Dans une confrontation avec Rokhaya Diallo, le journaliste persiste sur la signification du port du voile islamique.
http://www.bvoltaire.fr/islamisation-de-france-bernard-de-villardiere-tient/
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Dans une confrontation avec Rokhaya Diallo, le journaliste persiste sur la signification du port du voile islamique.
http://www.bvoltaire.fr/islamisation-de-france-bernard-de-villardiere-tient/
Le site de la chaine cnews a publié le 21 février dernier un témoignage de Robin V., caissier de supermarché en Ile-de-France, métier on le sait qui n’est pas facile, peu épanouissant, lequel « a entrepris de raconter sur Twitter l’enfer que lui font vivre les clients.» Du moins certain d’entre eux dans un lieu qui accueille toutes les catégories sociales. Au nombre des anecdotes qu’il cite, il évoque l’accusation suprême de racisme dont les employés sont victimes de la part des client(e)s pris notamment en flagrant délit de vol (mais pas que); accusation qui semble avoir valeur de passe-droit pour tous les pseudo discriminés qui la prononce, lesquels ont bien intégré le catéchisme gauchiste véhiculé dés le jardin d’enfant dans notre société déboussolée… «En préambule de son récit ( ce caissier) a indiqué (…) être insulté dans tous les sens, sans raison». Selon lui, «les gens ont perdu la notion du respect en France. Alors qu’il a travaillé au Royaume-Uni, il estime que les clients français devraient s’inspirer des clients britanniques» qui, eux, ont une attitude autrement plus urbaine. De respect, il est encore finalement question après l’éviction fracassante de la journaliste Aude Rossigneux de la chaîne internet lancée par des très proches de Jean-Luc Mélenchon, Le Media. Dans une lettre publiée sur le site Electron libre, Mme Rossigneux affirme avoir été licenciée sans ménagement de cette structure cornaquée par les responsables/commissaires politiques Sophia Chikirou, (ex PC, ex PS, ancienne candidate UMP, aujourd’hui directrice de la communication de Jean-Luc Mélenchon), et par le très bourgeois ex maoïste Gérard Miller qu’on ne présente plus.
Aude Rossigneux évoque « une violence et une brutalité qui (la) laisse dans un état de sidération. Une brutalité qui n’est pas exactement conforme à l’idée que chacun se fait d’un management de gauche.» «Mon licenciement du Média m’a assommée au point que je n’étais pas en mesure de répondre comme je l’aurais voulu. Je suis arrivée au Média parce qu’on est venu me chercher. J’étais alors la femme de la situation, parée de toutes les vertus. Trop, peut-être… L’idée d’une télé différente, engagée mais libre, portée par ses téléspectateurs et non par l’argent, d’une rédaction unie par un idéal commun mais où seraient respectées les individualités m’a enthousiasmée. Je m’y suis lancée à corps perdu. » Mais «dois-je porter seule la responsabilité des difficultés, des tensions, et des imprécisions de réglage ?» «Les troupes sont toujours motivées, mais épuisées, et pas loin du burn out, comme le montrent plusieurs arrêts de travail. »
Toutes choses que M. Miller et Mme Chikirou démentent avec force, mais qui ne font pas les affaires d’une chaîne qui a beaucoup de mal à trouver son public et dont l’écolo Noël Mamère vient d’annoncer lui aussi son départ. Le très libéral Huffington Post s’arrête sur « les débats qui font rage entre ceux qui soutiennent (Mme Rossigneux) et ceux qui défendent le comité de pilotage. » Il est rapporté la déception d’un sympathisant, d’un contributeur (un socio) apparemment partagée : « Alors comme ça, pour être différents des autres médias, pour se démarquer des magouilles capitalistes, pour prouver que nous sommes meilleurs, solidaires, démocrates, opposés au management des prédateurs capitalistes ou des machines à broyer staliniennes, la patronne Chikirou se bollorise sans vergogne, impose un licenciement brutal, sans consulter les socios, sans dire un mot, avec le soutien maoïsant et silencieux du freudiste de service» (Gérard Miller, NDLR), «perso, je me retire». Il n’y a même plus de respect et de considération à l’extrême gauche pour le freudisme et pour une épuration qui épure la révolution ? L’heure est grave !
Alors suggérons au moins au Média, conseil gratuit et désintéressé, d’ouvrir leur plateau à des invités porteurs d’une pensée vraiment dissidente de celle d’un Système dont M. Melenchon se veut le pourfendeur. Le magazine Marianne rapportait que certains acteurs de cette chaîne souhaitait justement inviter des personnalités dites d’extrême droite pour répondre à «l’objectif assumé (de) faire vivre la confrontation des idées au sein de ce nouveau média qui se fait fort de lutter contre la pensée unique économique et politique. Ce type de programme aurait de surcroît le bon goût de montrer aux 17.000 socios (les futurs propriétaires du Média) que la chaîne n’est pas la télé Mélenchon décrite par ses contempteurs. Si certains députés macronistes ont déjà donné leur accord pour participer à une émission, ainsi que des éditorialistes engagés comme Eric Brunet, la participation du Front National reste pour l’heure en suspens. En interne, le débat fait rage.»
«Quelques journalistes militent ouvertement pour que ses responsables(FN) soient invités» mais rapportait encore Marianne, «plusieurs poids lourds, comme le psychanalyste Gérard Miller», y sont formellement opposés… Ce qui a sa logique du point de vue d’un terroriste intellectuel comme M. Miller, partisan de interdiction du FN et peu doué pour le débat (vraiment) contradictoire . Alors, courageux mais pas téméraire Le Media quand il s’agit de tirer toutes les conclusions de son opposition à la domination des grands canaux d’information par une poignée de gros groupes financiers, à l’Europe bruxelloise et la doxa libre-échangiste?
De respect pour le débat d’idées, il était encore question hier soir sur RTL, au détour de l’émission On refait le monde qui a notamment évoqué le cas Jean-Marie Le Pen, sa décision de ne pas se rendre finalement au congrès du FN à Lille et incidemment la publication du premier volume de ses mémoires. Il est bien évidemment parfaitement loisible de ne pas adhérer aux idées, aux valeurs, à la vision du monde, aux analyses historiques qui sont celles du fondateur du Front National. Comme toute personnalité politique, publique, ses actions, ses décisions peuvent être critiquées, combattues, dénoncées. Cela ressort de la nécessaire libre expression des opinions dans une société démocratique dont les journalistes sont normalement eux aussi les garants.
Tout juste peut-on tout de même souligner que les commentaires qui ont été faits hier soir sur Jean-Marie Le Pen peuvent interpeller, à l’exception d’un Ivan Rioufol beaucoup plus mesuré et sensé dans ses propos. Entendre le journaliste Nicolas Domenach affirmer que JMLP a « raté son destin» et qu’il «rate sa sortie» du fait qu’il apparaît dans ses mémoires comme «sommairement anti-gaulliste» (sic), ressort pour le coup de l’analyse… sommairement partiale et capillotractée… Nous avons connu M. Domenach tout de même plus fin, quand bien même décrit-il dans le même élan un Jean-Marie Le Pen « éclipsé par Marion et son pétainisme à sourire de Joconde». La formule est percutante mais verse allègrement dans l’anachronisme et le simplisme. Est-il si difficile de s’abstraire de la volonté grégaire de ne pas sortir du politiquement correct ? Est-il trop compliqué d’avouer que le Menhir avait vu juste sur beaucoup de sujets, pressenti et exposé les menaces actuelles avant tout le monde? Qu’il a tout de même très largement contribué constate encore Bruno Gollnisch – et le chantier n’était pas mince ! -, à fédérer, à arracher à la marginalité notre courant de pensée, à faire de l’opposition nationale un courant majeur, incontournable de la vie politique française ?
Mais le pompon a été décroché haut la main par l’ex directeur du CSA, le journaliste Roland Cayrol, membre de la famille de la gauche libérale bon teint, qui a péroré sur «le parfait ridicule du personnage» que serait Jean-Marie Le Pen, ajoutant que le président d’honneur du FN «passe pour le pleutre qu’il est. » Le coup de pied de l’âne en quelque sorte de la part d’un homme au parcours professionnel bien balisé , bien ouaté, bien confortable, et dont les prises de position très conventionnelles n’ont pas brillé par l’expression d’un génie, d’une audace et d’un courage particuliers. « Il y a peu de bonheurs qui ennoblissent, le bonheur de la lutte en est un» notait René Quinton. Jean-Marie Le Pen lui, avec ses qualités et ses défauts, ses succès et ses échecs, a lutté. A contre-courant. Conscient de la colossale difficulté de la tâche de renaissance française qui est la notre, sachant comme les militants nationaux qui l’ont soutenu et accompagné, comme les actuels dirigeants du Front, comme Marine, que «L’art de se faire accepter est, en grande partie, l’art de voiler sa liberté d’esprit» (Montherlant). Que nous importe d’être adoubé, accepté par des gens qui sont profondément démonétisés auprès de nos compatriotes ? Et quel courage, quelles luttes, quelles libertés, quelles qualités peuvent nous opposer les Cayrol et consorts ? D’où parlent-ils ? Qui sont-ils pour nous jeter au visage leur arrogance, leur mépris, leurs insultes ? Au nom de quelle autorité ? L’Histoire, les Français jugeront.
https://gollnisch.com/2018/02/27/respect-courage-cas-jean-marie-pen/
FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
C’est d’abord le fondateur de Riposte Laïque, Pierre Cassen, qui vient d’être condamné à trois mois de prison avec sursis, en qualité de directeur de la publication du site internet Riposte Laïque. Or, par un jugement en date du 3 mai 2017, ce même tribunal le relaxait au motif que le directeur de publication était Alain Jean Mairet, directeur de Riposte Laïque Suisse.
Ce dernier, bien que citoyen suisse, a d’ailleurs été condamné à 8 000 € par la XVIIe chambre correctionnelle de la cour d’appel de Paris.
En cause, un article d’un contributeur de Riposte laïque qui avait appelé à la remigration. Il n’en fallait pas moins aux associations droit-de-l’hommistes subventionnées pour réclamer leur « dû » : C’est ainsi que l’association de défense des droits de l’homme reçoit 1000€ de dommages et intérêts, SOS racisme touche-pas-à-mon-pote, 500 € et la Ligue des droits de l’homme, 500 €. Pierre Cassen finira-t-il en prison ou bien devra-t-il bientôt quitter la France « Terre d’Asile » ?
C’est ensuite Christine Tasin qui perd son procès en appel.
Elle avait été condamnée en première instance par la XVIIe chambre pour avoir appelé à scander « Islam assassin », à l’occasion d’une manifestation d’indignation au Trocadéro, en réaction à l’égorgement de deux policiers à Magnanville. Malgré l’horreur des circonstances du drame, qui ne semble pas avoir ému outre mesure le tribunal, Madame Tasin n’a pas bénéficié de circonstances atténuantes.
Quant aux associations dénonciatrices, la LICRA et la LDH, elles empocheront chacune 2 000 € de dommages et intérêt.
Pour Christine Tasin condamnée à payer 1500 € d’amende, le délit de blasphème est rétabli !
En France, on a le droit d’être Charlie, mais pas d’être « Christine » !
https://fr.novopress.info/209755/deux-opposants-a-lislamisation-de-la-france-severement-condamnes/
Un nouveau plan dit de déradicalisation a été présenté ce 23 février par le gouvernement. Les esprits chagrins, dont votre chroniqueur peut éventuellement faire partie, ne manqueront pas de l'imaginer illusoire.
Le Premier ministre, en effet, détaille certaines mesures techniques qu'il se propose de mettre en place. Hélas, il se retrouve dans une pile de 22 mesures du même type prises ou annoncées en 2014, 80 en 2016 et 60 en 2018 avec, désormais, l'école et la prison en tête des préoccupations et instruments.
On n'oubliera pas ainsi que, dans les prisons françaises, on compte maintenant 512 terroristes islamistes détenus à ce titre (sigle administratif "TIS") auxquels il faut ajouter 1 139 prisonniers de droit commun identifiés comme radicalisés. Ceci sans parler des individus "fichés S" en liberté.
Or, si l'on s'en tient aux déclarations d'Édouard Philippe, 250 détenus tout au plus pourront être évalués chaque année.
On pourrait légitimement compare ces chiffres à ceux, assez flous mais bien plus modestes, des zadistes de Notre-Dame-des-Landes. Devant ces gauchistes et autres écolo-activistes, les pouvoirs publics ont piétiné pendant d'interminables années. On peut difficilement cultiver, dès lors, l'optimisme quant aux perspectives immédiates de la lutte contre l'islamisme radical.
Nos concitoyens devraient donc s'interroger, une fois pour toutes, sur la paralysie des institutions et des médias face à ce phénomène personne ne pouvant ignorer qu'il menace de plus en plus notre société.
L'immigration, l'islamisme, l'insécurité, ces trois sujets en "i" qu'on nous dit incorrect d'associer, reviennent ainsi en ritournelle dans la préoccupation des Français, débordant les médias.
Les gouvernants successifs après un effort de négation incroyable depuis 30 ou 40 ans semblent même cependant avoir choisi, sinon d'y faire certainement face, du moins de changer légèrement de discours.
On ne nous chante plus par exemple le refrain des loups solitaires. On l'aura entendu naguère en boucle chaque fois que frappaient, précisément, le contraire de la solitude, c'est-à-dire des réseaux. La mode change, conformément à son destin qui tend à la démoder. On nous parle donc désormais de déradicalisation mais aussi de pratiques administratives restrictives de l'invasion migratoire.
Certes, mais qui croire ?
Le 21 février, à l’Assemblée nationale Gérard Collomb ministre de l’Intérieur développait quelques points techniques de la loi asile et immigration que prépare le gouvernement. Le même jour on apprenait que Jean-Michel Blanquer, ministre de l’éducation qui se dit nationale, envisage pour sa part de serrer la vis aux écoles musulmanes. Telle est l'interprétation officieuse diffusée par les commentateurs agréés d'une proposition de loi portée par une sénatrice UDI. Cette dernière, Françoise Gatel, prévoit d’encadrer plus étroitement l’ouverture des écoles hors contrat. L’affaire a été débattue le 22 février au Sénat. Hélas, l'ambiguïté demeure, puisque le projet, s'il aboutit, pourrait bien atteindre aussi les écoles vraiment libres, catholiques notamment, qui ne produisent aucun terroriste, ceci contrairement à l'éducation dite nationale.
Tout cet effort, pourtant limité, reste paralysé, dénigré, entravé par divers groupes, dont l'extrême gauche ne détient malheureusement pas le monopole.
On entend parfois, certes, sur ce terrain, d'heureux réquisitoires contre un certain islamo-gauchisme. Figure emblématique de cette attitude, Edwy Plenel s'illustre ainsi à la tête de Mediapart. Pour ces militants du clavier, défendre l'islamisme, en niant, en sous-estimant, en révisant à la baisse l'horreur des crimes, revient à manifester cette sollicitude privilégiée pour l'étranger, dont une certaine gauche se réclame. Le musulman est ici confondu avec le Maghrébin.
Ne nous dissimulons pas, en regard, que les ex-compagnons de route du parti communiste ou les ex-trotskistes ne sont, malheureusement, pas seuls en cause.
Les bobos, mais aussi une certaine frange des habitants des beaux quartiers, ceux qui ne descendent jamais au métro Château d'Eau, les gens qui ne sortent de la gare du Nord que pour monter dans un taxi, restent eux aussi très généreux, avec ce qu'ils considèrent, au fond, comme une réserve naturelle de domesticité. Que leur grand cœur s'exerce aux frais des Français moyens, contribuables et corvéables à merci, cela n'échappe plus à personne.
Pour eux, métaphoriquement, critiquer la prédication mahométane entrave le libre contrat de travail avec l'immigré éventuellement en situation illégale. Cette remise en cause indispose également les relations excellentes avec la clientèle des palaces parisiens.
C'est donc bien cette attitude commune à toutes nos pseudo-élites qui paralyse par avance toute politique contraire à l'islamisme radical.
JG Malliarakis
En relation avec cette chronique
"La France en danger d'islam" par René Marchand
à commander en ligne aux Éditions du Trident :
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Edouard Philippe a présenté vendredi 23 février à Lille un plan de 60 mesures du gouvernement contre “la radicalisation islamiste”.
Wassim Nasr, expert de la mouvance jihadiste, analyse ce nouveau plan gouvernemental
Emmanuel Macron sait qu’il y a une population musulmane très importante en France.
Il sait que cette population va grandir encore et représenter une proportion croissante de la population française.
Il sait aussi que, d’ores et déjà, des quartiers entiers de villes françaises sont à majorité musulmane, et que c’est même le cas de plusieurs villes en leur ensemble.
Il sait que les quartiers musulmans sont ce qu’on appelle en langage édulcoré des « zones urbaines sensibles », donc, en réalité, des zones de non-droit où la loi française est remplacée par la loi des gangs et de l’islam.
Il sait encore que les prisons françaises sont emplies de musulmans à hauteur de 70 % des détenus et sont à des degrés divers sous le contrôle d’imams.
Depuis de nombreuses années, le ministère de la Culture est devenu un haut lieu de soutien à toutes les subversions, qu’elles passent par l’art dégénéré, les mœurs décadentes ou le multiculturalisme conquérant.
Nul ne s’étonnera donc de voir Françoise Nyssen, actuel ministre de la Culture, accorder l’aide de l’Etat français (et donc des contribuables) à l’exposition « Les vitrines de l’Atelier des artistes en exil ».
L’immigration de grand remplacement s’étend. Les « artistes » immigrés bénéficient ainsi d’une promotion à laquelle bien peu d’artistes français ont droit. Il ne fait pas bon, en 2018, être un artiste français vivant dont l’œuvre serait mise au service du Beau et du Bien, encore moins de Dieu.
Par contre, le ministère de la Culture vient en aide à une quinzaine d’artistes de toutes disciplines, venus d’Afrique, d’Afghanistan, de Syrie, d’Iran,…, et « réfugiés » en France, dont les œuvres trouvent place en ce moment même dans les vitrines du ministère de la Culture, rue de Valois.
Alors que le débat sur l’interdiction du voile intégral en Allemagne occupe le devant de la scène, Thierry Vallat – avocat au barreau de Paris – estime qu’il pourrait y avoir une interdiction globale au niveau européen.
Service militaire national et organisation de l’islam en France sont deux projets présidentiels apparemment disjoints, mais sous-tendus par une seule et unique illusion.
Cette illusion consiste à croire en une possible compatibilité des us et coutumes musulmanes avec les usages et mentalités des Français autochtones.
Il semble donc qu’au-delà des discours, Monsieur Macron ait fait le constat d’une évidence : l’incompatibilité entre la république laïque et l’islam
Le service militaire fut jadis un puissant outil d’assimilation des jeunes étrangers récemment naturalisés, mais ces étrangers arrivaient de pays européens, dont la culture et la civilisation, ancrées sur des valeurs chrétiennes, étaient voisines.
Cette proximité n’est pas réalisée avec les populations d’origine africaine musulmane.
Espérer que leur cohabitation éphémère en chambrées avec des Européens (chrétiens ou athées) sera fusionnelle est une stupidité.
L’inadaptabilité des musulmans se voit déjà clairement dans les comportements, comme la persistance des prénoms exotiques pour les enfants de troisième et bientôt quatrième génération, ou celle des coiffures et des vêtures.
Lorsque M. Macron se lance dans une tentative sarkozienne d’organisation de l’islam, il fait montre de la même méconnaissance du problème que son prédécesseur.
Il est dans une erreur, très communément rencontrée dans les médias et dans les sphères politiques de gauche, qui consiste à considérer l’islam comme une religion, et seulement une religion, qui serait à mettre sur le même plan que le christianisme ou le judaïsme.
Il semble ignorer l’indissociable composante sociale, politique et civilisationnelle qui la sous-tend, composant la Charia – qui n’a pas d’équivalent dans le christianisme et qui est oubliée dans le judaïsme dans sa pratique moderne.
Ni les chrétiens, ni les juifs n’ont besoin d’une organisation extérieure pour vivre et les tentatives faites dans notre Histoire sous la révolution et l’empire pour les réglementer ont été finalement des échecs.
Lorsque le Président parle d’un islam de France, il méconnaît l’universalité islamique (l’Oumma) et son impossibilité permanente et universelle de coexistence pacifique avec quoi que ce soit d’autre que l’islam lui-même.
Il oublie que son prosélytisme conquérant et violent s’est toujours propagé par le sabre et non par la prédication.
Ces deux tentatives se solderont par des échecs dispendieux, et rien d’autre.
Paul Turbier
Texte repris du site les4verites.com
Dans un entretien pour Réinformation TV, l’abbé Guy Pagès, prêtre catholique français engagé dans l’évangélisation des musulmans, fin connaisseur de l’islam, déclare :
"[...] Mais l’on n’annonce pas l’Evangile aux musulmans comme à des athées, et que la raison dernière d’être des institutions est de favoriser le salut de tous, car, comme le disait Pie XII : « De la forme donnée à la société, conforme ou non aux lois divines, dépend et découle le bien ou le mal des âmes (Discours pour le Cinquantième anniversaire de Rerum Novarum, 1er Juin 1941). » A mon avis, le premier problème, le plus important, le plus grave, est celui du comportement de la hiérarchie catholique que beaucoup perçoivent comme lâcheté et compromission.Lorsqu’un évêque finance la construction d’une mosquée, que des évêques posent la première pierre des mosquées, prétendent que l’islam est une bonne religion, n’invitent pas à quitter l’islam, comment ces pasteurs ne nourriraient-ils pas l’indifférentisme, ne videraient-ils pas en conséquence leurs églises, et n’apparaîtraient-ils pas aux yeux des gens sains d’esprit comme des traîtres les conduisant à la mort du temps et de l’éternité ?
Les non-catholiques désireux de sauvegarder leur identité voient de plus en plus l’Eglise comme une alliée objective de leur mise en esclavage programmée, tandis que nombre de catholiques sont désemparés, affolés, de ne plus trouver secours auprès de leur mère face à cet Antichrist devant lequel tout le monde se couche et qui n’apporte que malheurs et terreurs. Il faut lire à ce sujet la récente Lettre ouverte d’ex-musulmans devenus chrétiens adressée au Pape. Si l’Eglise elle-même ne voit pas d’inconvénient à ce que l’islam s’installe en Europe, comment voulez-vous que les Etats puissent trouver quelque chose à y redire ? L’Eglise ne joue plus son rôle de prophète, elle n’imite plus le Bon Berger qui chasse le loup de la bergerie, elle se contente de dialoguer avec lui et même l’appelle à cor et à cri à venir s’installer chez nous… Le souci du salut des hommes paraît avoir complètement déserté les préoccupations du clergé, tout occupé à célébrer la convivialité humaine, terrestre, où chacun a le droit de croire ce qu’il veut…
Même en France, des ex-musulmans cachent leur conversion à leurs familles et voisins, par peur des représailles, et cette peur se répercute dans l’Église qui ne les accueille bien souvent que du bout des doigts. J’ai l’exemple de cette jeune fille, majeure et vaccinée, dont le père est l’imam bien connu d’une ville de la région parisienne. Elle est allée demander le baptême au curé de sa ville, qui lui répondit : « Mais, votre père est-il d’accord ? » [...]"