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immigration - Page 885

  • Prières de rue, Tariq Ramadan : la parole se libère contre les idées fausses, par Ivan Rioufol

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    Le vent tournerait-il ? Le déconomètre, qui s’emballe depuis près de quarante ans, a du plomb dans l’aile. Vendredi dernier, une centaine d’élus de Clichy (Hauts-de-Seine) ont manifesté leur indignation devant les prières de rue. Elles y sont organisées illégalement depuis huit mois par des fidèles qui se plaignent de l’éloignement de leur mosquée. La suite dira si, après ce premier face-à-face tendu, le ministre de l’Intérieur sortira de sa torpeur. Tout aussi réjouissante est l’avoinée qui s’abat sur le journaliste Edwy Plenel, patron de Mediapart. L’ami de Tariq Ramadan, accusé de viols, était le symbole sacralisé du journalisme moralisateur. Même à gauche, les outrances du faux curé commencent à être comprises pour ce qu’elles ont toujours été : des complaisances avec le totalitarisme coranique. Manuel Valls mène l’assaut contre ce drôle d’”antiraciste”. Mercredi, l’ex-premier ministre a accusé Plenel de “complicité intellectuelle” avec le terrorisme. La “parole libérée” est une glasnost à la française qui déborde des rangs des seules néoféministes.

    Les résistants de la 25e heure découvrent la lune. Hier encore, beaucoup étaient avec la meute quand il s’agissait de marginaliser les premiers lanceurs d’alerte, forcément réactionnaires et infréquentables. Votre serviteur se souvient des inepties des procureurs d’alors. Mais Schopenhauer avait prévenu : “Toute vérité franchit trois étapes : d’abord elle est ridiculisée. Ensuite elle subit une forte pression. Puis elle est considérée comme ayant toujours été une évidence.” Reste la satisfaction d’être moins seul, et celle de ne s’être pas trompé sur cette presse militante qui nie les faits, sur cette gauche perdue qui croit retrouver les vertus du communisme, Allah en plus, dans l’islamisme en guerre contre l’Occident.

    Cependant, les persistantes réticences à regarder en face les faux gentils, la fracture identitaire, la guerre civile qui vient, la grande mascarade du macronisme, sont des encouragements pour continuer d’enfoncer les clous…

    Ce qui survient, dans ce rejet des dénis et ce retour au bon sens, sont les premiers pas vers une émancipation des esprits.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 16 novembre et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • DES MIGRANTS SQUATTENT LES AUTOLIB’ À PARIS : LA START-UP NATION EST EN PANNE DURABLE

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    Une entreprise et une économie ne peuvent être rentables dans une nation et une société qui se désagrègent.

    L’information a été révélée il y a une semaine par un reportage du Parisien puis relayée par des images de BFM TV. Les Autolib’ du groupe Bolloré mises à la disposition des Parisiens sont régulièrement squattées, dégradées et vandalisées par des migrants, en l’occurrence algériens et marocains, dans le XVIIIarrondissement. Mais c’est, en fait, tout l’Est parisien et plusieurs stations entières d’Autolib’ qui sont ainsi touchés. Le phénomène n’a rien d’anecdotique ni de ponctuel et s’étendrait, selon un agent de nettoyage des véhicules interrogé par Le Parisien, aux Ve et XIearrondissements. Ces agents, dénommés « ambassadeurs » dans le beau langage entrepreneurial de la société, refusent parfois de monter à bord des voitures car, outre des migrants mineurs et des sans-abri, elles servent aussi de refuge à des délinquants et des toxicomanes, à qui la salle de shoot voisine récemment ouverte ne suffisait pas…

    Du coup, l’image moderne, propre, parisienne et « partageuse » de la nouvelle économie en prend un sacré coup, quand la réalité migratoire s’y installe et vient perturber les plans de rentabilité de M. Bolloré. Un sacré coût, donc. En effet, ce sont deux cents véhicules par semaine, d’après une enquête de Challenges, qui seraient vandalisés et contraints de retourner au garage des Autolib’, boulevard Ney, « pesant sur les coûts et l’image du service ». Conséquences logiques : baisse du nombre d’abonnements, passés de 110.000 à 102.000 en un an (Le Parisien), et baisse du nombre de locations par « abonné 1 an » (ceux qui génèrent l’essentiel du chiffre d’affaires). L’entreprise est dans le rouge.

    Le modèle économique de M. Bolloré prévoyait un seuil de rentabilité à 50.000 abonnés, puis à 60.000 en 2013, puis 80.000 en 2016. Puis à 100.000. Mais, même là, ce seuil ne fut jamais atteint. Et maintenant que la courbe s’inverse, l’entreprise ne cesse de creuser ses pertes. D’après Challenges, en 2017, le déficit cumulé s’élève à 179 millions d’euros. Mais l’homme d’affaires avait plafonné le déficit à sa charge à 60 millions d’euros durant la période de délégation de service public. Pas fou, M. Bolloré. Et en tout cas bien moins que les élus parisiens et franciliens qui se sont lancés dans cette aventure et qui, paraît-il, sont aujourd’hui furieux. Mais après tout, à défaut d’être de prudents gestionnaires, faire éponger des déficits par des contribuables qui n’auront jamais emprunté d’Autolib’ de leur vie, ils savent faire, non ? 

    Morale de la fable du Migrant et de l’Autolib’ ? Ceux qui nous répètent à l’envi, à gauche, au centre et à droite, que la nouvelle économie est LA solution, en jetant un voile pudique sur nos problèmes migratoires et sociaux, et qui traitent ceux qui osent les soulever d’arriérés ou de provinciaux sont tout simplement des menteurs et des inconséquents. 

    Les déboires d’Autolib’ viennent leur apporter la démonstration cinglante que même à Paris, pourtant vitrine de la nouvelle économie de la mobilité verte et « start-upée », les migrants et les toxicos viennent gripper la belle machine, qu’une entreprise et une économie ne peuvent être rentables dans une nation et une société qui se désagrègent. Exemple emblématique parmi tant d’autres, et qui ne sera malheureusement pas le dernier.

    Dans « start-up nation », notre Président a oublié qu’il y avait le mot « nation », et que c’était par lui qu’il aurait fallu commencer, s’il voulait vraiment que son « business model » tienne la route et ne se fracasse pas, comme ceux de Mme Hidalgo et de M. Bolloré, sur la réalité migratoire. Il a préféré le plus facile, le plus immédiat, ce qu’il connaît aussi le mieux. Pour la nation, les Français devront encore attendre. À moins que les problèmes d’immigration et d’insécurité ne viennent encore davantage plomber les comptes de cette nation, comme ceux d’Autolib’. Et là, il ne s’agit plus d’un hypothétique seuil de rentabilité, mais bien d’un seuil de tolérance qui se rapproche. Plus vite qu’une Autolib’.

    http://www.bvoltaire.fr/migrants-squattent-autolib-a-paris-start-up-nation-panne-durable/

  • EN HONGRIE, LES JEUNES ET LES ACTIFS ONT CHOISI LEUR CAMP : ANTI-IMMIGRATION

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    Selon un récent sondage, les 18-44 ans hongrois devraient voter à plus de 80 % pour des partis anti-immigration lors de leurs élections législatives en 2018.

    Ce sondage s’inscrit dans une continuité politique depuis 1998, date à laquelle Viktor Orbán, président du Fidesz, devient Premier ministre pour la première fois. Réélu en 2010, celui-ci œuvre pour faire passer la Hongrie avant l’Union européenne dans toutes les décisions qui concernent le territoire national. En particulier sur les questions d’immigration. En mars, le Parlement a d’ailleurs choisi de retourner à une politique d’asile encadrée, ce qui se traduit par l’interdiction de la libre circulation des demandeurs d’asile dans le pays. Il semblerait absurde qu’un demandeur ait les mêmes droits que celui qui a obtenu l’asile. En septembre, c’est le projet de grande consultation populaire contre le « plan Soros » qui a été lancé. Dans les jours qui viennent, les Hongrois seront amenés à se prononcer sur ce plan, détaillé en sept points argumentés pour cette consultation. 

    Si un gouvernement mène une certaine politique depuis plus de sept ans et que 80 % de la population sont prêts à appuyer cette politique par leur vote, il semble que la conclusion à laquelle il faille arriver et que le mode d’action et les décisions prises soient bons.

    Ce qui est intéressant, c’est que ce sont les plus jeunes, c’est-à-dire l’avenir du pays, qui plébiscitent majoritairement une politique nationale et identitaire. C’est le sursaut des peuples qui refusent que d’autres choisissent pour eux. Ils refusent qu’un milliardaire né hongrois, émigré aux États-unis, ayant fait fortune par la spéculation, grand mécène d’organisations opaques telles que Human Rights Watch (organisme cité par tous les grands journaux français pour attaquer la politique hongroise), instigateur du chaos (afin d’en profiter par la suite pour faire plus d’argent), bref, un pourri, puisse du haut de sa fortune tirer les ficelles du monde.

    Cette jeunesse consciente des grands enjeux de notre siècle est un formidable espoir en comparaison avec nos 18-44 ans français, désintéressés de tout, surtout de l’essentiel. Décidément, en ce centenaire de Fátima, il devient de plus en plus évident que le salut viendra de l’Est !

    http://www.bvoltaire.fr/hongrie-jeunes-actifs-ont-choisi-camp-anti-immigration/

  • NICOLAS DUPONT-AIGNAN : « SI LES TERRORISTES ISLAMISTES SENTENT QUE LA FRANCE EST IMPITOYABLE, ILS S’ARRÊTERONT »

    Nicolas Dupont-Aignan a fait part de son mécontentement devant les commémorations du 13 novembre. Il s’en explique au micro de Boulevard Voltaire.

    Vous avez fait part de votre mécontentement devant les commémorations du 13 novembre. Pourquoi ?

    J’en ai assez des commémorations qui visent simplement à masquer l’impuissance publique.
    Le meilleur hommage qu’on puisse rendre aujourd’hui aux victimes est de prendre les mesures qui s’imposent pour qu’il n’y ait plus de nouvel attentat.
    À ce titre, il y a plusieurs défis.
    Comment empêcher les djihadistes de revenir en France ? Ce n’est pas fait !
    Comment donner des moyens à nos forces armées ? Ce n’est pas fait !
    Comment faire en sorte que nos prisons ne soient pas gangrenées par l’islamisme ? Ce n’est pas fait !
    Comment revoir le fonctionnement judiciaire ?
    Je veux bien qu’il y ait des commémorations. C’est normal. Je comprends l’émotion des familles et des Français. Mais je ne veux pas de commémorations pour tout mettre sous le tapis et ne pas prendre les mesures qui protègent les Français.

    En d’autres termes, selon vous, pas grand-chose n’a été fait depuis deux ans ?

    Attention! Des choses ont été faites, et heureusement, et notamment l’état d’urgence que j’avais proposé et qui a malheureusement été levé par ce gouvernement.
    Il ne faut pas nier ce qui a été fait. Il ne faut pas, non plus, nier l’implication des services de renseignement qui ont déjoué des attentats.
    Je ne suis pas là pour polémiquer. Je suis là pour dire, en revanche, que tout n’a pas été fait. Il y a une marge de progression considérable pour mieux protéger les Français.
    Les gouvernements agissent souvent trop peu et trop tard.
    Je ne voudrais pas qu’il y ait un nouvel attentat et qu’on se dise : « On aurait dû mettre en place ce qui a été demandé. »
    Il faut construire le plus rapidement possible les 40.000 places de prison en reprenant des casernes désaffectées pour éloigner, notamment, les djihadistes, revoir le Code de procédure pénale, créer une Haute Cour de justice pour qu’on n’ait plus la palinodie et le spectacle lamentable du procès du frère Merah. Nous sommes comme anesthésiés.
    Je remarque qu’en ce jour de deuil et de cérémonie, nous n’avons pas entendu de voix différentes à la télévision.

    Ce qui préoccupe les Français, c’est le retour des djihadistes. Que préconisez-vous contre eux ?

    Ceux ayant une double nationalité doivent être déchus de la nationalité. Ils doivent partir dans le pays de leur autre nationalité.
    Ceux qui sont étrangers ne doivent pas remettre les pieds en France.
    Et ceux qui sont français doivent soit rester là-bas, soit être en prison en vertu de l’article du Code pénal qui punit de trente ans de prison toute personne coupable d’intelligence avec l’ennemi.
    Cet article du Code pénal n’est pas appliqué par notre Justice pour ceux qui sont en prison.
    Je n’accepte pas et je dénonce solennellement la position du président de la République qui parle au « cas par cas ». Cela veut dire que des personnes qui sont allées égorger et tuer là-bas et qui ont combattu nos soldats reviennent et sont en liberté dans notre pays.
    Il y en a 130 aujourd’hui, d’après les chiffres du ministre de l’Intérieur.
    J’entends parler de cellules de radicalisation. On croit rêver! Ce sont des gens qui reviennent pour nous tuer.
    J’avais proposé, pour ceux qui sont condamnés, les îles Kerguelen en créant une prison là-bas. Cela est tout à fait possible.
    J’avais proposé que toutes personnes soient incarcérées. C’est vital et ce n’est pas le cas !

    Le grand public s’est ému de la peine, trop légère d’après l’opinion, infligée à Abdelkader Merah. Selon vous, la Justice a-t-elle été à la hauteur ?

    L’avocat général avait requis des peines beaucoup plus sévères.
    Étonnamment, les juges n’ont pas retenu la complicité. Pourtant, ils l’ont condamné. Quelque chose ne tourne pas rond.
    C’est la raison pour laquelle je pense qu’il est important qu’une Haute Cour de justice différente, une Cour de sûreté de la nation serait plus efficace.
    Il ne s’agit pas de m’immiscer dans le processus judiciaire, mais de voir que notre Justice est paralysée à la fois dans ses verdicts et dans son organisation.
    Notre Justice n’arrive pas à traiter tous les cas de ceux qui reviennent. Le contrôle judiciaire pour ceux en liberté est totalement inefficace. Ce sont des bombes volantes qui reviennent sur notre sol.
    Le « au cas par cas » est indigne d’un président de la République.
    On peut mettre de petites bougies partout, mais cela ne va pas nous rendre les victimes.
    Je pense qu’on s’apitoie sur les djihadistes, sur leurs enfants, sur leurs compagnes, mais on oublie les victimes. Or, elles ne peuvent pas parler. Notre rôle d’hommes politiques est de parler pour elles et pour leurs familles.
    Il faut que les djihadistes sachent que la France sera sans pitié. C’est cela, être un homme d’État. On n’est pas là pour faire de la sensiblerie. Il faut les empêcher de rentrer et, quand ils rentrent, les mettre en prison.

    Vous disiez, dans nos colonnes, que la France était en train de disparaître. Selon vous, est-ce le terrorisme islamiste qui en est responsable ?

    Le terrorisme islamiste est en train de terroriser nos dirigeants.
    Je reprends la phrase magnifique de Charles Pasqua : « Il faut terroriser les terroristes. »
    Il avait tout compris !
    Ils ont bien compris que la société française et les dirigeants français étaient faibles.
    Ces gens-là vont vers la faiblesse. S’ils sentent que la France est faible, ils continueront. S’ils sentent que la France est impitoyable, ils s’arrêteront.
    Malheureusement, c’est toute l’histoire de l’humanité. Notre rôle d’hommes politiques n’est pas de faire de la démagogie compassionnelle, mais de prendre nos responsabilités.
    Je regrette que le président de la République ne prenne pas ses responsabilités.

    http://www.bvoltaire.fr/terroristes-islamistes-sentent-france-impitoyable-sarreteront/

  • Toulouse : la police découvre un fiché S dans ses rangs

    Sécurité. L’École de police nationale de Toulouse (Haute-Garonne) comptait un fiché S parmi ses employés, révèle France 3 Régions ce vendredi. L’individu vivait notamment en colocation avec le frère de l’assaillant qui a renversé plusieurs étudiants dans la commune voisine de Blagnac, le 10 novembre dernier.

  • Islamisme : entre club de foot et carmel, l’infiltration par la ruse ! – par Marie Delarue

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    Ce qui frappe le plus, dans ces deux affaires, c’est encore une fois la naïveté.

    Le problème, avec les manipulateurs, les fanatiques et les pervers, c’est que n’ayant pas leur esprit tordu, on est généralement incapable d’anticiper leur comportement. D’où le succès de leurs entreprises.

    C’est un chemin, hélas, que sont en train d’emprunter les fanatiques islamistes, comme le prouvent deux faits divers relatés dans l’actualité du jour.

    On apprend ainsi que deux hommes, deux barbus (mais c’est la mode !), vêtus en jeans et baskets, se sont présentés à la sœur tourière du carmel de Verdun, demandant benoîtement s’ils pouvaient accéder à la chapelle. L’office de vêpres allait commencer. La sœur a dit oui. Ils sont donc allés à la chapelle, y ont « prié en arabe », puis, rapporte l’évêque Mgr Gusching, « ils se sont présentés comme des annonciateurs » et ont dit aux religieuses : « Si vous ne vous convertissez pas, vous irez en enfer. » Enfin, ils ont écrit « Allah Akbar » sur le livre d’or de l’église, puis sont repartis comme ils étaient venus.

    Cette histoire, sorte de parabole, est pleine d’enseignements. J’y apprends tout d’abord que le monde de l’Église a changé. Dans mon enfance ne pénétraient au carmel que les religieux. On n’y aurait pas accepté deux quidams pour venir faire la causette avec les contemplatives. Mais les sœurs de Verdun fabriquent des couettes de luxe, en plume, et vivent donc un pied dans le monde réel. Second enseignement : elles n’y vivent pas assez, toutefois, pour être vigilantes, et l’on se dit que le carmel de Verdun aurait fort bien pu être le lieu d’un carnage type Saint-Étienne-du-Rouvray, où le père Jacques Hamel fut égorgé en plein office. Enfin, détail signifiant, comme on dit : selon les confidences faites par l’imam de Verdun à L’Est républicain, sur les deux assaillants, « le plus jeune s’est converti il y a deux ou trois mois ». Ce qui confirme que les convertis de fraîche date sont toujours les plus zélés.

    Deuxième fait marquant de ce jour : à Lagny, deux hommes déjà mis en examen dans une affaire de terrorisme étaient entraîneurs d’une équipe de football amateur locale. Ils sont suspectés d’avoir « activement pris part et organisé une filière de départ vers la zone irako-syrienne au sein de la mosquée de Lagny ».

    En soi, leur parcours est admirable. Ces deux-là ont en effet tissé petit à petit des liens avec les footballeurs, se rendant indispensables au point que les joueurs ont exigé (et obtenu) que la direction du club accepte de les nommer responsables des équipes seniors au cours de l’été 2017. « C’était ça ou une bonne partie des joueurs s’en allait ailleurs », a déclaré le président du club à RTL.

    Il aura fallu que « les instances locales du football, après une rencontre à l’extérieur, signalent également que l’équipe aurait prié sur le terrain » pour que la municipalité, menaçant de couper les subventions du club, parvienne à obtenir le départ des deux « entraîneurs », dont l’un est déjà mis en examen pour « association de malfaiteurs en vue d’une entreprise terroriste », et l’autre « assigné à résidence pour des faits de radicalisation ».

    Hélas, ce qui frappe le plus, dans ces deux affaires, c’est encore une fois la naïveté.

    Dans le premier cas, on nous dit qu’« aucun lien avec le terrorisme islamiste n’a été démontré ». Peut-être, mais il semble évident que ces deux musulmans ne sont pas entrés au carmel pour y faire du tourisme ! 
Enfin, dans le cas du club de foot, le maire insiste sur « un vide juridique » qu’il serait urgent de combler. En effet, rien dans la législation ne permet « d’écarter des individus radicalisés de l’encadrement d’équipes de football » et d’autres activités dès lors qu’ils sont bénévoles !

    Marie Delarue

    Texte repris du site Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • L’affaire Tariq Ramadan : le bal des tartuffes

    18/11/2017 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Les rumeurs au sujet de la sexualité « débridée » de Tariq Ramadan ne datent pas d’hier

    M. Ramadan semble avoir utiliser préférentiellement sa page Facebook pour harponner ses victimes. Une clientèle soumise à souhait. Après une phase de mise en confiance, « Frère Tareq » en venait rapidement au fait, envoyant à ses proies des documents audios particulièrement salaces et des photos sans ambiguïté de son anatomie intime. Théologien, certes, mais pas poète. Sporadiquement, de censure en censure, ces documents circulent sur le net depuis 2009

    Ils font surface seulement maintenant…

    Ramadan est un homme public d’une grande notoriété, proche des Frères Musulmans, et dont les faits et gestes font évidemment l’objet d’une surveillance toute particulière des services de renseignement occidentaux, en premier lieu de la DCRI française, mais aussi du Mossad israélien ou encore des nombreuses « grandes oreilles » de l’administration américaine. Il est donc évident que ces documents ont été repérés sur les écrans radar de l’Etat profond français, et ce dès leur parution.

    Et donc ?

    Eh bien, de deux choses l’une : ou bien ces documents n’ont pas été adressés par le renseignement français à leurs boîtes aux lettres habituelles, Médiapart et le Canard Enchaîné, ou bien ces dernières n’ont pas jugé bon de les publier. Rien d’étonnant pour ce qui concerne Médiapart, dont l’islamocompatibilité n’est un un secret pour personne. Et c’est à peine plus curieux pour Le Canard, dont le tropisme franc-maçon est quant à lui bien connu.

    Pourquoi l’affaire éclate-t-elle maintenant ?

    Une première explication, banale, c’est que, quand on est un homme très public, on peut difficilement cacher tout, toujours, et à tout le monde. Une autre explication a été avancée par Youssef Hindi, auteur de « Occident et islam », éditions Sigest, à ce micro lors du Libre Journal de l’Identité de vendredi dernier. M. Hindi a souligné que Tareq Ramadan a joué un rôle important dans les printemps arabes en soutenant la destruction de la Lybie et de la Syrie, appuyé en cela par le Qatar, grand financeur des Frères musulmans. Avec le retour au pouvoir des Républicains aux Etats-Unis, le Qatar est maintenant isolé, Trump ayant clairement privilégié l’alliance avec le royaume saoudien. Et M. Hindi de conclure : « Le Qatar étant isolé et les Frères musulmans ayant perdu la guerre au Moyen Orient, il est donc logique que Tareq Ramadan, après service rendu, soit aujourd’hui liquidé ».

    Une explication occultée par la classe politicomédiatique, grassement irriguée par l’argent qatari. Il serait en effet inconcevable que ladite classe déplaise à ceux qui lui assurent ses fins de mois…

    https://fr.novopress.info/

  • Chronique du Grand remplacement : FdeSouche publie la carte 2016 de la drépanocytose

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    Depuis bientôt dix ans, les statistiques ethniques sont interdites en France. En octobre 2007, le Conseil constitutionnel concluait à la non-conformité de tout traitement de données faisant apparaître « directement ou indirectement, les origines raciales ou ethniques » de la personne.

    A la suite de cette censure, l’INED et l’INSEE, les deux principaux instruments de propagande statistique du régime, ont décidé de retirer toute précision sur la « race » des individus. Le dépistage de la drépanocytose permet néanmoins d’avoir une idée précise du nombre de naissances d’extra-européens dans notre pays. La drépanocytose est en effet cette maladie héréditaire du sang, appelée aussi « maladie des noirs » en ceci qu’elle n’affecte que les populations mélanodermes.

    Notre confère FdeSouche publie la carte 2016 de la drépanocytose. Elle montre un accroissement vertigineux du phénomène de Grand Remplacement. En région parisienne, 74,6% des nouveau-nés ont subi le test de dépistage l’an dernier, contre 60% en 2010.

    Consulter cette carte : http://www.fdesouche.com/906357-drepanocytose-la-carte-du-grand-remplacement-mise-a-jour-chiffres-2016