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  • Si la France n’accueille pas 30 000 migrants/an, l’Europe lui fera payer 1,25 milliards d’€ d’amendes

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    Vous vous demandiez, peut-être, pourquoi l’Allemagne  et donc l’Union Européenne, mais aussi nos bougres d’ânes de socialistes français, étaient pour l’arrivée massive de réfugiés, non ? Ben voyons, on vous l’a expliqué pourtant:  » Pour nous l’accueil, c’est Oui ! « ,  » Refugees, Welcome « ,  » Benvenido  » et  » Bienvenue chez nous « . Okay, n’allez pas croire qu’il n’y ait que de l’humanisme et de la charité socialiste bien ordonnée dans cette volonté d’accueillir toute la misère du monde. Nous le savons aussi, l’Allemagne, en plein déclin démographique, contrairement à la France, a besoin de chair fraîche bon marché pour faire tourner ces usines; elle vient de nous piquer la place de premier partenaire économique avec les USA, faut pas faiblir, s’agit pas de la reperdre.

    Ce que l’on ne nous a pas dit, en tout cas pas ouvertement, c’est que les réfugiés, c’est bon pour la croissance ! Oui, oui, et ce n’est pas moi qui le dit, c’est un spécialiste économique de première bourre, commissaire européen à l’économie, ou au commerce, je ne sais plus, j’ai nommé Pierre Moscovici !  Interrogé par un très grand journal de renommée provinciale, Le Républicain Lorrain, il a déclaré, je cite:  » Cela peut étonner, et je sais que bien d’autres paramètres sont à prendre en compte… Mais oui, les dépenses publiques en faveur des réfugiés ont un effet de relance sur l’économie européenne. Nous l’avons chiffré en novembre dernier à 0,2 à 0,3 point, sur 2 ans, sur la croissance de l’Union, voire 0,4 à 0,5 point dans les principaux pays d’accueil, comme l’Allemagne.  »

    Vous avez compris ? Les réfugiés, c’est bon pour la croissance. Ça coûte un max, mais c’est pas grave, c’est pas cher, c’est l’Etat qui paie. Les Teutons, okay, ils ont les moyens, nous… Mais c’est bon pour la croissance, ce sont des bouches à nourrir, à financer, à héberger, à soigner, à éduquer, à former – d’ailleurs les Allemands ont créé spécialement pour eux, histoire qu’ils forniquent correct, un site internet d’éducation sexuelle, visitez-le, c’est tordant – à faire travailler, etc… c’est du pognon qui circule, de la consommation, de l’investissement… c’est bon pour la croissance ! CQFD. Prenez des refugees, et vous verrez, plus vous en prendrez et plus vous accroissez les chances pour l’économie de redémarrer. Et une croissance qui redémarre, ce sont des gens et des politiciens heureux.

    Et puis si d’aventure, vous n’étiez pas convaincu, si d’aventure l’arrivée massive et la présence de ces Chances pour l’Europe, et donc pour la France, vous escagassait un brin, sachez que l’Union, elle s’en tape de votre escagassement, elle a tout prévu. Il a fallu qu’un journal plutôt sérieux, The Financial Time, révèle le truc (puisqu’aucun média français ne s’est donné la peine de le faire): La Commission Européenne dont Moscovici fait partie propose de faire payer une amende de 250 000 euros par réfugié à chaque pays de l’Union qui refuserait d’assumer son quota ! 250 000 euros ! Autrement dit et si le projet de résolution aboutit, admettons que la France ne prenne que 25 000 réfugiés sur les 30 000 imposés, elle (enfin le contribuable) devra payer à Bruxelles une amende de 125 000 000 d’euros (si mon compte est bon, y a tant de zéros…) ! 125 millions ! Ou peut-être bien, à la réflexion, 1 250 000 000 d’euros, 1,25 milliard ! ( veuillez vérifier l’addition avant de payer, merci ). Peu importe, nous avons les moyens et l’Union a les moyens de faire raquer les pays récalcitrants ! Ce serait tout de même con de devoir payer une méga-prune pour avoir refusé quelques pouièmes de croissance, non ?

    Vous l’aurez compris: les réfugiés, c’est bon pour la croissance, tu l’acceptes ou tu payes !

    Allez, sur ce, bonne soirée à tous les contribuables, même en Socialie.

    ( NB: Pour les plus curieux qui auraient pris le temps de lire l’article du Républicain Lorrain, on aura noté qu’au passage Moscovici en profite pour mettre deux claques à Macron:  » L’avenir est dans la rénovation de la pensée sociale-démocrate, pas dans la constitution d’une force « ni droite ni gauche » aux contours un peu flous  » )

    http://lagauchematuer.fr/2018/02/04/si-la-france-naccueille-pas-30-000-migrantsan-leurope-lui-fera-payer-125-milliards-de-damendes-2

  • Éric Zemmour : “Il n’y a plus que des guerres contre le terrorisme !”

    Depuis quinze jours, une offensive de l’armée turque est lancée sur le territoire syrien contre les Kurdes. Le président Recep Tayyip Erdogan affirme lutter contre le terrorisme. Met-il en danger ses alliances ?

    Pour Éric Zemmour, “il n’y a plus que des guerres contre le terrorisme !” :

    Encore une guerre au terrorisme ! Mais pas celle de George W. Bush contre Al-Qaïda après les attentats du 11-Septembre. Ni celle qu’achève en ce moment la coalition occidentale contre Daesh. Pas celle non plus que mena Poutine contre les terroristes tchétchènes. Ou encore celle que conduisent, sans faiblir, les Israéliens contre les “terroristes” du Hamas ou du Hezbollah.

    C’est au tour désormais du Turc Erdogan de lancer une offensive d’envergure contre les “terroristes”. Des “terroristes” kurdes qui ne sont terroristes que parce qu’ils luttent pour l’indépendance de leur pays, le Kurdistan, occupé et partagé entre l’Irak, la Syrie et la Turquie. Des terroristes kurdes qui, jusqu’à présent, étaient les fers de lance du combat contre les “terroristes” de Daesh.

    Tout le monde est terroriste, chacun à son tour. La guerre tout court n’existe plus. Il n’y a plus que des guerres contre le terrorisme. Les diplomates en perdent leur latin. Ou plutôt leur anglais.

  • En Italie les clandestins sont tellement populaires que leur expulsion fait monter les enchères en vue des Législatives

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    Après que Matteo Salvini,  le secrétaire fédéral de la Ligue du Nord ait assuré qu’il expulserait 500 000 clandestins en cinq ans s’il remporte les élections générales qui se tiendront début mars en Italie, c’est au tour de Silvio Berlusconi de renchérir et de promettre l’expulsion de 600 000 clandestins.

    «En Italie, il y a trop d’immigrés clandestins qui se baladent et sèment le désordre, je ne peux plus le supporter», a-t-il lancé  La7, le 23 janvier. «Il y a ceux qui se servent d’avions pour amener des migrants en Italie. Je les utiliserai pour les ramener chez eux», a encore affirmé Matteo Salvini, dans la droite ligne de la politique de La Ligue du Nord.

    Au cours de son intervention télévisée, Berlusconi, l’ancien chef du gouvernement a également estimé que nombre de ces réfugiés seraient «prêts à commettre des crimes». Selon lui, seuls 5% des migrants devraient être autorisés à rester «car réfugiés». Et d’ajouter, sans ambages : «Les autres représentent une bombe sociale prête à exploser.»

    Le parti de Silvio Berlusconi, Forza Italia, fait partie d’une coalition qui inclue La ligue du Nord et l’héritier du fascisme Fratelli d’Italia, laquelle coalition est en tête des sondages actuellement avec 35% des voix. A 82 ans, Berlusconi est en tête des chefs de file de la coalition avec 17% des intentions de vote. Or, selon les accords internes à ladite coalition, ce sera le parti qui aura recueilli le plus de voix qui désignera son chef de file pour diriger l’exécutif et former un gouvernement.

    Matteo Renzi, l’actuel chef d’Etat italien, l’homme des banques comme Macron en France, accumule les mécontentements.

    En Italie, cette coalition de la droite avec l’extrême droite montre que l’Italie échappe au terrorisme qui sévit en France contre les identitaires et le FN.  Cette enchère aux expulsions montre que l’afflux de clandestins, en dépit des exhortations du pape qui est allé jusqu’à qualifier Notre Seigneur Jésus-Christ d’immigré, ne fait pas recette dans l’opinion, mais certains sont davantage adeptes de Machiavel que du Christ, semble-t-il: « mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose ». Le cas de la France de plus en plus muselée par les oligarques qui contrôlent et bâillonnent l’information au profit de la Haute finance, n’est donc pas généralisable à l’ensemble de l’Europe de l’Ouest et du Centre, bien que toute l’UE soit dominée par l’OTAN. Le Royaume-uni a su se libérer du diktat européiste pro-immigrationniste avec le Brexit et c’est une coalition de droite  qui dirige l’Autriche avec des identitaires. Plus à l’Est les pays de Visegrad (le groupe des 4: Pologne, Hongrie, Tchéquie et Slovaquie) sont souverainistes et identitaires, quant au président Roumen Radev de Bulgarie il est lui aussi identitaire et eurosceptique, bien que soutenu par le parti socialiste.

    Au mois de mars de cette année plusieurs élections en Europe sont à suivre de prés, cela présidentielle de Russie et les législatives d’Italie, notamment.

    http://www.medias-presse.info/en-italie-les-clandestins-sont-tellement-populaires-que-leur-expulsion-fait-monter-les-encheres-en-vue-des-legislatives/87243/

  • ALEXANDRE DEL VALLE : « LES DJIHADISTES FRANÇAIS QUI VONT REVENIR VONT CONTINUER À NUIRE »

    Que faire des djihadistes français désirant rentrer en France ? La France doit-elle intervenir pour ses ressortissants qui seront condamnés à mort ? Est-il vrai qu’il est impossible de s’assurer de la sincérité du repentir d’un djihadiste ? Que va-t-il se passer lorsque sortiront de prison les djihadistes arrivés en fin de peine ?

    Alexandre Del Valle tente de répondre à ces questions.

    Que faire des jihadistes français qui désirent rentrer en France ?

    La question est très compliquée. Deux questions se posent. La première, la loi permet-elle de les condamner une fois rentrés ? Et la seconde, devons-nous les aider à rentrer ?
    Il y a ceux qui sont en train de rentrer et qu’on ne peut pas empêcher de rentrer. On va devoir les traiter. On ne pourra pas les mettre trente ans en prison. Dans un pays démocratique, on ne peut pas mettre quelqu’un en prison sans preuve manifeste de ses actes.
    Ceux pour qui nous avons une connaissance de leurs actes parce qu’ils ont été attrapés par les Kurdes, par les forces syriennes, irakiennes, ou autre, et qui nous sont remis par la Justice ou que l’on veut réclamer, là c’est un autre problème. Soit ils seront jugés sur place et certains seront même condamnés à mort. Dans ce cas-là, des forces de la culpabilisation et du multiculturalisme vont dire que c’est scandaleux de les laisser se faire tuer là-bas, même légalement. Soit, nous arrivons à les rapatrier et nous aurons des éléments pour les juger. Mais, pourrons-nous rapatrier des gens qui auront commis sur places des délits extrêmement graves ou des homicides? Les pays qui attraperont des jihadistes qui ont coupé des têtes ne les laisseront pas partir en France.
    On va donc retrouver soit des gens extrêmement rusés que nous ne pourrons pas déradicaliser, soit des gens contre lesquels nous n’aurons pas assez de preuves pour les mettre hors d’état de nuire. Et nous ne pourrons pas les déchoir de leur nationalité s’ils n’ont pas au moins une double nationalité.

    La Garde des Sceaux a néanmoins déclaré que si une condamnation à mort était prononcée contre un ressortissant français en Irak ou chez les Kurdes, la France interviendrait…

     

    Je ne suis même pas sûr qu’elle le pense. Aujourd’hui, le grand drame depuis la fameuse loi Badinter qui avait été votée suite à une plaidoirie de Badinter. Il disait « même un violeur ou un type qui a fait quelque chose de monstrueux ne mérite pas la peine de mort ».
    On est encore aujourd’hui dans cette optique. On n’est pas prêt de revenir en arrière.
    Au moment de l’abolition de la peine de mort, on disait que même un violeur d’enfant ou l’être le plus abject ne méritait pas la mort. Je ne vois pas aujourd’hui qui que ce soit faire marche arrière. C’est presque quelque chose d’aussi puissant que l’avortement.
    Aujourd’hui, on ne peut pas revenir ni sur l’abolition de la peine de mort ni sur l’avortement.
    On est donc condamné à l’hypocrisie. Je suis persuadé que cette ministre de la Justice, de même que les ministres de l’Intérieur, des affaires étrangères et même le président de la République, même s’il le pense comme Hollande l’avait d’ailleurs dit en privé, doivent probablement se féliciter s’il y a des exécutions extras judiciaires sur place soit par nos missiles, soit par des gouvernements locaux. Mais, en fait, il ne faudra pas que cela se sache.
    En revanche, s’il y a une condamnation légale à mort qui est prononcée dans ces pays, nous serons pratiquement obligés de faire croire qu’on veut leur rapatriement et qu’on veut commuer leur peine de mort en autre chose. Sinon, cela voudrait dire qu’on légalise le retour de la peine de mort. On est donc condamné à être hypocrite et à laisser faire tuer des jihadistes ou à les tuer nous-mêmes par des missiles sans aucun jugement et sans que cela soit officiel. Ce sera des accidents, des dommages collatéraux ou à notre insu.

    Le journaliste David Thomson a déclaré dans Le Figaro qu’il était impossible de s’assurer de la sincérité du repentir d’un jihadiste…Partagez-vous cette opinion ?

    Quelqu’un qui a étudié la pensée islamique, sans même forcément avoir été sur place, sait qu’il y a toujours eu la fameuse takia des chiites. La takia vient du chiisme, ce n’est pas sunnite. C’était un principe de survies en milieu hostile.
    Chez les sunnites, cela s’appelle la ruse de guerre.
    On peut aller très loin dans le mensonge quand c’est dans le but d’étendre ou de protéger l’islam ou du jihad qu’il soit offensif ou défensif. Sur ce point, il y a une très grande tradition et qui est difficile à déradicaliser. Ce droit au mensonge absolu peut aller jusqu’à jurer le contraire de ce qu’on est, avoir l’air rasé, fumeur de joints, buveur d’alcool, mangeur de porc. Une fille peut faire croire qu’elle est devenue tout à fait opposée au voile. La fameuse jihadiste bretonne d’origine alsacienne König récemment arrêtée par les Kurdes fait croire qu’elle est devenue moderne. Elle a jeté volontairement son voile en disant qu’elle ne demande plus à être voilée. Elle est en train de pratiquer une ruse de guerre et prépare son atterrissage en France. Elle pourra dire lorsqu’elle sera interrogée par les juges en France « Déjà là-bas, j’avais demandé à enlever mon voile dès que j’ai été libéré par les kurdes, car lorsque j’avais mon voile, j’étais prisonnière ».
    Ils ont une capacité à mentir que tous les spécialistes connaissent, le droit de la ruse absolue.
    Cela explique l’attitude du double jeu des terroristes soi-disant déradicalisés, mais aussi le double jeu d’un Tariq Ramadan ou des islamistes soft qui font croire qu’ils sont pour la laïcité et pour la République. Ils signent même des tribunes avec Edgar Morin en disant « vive la laïcité » , alors que toute leur idéologie, celle des Frères musulmans, est tournée contre la laïcité.
    Dans l’islamisme jihadiste comme dans l’islamisme soft, les deux étant islamistes, je ne parle pas des musulmans modérés, il y a cette tradition de duplicité et de ruse de guerre qui n’est pas un péché dans cette mentalité puisque c’est pour le bien de l’extension de l’islam.

    Il y a deux dangers latents. Ceux qui ont été emprisonnés avant le départ et ceux qui l’ont été à leur retour.
    Que va-t-il se passer lorsqu’ils sortiront de prison ?

    Il y a ceux qui vont sortir, parce qu’ils ont pris des peines courtes. D’un point de vue du droit, on ne peut pas faire autrement. Aucun chef d’accusation ne permet de susciter ou motiver trente ou quarante ans d’emprisonnement. On ne peut pas faire autrement sauf si on essaie de les éliminer sur place ou d’empêcher qu’ils reviennent.
    Nous allons donc avoir un potentiel, même s’ils ne reviendront pas tous, de revenants entre 700 et 2000 pour la France et entre 3000 et 5000 pour l’Europe. Certains vont continuer le jihad toute leur vie et d’autres sont déjà allés en Libye, en Irak ou au Yémen en partant de Syrie.
    En revanche, ceux qui vont revenir vont continuer à nuire. C’est une certitude, c’est comme les violeurs d’enfants, la plupart récidivent.
    D’autres sont frustrés et enragés comme des bêtes, car ils n’ont pas pu partir. On les a préventivement emprisonnés, on leur a mis des bracelets ou on les a empêchés de partir. Lorsqu’ils sont mineurs, on les a mis hors d’état de nuire. On a empêché leur départ vers la Turquie et vers la Syrie en coopération avec les polices européennes et turques.
    Aujourd’hui, on a les revenants enragés qui veulent continuer le combat pour compenser les pertes territoriales de Daech en Syrie ou en Irak et ceux qui ne peuvent pas revenir, car ils n’ont pas pu partir. Ceux-là ils sont encore plus enragés parce qu’ils étaient prêts à agir et on les a frustrés. Ils sont dans des prisons surpeuplées en contact de délinquants. Je vous laisse imaginer ce que devient un être humain qui sort d’une prison où il faut se battre tous les jours pour survivre, pour ne pas se faire brûler à la cigarette, se faire piquer son repas ou se faire violer dans les douches.
    Je ne veux pas faire le gauchiste ou le politiquement correct, mais c’est une question d’humanité.
    Les prisons en France, c’est pratiquement Midnight express. C’est absolument l’horreur pour certaines d’entre elles. La personne que vous mettez dedans ressort bien pire.
    Nous sommes donc absolument certains que les revenants ou les pas revenants qui n’ont pas pu partir sont des bêtes enragées qui vont récidiver et continuer à œuvrer à la radicalisation d’autres personnes en plus de mettre en œuvre leur propre radicalisation.
    Les psychosociologues en face de qui on les met pour les déradicaliser sont désormais totalement discrédités. Prenez Dounia Bouzard par exemple, elle a été bernée par la fille dont elle se vantait d’avoir œuvré à la déradicalisation. La déradicalisation est un échec total. Malheureusement, je ne vais pas faire l’apologie de cette voix, mais je vais vous dire ce que pense un général algérien que j’ai écouté récemment sur la radio publique algérienne:  «  un bon terroriste est un terroriste mort ».
    C’est un peu ce que pensent les Russes. Je ne dis pas que c’est ce que je préconise et ce que je pense. On ne peut pas le faire, car nous sommes dans un État de droit.
    Mais aujourd’hui, la meilleure chose est assurément qu’ils ne reviennent pas.

    http://www.bvoltaire.fr/djihadistes-francais-revenir-continuer-a-nuire/

  • Le Havre : mobilisation contre l'ouverture d'une école coranique

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  • Cherchez l’erreur

    La fin d’une longue crise politique ? C’est aujourd’hui que les démocrates-chrétiens de la CDU d’Angela Merkel et les socialo-progressistes du SPD, deux partis en pleine dégringolade dans les enquêtes d’opinion, doivent trouver un accord de coalition.  L’Afp le constate,  « ensemble, les deux mouvements ne représentent déjà plus la majorité des Allemands, du jamais-vu dans les sondages. Et ce, avant même d’avoir commencé à gouverner. » Mais « cette fois, plus d’atermoiement possible. Après des semaines de valse-hésitation (CDU et SPD)  doivent trancher, car ils se sont fixé la fin de journée comme date-butoir finale. » « S’ils devaient rejeter l’accord, la chancelière devrait soit se résoudre à un instable gouvernement minoritaire, soit accepter l’organisation de nouvelles élections à haut risque qui pourraient profiter avant tout à l’extrême droite. Chacun des deux scénarios serait une première en Allemagne depuis 1945. En cas de succès, le quatrième mandat d’Angela Merkel s’annonce d’ores et déjà compliqué. Certains médias allemands ironisent sur la  coalition des perdants ». Perdants qui ont au moins en commun la même défense sourcilleuse des grands principes bruxellois, au nom desquels la Pologne, dirigée actuellement par les nationaux-conservateurs du parti Droit et Justice (PiS), est jugée hérétique. Nation soupçonnée de vouloir  museler  et contrôler la justice et la presse, deux entités qui sous nos latitudes, comme chacun le sait, sont parfaitement  libres, indépendantes, apolitiques et non soumises à un quelconque ministère de la vérité anti FN (comme Fake News ou Fausses Nouvelles…). 

    En décembre dernier, Bruno Gollnisch avait voté au Parlement européen contre une résolution condamnant la Pologne et demandant contre elle le déclenchement de l’article 7 du traité de l’Union européenne, permettant de la sanctionner pour violation grave, ou risque de violation grave, des valeurs de l’Union. Le député frontiste avait également  voté contre un texte demandant l’activation de cet article 7 contre la Hongrie. Euractiv relaye le sondage réalisé en janvier par le Centre polonais de recherche sur l’opinion publique (CBOS), au terme duquel  « 43 % des Polonais pensent que  (l’article 7)  lancée contre la Pologne est injustifiée (38 % pensent le contraire.) Environ la moitié (46 %) estime que la décision de la Commission est motivée par son antipathie envers l’actuel gouvernement. » Une évidence assez criante en effet !

    La semaine dernière,  c’était la France qui était condamnée par la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) pour l’expulsion en 2015  d’un islamo-terroriste algérien.  « Soupçonné d’appartenance aux groupes islamiste armés en Algérie durant les années 1990, (il)  avait  écopé  de sept ans de prison en 2006 pour son implication dans des activités terroristes à Paris », en  l’espèce la planification d’un attentat. Oui mais voilà, la CEDH a estimé que « les autorités françaises ont créé des conditions dans lesquelles le requérant ne pouvait que très difficilement saisir la Cour d’une seconde demande de mesure provisoire. Elles ont, délibérément et de manière irréversible, amoindri le niveau de protection des droits énoncés par la Convention européenne des droits de l’homme. La CEDH indique au gouvernement français qu’il lui incombe d’entreprendre toutes les démarches possibles pour obtenir des autorités algériennes l’assurance que le requérant, placé en détention dès sa descente d’avion à Alger, ne sera pas soumis à de mauvais traitements. »

    Une admonestation de la CEDH qui intervient, relève Gilles-William Goldnadel dans Le Figaroau moment ou « des migrants afghans (…) tirent à balles réelles sur des migrants érythréens » et ou, il n’y a certainement pas de hasard, nous voyons se dérouler une « bataille médiatique » « pour tenter de persuader une partie de l’opinion publique française que la France serait bien inspirée, pour des raisons juridiques et morales, de juger sur son sol ses djihadistes partis combattre en Syrie plutôt que d’en laisser le soin aux autorités locales dont le Code pénal prévoit la peine capitale…»

    Sanctuariser l’accueil d’une immigration planétaire  et empêcher le renvoi dans le pays d’origine des criminels étrangers… à quel jeu trouble se livrent  les différents acteurs du lobby progressiste, cheval de Troie de l’invasion ? Me Goldnadel s’arrête encore sur les révélations du quotidien britannique The Guardian selon lesquelles « Interpol se préoccupe de ce que 50 personnes suspectées d’être des combattants de l’État islamique, toutes de nationalité tunisienne, soient arrivées en Italie par la mer. Ces Tunisiens avaient accosté en Sicile entre juillet et octobre 2017 à bord de bateaux de pêche ou d’embarcations abandonnées. Toujours selon Interpol, « l’un d’entre eux aurait pu déjà traverser la frontière italo-française, pour atteindre le Gard »…

    RT précisait que « les autorités italiennes chiffrent à près de 3 000 les Tunisiens qui sont arrivés sur la plage de Torre Salsa à Agrigente (Sicile), depuis juillet. « Les enquêteurs ne peuvent pas exclure qu’il puisse y avoir des djihadistes cachés (parmi eux), concède le procureur général d’Agrigente Luigi Patronaggio, qui précise que la police n’a pu arrêter et identifier que 400 personnes (…). Nous ne savons pas ce qu’ils faisaient avant d’arriver ici, nous ne savons pas qui ils sont ni où ils se trouvaient avant leur arrivée en Sicile», renchérit auprès du Guardian Salvatore Vella, à qui l’enquête a été confiée. Il y a ceux qui ne veulent pas être identifiés, qui ne veulent pas que leurs empreintes soient enregistrées (…). Pour cette raison, si vous êtes terroriste, accoster illégalement à Agrigente est le moyen le plus sûr d’arriver en Europe».

    Le quotidien Le Monde lui a préféré évoquer pour ses lecteurs des cas plus heureux, notamment celui de ce ressortissant  du Bangladesh,  Rashid Md Shamual qui est arrivé en Italie en 1998 avec un visa de tourisme pour n’en plus repartir. Il vit actuellement  à Brescia – ville lombarde confrontée depuis des années à une immigration massive qui en a profondément changé l’aspect et l’atmosphère – où il  « gère une agence d’aide aux arrivants (traduire  d’aide aux immigrés clandestins, NDLR) , et se démène pour eux dans les méandres infinis du droit administratif italien ». Rashid Md Shamual se veut aussi optimiste pour l’avenir  et affirme que  « dans les écoles de la région, ceux qui sont les mieux classés, ce sont presque toujours les enfants d’immigrés ! » Ce n’est pas vraiment ce qui ressort des études  factuelles relayées par nos  amis de la Ligue du Nord, mais bon,  ce sont comme chacun le sait des propagateurs de fausses nouvelles… du moins selon les critères habituels du Monde.  Ex quotidien de référence qui se veut autorité morale en la matière comme le prouve son partenariat avec facebook via les journalistes militants appelés  les décodeurs   (sic) dont les méthodes  s’apparentent à une véritable police de la pensée.

    Police de la pensée, du bien et du mal, du vrai et du faux,  du licite et de l’illicite selon l’idéologie officielle,  au nom de laquelle Nicolas Dupont-Aignan est convoqué demain par le parquet au Tribunal de Paris, pour avoir, rappelle-t-il sur Twitter, dénoncé un changement de population en France, en se référant à des chiffres. Certains ont noté très justement que les hommes et les femmes politiques qui ne pratiquent pas la langue de coton – et le FN est bien placé pour le savoir! – s’exposent toujours davantage à subir les foudres de la Justice.  Quand bien même le recteur de la Mosquée de Paris et ex président du Conseil français du culte musulmanDalil Boubakeur,  a pu dire qu’il y avait sept millions de musulmans en France et que  la démographe Michèle Tribalat a pu écrire que 20 à 22% des habitants de notre pays sont immigrés ou des descendants d’immigrés arrivés ces quarante dernières années. Cherchez l’erreur?

    https://gollnisch.com/2018/02/06/cherchez-lerreur/

  • Danemark : les sociaux-démocrates s’attaquent à l’immigration «non-occidentale» à travers une batterie de mesures

    Première formation politique du Danemark, le Parti social-démocrate, membre de l’opposition au gouvernement de centre-droit, a présenté lundi un projet de réforme censé tarir l’arrivée d’étrangers « non-occidentaux » à travers une batterie de mesures.

    « Nous voulons plafonner le nombre d’étrangers non-occidentaux accueillis au Danemark pendant une année », a expliqué dans un épais dossier publié sur internet la cheffe de « Socialdemokratiet », Mette Frederiksen. « Nous voulons réformer notre système d’asile entre autres en installant des centres d’accueil à l’extérieur de l’Europe. A l’avenir, il ne sera possible pour les réfugiés d’obtenir l’asile au Danemark qu’au titre des quotas fixés par l’ONU », a-t-elle ajouté. 

    Les demandeurs d’asile qui se présenteront « spontanément » au Danemark seront renvoyés vers un centre d’accueil dans un pays hors d’Europe, par exemple en Afrique du nord, pendant l’examen de leur dossier.

    Le pays de 5,7 millions d’habitants n’a plus les moyens d’intégrer les étrangers sur son sol, affirme Mette Frederiksen.

    « La population au Danemark a changé rapidement en peu de temps. En 1980, 1% de la population danoise n’était pas d’origine occidentale. Aujourd’hui on est à 8% », a-t-elle souligné.

    Le Figaro

    http://www.fdesouche.com/950657-danemark-sociaux-democrates-sattaquent-a-limmigration-non-occidentale-projet-de-quotas-de-centres-daccueil-deurope

  • TF1 A BEAU FAIRE LA DANSE DU VENTRE, MENNEL IBTISSEM, LA CANDIDATE VOILÉE DE THE VOICE, A BIEN SOUTENU DES ISLAMISTES

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    J’imagine la scène d’ici. Dans l’IGH (c’est comme ça qu’on appelle la tour centrale de l’immeuble du Point-du-Jour à Boulogne, quand on bosse chez TF1), les réunions de crise doivent succéder aux crises de nerfs. Comment en est-on arrivé là ? Comment la première chaîne de France (et la plus grosse d’Europe) a-t-elle pu se retrouver à mettre en avant une certaine Mennel Ibtissem, laquelle s’est répandue durant des mois sur les réseaux sociaux en y tenant des propos aussi controversés que « Les vrais terroristes, c’est notre gouvernement » (1er août 2016) ou en retweetant des publications de Barakacity, organisation islamique dont le fondateur – fiché par la DGSI – refusa, un jour, de serrer la main des femmes sur un plateau de Canal+.

    Comment TF1 peut-elle maintenant gérer cette affaire ?

    Toute la première partie de la saison de « The Voice » est enregistrée, en boîte, « prête à diffuser ». Qu’en fait-on ? On ne peut pas faire disparaître la gênante demoiselle d’un coup de montage magique, comme on le fit avec « Incroyable Talent » sur M6 pour effacer Gilbert Rozon. Il aurait fallu y penser plus tôt. Maintenant, la France l’a vue…

    Le piège qui s’est refermé sur TF1 est celui du politiquement correct et du sacrifice à la coolitude : une jolie voilée, c’est tellement inclusif ! La diversité aux yeux bleus, c’est tout bénef, non ?

    Alors TF1 et la prod de « The Voice » ont bien essayé le bonne vieille méthode du petit père Joseph : on efface ! Ainsi ont été effacés dans l’urgence son compte Facebook personnel et son compte Twitter. C’est bien peu connaître le Net que de se fourvoyer dans de telles pratiques : tout avait déjà été capturé ! Et les captures, c’est comme les petits pains et les poissons, ça a tendance à se multiplier à une vitesse de folie. Résultat : les reflux gastriques de Mennel Ibtissem pullulent sur les réseaux.

    Par exemple, le 15 juillet 2016, le lendemain de l’attentat islamiste de Nice, la future candidate de « The Voice » tweetait sous le mot-dièse #PrenezNousPourDesCons en ironisant sur le fait que le terroriste (mot qu’elle entourait de guillemets !) avait sur lui sa pièce d’identité.

    « The Voice » est non seulement une émission très regardée, mais les dégâts perdurent bien après la conclusion de la saison : le lauréat est auréolé d’une aura qui lui donne une force d’influence majeure auprès d’une certaine jeunesse qui part aisément à la dérive. Ériger en idole une islamiste au cerveau broyé (le correcteur de Boulevard Voltaire va encore me dire que je fais un pléonasme), c’est un jeu dangereux.

    Deux questions restent maintenant en suspens :

    – N’y a-t-il personne, chez TF1, qui consulte les profils des candidats avant de les mettre en lumière ?
    – Que va faire TF1 ?

    Sur sa page Facebook professionnelle, qui a remplacé son profil personnel effacé, Mennel Ibtissem ne publie maintenant – taqiya aidant – que des appels à l’amour entre tous les êtres…

    Ben tiens, #PrenezNousPourDesCons.

    http://www.bvoltaire.fr/tf1-a-beau-faire-danse-ventre-mennel-ibtissem-candidate-voilee-de-the-voice-a-bien-soutenu-islamistes/

  • ITALIE : UNE JEUNE FILLE DÉMEMBRÉE COMPTE MOINS QUE LES « MIGRANTS »

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    Le 31 janvier dernier, deux valises contenant le corps démembré d’une jeune fille de 18 ans, Pamela Mastropietro, étaient retrouvées sur le bord d’une route de la province de Macerata. Ayant préalablement été nettoyée à l’eau de Javel et une partie de ses organes génitaux manquants, les causes de la mort et une éventuelle violence sexuelle sont encore à déterminer. Ce que l’on sait, c’est qu’elle fut mutilée, découpée en morceaux et abandonnée comme de vulgaires ordures dans un fossé.

    Ce que l’on sait, c’est qu’Innocent Oseghale, le clandestin nigérian de 29 ans arrêté pour homicide volontaire, profanation et dissimulation de cadavre, ne devait plus se trouver sur le territoire italien, étant mêlé à des activités de trafic de drogue et son permis de séjour ayant expiré.

    Silence total des institutions de la République italienne.

    La colère s’exprime uniquement sur Internet, dernier espace de liberté en voie de restriction grâce à la fallacieuse lutte contre les « fake news » (qui n’est rien d’autre qu’une tentative de museler les canaux d’information et d’opinion qui échappent à la pensée unique). 

    Samedi 3 février, Luca Traini, un jeune homme de 28 ans de Macerata, ouvrait le feu sur une foule d’immigrés subsahariens, blessant grièvement six d’entre eux. Il est actuellement aux arrêts, avec l’accusation de « tentative de massacre aggravée par la finalité de racisme » et port illicite d’arme.

    Il serait banal, presque usant, de réitérer que, face au foisonnement de meurtres, viols et agressions de la part des migrants envers les autochtones qui les accueillent, qu’à cause des privilèges et de l’impunité dont ils jouissent souvent, un tel acte d’auto-justice était plus que prévisible.

    Tel n’est pas le sujet ici. Le sujet, c’est le tintamarre, outrageant, dérangeant, déplacé qui a eu lieu après. Car la réaction, tant attendue, du clan politico-médiatique est arrivée. Non lors de la découverte du corps dépecé de la jeune fille ou de l’arrestation de son boucher présumé. Non. L’indignation a été déclamée dans toute sa théâtralité lorsqu’un petit Blanc a tiré sur des immigrés : le ministre de l’Intérieur Marco Minniti se déplace aussitôt sur le lieu de la fusillade, rencontre les force de police, ordonne « une réponse ferme » ; le Premier ministre Paolo Gentiloni réunit une conférence de presse déclarant que « l’État sera particulièrement sévère envers quiconque alimente une spirale de violence » ; les intellectuels prennent le haut du pavé, accusant Matteo Salvini, de la Ligue du Nord, d’être le « commanditaire moral » de la fusillade.

    Mais pas un mot sur les moyens à mettre en œuvre afin d’éviter que des criminels, qu’ils soient trafiquant d’êtres humains, de drogue, assassins, violeurs ou de pauvres « victimes de mauvaises habitudes culturelles » (comme ils aiment à les voir), ne s’installent chez nous.

    Tant pis pour les autres Pamela, qui feront les frais de ce choc culturel en acte, en attendant que la magie occidentale qu’ils imaginent les transformant en « citoyens bien intégrés » ne porte ses fruits. Ce qui n’arrivera, de toute façon, jamais à l’intérieur de sociétés communautaristes comme les nôtres, où ils accéderont au confort matériel sans avoir à changer une once de ces mêmes « mauvaises habitudes culturelles ».

    http://www.bvoltaire.fr/italie-jeune-fille-demembree-compte-migrants/

  • Démonstration de force à Cottbus (All) : plusieurs milliers de manifestants défilent contre la violence des migrants, la manifestation pro-migrants réunit à peine 600 personnes

    La manifestation contre la violence des migrants :

     

    dw.com

    http://www.fdesouche.com/949611-demonstration-de-force-a-cottbus-all-plusieurs-milliers-de-manifestants-defilent-contre-violence-migrants-manifestation-pro-migrants-reunit-a-peine-600-personnes