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immigration - Page 903

  • Clandestins : le budget de l'aide médicale d'État va croître de 108 millions d'euros en 2018

    Selon le projet de loi de finances épluché par Capitalle budget de l'aide médicale d'État (AME) va croître de 108 millions d'euros en 2018. 

    L'AME, mise en place en 1999, permet la prise en charge médicale des personnes en situation irrégulière et résidant en France depuis plus de trois mois. La "droite" au pouvoir n'a jamais osé remettre en cause cette pompe aspirante de l'immigration. En 2018, son budget s'élèvera donc à 910 millions d'euros, soit une augmentation de 13 % par rapport à l'année précédente.

    910 millions d'€ en plus pour les immigrés, quand on sait que les Armées ont été privées de 850 millions d'€...

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La Commission européenne veut faire concurrence aux passeurs

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    8956-20170930.jpgLe commissaire européen chargé de l’immigration, le Grec Dimitris Avramopoulos, qui déclarait à Genève le 6 mars dernier que « les Vingt-Sept auront besoin à l’avenir de six millions d’immigrés », cherche à combler la baisse du nombre d’immigrants illégaux arrivant par la Libye. Il a présenté mercredi un plan pour « réinstaller » en Europe au moins 50 000 personnes depuis l’Afrique du Nord et la corne de l’Afrique. « L’Europe doit montrer qu’elle est prête à partager la responsabilité avec les pays tiers », a soutenu le commissaire européen, « les personnes qui ont un vrai besoin de protection ne doivent pas risquer leur vie ni dépendre des passeurs ».

    Ce qu’on appelle « réinstallation » ne doit pas être confondu avec la « relocalisation » des immigrants clandestins déjà arrivés en Italie et en Grèce, et que l’on voudrait redistribuer dans toute l’UE selon un système de quotas. La « réinstallation » consiste à faire venir les demandeurs d’asile directement depuis des pays hors-UE.

    A ce jour, 23 000 ont été ainsi « réinstallés » depuis des camps de réfugiés situés en Turquie et au Moyen-Orient, et la Commission voudrait maintenant étendre ce système alors que l’Italie vient seulement de réussir, en coopération avec le gouvernement de Tripoli, à mettre à mal le service de navette gratuite pour immigrants illégaux qu’assuraient les ONG européennes avec la bénédiction de Bruxelles et de Berlin (les deux tiers de ces ONG opérant en Méditerranée centrale sont allemandes). Le porte-parole de la Marine libyenne a même annoncé cette semaine que tout bateau d’ONG européenne s’approchant sans autorisation à moins de cent milles nautiques des côtes de la Libye serait désormais séquestré.

    La Commission cherche donc à « court-circuiter » (sic) les passeurs, mais aussi les autorités libyennes et italiennes, par un système de « réinstallation », alors même que le système de « relocalisation » de 160 000 demandeurs d’asile en deux ans s’est soldé par un échec puisque, à l’expiration du délai en ce mois de septembre, seuls 29 000 demandeurs d’asile avaient été « relocalisés » depuis la Grèce et l’Italie, sans compter qu’une bonne partie de ces 29 000 immigrants ont déjà disparu dans la nature après avoir été envoyés dans un pays qu’ils n’avaient pas choisi.

    Parallèlement, la Commission européenne, par la voix du Grec Avramopoulos, a constaté mercredi qu’il fallait accélérer les expulsions car, au niveau européen, seul un tiers des déboutés du droit d’asile quittent effectivement l’UE. C’est mieux que la moyenne française, mais cela reste une incitation à l’immigration illégale. La Commission propose d’améliorer les procédures d’expulsion, mais si M. Avramopoulos veut encore six millions d’immigrés rapidement, on sent bien que cette proposition n’est qu’un leurre.

    Le désastre migratoire provoqué par les politiques européennes a bien entendu mis à mal l’espace Schengen, et la proposition, également avancée mercredi par la Commission, de permettre aux Etats membres de prolonger jusqu’à trois ans les contrôles « provisoires » aux frontières n’est rien d’autre qu’un constat d’échec.

    Olivier Bault Article paru dans Présent daté du 29 septembre 2017

    https://fr.novopress.info/

  • Prière de rue musulmane géante à Clichy-la-Garenne

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     FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie:
    La police encadre une prière de rue géante depuis six mois en banlieue parisienne. C’est dans une vidéo que publie l’Observatoire de l’islamisation qu’on peut s’en rendre compte. A Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine), des centaines de musulmans se retrouvent pour prier dans la rue. Bien alignés, ils ont installé un tapis sur la chaussée et des haut-parleurs pour que les rangées les plus éloignées puissent entendre le prêcheur. Ils sont tellement nombreux qu’ils occupent plus d’une voie de circulation pour les voitures.

    Et cela ne semble pas inquiéter la mairie. Des policiers armés assurent la sécurité de ces gens et font signe aux voitures de circuler. Les organisateurs estiment accueillir au moins un millier de fidèles d’Allah. Rémi Muzeau, le maire Les Républicains de Clichy la Garenne, avait promis tout comme son prédécesseur socialiste de construire une mosquée supplémentaire. L’écrivain et ancien musulman Majid Oukacha, commente la vidéo sur Twitter : « On y voit le résultat de la peur de nos élus laissant l’islam coloniser nos rues ».

    D’autant que cette mosquée n’est pas modérée pour un sou. Toujours selon l’Observatoire de l’islamisation qui possède plusieurs vidéos tournées sur place, l’imam qui dirige cette prière du vendredi des musulmans psalmodie le verset 36 de la sourate 9 du coran, dans lequel on peut lire : « Combattez les associateurs sans exception, comme ils vous combattent sans exception, et sachez qu’Allah est avec les pieux ». Ce verset est connu pour être souvent interprété comme un appel à l’extermination des chrétiens et des athées par la force.

    D’autres prières de rues non autorisées ont lieu chaque vendredi à Paris. Rue Morand (dans le XIe), elle bloque la circulation. Rue Etienne Marey (XXe) également, les fidèles de la mosquée Anwaar E Madina prient sur le trottoir.

     https://fr.novopress.info/

  • La justice pourrait délivrer un « mandat d’amener » contre Gilbert Collard !

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    La justice souhaitait pouvoir délivrer un « mandat de comparution » et un « mandat d’amener » à l’égard du député FN-RBM Gilbert Collard, a expliqué à l’AFP le député LREM-Modem du Bas-Rhin Sylvain Waserman, d’où la demande de levée de son immunité parlementaire, qui a donc été adoptée par le bureau de l’Assemblée nationale ! « Tous les députés siégeant au bureau se sont prononcés pour, à l’exception de Clémentine Autain (La France insoumise) », rapporte l’Agence France Presse. « Ce qui s’est joué ce matin est une remise en cause de fait de l’immunité parlementaire, dans des délais pas démocratiques […] LREM joue avec le feu », a-t-elle expliqué.

    Gilbert Collard peut donc maintenant, à tout instant, être interpellé et conduit devant un juge ! Menottes au poignet ? Pourquoi pas !

    Les faits reprochés au député du Gard ? Les mêmes que ceux qui ont déjà valu à Marine Le Pen, en mars dernier, de voir son immunité parlementaire levée par le Parlement européen. Il a osé publier sur son compte Twitter des images de victimes de l’Etat islamique ! Le but étant de dénoncer le « parallèle ignoble » effectué par Jean-Jacques Bourdin sur RMC entre le Front national de Daesh. Gilbert Collard avait accompagné l’image d’un homme assassiné par les islamistes de ce commentaire : « Bourdin compare le FN à Daesh : le poids des mots et le choc des bobos ! »

    Lire la suite

  • Migrants : 3 nouveaux centres de "pré-accueil" vont ouvrir en Île-de-France

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    Le préfet d'Île-de-France, Michel Cadot, a annoncé l'ouverture de ces centres pour ne plus voir "aucun migrant dans les rues ou dans les bois d'ici la fin de l'année".
    Avis d'Orage: Monsieur Michel Cadot, peut aussi commencer à vider la mer à la petite cuillère afin que les plages soient moins humides. Il est probable que le résultat soit aussi efficace que l'ouverture de centres pour les clandestins afin qu'il n'y en ai plus aucuns dans les rues.
    Pour compenser la saturation du centre de la porte de la Chapelle (XVIIIe arrondissement de Paris), unique centre humanitaire à Paris, le préfet de la région Île-de-France, Marc Cadot, a annoncé la création de trois centres de "pré-accueil" d'une capacité de 200 à 250 places chacun.

    Au micro de France Bleu Paris lundi 25 septembre, le représentant de l'État affichait l'ambition de ne plus voir "aucun migrant dans les rues ou dans les bois d'ici la fin de l'année."

    Le premier des trois centres est attendu pour le 1er octobre en grande banlieue. Le nom de la ville qui l'accueillera n'a pas été précisé. Le deuxième sera ouvert à Paris intramuros avant le mois de décembre 2017. Quant au dernier, il sera inauguré avant le 1er janvier 2018 en banlieue lui aussi.

    Ces centres dits aussi de "pré-orientation" permettront un accueil "inconditionnel" des migrants, ce qui n'empêchera pas une vigilance particulière sur le droit de séjour. L'idée est de "ne plus répondre dans l'urgence" mais de "bâtir un système plus structuré", où les personnes seront "davantage regroupées selon la nature de leur dossier", a résumé Marc Cadot. Les demandeurs d'asile iront en Cada (Centre d'accueil des demandeurs d'asile). Le centre humanitaire, lui, se recentrera sur sa mission d'accueil des primo-arrivants, puisqu'il n'accueillerait "pas forcément les 'dublinés'", a indiqué le préfet.

    Ces derniers, qui ont pour "obligation de repartir rapidement vers le pays où ils ont déposé leur demande d'asile", seront orientés vers le millier de places d'hébergement ad hoc créées en Île-de-France depuis l'été.

    Un traitement "dès la première minute" des dossiers

    Avec ce dispositif, la préfecture veut d'abord régler le problème des campements de migrants à Paris, que l'ouverture du centre humanitaire il y a un an n'a pas résolu. La préfecture cherche également à répondre à la demande du président qui a exigé un traitement "dès la première minute" des dossiers des migrants, en promettant de n'avoir "plus personne à la rue" d'ici la fin de l'année.

    lu ici

    http://www.oragesdacier.info/2017/09/migrants-3-nouveaux-centres-de-pre.html

  • Immigration : la Commission européenne cède devant les Polonais, Hongrois, Slovaques et Tchèques

    6a00d83451619c69e201b7c924970f970b-800wi.jpgLu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "On sait que la Commission européenne a lancé des procédures contre les pays qui refusaient de recevoir des « migrants », et que la Cour de Justice de l’UE a donné tort à la Hongrie et à la Slovaquie qui contestaient la légalité de la décision, au motif notamment que le texte remanié n’avait été avalisé que par deux Etats membres… mais ça fait une majorité selon les graves juristes de la CJUE.

    Quoi qu’il en soit, le texte est caduc aujourd’hui 27 septembre. Donc on ne peut plus l’appliquer chez les récalcitrants.

    Ce même jour, la Commission européenne « recommande un nouveau programme de réinstallation pour conduire en Europe au moins 50.000 des personnes les plus vulnérables ayant besoin d'une protection internationale dans les deux prochaines années ». Et elle a déjà « mis de côté » 500 millions d'euros pour soutenir les Etats membres qui accepteront d’en accueillir (donc 10.000 euros par personne).

    Mais, grande nouveauté : la Commission parle bien des Etats qui « accepteront » d’accueillir des « réfugiés ». Il n’est plus du tout question de « relocalisations » forcées décidées de Bruxelles.

    Autrement dit les méchants Polonais, Hongrois, Slovaques et Tchèques ont gagné sur toute la ligne…

    Les chiens aboient, la caravane passe. Mais les chiens sont fatigués d’aboyer, on dirait…"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Jean Messiha (FN) : « Personne n’est obligé de venir chez nous ! »

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    Monde-Vie-Jean-Messiha-251x350.jpgL’énarque Jean Messiha, porte-parole des Horaces, ce groupe de hauts fonctionnaires proches du Front national, a accordé un entretien au magazine Monde & Vie sur la « question identitaire ». « Il faut commencer par dire et par être ce que nous sommes, explique-t-il. Il faut écouter ce cri du tréfonds des âges : “Deviens ce que tu es“, “Connais-toi toi-même“. On peut résumer l’évolution de la situation migratoire et identitaire de manière très simple. Dans les années 50, on disait aux personnes qui venaient en France : “Devenez ce que nous sommes. “C’était l’époque de l’assimilation. En 1980, sous couvert d’antiracisme on a abandonné cette notion au profit de l’intégration que j’appelle de première génération, qui dit aux immigrés : “Restez ce que vous êtes.“ À partir des années 2000, on assiste à l’intégration de deuxième génération, qui est une gradation de la première par laquelle on dit aux immigrés : “Devenons ce que vous êtes.“ »

    En conséquence,

    « il faut renverser cette évolution régressive. Personne n’est obligé de venir chez nous. Si certains veulent devenir ce que nous sommes, ils sont les bienvenus. Mais nous ne deviendrons pas ce que certains agitateurs parmi eux veulent que nous devenions. La France doit rester la France. »

    Celui qui est né égyptien, est arrivé en France à l’âge de huit ans et n’a obtenu la nationalité française qu’à l’âge de vingt ans ajoute :

    « Dans les années 80, celles de ma jeunesse, on a appris à ce peuple qu’être français est une honte, que la France était un pays rance, qui a livré des enfants juifs pendant la Deuxième Guerre mondiale, qui a été colonialiste, esclavagiste, etc. L’islamisme s’explique en grande partie, dans ce pays, par le fait qu’on a interdit à une génération de citoyens de se sentir fiers d’être français. À 15 ans, j’aspirais à devenir un Français et on m’interdisait de le devenir. Je me suis retrouvé face à un Mur de Berlin m’enfermant dans mon identité d’origine. J’ai dû consentir, pour devenir français de cœur, à un investissement personnel gigantesque. Mais chez beaucoup, ce mur a produit un effet rebond vers la culture d’origine. »

    Et Jean Messiha de conclure ainsi :

    « On a voulu instaurer dans les individus cette terre brûlée identitaire, qui correspondait à la culture soixante-huitarde, mais la nature a horreur du vide. Sur cette terre brûlée “laïque“ ont fleuri les cultures d’origine des immigrés et pour beaucoup cela a été l’islamisme. Le consumérisme ne suffit pas aux individus. On ne meurt pas pour son I-Phone ! »

    Extraits d’un entretien à lire en intégralité dans Monde & Vie n° 945 daté de septembre 2017

    https://fr.novopress.info/207484/jean-messiha-fn-personne-nest-oblige-de-venir-chez-nous/

  • Un nouvel outil de dissolution nationale : le clandestin et ses droits

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    Bernard Plouvier

    Autrefois, les choses étaient simples et, somme toute, fort logiques. La clandestinité avait une double connotation : celle du secret et de l’illégalité. Le clandestin était reconduit à la frontière de son choix ou de son origine.

    Mais ça, c’était avant la dictature des droits liés au simple fait d’être né, avant la création des lois par et pour le pouvoir économique.

    Dès l’Antiquité, en Mésopotamie comme en chine, en Grèce ou à Rome, la notion de droits individuels était corrélée à celle des devoirs : enrichir la collectivité par sa force de travail ou dans la défense du Bien commun & ne pas nuire à autrui par des actions criminelles ou délictueuses.

    Ces vieilles lunes se sont effacées devant le nouveau soleil censé éclairer l’humanité : le culte des droits dévolus à n’importe qui ayant l’apparence d’un humain. Du seul fait qu’il existe, l’être humain a le droit de parasiter celles des sociétés où l’on est devenu tellement « libéral » qu’on y oublie l’origine même du Droit : la protection des personnes et des biens de ceux qui enrichissent la collectivité par une honnête activité et de ceux qui l’ont enrichie.

    Seuls les niais gobent cet immense bobard qu’est le culte des Droits de tout homme. Sa finalité réelle est de stimuler la consommation, selon le principe bien connu des petits ruisseaux qui font les grandes rivières. Tout est bon, dans nos sociétés décadentes, pour détourner le produit des taxes et des impôts, soit l’argent public, vers la consommation privée.

    L’immigré clandestin est bien plus utile à l’économie mondiale s’il peut consommer plus, étant parasite d’une société riche, qu’en restant travailler de façon très peu productive dans son pays d’origine, où il gagne très peu et consomme misérablement.

    Veut-on un exemple ? Prenons celui du clandestin en France.

    Certes, le clandestin ne peut en principe travailler… mais il jouit des mêmes droits que le travailleur français en matière d’indemnisation des accidents du travail et des maladies professionnelles, et il a de même droit à une retraite !

    Certes, le clandestin est exclu du bénéfice de la Sécurité sociale, mais, sans avoir cotisé à la SS ni à une mutuelle, il jouit de l’entière gratuité des soins, via l’AME. Idem, il a droit à un hébergement provisoire gratuit… si on lui trouve une place et s’il hurle assez fort pour qu’on n’ose contester « ses droits ».

    Bien entendu, il a droit aux allocations familiales et ses concubines éventuelles, en sus de son épouse reconnue par « la loi » (la loi s’applique donc aux clandestins, comme c’est bizarre !), ont droit à l’allocation de « parent isolé ».

    L’État et les collectivités locales lui viennent en aide, probablement pour le remercier d’avoir, de façon illégitime, posé les pieds sur le sol français. L’Allocation Temporaire d’Attente était initialement de 150 euros/mois : avec les majorations pour charge de famille, le clandestin pouvait atteindre 450 euros mensuels ; depuis 2012, l’aumône de la Ripoublique est passée à 467 euros mensuels pour le clandestin isolé, 700 pour un couple, avec 140 euros supplémentaires par enfant à charge.

    On comprend aisément que les clandestins, estimés à 400 000 en 2012, soit en afflux permanent et pour trois raisons :

    • La loi du 31 décembre 2012 a supprimé le « délit de séjour irrégulier » : le clandestin n’est plus « illégal »… on ne sait plus très bien ce qu’il est !
    • On en régularise environ 20 000 chaque année
    • Bien que clandestin, l’immigré entré par fraude jouit d’un pouvoir d’achat : il ne s’agit plus seulement de tolérer son entrée irrégulière, mais de lui fournir de l’argent, ce qui lui permet, entre autres choses, de rembourser ses passeurs !

    L’argent public alimente le trafic d’humains autant que le parasitisme social, sans que ne soit jamais posée la bonne question. La Nation française (et le raisonnement est identique pour l’ensemble des Nations européennes) a-t-elle besoin d’analphabètes africains alors que notre « Éducation nationale » en fabrique déjà beaucoup, de mahométans à la mentalité médiévale, de jeunes mâles exotiques à la mentalité de conquérants primitifs ?

    Seule une réponse affirmative donnée par une majorité de citoyens français, consultés par voie référendaire, permettrait de justifier l’arsenal législatif qui a transformé les clandestins de l’état de délinquants à celui de consommateurs parasitaires, avalisés par l’État.

    On le sait depuis longtemps, mais il est utile de répéter les évidences jusqu’à ce que le dernier des abrutis comprenne : les élus trahissent les intérêts de la Nation… et les Français de souche européenne qui tolèrent bovinement cet état de fait sont potentiellement des criminels contre l’humanité : par leur passivité et leur lâcheté, ils préparent l’élimination ou l’esclavage de leurs descendants.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le projet de loi relatif à la sécurité intérieure oublie de désigner l'ennemi

    Voici l'allocution du député Marie-France Lorho, qui a succédé à Jacques Bompard, hier à l'Assemblée Nationale, sur le projet de loi relatif à la sécurité intérieure :

    "La France est confrontée à un danger violent : l’islamisme. Un ennemi autrefois extérieur et circonscrit par des frontières s’est insinué au cœur de nos métropoles et de nos villages. Cet ennemi s’enracine au cœur de notre patrie : choyé comme clientèle électorale, instrumentalisé par les propagateurs de la haine de soi, laissé libre d’ouvrir mosquées et madrasas dans le pays de Saint Louis. Actuellement, les groupes terroristes qui sévissent en Irak, en Syrie, au Mali ou ailleurs, utilisent bien entendu cette faille nationale pour atteindre notre corps social et nos symboles. Leurs actions insupportables ont pu se propager à cause des erreurs géopolitiques des quinquennats précédents. Nous n’aurions pas dû détruire la Libye, nous n’aurions pas dû alimenter les factions islamistes de la rébellion syrienne, nous n’aurions pas dû enfermer nos échanges orientaux dans le piège tendu par les pays du Golfe.

    Je reconnais à votre gouvernement quelques inflexions en la matière. Il n’est que temps et nous devrions collectivement admettre que seul un retour au bon sens et au pragmatisme pourra servir notre sécurité nationale. Les Chrétiens d’Orient comme d’autres minorités nous en alertent depuis longtemps. Toutefois, cette situation géopolitique ne peut résumer la cause de la multiplication des attentats sur notre sol.

    La première cause de cette recrudescence d’attentats, c’est l’affrontement au cœur de notre société de modèles de civilisation qui ne peuvent pas coexister. L’appétit financier des grands groupes qui ont cherché à mondialiser le facteur travail en imposant une immigration massive à notre peuple s’est soldé par un remplacement progressif de civilisation sur certaines parties du territoire et sur la diffusion de l’islamisme politique en métropole et en outre-mer. Or, de cela, votre texte ne dit rien. Quelques broutilles sur Schengen, quelques aménagements dans les contrôles, mais rien sur la surveillance des « migrants », rien sur la fermeture des mosquées salafistes, rien sur les prêches anti-chrétiens, anti-français, et anti-juifs dans certaines caves, rien sur la lutte islamiste contre les traditions françaises.

    C’est cette branche pourrie que la loi devrait trancher avant qu’à force d’envenimer la société, elle ne conduise à la guerre civile. C’est la faiblesse fondamentale de votre texte : il n’accepte pas de désigner l’ennemi et donc de tout mettre en œuvre pour l’abattre. De fausses pudeurs continuent à vous habiter : radicalisation, loups solitaires, etc. Et Monsieur le ministre, selon la formules, les équivoques ne mènent qu’à des paradoxes.

    Paradoxe sur les procédures de surveillance qui devraient être rapportées au seul terrorisme et alors largement durcies. Nos citoyens hurleraient si on leur présentait sous cette forme les numéros d’équilibristes que vous proposez, entre le juge et le terroriste suspecté en matière d’accords, de notifications…. On a parfois l’impression que les réformes du code de sécurité intérieure et du code de procédure pénale sont rédigées pour faciliter la recherche d’erreurs de procédures et autres vices par les avocats pénalistes.

    Paradoxe dans cette absurde mesure imposée au sujet des périmètres de surveillance. Imaginons un membre des mouvances islamistes qui pourrait se promener dans tout Paris ou alors un partisan de l’organisation Etat islamique libre de circuler d’Avignon à Carpentras pour continuer à entretenir ses réseaux. De deux choses l’une : soit le principe qui prévaut est la confiance dans l’examen du dossier par le juge, soit l’on en revient aux obligations et à l’automatisme. Mais alors pourquoi le faire dans le sens exclusif de l’intérêt des surveillés et des prévenus ? Bien des amendements ont été disposés en ce sens par mes collègues non-inscrits, que cela soit par Madame Ménard ou par le Front National. J’espère que le débat sera constructif avec ce travail des non-inscrits, qui reflète la grande inquiétude des Français.

    Venons-en à l’article 4 bis, où vous cherchez à donner un cadre aux fausses associations de « déradicalisation ». La plupart des spécialistes s’émeuvent de ce mode de traitement et il est d’ailleurs délirant de constater que l’Etat aura mis autant de temps à cadrer ses relations avec de telles structures. Ces structures imaginent une psychiatrisation de l’islamisme et des adeptes. Le djihadisme possède un corpus idéologique et doctrinal, des maîtres à penser, des réseaux. C’est une idéologie précise qui exige de ses adeptes des efforts intellectuels importants. L’islamisme politique n’est pas une émotion adolescente ou une soudaine exacerbation, c’est une idéologie de combat soutenue par des Etats et des argentiers. Elle est en opposition flagrante avec notre civilisation. Elle n’a pas peur de nos dispositions absurdes comme la non intégration des policiers municipaux et des services de sécurité privée au texte, comme la réduction des budgets militaires en pleine crise internationale ou comme le laxisme sur la réouverture des mosquées salafistes. C’est le piège des constructions juridiques actuelles, qui s’égarent dans des artifices nommés droits sans devoirs, hystérisation du débat public que l’islam, abandon des identités qui sont le moteur spirituel de défense de notre pays.

    Monsieur le ministre,

    Nous ne faisons pas une religion de l’Etat d’urgence. L’excellent Jean-Frédéric Poisson en avait bien noté les limites lors de la précédente législature. Nous refusons simplement le retour au laxisme, le retour aux non-dits, le retour à la soumission politique, aux idéologues de la haine de soi. Comme Monsieur Wauquiez, je suis favorable à l’internement des fichés S, les plus dangereux de manière préventive. Comme Madame le Pen, je pense que cette loi ne s’attaque pas à l’origine du mal. Comme Jacques Bompard le proposait sous la précédente législature, il convient d'amplifier largement les dispositifs de déchéance de la nationalité.

    Monsieur le ministre, lutter efficacement contre le terrorisme exige que vous écoutiez votre opposition. L’islamisme politique est un péril pour notre civilisation ; il convient de le chasser de notre pays."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Grand remplacement : Mohamed est le prénom le plus donné aux garçons en Angleterre

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    Mohamed est désormais le prénom le plus donné aux nouveau nés mâles en Angleterre et au Pays de Galles, devant Oliver, Harry, Georges ou encore Jack.

    Une preuve de plus, s’il en faut, que le Grand Remplacement est bien en marche en Europe.

    Avec ses différentes orthographes, Mohamed est le prénom le + donné aux garçons en Angleterre & Pays de Galles
     
    L’islamisation, ce fantasme…
      

    https://fr.novopress.info/