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immigration - Page 899

  • La guérilla ethnique s’aggrave – par Guillaume Faye

    FRANCE (NOVOpress avec Guillaume Faye)
    Chaque année, pendant la nuit du Nouvel An, les incidents provoqués gratuitement par les ”jeunes” d’origine immigrée sont de plus en plus graves et s’apparentent à ce que Marine Le Pen a décrit dans un communiqué du 1er janvier 2018 : « ces scènes d’une rare violence viennent rappeler que perdure et s’amplifie dans notre pays, à côté de la menace terroriste, une insécurité confinant parfois à la guérilla urbaine ». Elle n’a pas osé désigner, politiquement correct oblige, l’origine des auteurs des faits. On lui pardonne, elle est tenue. De son côté, le ministère de l’Intérieur a reconnu que la soirée avait été « un peu chaude », mais que les festivités se sont globalement « bien passées » avec « très peu d’incidents ». Ah bon ?
    Tentative d’homicide filmée et diffusée

    Essayons d’interpréter les faits d’agression en prenant du recul. À Champigny–sur–Marne, une bande de voyous, pas vraiment Français de souche, tente d’entrer dans un lieu où se déroule un réveillon privé, dont ils défoncent la porte. Appelée, la police les expulse. Mais deux policiers, un homme et une femme, se font isoler et cerner pendant l’émeute qui s’ensuit. Ils sont lynchés et tabassés par des dizaines de ”jeunes” (devinez leur origine…). La jeune policière, à terre, est rouée de coups de pieds, surtout au visage. La scène, insoutenable, est filmée au smartphone par un des agresseurs et les images, comme un exploit à imiter, seront diffusées sur les réseaux sociaux. Appelés en renfort d’autres policiers viennent les secourir. Deux voyous seulement ont été placés en garde à vue. Les deux fonctionnaires, gravement blessés, sont hospitalisés avec dix jours d’interruption de travail.

    Ce sont des miraculés car l’intention de les tuer était manifeste. Patrice Ribeiro, patron du syndicat de policiers Synergie–officiers a analysé : « Cela témoigne de l’explosion exponentielle des violences perpétrées contre les policiers, avec une volonté homicide décomplexée. Cette scène de lynchage est digne des pays où les mœurs les plus barbares ont cours ». (1)Sans réponse judiciaires fermes, nous courrons à des drames ». Une autre attaque du même type, avec double agression a été perpétrée à Aulnay–sous–Bois contre des policiers. Il faut dire que l’État est objectivement complice des voyous, en dépit des communiqués pro–police tonitruants, martiaux, indignés et creux de ses plus hautes autorités –MM. Macron et Collomb, le ministre de l’Intérieur – qui n’envisagent pas une seconde de rétablir les peines planchers, abrogées en 2014, pour les agresseurs de policiers ! Bidon, mensonge et spectacle, au sommet d’un État qui est gouverné par des… [je vous laisse choisir le terme].

    Essayer de tuer un policier si l’on est d’une certaine origine… est, objectivement, dans la France en décomposition d’aujourd’hui, nettement moins puni par des magistrats gauchisés que si, Français de souche, on tire sur un agresseur à domicile d’origine immigrée.
    Aggravation constante des troubles du Nouvel An

    Mais tout va bien ! Cette même nuit de la Saint–Sylvestre 2017–2018, on a aussi vu 1031 véhicules incendiés, contre 935 l’année précédente, dont 250 en Ile–de–France, surtout évidemment près des zones où se concentrent des jeunes d’origine immigrée.

    510 délinquants ont été arrêtés dans toute la France contre 456 fin 2016. (L’immense majorité est relâchée.) Il y eut aussi 10 policiers et militaires agressés et blessés par nos amis les ”jeunes”. Eh oui, ça augmente et ça augmentera. Soyez–en sûrs : pratiquement aucun des délinquants ne fera de la prison ou ne supportera la moindre amende. Les magistrats sont antiracistes…

    Les agressions et émeutes de la nuit de la Saint–Sylvestre ont encore gagné en intensité par rapport à l’an passé et cette montée en puissance se poursuit chaque année depuis 10 ans. À Paris et dans la petite couronne (92, 93, 94), pendant la nuit du Nouvel An, 213 interpellations ont eu lieu contre 202 en 2016 ; 163 véhicules ont été incendiés contre 134 à la Saint Sylvestre 2016. On a enregistré 6 tirs de mortier contre les forces de l’ordre contre 2 en 2016.

    La nouveauté c’est que, maintenant, les agressions et les incendies de véhicules gagnent Paris intra-muros. Les ”jeunes” s’enhardissent. À 20.50 h sur les Champs Élysées les gendarmes mobiles ont arrêté sept individus qui jetaient des canettes pleines dans la foule dans l’intention de faire des victimes. Les auteurs de cet acte d’hostilité, de guérilla ? Des immigrés clandestins…afghans. Un employé du Fouquet’s a été blessé à l’arme blanche en s’interposant dans une bagarre. Dans le XIe, une serveuse de bar a été victime d’une agression sexuelle.

    Partout, dans la banlieue parisienne, selon un rapport du ministère de L’Intérieur, violences et agressions ont été d’un niveau nettement supérieur à l’an passé. Pour se dégager de guet–apens, notamment à Stains (93), la police a dû utiliser des lanceurs de balles de défense et des grenades. Des guet–apens ont aussi eu lieu à Sevran, à Houilles. À Clichy, ce sont les chauffeurs de bus qui ont été agressés. Toujours par la même population… Ce qui démontre que le niveau de la ”délinquance” est dépassé et que le seuil de la guérilla est franchi. Dans le reste de la France, le niveau de violence de la Saint–Sylvestre a suivi la même progression qu’en région parisienne.

    Selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), le nombre de violences « à dépositaire de l’autorité publique » (policiers, gendarmes, militaires, etc) a triplé en 30 ans, de 10.000 en 1995 à 32.000 en 2016. C’est la France qui est visée par ces symboles et il s’agit bien d’une logique de guerre intestine par des agresseurs qui s’envisagent comme des envahisseurs. Le nombre de policiers blessés en mission est passé de 4.197 en 2008 à 5.767 en 2016, avec une forte hausse récente de ceux blessés par arme, 430 en 2015, 687 en 2016.

    Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, a fait cette déclaration qui laisse rêveur : « J’étais à Champigny hier. Quand on voit ces grandes barres, on se dit qu’il y a un aspect totalement inhumain qui ne peut générer que de la violence ». Ridicule. Dans les années soixante, quand seuls des Français de souche habitaient ces ”grandes barres”, tout était calme.

    Taire et censurer la réalité des faits

    Cette délinquance en bandes ethniques organisées est un prélude, un préparatif à une guerre civile ethnique d’agression, dont la corrélation avec l’islamisme est claire. C’est évidemment une des conséquences du laxisme migratoire total qui règne depuis un demi–siècle. La classe politique et les dirigeants français taisent ou travestissent les faits. Aucun média n’a osé révéler l’origine des auteurs des agressions – des ”chances pour la France ”. La totalité des agresseurs et des émeutiers du 31 décembre, comme à chaque épisode semblable (ce que savent bien les services de police qui ont ordre de ne jamais le mentionner dans leurs rapports), était d’origine maghrébine et surtout africaine. Leurs motivations sont non seulement crapuleuses –pillages et vols culturellement ataviques – mais aussi antifrançaises, c’est–à–dire racistes et politiques, avec l’islam en embuscade. Les grands médias, dans notre pays de très relative ”liberté de la presse”, (35e rang mondial sur 180 pays selon Reporters sans frontières) sont lourdement dissuadés de révéler la vérité sur l’origine ethnique des auteurs des exactions précitées. Ce qui est stupide, puisque tout le monde sait qui pille, vole, parasite, trafique, agresse, assassine, viole, incendie et éventuellement pose des bombes et égorge à l’arme blanche.

    La lucidité de G.W Goldnadel

    La réponse pénale n’est pas à la hauteur. Les voyous d’origine immigrée se sentent totalement impunis. 100.000 peines de prisons ne sont pas exécutées chaque année. Et pas plus l’actuelle Garde des Sceaux , pas plus que la calamiteuse Taubira n’envisage de créer de nouvelles places de prison.

    Le seul à avoir osé dire la vérité sur le lynchage du capitaine de police et de la gardienne de la paix a été l’avocat Gilles–William Goldnadel, dans Le Figaro du 3 janvier 2018 («Lynchage des deux policiers à Champigny : nommons les faits »). Il laisse entendre tout d’abord ce qu’aucun journaliste apeuré (pléonasme) n’a osé mentionner, mais ce qui est parfaitement visible dans les vidéos de l’agression : les auteurs étaient tous de jeunes Noirs. Il estime que l’agression était à caractère raciste anti–Blancs et anti–Français. Et enfin, il accuse les médias et le système politique de dissimuler ces évidences, avec leur utopie totalement échouée du ”vivre ensemble ”.

    Il écrit : « Cette haine sauvage des policiers français n’est pas issue mystérieusement d’une génération spontanée ». Il dénonce la complicité des intellocrates et des médias, de Mathieu Kassovitz et de Médiapart (le site d’Edwy Plenel) avec les agresseurs et les émeutiers. Comme d’ailleurs chez Le Monde, Libération, France Télévision et Radio France, le tropisme masochiste collaborationniste ou sympathisant avec tout envahisseur – nazi est un mal français. Du nazisme à l’islam, on adore. La vulgate ”antiraciste” (attention, pas le racisme anti–Blancs, autorisé) règne sans entraves.

    GWG remarque : « les jeunes en groupe déchaînés semblaient habités d’une impression d’impunité. Je ne suis pas le plus mal placé pour écrire qu’elle est largement fondée. […] Ces jeunes de Champigny –sur–haine sont manifestement issus de l’immigration ». Il évoque « le bacille de la haine des policiers français mais celui tout bonnement de la France prétendument raciste. Et du racisme, parlons–en à la fin. On n’entend guère ce mot à propos du lynchage de Champigny. Or supposons un instant, dans une autre affaire, dix Blancs s’acharnant sur deux Noirs à terre ». La médiatisation et l’indignation seraient énormes. Deux poids, deux mesures

    Quand le Noir Théo, voyou délinquant, avait prétendu avoir été ”violé” par les matraques de policiers, Hollande, (le président de la République !) était allé le visiter à l’hôpital. Antiracisme oblige. Ni Macron ni son ministre de l’Intérieur n’ont visité à l’hôpital la jeune policière tabassée par des Noirs et qui a échappé de peu à la mort. GWG s’interroge : « il n’est que temps de questionner le racisme anti–Blanc, le racisme antifemme et le racisme antipolicier qui sévit dans les quartiers. Sans trembler ».

    En réalité, le point de non–retour est atteint. Jamais, l’utopique ”vivre ensemble” ne pourra s’installer. Jamais l’”insertion” ou l’”inclusion” (nouvelle lubie) ne pourront se réaliser. Jamais la haine raciste et jalouse de la France – et des autres peuples européens comme des Juifs– ne pourront s’éteindre dans populations en augmentation numérique constante. La guerre civile ethnique se profile de plus en plus clairement. Et pourtant, ce que nous voyons se dérouler aujourd’hui est bien peu de choses et ressemble à des échauffourées par rapport aux affrontements gigantesques qui se préparent.

    https://fr.novopress.info/209313/la-guerilla-ethnique-saggrave-par-guillaume-faye/#more-209313

  • Le business florissant du trafic de migrant - Journal du Lundi 29 janvier 2018

  • Rappel : Laurent Obertone : « Tous les pays hétérogènes ont une criminalité très forte »

    tumblr_inline_mg3jh2iJ0V1r5ed6h.jpgTout d’abord, avez-vous subit des pressions, avant ou après la publication de votre livre ? 
    Essentiellement après. Mais elles sont sans importance : les réactions des lecteurs, en particulier des victimes, des policiers et des premiers témoins de l’insécurité, sont très favorables. Mon but est de dire la vérité, pas de ménager ceux qui ont intérêt à la dissimuler. Le terrorisme intellectuel ne gagnera pas. 
    Comment appréhendez-vous le fait que, dans une vidéo officielle récente, Marine Le Pen fasse l’éloge de votre livre ? 
    Ce qui m’importe est qu’on parle de mon livre. Je me demande plutôt pourquoi la plupart des médias et des politiciens refusent d’en parler. L’insécurité n’a pourtant rien de politique… Assurer la sécurité des honnêtes gens est un des devoirs essentiels de la société. Non seulement ce devoir n’est plus assuré, mais il devient périlleux de le faire remarquer. 
    Avez-vous envisagé la récupération politique et comment comptez-vous la gérer ? 
    J’espère que le sujet sera « récupéré » par tous ceux que la réalité criminelle intéresse. Pour l’instant, beaucoup de citoyens… très peu de médias et de politiciens. 
    À présent, parlons du contenu de votre livre. Vous vous référez fréquemment à des anthropologues pour appuyer vos propos. Votre grille de lecture de l’insécurité diffère nettement de l’idéologie officielle dont vous refusez le misérabilisme. Pourriez-vous résumer votre analyse sociologique de ce phénomène ? 
    Pour synthétiser, la violence est normale, c’est une règle évolutive, et nous sommes le produit d’une longue lutte pour la survie des plus adaptés. L’ultraviolence qui secoue notre société est le choc entre une société moraliste (la nôtre), qui a renoncé à sa violence normale, et la tribalisation de groupes – souvent issus de l’immigration – dont la violence (encouragée) envers les autres groupes est un moteur identitaire. 
    Quels sociologues, anthropologues, ethnologues sont, selon vous, les plus aptes à nous faire analyser la situation actuelle ? 
    Paradoxalement, ce sont des éthologues qui expliquent le mieux la situation. Nous ne devons pas oublier que des règles biologiques nous animent. En France, les « experts » médiatisés ont souvent un siècle de retard : pour eux le social détermine tout. Ils s’interdisent même de considérer l’éventualité de différences culturelles entre groupes d’individus, par peur d’être lynchés médiatiquement. La plupart des sociologues médiatiques sont là pour psychanalyser la violence et lui inventer des causes dénuées de toute réalité, comme je le montre dans mon livre. 
    Comment expliquez-vous la lâcheté et l’inaction des journalistes et des pouvoirs en place ? 
    Dans notre pays s’est développée une sorte de compétition morale, qui consiste à aller toujours plus loin dans l’excuse du criminel et l’oubli des victimes, et donc dans l’encouragement de la barbarie et dans la négation de la réalité. Cette morale hors-sol, devenue incontournable (il faut suivre le groupe pour ne pas en être exclu), offre un bon statut (du pouvoir), à peu de frais, car il est facile d’en assimiler les contours : il suffit de tenir un discours égalitaire et progressiste. Qu’on soit artiste, journaliste, universitaire, souvent magistrat, cette morale est quasi-indispensable pour réussir une carrière. Tant que cette morale si facile à adopter sera concrètement bénéfique, il n’y a pas de raison pour que ces gens y renoncent. Problème : cette morale hors-sol ne peut survivre qu’à condition de nier la réalité de plus en plus violemment. 
    Qu’est-ce qui fait que la presse locale relate plus les nuisances des criminels et des délinquants que la presse nationale ? 
    La presse locale a une obligation de vérité. Si elle ne relate pas les faits que les gens constatent, ils cesseront de la lire. La presse nationale en revanche peut se permettre de ne plus vivre de ses lecteurs, tant elle est subventionnée (et déficitaire), par quantité de manières, pour occuper l’espace informatif, donner l’illusion que la presse plurielle existe encore et que notre démocratie se porte bien. Ces journalistes sont des fonctionnaires. Ils peuvent donc continuer à nier la réalité, c’est même leur rôle essentiel. 
    Pensez-vous, comme Xavier Bébin, que la construction de nouvelles prisons serait salutaire d’un point de vue judiciaire et économique, les condamnations permettant de juguler le coup de la délinquance ? 
    Cela permettrait d’avoir un effet immédiat, en se donnant simplement les moyens d’appliquer la loi. Mais il faut également s’interroger sur la pertinence de vouloir à tout prix, plus tôt que plus tard, une société ethniquement hétérogène, ce que la France et les pays européens n’ont jamais été. Je montre dans mon livre que tous les pays hétérogènes ont une criminalité très forte (entre autres désagréments), contrairement aux pays homogènes. 
    Quelles solutions préconisez-vous ? 
    Mon analyse n’étant pas politique, je m’en tiens à mes constats. Pas assez de prisons, échec du laxisme, faillite morale, État incapable d’assurer la sécurité de nos concitoyens, dégâts de l’hétérogénéité… Résoudre ces problèmes est une autre étape, qui ne peut pas être abordée sans prise de conscience populaire. Mon livre est là pour ça. 
    Pour finir, quelle est votre position sur la peine de mort. Aurait-elle selon vous un effet dissuasif en entraînant une baisse de la criminalité ? 
    L’objectif premier de la justice n’est pas tant la dissuasion que le fait de faire payer au condamné le prix de son crime. Aujourd’hui, un prisonnier joue toute la journée à la Playstation, coûte très cher à la société… et est relâché souvent rapidement, même pour des crimes très graves. Plus les peines sont courtes, plus le taux de récidive réelle est élevé… La peine de mort existe bel et bien : notre société, parce qu’elle refuse de condamner des coupables, condamne des innocents à croiser leur route. 
    Laurent Obertone est journaliste diplômé de l’École de Lille. Après avoir travaillé pour un hebdomadaire français, il s’est consacré à l’écriture d’un livre sur l’explosion de la violence et l’ensauvagement de la société : « La France orange mécanique » (Éditions RING, 2013)
    Source

  • TÉMOIGNAGE. 1) Les villages colonisés du sud. 2) Génèse du blanc racailleux

  • EN ALLEMAGNE, ON LÉGALISE LA POLYGAMIE POUR LE « BIEN » DES ENFANTS !

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    En Allemagne, la polygamie est, comme chez nous, officiellement interdite, mais deux réfugiés syriens viennent de réussir à faire venir leur seconde femme. Ils ont d’abord émigré avec leur première épouse et tous leurs enfants, y compris ceux du second foyer. Que ces derniers soient privés de leur maman a semblé intolérable aux yeux des services sociaux et, pour leur « bien », la deuxième épouse a obtenu à son tour le droit de s’installer en Allemagne. Comme dans une affaire similaire qui s’est déroulée l’année dernière, les deux familles devront sans doute vivre séparément. Peut-être imposera-t-on une distance géographique d’une cinquantaine de kilomètres entre les deux domiciles. Mais il n’y aura pas vraiment d’obstacle à la poursuite de la vie polygame et les allocations familiales seront versées au père. Trouvera-t-il du travail ou se contentera-t-il des aides sociales ? Celles-ci ne seront pas nécessairement élevées, mais elles lui permettront de vivre modestement et le papa se partagera équitablement entre ses deux foyers comme le lui prescrit le Coran.

    Nous avons connu une situation similaire en France, il y a trente ans. Un juge a alors estimé que si la polygamie était pratiquée dans le pays d’origine d’un réfugié, elle devenait légale en France, puisqu’un être humain a droit à une vie « normale » et « semblable » à celle qu’il menait avant d’immigrer. Son arrêt a créé une jurisprudence qui s’est imposée à l’État. Pendant dix ans, nous avons donc introduit le plus légalement possible des secondes (voire des troisièmes ou quatrièmes) épouses. Le Parlement a fini par voter une loi pour interdire cette pratique. Néanmoins, cette interdiction apparente de la polygamie est facile à contourner. Si, en principe, les ascendants ne sont pas concernés par le regroupement familial (et, donc, l’argument utilisé en Allemagne ne peut pas s’appliquer chez nous), les parents ont le droit de venir comme visiteur (pour trois mois). Ensuite, les prétextes pour rester sont nombreux (maladie…) et, quitte à passer par une période d’illégalité, les clandestins finissent toujours par être régularisés. Le moyen le plus efficace, pour une seconde épouse, est d’accoucher chez nous (si elle le peut), surtout si son mari est naturalisé, car les parents d’enfants français sont inexpulsables en droit. Et même si l’époux n’a pas encore obtenu sa naturalisation, un bébé né sur notre sol empêche, dans les faits, le renvoi au pays de ses parents. Ensuite, les HLM sont fort compréhensifs. Souvent, ils louent aux familles polygames des appartements voisins (toujours au nom de l’intérêt supérieur de l’enfant). 

    En Occident, nous nous gargarisons d’être fermes et d’imposer notre législation aux nouveaux venus. Mais, dans la réalité, nous appliquons souvent les lois et les coutumes des pays d’origine des migrants. Nous trouvons toujours un biais prétendument humanitaire pour violer notre propre jurisprudence avec la meilleure conscience du monde, au risque de faire exploser l’équilibre délicat de notre société.

    http://www.bvoltaire.fr/allemagne-on-legalise-polygamie-bien-enfants/

  • Prix Jacques-Hamel : l’islamo-gauchisme à la sauce catho, par Caroline Parmentier

    prix-hamel.jpgLa Fédération des médias catholiques a récupéré à sa sauce le père Jacques Hamel, martyr de l’islam égorgé dans son église aux cris d’Allah Akbar, pour en faire un apôtre du vivre-ensemble. Le Prix Père Jacques-Hamel récompense un « travail journalistique engagé dans l’éducation au dialogue, l’accueil de la différence, la promotion du vivre-ensemble ». Voilà ce qu’ils ont fait du père Hamel.

    C’est Samuel Lieven, pour son article « Thomas et Benoît, les convertis du 13 novembre », publié dans La Croix du 13 novembre 2017, qui est l’heureux lauréat. Il remplit parfaitement les critères établis par ces médias catholiques qui de La Vie à La Croix, en passant par Le Pèlerin, Okapi, Phosphore, Pomme d’Api, ou Prions en Église sont devenus les idiots utiles ou les suppléants de l’islamo-gauchisme. Ils ont inventé une nouvelle catégorie dont on avait bien besoin : les islamo-cathos-gauchistes.

    Samuel Lieven présente le portrait croisé de deux frères, Benoît et Thomas. L’un est catholique, l’autre s’est converti à l’islam. Il est également fiché S, c’est encore plus beau. Tous deux ont été élevés dans une famille catholique, leur mère faisait le caté. « La fracture a marqué la vie familiale, bientôt rattrapée par le drame des attentats qui visent à opposer les uns aux autres. Les frères ont pourtant entamé une voie de réconciliation : si l’histoire n’est pas finie, elle porte des signes d’espoir. » Quelle meilleure façon d’honorer la mémoire du père Hamel que de raconter une conversion islamique dans une famille catholique ? Où tout se passe pour le mieux et où c’est même beaucoup mieux qu’avant ? Evidemment le récit d’une conversion catholique dans une famille musulmane aurait été impensable, scandaleux et fasciste et n’aurait certainement pas retenu l’attention de la fédé des médias catholiques. Sans compter qu’elle ne se serait pas passée de la même façon dans la famille musulmane…

    Dans ce bel article de La Croix récompensé par le Prix Père Jacques-Hamel, on apprend que Thomas le converti, est devenu gérant d’une librairie coranique, qu’il est marié à une femme voilée et qu’il a trois enfants : Abdallah, 10 ans, Amin, 8 ans, et Issa, 3 ans. Le lendemain des attentats du 13 novembre, la police fait irruption dans sa librairie islamique avec des hommes encagoulés et des chiens. Curieusement, son profil de converti et ce que l’on trouve dans son commerce en font un suspect potentiel. En quelques heures, le magasin et l’entrepôt voisin sont retournés, les ordinateurs et téléphones passés au peigne fin, tous les ouvrages recensés. A la suite de cette perquisition, Thomas reste inscrit au fichier S. Mais sa famille catholique se rapprochera de lui à l’occasion de cette grande injustice. Pascale sa maman vient chercher ses petits-enfants pour qu’ils n’assistent pas la descente de la Gestapo et tombe dans les bras de sa belle-fille voilée, Lila. Laquelle, c’est précisé dans l’article, voit maintenant sa belle-famille mais n’a ni le droit d’embrasser son beau-père et son beau-frère ni de leur serrer la main, c’est impudique.

    Ce merveilleux récit a transporté le jury des médias catholiques. Présidé par Mgr Dominique Lebrun, archevêque de Rouen et composé de Roseline Hamel, sœur du père Jacques Hamel (la malheureuse phagocytée) de Dominique Quinio, présidente des Semaines sociales de France, Christian Makarian, directeur de L’Express et Jean-Marie Montel, directeur général adjoint Bayard et président de la Fédération des médias catholiques. Le prix sera remis vendredi 26 janvier à Lourdes, à l’occasion des Journées internationales Saint-François de Sales, par le cardinal Pietro Parolin, secrétaire d’Etat du Vatican.

    Caroline Parmentier

    Article paru dans Présent daté du 26 janvier 2018

  • Éric Zemmour : “La prison est devenue une extension du domaine de la banlieue”

    Le gouvernement a décidé de sanctionner par des retenues sur salaire les surveillants de prison qui se sont mis en grève.

    Pour Éric Zemmour, les matons subissent en réalité ce que subissent dans certains quartiers les pompiers caillassés ou les profs insultés.

    Les prisons françaises sont surpeuplées non parce que la justice est plus sévère, mais parce que la délinquance a explosé et que l’État a refusé de construire des places de prison.

    Les matons subissent en réalité ce que subissent dans certains quartiers les pompiers caillassés, les flics rôtis comme des poulets dans leurs voitures, les profs insultés et molestés, les facteurs agressés, les bibliothèques incendiées. La prison est devenue une extension du domaine de la banlieue.

  • LE PRÉSIDENT TCHÈQUE SORTANT MILOŠ ZEMAN, OPPOSÉ À L’IMMIGRATION, EST RÉÉLU

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    Lors du deuxième tour des élections présidentielles de ces 26 et 27 janvier 2018, les Tchèques ont été appelés à choisir entre le président sortant Miloš Zeman, opposé à l’immigration et favorable à l’entretien de bonnes relations avec la Russie et la Chine, et son opposant, libéral et pro-Union européenne, Jiří Drahoš.

    Miloš Zeman, âgé de 73 ans, a été réélu pour un mandat de cinq ans.

    Lors de la campagne électorale, Zeman, connu pour ses positions politiques eurosceptiques et favorables à la levée des sanctions envers la Russie, s’est présenté en tant qu’opposant à la venue de migrants et de réfugiés et a fait placarder à travers le pays des affiches portant le slogan « Halte aux migrants et à Drahoš. Ce pays est à nous ! Votez Zeman ! »

    Miloš Zeman a cartonné dans les campagnes et chez les travailleurs manuels, alors que son opposant libéral a obtenu de bons scores dans les grandes villes au sein desquelles la population est plus pro-européenne, et parmi les professions intellectuelles.

    Depuis un changement constitutionnel survenu en 2012, le peuple a, pour la deuxième fois, élu directement son président.

    Le président de la République tchèque, qui dispose d’une fonction avant tout représentative, nomme les juges et la direction de la banque centrale, décide qui va recevoir la tâche de former un gouvernement et peut influencer l’opinion publique.

    En 2015, alors que la crise des réfugiés atteignait son apogée, Miloš Zeman avait déclaré : « Je suis profondément convaincu que nous faisons face à une invasion organisée, et pas à un mouvement spontané de réfugiés », tout en ajoutant qu’il était prêt à défendre lui-même la frontière en cas de besoin avec une arme en main.

    Lors des élections législatives d’octobre 2017, les deux partis anti-système et eurosceptiques ANO 2011 du milliardaire Andrej Babiš et Liberté et démocratie directe (SPD) du patriote Tomio Okamura avaient obtenu de très bons résultats.

    La victoire d’un candidat eurosceptique et anti-immigration lors des présidentielles confirme la tendance générale qui se développe au sein des quatre pays du groupe de Visegrád qui voit la Pologne, dirigée par les conservateurs du PiS (Droit et Justice), la Slovaquie, conduite par le Premier ministre social-démocrate Robert Fico allié, au sein de son gouvernement, aux patriotes du SNS et qui s’oppose à l’accueil de migrants musulmans, et la Hongrie, aux mains du démocrate-chrétien Viktor Orbán, se dresser contre la politique que désire imposer l’Union européenne à ses États membres en matière migratoire.

    Les électeurs tchèques ont choisi, à l’instar de leurs voisins polonais, hongrois et autrichiens, d’emprunter la voie de la démocratie illibérale et de refuser les principes de la société ouverte chère au milliardaire américain George Soros.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog
  • Forum économique de Davos : un prix remis en faveur des immigrés clandestins

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     SUISSE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    La quarante-huitième édition du Forum économique mondial, plus connu sous le nom de forum de Davos s’est ouverte lundi soir dans la station suisse du même nom. Cette organisation réunissant les plus hauts dirigeants d’Etats, de gouvernements et d’entreprises planifie tout simplement l’évolution de l’ordre mondial des temps à venir. C’est ce que Klaus Schwalb, co-fondateur avec Richard Attias a rappelé dans son discours JE CITE « Nous avons besoin de travailler en équipe : aucune nation, aucune personne, aucune partie prenante ne peut à elle seule faire face à la complexité de l’agenda mondial de manière constructive ».

    En guise d’ouverture du forum, un prix remis en faveur des clandestins

    Trois prix on été remis pour l’ouverture du forum, dont un attribué à Cate Blanchett pour son action en faveur des clandestins. En recevant son trophée, l’actrice a évoqué la migration prochaine de près de 66 millions de clandestins. Pour elle : « Nous devons accepter notre mission : trouver de nouvelles manières de répondre à la crise des réfugiés »

    Emmanuel Macron a pris la parole hier

    Déjà présent l’année dernière en tant que ministre de l’économie de François Hollande, Le président français s’est exprimé pendant plus de 40 minutes. Il a évoqué la question environnementale avant de faire la promotion de ses projets de réformes économiques, scolaires et financières pour notre pays. Il appelle à la coopération internationale, exigeant notamment un contrat mondial dans le domaine fiscal.
    Un ennemi à ce forum mondialiste : la montée des courants nationalistes

    En effet, Angela Merkel et Emmanuel Macron se sont tous deux inquiétés des de l’importance croissante des courants nationalistes. “Le populisme est un poison” haranguait la dirigeante d’outre Rhin tandis que le président français encourageait la salle à prendre des mesures pour que les nationalistes n’emportent pas les élections « dans cinq ans, dans dix ans, dans quinze ans ».

    https://fr.novopress.info/

  • On refuse d’enregistrer un prénom breton. Pendant ce temps-là, les prénoms étrangers font florès en France…

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le procureur et l’état civil de la mairie de Rennes ont refusé d’enregistrer le prénom Derc’hen (avec une apostrophe entre les lettres c et h) choisi par un couple pour son petit garçon. C’est en tout cas ce que relate le quotidien Ouest-France. Motif : le prénom contenait une apostrophe. Une première selon Charlie Grall, président du Secours Breton, une association qui défend l’identité bretonne. Ce dernier a précisé que « de nombreux prénoms bretons ainsi que des noms de famille s’écrivent avec un c’h et n’ont pas (…) posé de problème ces dernières années. »

    Pendant ce temps-là, les prénoms étrangers font florès en France…

    C’est tout le paradoxe ! Les prénoms français perdent du terrain face aux prénoms à consonance arabe ou noire-africaine, et l’on débat des cultures régionales. Pour rappel, L’Officiel des prénoms 2018 note que Mohamed se situe dans le top 20 des prénoms les plus donnés en France. Il était déjà dans les dix premières places à Paris, suivant en cela une tendance bien établie dans plusieurs capitales européennes, Bruxelles, Londres et Oslo. Au Royaume-Uni, le dernier recensement sur les prénoms a suscité polémique. D’après le Bureau de la statistique nationale, Oliver était le prénom le plus populaire en 2016. Mais en tenant compte des déclinaisons multiples du prénom Mohamed, (Mohammed, Muhammad…), le site Quartz avait conclu qu’en réalité c’était prénom numéro 1 outre-Manche.

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