont spontanément rattaché à cette longue lignée d’officiers et de soldats qui ont affronté l’adversaire face à face, dans la pure tradition chevaleresque, et qui sont la gloire de notre nation, tel un Hélie de Saint Marc pour qui Beltrame avait la plus grande admiration.
L’homme était de cette trempe. Il vivait lui-même de pareils exemples. Il ne voulait servir naturellement que la France à qui il avait voué sa vie et, depuis quelques années, retrouvant la foi catholique, il s’apprêtait à donner surnaturellement toutes les preuves de l’engagement le plus profond que son mariage devait concrétiser au mois de juin prochain.
Son parcours d’officier était exemplaire. Sorti major de sa promotion « campagne d’Italie », il avait choisi la gendarmerie où le service sur le terrain en France est permanent, et, là encore, il sortit major de l’école de Melun, promotion « capitaine Gauvenet » ; c’était en 2002. Dans toutes ses affectations, il a été reconnu par ses compagnons d’armes, ses supérieurs et ses subordonnés, comme un homme d’exception, toujours le premier au devoir, au service, au dévouement, à l’amitié. Sa carrure physique peu commune, apte à tous les combats et qu’il cultivait, correspondait à sa carrure morale, soignée par lui, et prête, elle aussi, à toutes les épreuves. Tous ses camarades ont parfaitement compris qu’avec une telle droiture, un tel courage, une telle maîtrise de soi, il ne pouvait faire que ce qu’il a fait. Son geste étonnant n’a pas étonné ceux qui le connaissaient.
Le sacrifice est venu sceller sa vie et lui donner tout son sens. Sa famille, par son admirable discrétion, ne fait que confirmer la qualité de l’homme.
C’est un signe pour la France, le signe qu’il lui faut, à cette heure précisément. Il est vain de le dissimuler. Tous les discours officiels, y compris les plus solennels et les plus lyriques, qui exaltent l’acte sans en dire la portée morale et spirituelle, n’en livrent pas la réelle signification. Mais il est vrai que, là aussi, il faut du courage pour l’exprimer, ne serait-ce qu’avec simplicité.
Eh bien, c’est ce courage dont nous avons besoin. Face à un islamisme barbare qui multiplie les gestes ostentatoires de sa cruauté inhumaine, la France peut et doit opposer un signe révélateur de sa foi, de son espérance et de sa charité. Grâce soit rendue à Arnaud Beltrame. Colonel, merci !
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Les tensions dangereuses augmentent en Allemagne
par Eberhard Hamer, juriste et professeur d’économie*
Ex: http://www.zeit-fragen.ch
«Le secteur de la construction ne peut plus satisfaire la demande de nouvelles habitations», («Die Welt» du 11/1/18). Malgré un accroissement du volume de construction de 3 à 8% par an, la pénurie de logements augmente non seulement dans les grandes villes mais également dans les villes moyennes – dans les grandes villes même dramatiquement, notamment à Berlin.
Les politiciens du domaine social appellent cela défaillance du marché et exigent des programmes de soutien étatiques massifs. La cause n’est pas la défaillance du marché, mais la défaillance de l’Etat – en raison de la plus grande invasion migratoire provoquée par Merkel et son équipe par l’ouverture des frontières pour tous les migrants dans le système social le plus généreux du monde. Que servent 350 000 nouveaux appartements quand plus de 700 000 immigrants par an ont droit à un logement? Et comme ces personnes ne veulent pas aller à la campagne, mais dans les grandes villes, où leurs compatriotes ont déjà pris pied, c’est justement là – voir Berlin – que suite à l’arrivée en masse le besoin d’appartements, la pénurie de logements et donc la pression sur les prix des loyers augmentent. Ce n’est pas étonnant qu’à Berlin les autochtones dans le besoin ou les étudiants ne trouvent plus «d’habitation payable». L’énorme pression de l’immigration augmente justement dans ce segment de marché et transforme nos grandes villes, qui deviennent plus colorées, plus musulmanes, avec plus de langues parlées et plus prolétaires. Le «manque d’habitations payables» incontestable n’est pas la faute des sociétés immobilières ou d’un marché insuffisant, mais d’une immigration de masse provoquée par de faux philanthropes et admise par la Grande coalition.Criminalité croissante
Presque quotidiennement, la presse parle d’une «criminalité croissante» dans le pays. Toutes les trois minutes à lieu un cambriolage, chaque heure une attaque contre personnes. La lutte internationale contre le crime se plaint, «que l’Allemagne est devenu le centre et lieu de repos des organisations criminelles mondiales» telles que la mafia, la ’Ndrangheta, les triades, les bandes de voleurs roumains, polonais, ukrainiens et albanais, les réseaux de distribution pour le trafic de drogue international et l’augmentation brutale de la petite délinquance dans nos rues. Malgré l’augmentation des forces de police la criminalité augmente.
De plus en plus de criminels entrent dans le pays, car en Allemagne ont les laisse davantage en paix que dans d’autres pays, l’Allemagne leur offre aussi les prestations sociales complètes et un pays riche avec de bonnes opportunités pour la criminalité. Mais au lieu de prendre au sérieux les craintes de la population, notre politique tolère- que les Etats-Unis conduisent leurs troupes de terroristes internationaux battues en Syrie, qu’ils veuillent les réutiliser en Iran, de Mosul et Rakka à d’autres endroits. Entretemps, ils les placent en Allemagne.
- que le Maroc et la Tunisie vident leurs prisons, pour exporter les criminels vers l’Europe en refusant par la suite de les reprendre,
- que la plus haute juridiction interdise l’expulsion d’étrangers criminels, parce qu’ils «seraient poursuivis» à l’étranger à cause de leur criminalité,
- et que des milliers de cabinets d’avocats s’assurent des aides juridictionnelles pour des procès administratifs (200 000) contre la punition de criminels ou le refus de prestations sociales à des étrangers illégaux.
L’Allemagne doit payer davantage
L’UE et toutes les organisations mondiales exigent de l’Allemagne «davantage de solidarité», c’est-à-dire davantage de financements de répartition, car l’Allemagne n’a pas seulement des excédents d’exportation croissants, mais également «suffisamment» de recettes fiscales publiques. Ainsi, l’Allemagne devrait contribuer par des milliards de prestations supplémentaires à un «Plan Marshall pour l’Afrique», devrait subventionner davantage la Grèce, l’Italie ou l’Espagne et financer l’insolvabilité menaçante de la France en abandonnant sa souveraineté financière à l’Europe (Union financière) pour soutenir les fonds d’aide élargis du MES. En outre, les millions de visiteurs sociaux arrivant doivent être alimentés de la même manière que les cas sociaux allemands (Hartz-IV) (2016 = + 700 000) et toutes les prestations sociales doivent être massivement augmentées. Tout cela sans prendre en considération que
- nous avons certes un boom, mais pas de véritable croissance, plutôt un semblant de reprise suite à une augmentation artificielle de la masse monétaire, menaçant d’éclater bientôt,
- nos revenus suite aux prestations de la classe moyenne et des ouvriers restent derrière ceux de l’industrie financière, tout en étant de plus en plus taxés, parce que la politique ne supprime pas même les impôts les plus insensés (impôts sur les vins mousseux, impôts de solidarité, impôts de propagande, redevances TV/radio).
Mécontentement croissant
Le mécontentement croissant avec les rendements économiques de la population allemande (le fait de ne pratiquement plus pouvoir acquérir un appartement par son propre effort) est en rapport avec la charge extrême des fournisseurs de services et celle-ci avec la distribution politique de notre prospérité dans le monde. La prétendue «solidarité» avec les réfugiés – également un emballage trompeur, car 94% des immigrants ne sont pas des réfugiés – est seulement une partie de cette exploitation politiquement voulue de notre peuple.
On pourrait continuer avec des exemples similaires. Ils documentent tous que les grandes difficultés de notre population, notamment la crise du logement, la criminalité, le manque de pouvoir faire des économies ou le taux élevé des charges ne sont pas naturels, ne sont pas dus au marché, mais provoqués par des dysfonctionnements et des manipulations étatiques. Notre politique est responsable de nos difficultés et non pas notre système.
Les régulations erronées continueront également avec le nouveau gouvernement
Les décisions de la nouvelle Grande coalition montrent cependant que les principales régulations erronées comme par exemple les paiements de l’Allemagne pour l’EU (Union financière), la sollicitation excessive de notre système social (immigration de masses) et les charges fiscales exagérées de nos prestataires de services ne changeront pas avec la même politique qu’auparavant. La politique est elle-même trop lâche pour nommer les causes des problèmes. Elle craint la punition des majorités électorales, si elle ne faisait que nommer la dépréciation monétaire, l’augmentation de la masse monétaire, l’exploitation de notre système social ou l’extension de l’EU aux frais de l’Allemagne.
Faut-il donc que la bulle financière éclate pour que la pseudo-prospérité redescende au niveau de la véritable prospérité et qu’ainsi la réalisation des exigences exagérées des pays étrangers, des organisations étrangères et des immigrants étrangers ne soit plus possible?* Eberhard Hamer est un économiste allemand. Après des études d’économie nationale, de théologie et de droit, il a travaillé en tant qu’avocat dans une entreprise. Plus tard, il a obtenu la chaire de politique financière et économique de la Haute Ecole de Bielefeld, où il a enseigné jusqu’à sa retraite en 1994. Dans les années 1970, il a fondé le «Mittelstandsinstitut Niedersachsen» à Hanovre. Hamer est auteur et éditeur de nombreux livres, entre autres «Was tun, wenn der Crash kommt? Wie sichere ich mein Vermögen oder Unternehmen?» [Que faire, quand le crash arrivera? Comment puis-je protéger ma fortune ou mon entreprise?] (10e édition 2008) et «Visionen 2050. Wohin steuern wir? Trends und Prognosen für Deutschland und Europa» [Vision 2050. Où allons-nous? Tendances et prévisions pour l’Allemagne et l’Europe] (2016).
(Traduction Horizons et débats)
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Des militaires français agressés à Varces, à Castres, à Paris et insultés en langue arabe, d'autres blessés au Mali
Mais surtout ne pas faire d'amalgame sur la nature de notre ennemi :
"Le jeune homme recherché depuis ce jeudi 29 mars matin pour avoir foncé en voiture sur des militaires a été interpellé à la mi-journée. Dès 8h du matin, il avait pris pour cible des militaires du 7e bataillon de chasseurs alpins basé à Varces à bord d'une 208 noire. Il avait d'abord insulté deux soldats de retour de leur jogging, avant de foncer sur eux avec son véhicule. Les militaires ont réussi à éviter de justesse la collision et se sont cachés derrière des voitures.
Il a ensuite pris pour cible un autre groupe de soldats en les insultant cette fois-ci, en arabe, avant de prendre la fuite. La gendarmerie avait alors très vite bouclé le périmètre et confiné les habitants chez eux et les enfants dans les écoles une partie de la matinée.L'homme a été interpellé dans le quartier, réputé sensible, de la Villeneuve à Grenoble. Il a été conduit à la police judiciaire de la ville afin d'être placé en garde à vue, et tenter de connaître les motivations de son geste (...)
Le maire de la commune de Varces-Allières-et-Risset indique par ailleurs à France Bleu Isère avoir pris une mesure de confinement pour les structures recevant du public et notamment les établissement scolaires. "Ces structures sont à cette heure-ci en situation de confinement, tout est fermé. Il n'y a plus d'intrusion dans les bâtiments et cette situation va perdurer, jusqu'à nouvel ordre. Les enfants sont dans des lieux sécurisés et fermés", a expliqué Jean-Luc Corbet."
Hier, nous apprenions que 5 soldats français ont été blessés par un tir de mortier à Kidal au Mali et qu'un homme avait foncé le 26 mars en voiture sur une section du 8ème RPIMa à Castres.
Et le 23 mars dernier, une autre agression contre un militaire de l'opération Sentinelle avait eu lieu :
"Un légionnaire a été attaqué par un individu alors qu’il patrouillait en Gare de Lyon à Paris dans le cadre de l’opération Sentinelle. Plusieurs coups de poing dans le dos. Selon nos informations, un individu a soudainement attaqué la patrouille composée de quatre militaires en frappant à de nombreuses reprises l’un d’eux et en criant « Allah Akbar !Enculés de militaires ! ». Remis à la police. Le légionnaire n’a pas été blessé et l’agresseur a été maîtrisé et amené au sol par les militaires.
Selon certaines sources, les agressions et attaques verbales contre nos militaires sont quotidiennes. Jusqu'où l'Etat va-t-il tolérer cela ?
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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NON, MONSIEUR BILGER, GÉRARD COLLOMB N’EST PAS UN EXCELLENT MINISTRE DE L’INTÉRIEUR !
Notre ministre de l’Intérieur ne maîtrise plus rien du tout et ne propose aucune mesure afin de faire dégonfler le nombre d’individus à surveiller, déchéance de la nationalité pour les binationaux, expulsions des étrangers fichés S, etc.
Intervenant sur Radio Classique ce mardi 27 mars, Philippe Bilger a déclaré que Gérard Collomb était un excellent ministre de l’Intérieur si on veut s’en référer au fond, qu’il propose d’excellents projets de loi et qu’il est totalement conscient des dangers… Les bras m’en sont tombés !
Il avait pourtant bien commencé son intervention en indiquant qu’il était possible de rechercher une qualification pénale pour les fichés S et, tout à coup, patatras ! Je ne sais pas ce qui lui a pris de subitement tresser des lauriers à notre ministre de l’Intérieur ! Il ne s’agit pas, pour moi, d’avoir une posture systématique d’opposition à Gérard Collomb, mais de regarder lucidement son action et, surtout, son inaction.
Vingt attentats ont été déjoués en 2017 et deux depuis le 1erjanvier 2018, selon les déclarations récentes du ministre. Très bien, heureusement que nous obtenons quelques résultats, mais sur combien en préparation ? Ces chiffres sont relatifs. Les événements de Carcassonne sont venus fracasser cette autosatisfaction affichée en mettant en lumière l’échec de la surveillance des fichés S du haut du spectre par la DGSI, submergée par le nombre d’individus à surveiller. Quel aveu d’échec cinglant ! Notre ministre de l’Intérieur ne maîtrise plus rien du tout et ne propose aucune mesure afin de faire dégonfler le nombre d’individus à surveiller, déchéance de la nationalité pour les binationaux, expulsions des étrangers fichés S, etc.
Qu’a fait Gérard Collomb pour faire arrêter les jeunes du quartier Ozana où résidait Radouane Lakdim, le terroriste de Trèbes, qui ont crié leur soutien au terroriste face aux policiers venus sécuriser le quartier ? Rien. D’une façon plus générale, que fait-il pour reconquérir les zones de non-droit, quartiers où pullulent les trafics, les bandes de délinquants et où s’est imposé un islam radical qui nous mine ? Rien. Le concept de police de sécurité du quotidien censé ramener la sécurité ne fonctionnera pas dans ces conditions. Emmanuel Macron a même précisé que cette réforme « ne consistera pas à remettre en place des postes de police dans les quartiers » Alors ?
Qu’a fait Gérard Collomb pour réduire les failles juridiques persistantes dans notre dispositif législatif antiterroriste, sur les interceptions de sécurité, les saisies judiciaires, le nécessaire croisement des fichiers judiciaires et de renseignement ? Rien, comme son prédécesseur… Pourtant, ces failles ont été décrites par les chefs de nos services de renseignement lors de leur audition par la commission d’enquête parlementaire sur les moyens mis en œuvre par l’État après le 7 janvier 2015.
Que fait Gérard Collomb pour faire respecter la laïcité alors que l’état des lieux décrit dans le rapport du préfet Clavreul, paru en février, dresse un constat alarmant de la laïcité en France et du vivre en commun collectif ? Rien, ou plutôt si ! Il rouvre les mosquées salafistes fermées pendant la période de l’état d’urgence. Quand on sait combien il est difficile de savoir ce qui se passe à l’intérieur de celles-ci, les fermetures devraient être définitives. Chassez le naturel, il revient au galop.
On sait que certains terroristes, qui ont agi notamment au Bataclan, s’étaient infiltrés parmi les « migrants », mais on continue à développer une politique migratoire mortelle pour la France. « La menace terroriste reste très élevée », précise notre ministre, mais il contribue à l’aggraver en ne faisant rien pour interdire le retour de ces djihadistes, et on s’apprêterait même à favoriser leur recueil sur notre territoire, selon M. Castaner. Je m’arrête là faute de place dans ce billet, mais non, Gérard Collomb ne mène pas la guerre intérieure qui nous est déclarée.
Il n’est pas, Monsieur Bilger, un excellent ministre de l’Intérieur.
http://www.bvoltaire.fr/non-monsieur-bilger-gerard-collomb-nest-excellent-ministre-de-linterieur/
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Les panneaux anti-djihadistes de Génération Identitaire à la barre
Une enquête a été ouverte après la découverte de sept panneaux de signalisation aux abords de Toulouse, portant l’inscription « djihadistes » barrée d’un trait rouge.
La direction départementale de la sécurité publique de Haute-Garonne a immédiatement ouvert une enquête pour incitation à la haine raciale.
A travers cette action, le groupe Génération Identitaire souhaite lancer une alerte pour demander à Jean-Luc Moudenc, le maire LR de Toulouse, de s’opposer au retour des djihadistes partis combattre en Irak et en Syrie.Depuis plusieurs jours, ils multiplient les actions pour dénoncer le risque d’attentats que représente ces individus.
La dénonciation du djihadisme semble donc être devenue aujourd’hui une forme d’incitation à la haine.