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immigration - Page 884

  • L’IMPOSSIBLE RENOUVEAU THÉOLOGIQUE DE L’ISLAM DE FRANCE

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    Plusieurs centaines de personnalités ont dénoncé, dans une tribune publiée par Le Parisien-Aujourd’hui, le dimanche 22 avril, « l’antisémitisme musulman », un « nouvel antisémitisme » qui provoquerait « une épuration ethnique à bas bruit ».

    Cette tribune propose aux musulmans d’épurer le Coran des passages appelant au meurtre des juifs et des chrétiens. Pour faire contrecoup, et à l’initiative de Tareq Oubrou, recteur de la mosquée de Bordeaux, une trentaine d’imams « intégrés » ont signé une tribune contre l’antisémitisme et le terrorisme. Tareq Oubrou, lié aux Frères musulmans des « Musulmans de France » (nouveau nom de l’UOIF), par son appartenance à son conseil théologique, estime qu’il faut une nouvelle lecture des passages du Coran, et non découper celui-ci.

    Sur ce dernier point, il a raison : le Coran est un et indivisible, c’est la révélation suprême et on ne peut pas en expurger certains passages. Par contre, il dit aussi que l’on ne peut pas être musulman et antisémite ! Curieuse affirmation alors que les passages du Coran sur ce sujet sont assez explicites.

    Cette algarade a l’avantage de mettre en exergue, une fois de plus, le fossé existant entre la volonté politique de nos gouvernants de créer un islam de France, grâce à un renouveau théologique typiquement français, et la réalité de la situation de notre pays. Les coups de boutoir de l’islam radical continuent et cette idéologie religieuse gagne du terrain dans les zones de non-droit devant la léthargie des représentants de l’islam en France, noyautés par l’étranger et qui se drapent dans une critique exacerbée d’une islamophobie qu’ils fantasment. J’écrivais, en 2015, que la dégradation sécuritaire due au terrorisme djihadiste et la crise identitaire que connaît notre pays nécessitaient que la communauté musulmane française s’interroge sur les initiatives à prendre afin de s’exonérer et se démarquer des crimes commis au nom de l’islam par ces terroristes. Nous n’avons pas progressé d’un pouce, au contraire.

    L’apparition d’un islam de France, volonté encore affirmée par Emmanuel Macron, apparaît de plus en plus comme un vœu pieux, une alternative improbable. La possibilité juridique existe pourtant. En effet, il existe dans le Coran une troisième source du droit après le Coran et la Sunna ; il s’agit de l’« idjma ». L’institution est coranique. Elle puise son fondement dans le verset IV-115, duquel on déduit que tout ce qui a l’approbation générale des adeptes de l’islam est donc juste et doit être obligatoirement reconnu. Un hadith est même plus précis : « Ma communauté ne tombera jamais d’accord sur une erreur. » La doctrine de l’idjma, combattue par les califes des premiers siècles après l’Hégire qui vont chercher à restreindre son étendue, aboutit finalement, au VIesiècle de l’hégire, à une synthèse selon laquelle l’accord des théologiens juristes qualifiés (mudjtahid) appartenant à une même génération est nécessaire. Mais qui sont-ils, aujourd’hui ? Et encore, il faut attendre la disparition de leur génération pour que l’idjma soit définitivement établi. Les sunnites admettent tous ce principe, les chiites sont plus divisés. Comme il n’y a plus de mudjtahid après le XXe siècle, il paraît donc illusoire de le réveiller aujourd’hui. Je pensais, il y a quelques années, que les recommandations d’un « Conseil de l’idjma » français pourraient faire renaître ainsi cette source du droit de façon moderne, démocratique et laïque. Je ne crois plus dans cette possibilité, compte tenu de la radicalisation de la situation évoquée plus haut.

    Alors, que nous reste-t-il comme espoir ? Emmanuel Macron veut donner un coup de pouce à l’islam de France pour le transformer. Il retarde de plus en plus ses propositions sur ce sujet. On comprend le doute. En cas d’échec – ce qui sera vraisemblablement le cas -, il faudra en tirer toutes les conséquences et la puissance publique devra s’imposer afin de faire changer la soumission de camp. Une loi sur la laïcité s’imposera et l’islam devra s’y soumettre.

    http://www.bvoltaire.fr/limpossible-renouveau-theologique-de-lislam-de-france/

  • Les 4 Vérités saluent l’action de Génération identitaire : “Merci à ces jeunes militants d’avoir forcé l’État à faire son travail !”

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    Si l’on avait le moindre doute sur la portée du « en même temps » macronien, en matière d’immigration, le ministre de l’Intérieur Gérard Collomb s’est chargé de lever ce doute.

    D’abord, parce que la loi qu’il vient de faire voter à l’Assemblée est si visiblement un enfumage qu’il est impossible – sauf à des gauchistes fanatiques – d’y voir la moindre parcelle de fermeté.

    Bien au contraire, le regroupement familial, principale source de l’immigration légale, y est considérablement élargi, puisque, désormais, les fameux soi-disant « mineurs isolés » peuvent faire venir leurs parents, leurs frères et sœurs, et les enfants de ces derniers.

    Sans, naturellement, que quiconque s’interroge sur la capacité de tout ce beau monde à subvenir à ses besoins. C’est gratuit, l’État paiera !

    Mais le summum du pseudo-centrisme et réel gauchisme a été atteint quand le ministre a renvoyé dos à dos « extrémistes de droite et de gauche » qui avaient manifesté dans les Hautes-Alpes le week-end dernier.

    En effet, Génération identitaire a déployé des banderoles au col de l’Échelle, par où passent bon nombre d’immigrés clandestins en provenance d’Italie.

    Aux dires mêmes du ministre, cette manifestation s’est déroulée dans le calme.

    Le lendemain, « en réponse », des extrémistes de gauche ont entrepris de faire franchir illégalement la frontière, au col de Montgenèvre, à une trentaine d’immigrés et se sont heurtés aux forces de l’ordre.

    Mettre sur le même plan une manifestation calme visant à faire respecter la loi et une manifestation violente promouvant le viol de la loi, voilà donc le sens du « en même temps » de nos vaillants gouvernants !

    Le plus fort, c’est qu’il s’est trouvé des journalistes pour relayer les « éléments de langage » des gauchistes, sans la moindre prise de distance critique, sur le « deux poids, deux mesures » du gouvernement et des forces de l’ordre.

    Mais, s’il y a injustice, elle est en sens inverse.

    Ce qui est profondément injuste, ce n’est pas de traiter différemment le respect et l’irrespect de la loi, c’est, au contraire, de les renvoyer dos à dos.

    Malgré ce naufrage idéologique du gouvernement, il y a tout de même matière à se réjouir.

    La conséquence de ces manifestations, c’est que le ministre a envoyé des renforts dans les Hautes-Alpes. On peut espérer que, pendant quelques jours, le nombre d’immigrés illégaux dans cette zone va diminuer.

    L’action de Génération Identitaire n’aura ainsi pas été vaine.

    Merci à ces jeunes militants d’avoir forcé l’État à faire son travail !

    Jean Rouxel

    Tribune reprise de les4verites.com

  • Zoom : Une famille française, broyée financièrement, à la rue ?

  • Immigration : Les clandestins hors de contrôle - Journal du Mardi 24 Avril 2018

  • Campagne électorale en belgique : le candidat musulman refuse de serrer la main aux candidates et de les regarder

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Belgique : L’attitude provocante du fondateur du parti ISLAM sur un plateau télé

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    Redouane Ahrouch, candidat lors de la campagne électoral des communales et invité pour l’occasion, a refusé d’être maquillé par une femme avant d’entrer sur le plateau et a tout le long des échanges, refusé de regarder dans les yeux les femmes présentes sur le plateau.

    Il justifie ces écarts à la politesse élémentaire occidentale en expliquant que ce sont ses valeurs qui lui imposent cette conduite.

    Il a de plus expliqué qu’il voulait instaurer une charria occidentale ainsi propose-t-il comme mesure concrète de séparer les hommes et les femmes dans le bus.

    https://fr.novopress.info/

  • Une loi asile-immigration très xénophile, par Francis Bergeron

    « La solidarité est-elle un délit ? » Non, bien évidemment. La solidarité, la fraternité, l’amour de son prochain, ne sont heureusement pas des délits. Mais vous l’avez bien compris, il s’agit d’une fausse question. Car qu’est-ce qu’un délit ? C’est un acte contraire à la loi. Aider des délinquants est un délit. En conséquence la solidarité avec des islamistes, avec des fraudeurs fiscaux, etc., est un délit. Et c’est un délit, aussi, que d’aider les filières d’immigration clandestine. Mais lorsque le journal Le Monde (en date du 22 avril) pose cette question, ce n’est pas innocent. Il s’agit d’utiliser une figure dialectique classique, celle de la culpabilisation : des passeurs aident des migrants clandestins ? C’est un acte de solidarité. La solidarité est-elle un délit ? Non. Donc les passeurs ne sont pas des délinquants. Tel est le raisonnement du Monde. Tel est le raisonnement de la gauche. Et telle a été, pour finir, l’analyse des députés, qui ont voté cet amendement, puis la loi elle-même dimanche soir.

    Les députés LREM avaient perdu la bataille des mots, en acceptant de débattre d’un soi-disant « délit de solidarité ». Ils ont donc introduit un assouplissement dans la loi, qui l’a vidée de toute pertinence. Dorénavant en effet les personnes qui aident les réseaux d’introduction de clandestins – sous réserve qu’elles n’en tirent pas une contrepartie pécuniaire – ne pourront plus être poursuivies. L’aide juridique, linguistique, sociale, l’hébergement, la restauration, les soins médicaux, et d’une façon générale, dit le nouveau texte, tout ce qui assurera une vie digne et décente aux clandestins, est légalisé par la nouvelle loi. C’est la victoire de tous les passeurs, de toutes les associations qui, par idéologie, militent pour le grand remplacement.

    Cette disposition ruine ce que le projet de loi pouvait avoir d’utile. C’est un texte qui fera désormais de Cédric Herrou, le passeur clandestin des Alpes-Maritimes, traître aux intérêts de son pays, une sorte de « juste », digne du Nobel de la paix !

    Les députés du Front national, dans un communiqué, évoquent une « loi hypocrite et inique », « une loi qui favorisera un peu plus une immigration incontrôlée qui déstabilisera un peu plus une république déjà bien abîmée par 30 ans de laxisme politique ».

    Loi de préférence non-nationale

    Ce qui a eu l’effet de faire perdre son sang-froid à Nicole Belloubet, le ministre de la Justice, qui accusé le FN de « déstabiliser l’ensemble de notre système républicain ».

    Mais qui déstabilise le système ? La vraie menace contre le pays n’est évidemment pas l’expression et le vote d’une poignée d’élus FN. C’est cette grave dérive du projet de loi devenu loi.

    On comprend que les gouvernements successifs ne s’attaquent que par petites touches à cette question de l’immigration, par peur de « faire le jeu du Front national », de « libérer dans les urnes les populismes ». Mais la loi votée dimanche peu avant minuit par 228 voix pour, 139 contre, 24 abstentions, crée, par le jeu des amendements, un dispositif globalement pire que la situation antérieure, et qui ne peut que rendre impossible le travail de la police des frontières, augmenter l’appel d’air, la pression migratoire.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • DROIT DU SOL : ET SI LE FN AVAIT RAISON ?

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    La proposition du FN de supprimer le droit du sol a provoqué, à l’Assemblée, un débat houleux où les noms d’oiseau ne cédaient la place qu’à des arguments partiels ou partiaux. Jean-Luc Mélenchon a même soutenu que « le droit du sol a été promulgué par François Ier«  : étrange référence chez un homme qui n’a, généralement, que la Révolution à la bouche. Et si l’on dépassionnait le débat ?

    Si l’on revient à sa définition, le droit du sol est une règle de droit attribuant une nationalité à une personne physique en raison de sa naissance sur un territoire donné, avec ou sans conditions supplémentaires. Le fait même qu’on puisse y ajouter ou retrancher des conditions est bien la preuve qu’il s’agit, non d’une valeur universelle, qu’il serait criminel de ne pas reconnaître, mais d’une valeur relative, dépendant des circonstances. Les conditions associées au droit du sol ont pu varier selon les périodes, prenant en compte différents facteurs, notamment la volonté d’assimilation.

    Ainsi, l’arrêt du Parlement de Paris, en 1515, précisait que devenait français celui qui était né dans le royaume et y demeurait, à condition qu’il reconnût la souveraineté du roi François Ier. Il affirmait le pouvoir du roi de France sur ses sujets dans les territoires annexés. Serait-il anormal – quoi qu’en pensent Jean-Luc Mélenchon et SOS Racisme (qui avait, en son temps, évoqué le même argument) – que la République fît de même et s’assurât des dispositions d’un enfant d’étranger né en France avant de lui accorder, quasi automatiquement, la nationalité française ?

    En défendant un amendement pour supprimer les articles de notre législation qui consacrent le droit du sol, Marine Le Pen n’a fait que tenir compte des circonstances singulières de l’immigration que la France subit et qui risque de s’aggraver dans les prochaines décennies. Laurent Wauquiez n’a pas dit autre chose, mais ses amis, à l’Assemblée, ne pouvaient pas se rallier à cet amendement sans franchir la ligne rouge, imposée par une posture idéologique : pas d’alliance avec le Front national !

    La gauche et l’extrême gauche sont restées fidèles à leurs positions, par angélisme pour quelques-uns, pour la plupart par vocation internationaliste et penchant multiculturel. Les députés de La République en marche, malgré quelques remous remontant à leurs origines politiques, ont finalement choisi, soit de se comporter en godillots, soit de se réfugier dans l’abstention ou dans l’absence – un seul a osé voter contre.

    On peut penser ce que l’on veut du Front national et de ses thèses : il reste que, en comparaison des autres partis, on ne peut lui nier sa constance ni sa lucidité devant le problème de l’immigration. Ses adversaires prétendent qu’il joue sur les peurs, mais chaque jour vient montrer que son analyse est prophétique.

    Interrogé, ce lundi matin, sur BFM TV, Louis Aliot, vice-président du FN, a estimé que « la loi Asile et Immigration ne réglera rien, elle va même créer un appel d’air ». Il a opportunément rappelé aux amnésiques que la France n’a pas fait beaucoup d’efforts, en 1962, pour accueillir les pieds-noirs, contraints à l’exode, ni montré de compassion à l’égard des harkis, livrés au massacre : c’étaient pourtant des Français ! Il a remis en mémoire ces paroles scandaleuses de Gaston Defferre, le maire de Marseille de l’époque, demandant « qu’ils aillent se réadapter ailleurs ».

    Nos âmes charitables, qui prétendent avoir les bras toujours ouverts devant la détresse, sont les champions de la discrimination et du sectarisme. Estimer que la nationalité française ne doit être accordée qu’à ceux qui montrent leur volonté de s’assimiler n’est pas un cri de haine contre l’autre. C’est un appel à rejoindre la France pour partager ses valeurs et son destin.

    http://www.bvoltaire.fr/droit-sol-fn-avait-raison/