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immigration - Page 892

  • Il faut détruire les 200 bateaux qui servent à l’esclavage humain

    6a00d83451619c69e201b8d2d99f3a970c-800wi.jpgPropos de Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, rapportés dans Présent :

    « On ne va pas me dire que nous ne sommes pas capables de détruire les 200 bateaux qui servent aujourd’hui à l’esclavage humain sur les côtes libyennes… » « Il faut couler ces bateaux, une fois qu’ils sont vides bien sûr, pour en finir avec les passeurs. » 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • LE GOUVERNEMENT PRÊTE-T-IL PLUS D’ATTENTION AUX CLANDESTINS QU’AUX SDF ?

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    Sont-ils une « cinquantaine » de SDF à Paris, comme l’a prétendu, le 30 janvier, sur France Inter, Julien Denormandie, le secrétaire d’État auprès du ministre de la Cohésion des territoires, ou « 2.000 à 3.000 », comme l’assure Louis Gallois, l’ancien patron de la SNCF, président de la Fédération des acteurs de la solidarité, dans un entretien au JDD ? C’est, en effet, le chiffre avancé par le SAMU social.

    Sans doute faut-il officiellement faire comme si la promesse d’Emmanuel Macron que plus personne ne vive dans la rue, fin 2017, était tenue. Le président de la Fédération déplore « une volonté politique » de minorer le nombre de sans-abri et demande au président de la République « d’entreprendre un travail de fond » plutôt que de « fixer un délai irréaliste ». Une opération de comptage devrait être effectuée, le 15 février, pour mieux cerner le profil de ces SDF. Peut-être y verra-t-on alors un peu plus clair.

    Quant à notre secrétaire d’État, sans vouloir lui manquer de respect, il ne doit pas souvent se promener, le soir, dans la capitale. Il a, d’ailleurs, reconnu son erreur, ce dimanche, lors de l’émission du « Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro« , dans un raisonnement digne des meilleurs casuistes : il parlait du nombre de personnes qui appellent le SAMU social et à qui on n’arrive pas à trouver un hébergement : em> »Ce chiffre, évidemment, ne correspond pas au nombre des personnes qui dorment dans la rue. Ils sont certainement plusieurs milliers. »

    Il s’est même désolidarisé – l’ingrat ! – d’un député LREM qui pensait lui venir en aide en expliquant que la plupart des SDF dormaient dans la rue par choix : « Être à la rue n’est jamais une situation choisie, mais subie », a-t-il répliqué, plus royaliste que le roi – et pourtant, il est vrai que certains SDF refusent des hébergements collectifs où ils se font agresser ou voler.

    Julien Denormandie – on croyait qu’être ministre, c’était être un serviteur de l’État, non un flagorneur du gouvernement – a vanté les « efforts sans précédent » dudit gouvernement en matière d’hébergement d’urgence : « Plus de 13.000 places ont été créées depuis le 1er novembre, 1.600 la semaine dernière. » Avec les intempéries, le froid et la neige, c’est la moindre des choses !

    Il a même admis que la « pression sur les hébergements d’urgence est de plus en plus forte avec la crise migratoire ». Tiens, donc ! Mais attention ! Pas question d’appliquer la circulaire Collomb qui demande aux préfets de « recenser » les clandestins dans les centres d’accueil et de « procéder à [leur] évacuation administrative » s’ils ne répondent pas aux critères de demandeur d’asile. Il s’agit de « leur apporter à chacun une solution » et de « les accompagner pour, à terme, retourner dans leur pays d’origine ».

    Il a également ajouté, au cas où l’on n’aurait pas compris : « Quand vous êtes réfugié et qu’on vous met dans un hébergement d’urgence, vous n’avez rien à y faire, vous avez droit à un logement. » Aurait-il plus de compassion pour les réfugiés, fussent-ils clandestins, que pour les SDF ?

    http://www.bvoltaire.fr/gouvernement-prete-t-plus-dattention-aux-clandestins-quaux-sdf/

  • En Allemagne, de jeunes migrants fraudent pour 141 000 € de prestations familiales et on retrouve chez eux des drapeaux de l’État islamique…

    A Hambourg, démantèlement d’un réseau de 43 familles qui ont détourné de l’argent des caisses familiales avec de fausses pièces administratives.

    En prétendant à des prestations avec règlement rétroactif, c’est-à-dire en revenant 3 à 4 années en arrière sous prétexte qu’ils étaient en formation ou en recherche d’emploi durant ces périodes, les fraudeurs ont éveillé les soupçons de l’administration, notamment aussi en présentant des attestations falsifiées (fausses adresses, réponses négatives d’entreprises n’existant déjà plus depuis de nombreuses années…). Malgré cela, la caisse des allocations familiale a donné une suite favorable à 1/3 des dossiers et ainsi versé jusqu’à 141’000 €.

    Les fraudeurs sont tous de jeunes migrants de moins de 25 ans. Les autorités ont découvert que des groupes WhatsApp et des bars à chicha servaient de cellules de recrutement pour élargir le réseau qui comptent 78 suspects et 2 auteurs principaux qui auraient à eux seuls encaissé la moitié des sommes ainsi détournées. Lors de perquisitions, en plus de documents falsifiés et de drogue, la police a trouvé des armes et des drapeaux du prétendu Etat islamique.

    Bild.de via http://www.fdesouche.com/952037-allemagne-de-jeunes-migrants-fraudent-141000-e-de-prestations-familiales-on-retrouve-chez-eux-drapeaux-de-letat-islamique

  • L’union de l’islam et de l’Etat, par Guy Rouvrais

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    9049-20180213.jpgEmmanuel Macron a annoncé, dans le Journal du Dimanche, qu’il va structurer « toute l’organisation de l’islam de France » alors que, dans son programme présidentiel, il n’évoquait que la formation des imans, ce qui était déjà beaucoup que de se mêler ainsi de ce qui ne relève pas de la compétence du président d’un Etat laïc. L’obstacle à ce dessein présidentiel, c’est évidemment la loi de 1905, qui ne reconnaît ni ne finance aucun culte. Qu’à cela ne tienne, il la modifiera ! A propos d’un « nouveau concordat » avec l’islam, il répond : « Quelle que soit l’option retenue, mon objectif est de retrouver ce qui est le cœur de la laïcité, la possibilité de croire comme de ne pas croire. » La loi de 1905, ajoute-t-il, « n’a pas pensé le fait religieux avec et par l’islam, parce qu’il n’était pas présent dans notre société comme il l’est aujourd’hui », d’où son projet de modification afin qu’à la séparation de l’Eglise et de l’Etat succède, de fait, l’union de l’islam et de l’Etat.

    Son objectif est qu’il y ait des imans à la française, fidèles aux « valeurs de la République », et de leur donner, pour cela, une formation de haut niveau – il en aurait prévu le programme ! De même, il veut que les mosquées ne soient plus financées par l’étranger, en conséquence en s’attelant à « la structuration de l’islam de France » il va prévoir son financement. Mais comment font les autres religions pour former leurs ministres et bâtir leurs lieux de culte depuis 1905 ? Ce sont leurs fidèles qui mettent la main à la poche. Les cinq à sept millions de musulmans, en France, ne peuvent-ils pas faire de même ? Mais, évidemment, pour eux, il est plus facile et moins onéreux de recevoir subsides et imans de l’Algérie, du Maroc, de la Turquie, du Qatar ou de l’Arabie saoudite. Quant à l’éventuel concordat, avec qui le signerait-il ? Il n’y a pas d’interlocuteur représentatif de tous les musulmans, c’est là-dessus qu’ont échoué tous ses prédécesseurs, le CFCM (Conseil français du culte musulman) n’est connu que d’un tiers des musulmans et en proie à d’incessantes rivalités intestines. Un des « experts » consulté par Macron suggère la création ex nihilo d’un « grand imam de France », comme il existe un grand rabbin.

    Au passage, le chef de l’Etat affirme que l’on ne doit pas mettre « tout le monde dans le même sac », ce qui est sans doute sa version du « pas d’amalgame ». Mais s’il entreprend de modifier la loi de 1905 pour subventionner l’islam, il faudra mettre toutes les religions « dans le même sac » et financer la construction de toutes les églises et synagogues, tout comme la formation des ministres du culte, des catholiques aux mormons, en passant par les adventistes du 7e jour et les protestants, et on ne voit pas pourquoi on en exclurait les Témoins de Jéhovah.

    Il va consulter et « posera les jalons » de sa réforme de l’islam « au premier semestre », comme s’il s’agissait d’une réforme technique, fiscale ou sociale, alors que le sujet explosif n’entre pas dans le cadre de sa méthode de technocrate. Le plus dur restera à faire : trouver une majorité au Parlement réuni en congrès pour modifier la loi de 1905 ou consulter les Français par referendum. Ce n’est pas gagné.

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 13 février 2018

    https://fr.novopress.info/

  • MÊME LES MILITANTS PRO-MIGRANTS CONSTATENT QUE CE N’EST PLUS POSSIBLE !

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    Sur les ravages de l’immigration en Europe, les yeux s’ouvrent les uns après les autres, les dominos tombent, et les forteresses que l’on croyait les plus inexpugnables s’effondrent. Devant la réalité des faits. Ainsi, la semaine dernière, dans deux pays européens, deux acteurs d’institutions ou d’associations « migrants-friendly » ont fait leur coming out pour dire différents aspects très concrets de l’impasse migratoire.

    En Allemagne, c’est une militante engagée dans l’aide aux réfugiés qui a confié à la presse polonaise et allemande l’amer savoir de son expérience au plus près des migrants musulmans. Elle s’appelle Rebecca Sommer. Pensant d’abord que « les visions médiévales des Arabes changeraient avec le temps », elle s’est rendue à l’évidence et a déclaré qu’il était « presque trop tard pour l’Allemagne ». Elle analyse le problème ainsi :

    « Les réfugiés musulmans ont grandi avec un système de valeurs complètement différent du nôtre, ont subi un lavage de cerveau religieux depuis l’enfance et n’ont aucun désir de s’adapter à la vie occidentale. »

    Elle a constaté que l’aide que l’Allemagne leur a accordée était regardée avec « arrogance et mépris ». Elle affirme avoir été traitée de « stupide salope allemande ». Rebecca Sommer tire de son expérience personnelle, de ce qu’elle a vu sur le terrain, deux enseignements : d’une part, l’islam prend une importance croissante dans la culture allemande, dans les institutions et les écoles ; d’autre part, les cultures européennes, si elles veulent survivre, doivent s’affirmer et se défendre. Rebecca Sommer a, en particulier, encouragé les Polonais à rester « inflexibles » dans leur opposition à la politique de l’Union européenne :

    « Aucun peuple, ni groupe, que ce soient les Italiens, les Français, les Allemands ou les Polonais, ne pourront subsister en tant que nation, s’ils ne défendent pas de façon raisonnable leurs intérêts. »

    Rebecca Sommer : un nom à retenir.

    En France, on ne compte plus les déclarations de personnalités ou d’institutions culturelles en faveur des migrants, depuis le ministre de la Culture qui, complètement irresponsable, veut leur offrir des places gratuites de ciné ou de théâtre…

    Or, la semaine dernière, la présidence de l’université Paris VIII, dont un bâtiment est occupé par une trentaine de migrants, après les avoir accueillis, découvre que ce n’est plus possible.

    D’abord, elle déplore le manque de dialogue de la part de ces migrants et de ceux qui les soutiennent. Ils perturbent le fonctionnement normal de l’université, pénalisent les étudiants et se mettent en danger. Eh oui, les universitaires découvrent que trente migrants, cela crée des problèmes d’intendance. Si cette petite expérience pouvait les aider à mieux réfléchir quand ils brasseront, dans leurs statistiques et leurs réflexions, non plus une trentaine mais des millions de migrants, qui sait, peut-être leur vision du monde, de l’Europe, de la démocratie, de la culture en sera-t-elle un peu modifiée…

    Le communiqué de la présidence continue ainsi :

    « Si nous nous efforçons de répondre systématiquement aux demandes formulées, force est de constater que la réciproque n’existe pas. »

    Tiens, des migrants fermés au dialogue… Il y est même question d’« impasse ».

    Bien sûr, elle rappelle qu’au début, elle a soutenu l’occupation « par humanité », mais déclare à présent :

    « Nous en appelons à la raison à notre tour. Tout le monde sait qu’il n’est pas dans les pouvoirs d’une présidence d’université d’obtenir des titres de séjour. »

    Un peu tard, non ?

    Cette affaire d’une présidence d’université prise à son propre piège est emblématique du problème idéologique français face à l’immigration : la raison n’arrive qu’à la fin, quand c’est le chaos, quand ce n’est plus possible.

    Cette idéologie de gauche irresponsable, tiers-mondiste par réflexe soixante-huitard et qui est toujours là, à la tête de nos institutions éducatives et culturelles, bêlante, pour appeler à l’ouverture à tous et partout, a été incapable d’inventer un humanisme de la raison et nous lègue une situation violemment déraisonnable. De deux choses l’une : qu’elle se taise enfin ou qu’elle se convertisse comme Rebecca Sommer.

    http://www.bvoltaire.fr/meme-militants-pro-migrants-constatent-nest-plus-possible/

  • Viktor Orbán tient bon sur l’immigration

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    Le Premier ministre belge Charles Michel a commencé les hostilités en affirmant que les pays d’Europe centrale seraient forcés d’accueillir des demandeurs d’asile.
    Dans une entrevue accordée au quotidien Le Soir, Charles Michel a évoqué l’envoi d’un ultimatum aux pays refusant d’accepter des immigrants clandestins. En substance, si à l’issue du Conseil Européen de juin aucun accord a été trouvé entre l’Union Européenne et les pays d’Europe centrale alors ces derniers se verraient imposer de force les décisions adoptées lors du Conseil.

    Le président hongrois Viktor Orbán a promis de faire passer les intérêts de la Hongrie avant les demandes de Bruxelles. C’est ainsi que via une vidéo postée sur Facebook il a déclaré :

    Notre gouvernement a pris position. Pour nous la Hongrie passe avant. Nous nous battrons contre ceux qui veulent changer l’identité chrétienne de la Hongrie ainsi que celle de l’Europe.

  • Victoire des habitants du Mené contre l’implantation d’immigrants

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Les habitants du Mené, commune nouvelle des Côtes d’Armor, étaient hostiles au projet d’accueil groupé d’immigrants dans l’ancienne maison de retraite des Camélias à Langourla. Le maire, Jacky Aignel, a voulu imposé une solution de « rattrapage », en proposant de répartir les immigrants dans les sept anciennes communes formant Le Mené.
    À la majorité, les élus municipaux ont rejeté cette proposition jugée farfelue, qui laissaient même les services préfectoraux dubitatifs.

    Les habitants n’étaient en effet pas désireux de voir des immigrants s’implanter dans leur commune. Les élus municipaux l’ont bien compris et n’ont pas voulu voter un projet facteur de divisions et porteur de risques. Heureusement, ils ont pu voter à bulletin secret, ce qui les a mis à l’abri des pressions.
    Ronan Le Gall, porte-parole du parti nationaliste breton, s’est félicité de l’abandon du projet

    Il complimente l’engagement des riverains pour contrer le projet : « Leur courage doit maintenant servir d’exemple partout pour contrer les projets fous d’associations toujours plus subventionnées par l’argent public. »

    Désormais, la pression va retomber d’un cran sur cette commune de 5 000 âmes, et notamment à Langourla, un peu plus de 500 âmes. Le cours des choses va pouvoir reprendre.

    https://fr.novopress.info/

  • Une zone de non-droit officialisée de facto dans le Nord-Est de Paris

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Il s’agit d’un vaste quadrilatère, limité au sud par la Gare du Nord, et au nord par les rues Ordener et Riquet. Il inclut la Goutte d’Or à l’ouest et la ZAC Pajol à l’est. Cet îlot, divisé en quatre districts vient d’être classé en zone de sécurité prioritaire : la « ZSP 10-18 ».

    Depuis quelques années, aux trafics de drogue s’est ajouté le commerce de rue, qui chaque soir draine des centaines d’opérateurs issus de la « diversité ».

    Mineurs clandestins, rixes entre bandes rivales, agressions des femmes, prostitution : voilà le quotidien du quartier de la Chapelle, malgré la présence de cars de police qui, comme à Château-Rouge, n’ont d’autres fonctions que de « rassurer » la population.

    Mais des moyens supplémentaires ont été engagés pour améliorer la sécurité !

    Oui, 40 policiers supplémentaires ont été recrutés et le bilan est accablant : 5600 évictions, 52 tonnes de marchandises détruites, 2000 arrestations, 503 étrangers en situation irrégulière arrêtés, 256 trafiquants de drogue interpellés. Ensuite, une nième structure a vu le jour : un « Dispositif Spécifique d’Ecoute et de l’Echange », destiné à – je cite – « développer des échanges constructifs avec les habitants au cœur des quartiers pour recueillir leurs attentes en termes de sécurité ».

    Mais les commissariats ne recueillent-ils pas déjà les plaintes ?

    Bien sûr mais seulement si les victimes sont persévérantes. Car il est devenu très difficile de porter plainte dans le XVIIIème arrondissement. Il faut souvent aller dans le Xème et insister pour éviter les mains-courantes.

    Y a-t-il un espoir de parvenir à une amélioration ?

    Les solutions bisounours ont depuis longtemps montré leurs limites : les Grands Frères, les médiateurs de rue, n’ont pas enrayé la violence dans le 93. Fabienne Kein-Donati du TGI de Bobigny le reconnaissait sur France Inter : « la Seine Saint Denis est devenu le département le plus criminogène de France ».

    Il faudra que les autorités évitent de réitérer ces politiques de la vieille gauche si elles veulent rétablir l’Etat de droit dans le Nord de Paris.

  • Un voile sur la vérité toute nue?

    Emmanuel Macron l’annonce dans Le Journal du Dimanche , il entend lui aussi s’atteler au chantier de l’organisation de l’islam en France dont il  posera les jalons au premier semestre de cette année. « Nous travaillons dit-il,  à la structuration de l’islam de France et aussi à la manière de l’expliquer », avec notamment, comme but de « retrouver ce qui est le cœur de la laïcité », comprendre « la possibilité de pouvoir croire comme de ne pas croire, afin de préserver la cohésion nationale et la possibilité d’avoir des consciences libres. » Le tout,  15 ans après la création du Conseil français du culte musulman (CFCM) par le ministre de l’Intérieur de l’époque , Nicolas Sarkozy, poursuivant  alors une démarche initiée par son prédécesseur Jean-Pierre Chevènement. Un CFCM marqué par de nombreuses rivalités internes, notamment du fait de la lutte d’influence que s’y livre  l’Algérie, le Maroc et la Turquie du fait du poids de leur diaspora respective.  Un CFCM dont on peut douter de la réelle représentativité,  dont certains acteurs  n’ont  pas su, pas pu (ou pas vraiment voulu?) enrayer la montée en puissance de l’islam(isme) radical. Islamisme qui s’est développé aussi en raison du prosélytisme  grandissant  des pétromonarchies les plus rigoristes qui poussent leurs pions dans les  zones  plurielles  finançant prêcheurs salafistes,  associations, mosquées et autres centres culturels wahhabites. Toutes choses qui  sont pour beaucoup  dans le phénomène djihadiste, le passage à l’acte terroriste, les ralliement à l’Etat islamique d’habitants de nos banlieues pour combattre la France ou la République Arabe syrienne. Dans le JDD, le président de la république reste bien flou sur ses intentions et les méthodes, expliquant qu’il consulte « intellectuels », « universitaires » et    « représentants de toutes religions ».  « Je ne dévoilerai une proposition que quand le travail sera abouti. Ma méthode pour progresser sur ce sujet, c’est d’avancer touche par touche (…).  Il y a une question qui est celle de l’organisation. Mais il y a une autre question, qui est celle du rapport entre l’islam et la République. »

    Le JDD illustre  le propos présidentiel par un sondage de l’Ifop qui semble montrer en deux petites années une évolution sensible de l’opinion de nos compatriotes sur la compatibilité de l’islam avec les valeurs de la société françaiseEn septembre 2016, 56% des sondés estimaient  que l’islam était incompatible avec les valeurs de la société française (contre 44% d’un avis contraire).  Aujourd’hui le rapport se serait totalement inversé. Selon  l’étude réalisée  les 2 et 3 février derniers,   56% des sondés – dont 73% des sympathisants du  PS, 60% de ceux de LFI et 58% de LREM –   répondent que l’islam  est compatible avec les valeurs de la société française43%  pensent l’inverse – dont 63% des sympathisants LR et 62% de ceux du FN.

    Alors certes,  ce sondage est interprétable de bien des façons, il s’agirait notamment de définir ce que sont lesdites valeurs de la société française, mais aussi de quel islam on parle . Bruno Gollnisch l’a dit, nous l’avons écrit sur ce blogue, il existe un angélisme criminel consistant à minorer la montée en puissance dans le monde musulman comme dans nos quartiers, d’un extrémisme islamique qui a incontestablement le vent en poupe. Face au vide spirituel, au matérialisme de nos sociétés occidentales, à des élites, des intellectuels, des professeurs qui pratiquent la repentance, l’auto flagellation, dénigrent notre Histoire et les valeurs fondatrices de notre civilisation européenne, cet extrémisme religieux trouve un terrain favorable chez les  enfants de l’immigration massive.

    Inassimilés ou désassimilés, les déracinés, les  acculturés des banlieues françaises  se saisissent  de cet islam là qui devient  revendication d’une altérité, recherche d’une identité Et très souvent la justification, l’habillage d’un racisme anti Gaulois, d’une haine toute basique de la France et des Français qui se drape  dans les oripeaux de la religion…Ou s’exprime de manière platement  « laïque» dans les clips de rap exhibant des racailles (pas toutes d’origine musulmane!)crachant sur notre pays, l’Etat, la police, les  Blancs, les Françaises…

    Il existe aussi une grille de lecture simpliste de la réalité du monde musulman et de son milliard de fidèles, dont les pratiques, la vision du monde, le rapport à la foi, la lecture de l’islam diffèrent souvent radicalement. Non l’islam  n’est pas d’un bloc, oui il existe un islam violent, radical,  sanglant cherchant à imposer le khalifat par la terreur  mais aussi une pratique pacifique de l’islam. 

    Cela les Français le savent  aussi, et les électeurs frontistes comme les autres, quand bien même les mots sont  piégés, acceptation de l’islam devenant synonyme pour beaucoup (chez les émetteurs comme chez les récepteurs  du message) d’une acceptation de la poursuite de l’immigration dont une nette et franche  majorité de nos compatriotes  ne veulent pas. Car ils savent que celle-ci   contribue à l’appauvrissement de catégories entières  de français, au développement de toutes les insécurités  et au matraquage fiscal des classes moyennes pour assister les nouveaux venus… Et ce sentiment devient  général en Europe. On l’a encore constaté samedi en Italie, à Macerata notamment,  où les manifestations contre le fascisme et pour la poursuite  de l’accueil de l’immigration,  suite au drame ou six migrants africains ont été blessés par balles par un jeune italien, n’ont réuni que des cortèges squelettiques, quelques milliers de personnes tout au plus, principalement des sympathisants  d’extrême gauche. 

    Le cas récent de l’affaire Mennel Ibtissem  est à cet égard très intéressant.  Cette toute  jeune femme musulmane d’origine turque, syrienne, algérienne et marocaine,  candidate à l’émission The Voice  sur TF1  a finalement  quitté celle-ci (certainement  encouragée par la chaîne), après avoir pourtant  séduit le jury lors  sa prestation .  La chanteuse a été rattrapée  par la patrouille, en l’espèce pour des messages publiés sur Twitter et Facebook alors  qu’elle avait à peine vingt ans. Au nombre des sujets qui fâchent,  elle  doutait  de la version officielle du massacre commis sur la promenade des anglais  à Nice le 14 juillet 2016 - « C’est bon, écrivait-elle, c’est devenu une routine, un attentat par semaine!! Et toujours pour rester fidèle, le terroriste prend avec lui ses papiers d’identité. C’est vrai, quand on prépare un sale coup, on n’oublie surtout pas de prendre ses papiers! » -  et arguait   au moment  de l’égorgement du Père Hamel dans son église de  Saint-Etienne-du-Rouvray quinze jours plus tard, que le gouvernement français était lui aussi « terroriste. » Cerise sur le gâteau en quelque sorte,  d’autres messages ou like de la jeune femme ont été exhumés, dans lesquels elle faisait part de sa proximité avec  l’islamologue  Tariq Ramadan,  l’humoriste Dieudonné et posait en photo  avec  la femme d’affaire(s)  franco-tunisienne Sarah Magida Toumi , nommée par Emmanuel Macron au sein du Conseil Présidentiel pour l’Afrique (CPA), mais aussi présidente de Lallab, une association proche des Frères musulmans devant  laquelle elle a chanté…

    Dans l’entretien au JDD cité plus haut,  Emmanuel Macron dit vouloir éviter dans le débat sur l’Islam de France qu’il entend initier des « raccourcis » qui plongent tout le monde « dans un même sac », et l’utilisation  d’ « objets connotés », référence assez claire, même s’il ne l’explicite pas, au foulard. Or, au sein de l‘islamosphère, beaucoup ont dit que Mennel Ibtissem avait été virée  parce que musulmane ne cachant pas  sa foi, du fait du turban dont elle était coiffée  qui cachait ses cheveux. Et ce,  au terme d’une campagne lancée par la fachosphère qui aurait  fait plier TF1 malgré les messages de paix, detolérance, les  excuses réitérées de la chanteuse.

    Or, ce n’est pas tant  pour son voile, son turban que la jeune femme a été écartée, ni même d’ailleurs pour sa proximité, au moins peut-être en pensées, avec M.  Ramadan, Mme Toumi ou les Frères musulmans mais pour son complotisme; à savoir ici, nous l’avons vu,  ses doutes sur les explications publiques  données sur un certain nombre d’événements. Avant elle, c’est vrai,   l’humoriste ami de Nicolas Sarkozy Jean-Marie Bigard, le très antifrontiste  réalisateur-comédien  Mathieu Kassovitz ou la très  macrono-compatible comédienne Marion Cotillard, exemples de pipoles parmi d’autres,  ont  pu douter de la véracité de la version officielle des attentats du  11 septembre 2001 à New-York  sans être mis au ban de la société (mais non sans remous pour les deux premiers…).

    Il y a tout lieu de penser  que  la situation a tendance à se  tendre, avec la volonté  de ce gouvernement de  verrouiller l’information  d’édicter des Vérités obligatoires, via la chasse judiciaire annoncée aux fake news comme ils disent. Il y a certes du travail: au terme de la toute récente enquête de la Fondation Jean-Jaurès et de Conspiracy Watch que nous évoquions ici, près de huit Français sur dix (79%)  adhèrent  à au moins une « théorie complotiste. » Mais contrairement à Mennel peut-être,   «72 % des Français sont tout à fait d’accord avec l’idée que l’immigration est un processus inquiétant, qui cause des problèmes de coexistence entre des cultures très différentes et menace à terme (leur) mode de vie».  Et « près d’un Français sur deux (48 %) valide la théorie du Grand remplacement »… dont certainement aussi un grand nombre des spectateurs de TF1…

    Alors que souhaiter à notre pays, sinon qu’il retrouve la liberté de choisir son destin, ce qui passe bien  évidemment par la possibilité de nommer les problèmes, d’énoncer une pensée alternative, du droit de se méfier des thèses et des doctrines officielles des acteurs du Système.  Recouvrement  de la nécessaire  liberté d’expression « d’autant plus nécessaire et vital, aujourd’hui », comme le notait Philippe de Villiers dans son message de soutien à Boulevard Voltaire la semaine dernière, que celle-ci  est « chaque jour un peu plus garrottée» pour accompagner la disparition-dilution programmée de la France française dans le magma mondialiste.

    https://gollnisch.com/2018/02/12/voile-verite-toute-nue/