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immigration - Page 900

  • Quel avenir pour les mosquées radicales ?

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    05/10/2017 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Le 20 novembre 2015, une semaine après le massacre du 13 novembre au Bataclan, Saïd Djelleb le président de la communauté musulmane des Indes à Sartrouville expliquait au journal Le Parisien qu’une minute de silence aurait lieu dans sa mosquée. Il voulait dénoncer l’acte barbare pour, je cite : « Montrer la position de [sa] mosquée et éviter que les gens fassent des amalgames ». Fin de citation. Il affirmait aussi vouloir que les jeunes prennent conscience de l’acte et du fait que cela n’a pas sa place chez eux.

    Deux ans plus tard, la mosquée de Sartrouville ferme cette semaine, en conséquence d’un arrêté préfectoral a-t-on appris.
    Que leur reprochent les autorités ?

    Les autorités ont constaté que des propos constituant une provocation à la haine ou à la violence avaient été prononcés le 8 septembre et le 15 septembre dernier. Mais ce n’est pas tout, car la mosquée est sous surveillance depuis quelque temps déjà. Elle est considérée comme, je cite : « Un foyer ancien de l’islamisme radical ». Fin de citation. Mais la salle de prière n’est pas fermée définitivement. Elle est fermée officiellement jusqu’à la fin de l’état d’urgence, c’est à dire jusqu’au 1er novembre 2017…

    L’Etat a donc encore et pour l’instant la capacité de fermer les mosquées radicales mais de manière temporaire. En 2016, le gouvernement avait fermé une vingtaine de lieux de culte musulmans.

    Quel sera donc l’avenir de ces mosquées radicales ?

    Les mosquées radicales ont de beaux jours devant elles. C’est ce que montre l’Observatoire de l’islamisation, dirigé par Joachim Véliocas.

    Dans le nouveau projet de loi du 3 octobre 2017, « renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme », il apparaît que les mosquées radicales ne pourront pas fermer plus de six mois. Selon l’Observatoire de l’islamisation cela permettrait aux mosquées de faire le ménage. Car il suffirait aux associations de gestion des mosquées de changer l’imam, renouveler le bureau de leur association et de remplacer quelques ouvrages dans leur bibliothèque. Mais pour combien de temps ?

    Pire encore, les visites et saisies ne pourront avoir lieu sans la présence de l’occupant à savoir l’imam ou le président de l’association musulmane ou de deux témoins, sur lesquels les policiers n’ont pas autorité.

    https://fr.novopress.info/

  • Mobilisation lundi dernier à Marseille gare St-Charles à l'appel de l'Action Française

    Après l'attentat de Marseille, gare Saint- Charles, dimanche 1er octobre après-midi, un rassemblement s'est formé sur les lieux même, le lendemain lundi 2 au soir, à l'appel de l'Action française Provence, pour mobiliser les Marseillais contre les crimes islamistes.

    Le rassemblement sur le parvis de la gare a notamment réuni une soixantaine de jeunes prêts à défendre leur patrie, rapidement rejoints par bon nombre de passants touchés par leur détermination et tout aussi décidés à se défendre.

    Cela vaut mieux que les bougies, les peluches, la tristesse et les pleurs.  

    (Deux photos)

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    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Orban harcelé, la Hongrie menacée de sanctions : l’Union européenne, bras armé de l’immigrationniste et multiculturaliste Soros

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    Union européenne ou prison européenne ? Mercredi, l’UE a accéléré son action en « justice » contre la Hongrie qui a osé réprimer des associations soutenues depuis l’étranger, répression accusée de viser le milliardaire multiculturaliste et immigrationniste forcené hongro-américain George Soros. La Commission européenne a engagé la seconde étape de sa procédure de mise en accusation, en référence à sa loi sur les organisations non-gouvernementales, sous le prétexte que la réponse de Budapest à sa première interpellation, émise en juillet, était insuffisante. Cette menace de sanctions illustre le durcissement de l’attitude de l’UE face au gouvernement du Premier ministre hongrois Viktor Orban mais aussi face à ses alliés de droite au pouvoir en Pologne, tant au sujet des règles démocratiques que des questions migratoires.

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  • L'ISLAMOSPHÈRE PIRE QUE LES ISLAMISTES

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    Aristide Leucate

    Ce n’est plus un secret pour personne qu’il y a belle lurette que la gauche socialiste a abandonné l’ouvrier pour l’immigré, la nation pour le monde, le social pour le sociétal. D’ailleurs, cette gauche a fini par s’éloigner du socialisme tout court, qu’elle avait préempté au moment de l’affaire Dreyfus par opportunisme et tactique électorale.

    « Je suis de gauche et je me bats contre le rejet des musulmans en France », affirmait Clémentine Autain (Libération, 14 avril 2016), résumant ainsi le positionnement idéologique actuel d’une certaine frange politique allant de La France insoumise à la gauche du Parti socialiste (représentée, en l’occurrence, par Benoît Hamon), les uns et les autres entretenant des liens plus ou moins renforcés avec la mouvance islamique.

    Cette connivence politico-intellectuelle, voire cet encanaillement avec les organisations musulmanes de France – elles-mêmes ayant, pour certaines, partie liée avec les principaux foyers internationaux du financement du terrorisme comme le Qatar ou l’Arabie saoudite –, a été à l’origine du concept d’islamo-gauchisme. Le terme ne renferme, à lui-seul, qu’une vague signification mêlant tiers-mondisme décolonisateur et préoccupation pro-palestinienne.

    L’historien Jacques Julliard n’hésite pas à aller beaucoup plus loin dans la théorisation d’un vocable qui exhale une ancienne et persistante odeur de soufre : « Il y a quelque chose d’insolite dans le néocléricalisme musulman qui s’est emparé d’une frange de l’intelligentsia. Parce que l’islam est le parti des pauvres, comme ils le prétendent ? Je ne crois pas un instant à ce changement de prolétariat. Du reste, allez donc voir en Arabie saoudite si l’islam est la religion des pauvres. Je constate plutôt que l’islamo-gauchisme est né du jour où l’islamisme est devenu le vecteur du terrorisme aveugle et de l’égorgement. Pourquoi cette conversion ? Parce que l’intelligentsia est devenue, depuis le début du XXe siècle, le vrai parti de la violence. Si elle préfère la révolution à la réforme, ce n’est pas en dépit mais à cause de la violence. Sartre déplorait que la Révolution française n’ait pas assez guillotiné » (Le Figaro, 26 août 2016).

    Le Figaro Magazine de ce week-end a réuni cette charmante coterie sous l’oriflamme, sans doute moins connotée, « d’islamosphère », allant jusqu’à faire sienne l’expression – utilisée par Pascal Bruckner – d’« agents d’influence de l’islam » pour désigner intellectuels, politiques et associatifs qui se comportent en « vrais complices […] aux ordres des Frères musulmans ou des wahhabites, Edwy Plenel, capo dei capi ». Bruckner considère à bon droit que « l’islamosphère entend contrôler toute parole sur la religion du Prophète pour l’exonérer de ses responsabilités dans le crimes djihadistes et les imputer aux seules nations occidentales, coupables par essence ».

    Ces « coallahbo » (Plenel précité, mais aussi Emmanuel Todd, Pascal Boniface, Edgar Morin, Laurent Joffrin et bien d’autres), monopolisant studios et plateaux, sont évidemment en première ligne depuis des années pour sidérer l’auditeur ou le téléspectateur en lui instillant au tréfonds du cortex les poisons intellectuellement létaux du type « cépasalislam », « padamalgam », « l’islam-est-une-religion-de-paix-et-d’amour ».

    À cette enseigne, leur responsabilité dans les actes terroristes qui frappent la France – le jugement vaut également pour leurs épigones européens – n’en est que plus évidente, leur bienveillance à l’égard de l’islam étant parfois des plus ambivalentes, confinant à une douce complaisance quand elle s’obstine au déni de réalité, sinon au négationnisme.

    Boulevard Voltaire cliquez ici

  • Scandale : aucun représentant du gouvernement aux obsèques de Laura et Mauranne

    Une forte pensée pour  et . Et pas le moindre représentant du gouvernement français à leurs obsèques? https://www.la-croix.com/France/Attentat-Marseille-douloureux-adieu-Mauranne-Laura-2017-10-05-1200882205 

    Photo published for Attentat de Marseille, le douloureux adieu à Mauranne et Laura

    Attentat de Marseille, le douloureux adieu à Mauranne et Laura

    Les obsèques des victimes de l’attaque perpétrée dimanche 1er octobre, à la gare Saint-Charles de Marseille ont été célébrées jeudi 5 octobre à Eguilles, dans l’arrière-pays provençal.

    la-croix.com 

    Les obsèques des deux jeunes filles ont eu lieu à Éguilles, dans l’arrière-pays provençal jeudi 5 octobre 2017. Il y avait les familles, les amis, des élus régionaux et le préfet des Bouches-du-Rhône. Ces deux cousines étudiantes se destinaient aux métiers d’infirmière et de médecin. L’une était chez les scouts, l’autre s’occupait de centres aérés. À côté de leurs études, elles se consacraient aussi aux autres.

    Le journal La Croix a publié l’homélie intégrale de Mgr Pontier, dont voici quatre extraits.

    « Chers parents et vous les sœurs et les frères de Mauranne et de Laura, vous leurs familles, leurs amis les plus proches, vos cœurs sont blessés, brisés depuis ce moment de la journée de dimanche où vous avez appris l’horrible drame qui venait de se passer sur le parvis de la gare Saint Charles. Et depuis, quelque chose qui ressemble à ce qu’écrivait l’auteur du livre des Lamentations peut évoquer ce que vous vivez  : “J’ai oublié le bonheur, la paix a déserté mon âme  !”

    Et nous qui sommes autour de vous, nombreux, très nombreux, nous voudrions prendre une part de votre fardeau pour qu’il soit moins lourd pour vous. Nous savons que le plus lourd demeure pour vous, comme une de ces blessures qui ne se referment jamais totalement. L’assassinat de Mauranne et de Laura restera comme un événement incompréhensible, révoltant, odieux, infiniment douloureux.

    [...]

    Et nous sommes effarés, sidérés de voir qu’il y a sur notre terre aujourd’hui des personnes qui ne supportent pas que d’autres vivent dans le bonheur, le bonheur simple des vies données les uns pour les autres. Ils détruisent, ils tuent. Ils tuent sauvagement. Puis Ils se tuent pour plaire à Dieu  ! Ça n’a pas de sens  ! C’est une escroquerie de crier le nom de Dieu au moment où on tue ses enfants.

    Alors nous comprenons d’une manière renouvelée ce cri du Christ  : “Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau et moi, je vous procurerai le repos.” Non seulement nous le comprenons, mais nous en avons besoin. Nous avons besoin de Celui qui pourra redonner vie, redonner sens à tous ces fardeaux que la vie d’ici-bas nous inflige. Et nous sommes touchés que Celui qui dit cela soit Celui qui lui-même connaîtra la mort ignoble et injuste de la Croix. Il est venu pour cela  : pour ouvrir une brèche de lumière et de vie dans les ténèbres de l’absurde et de la mort. Il est venu vers ses disciples au-delà de la mort pour que se poursuive ce lien d’amour et de vie qu’un instant la cruauté des hommes venait de couper. »

    Nous avons souligné l’absence de membres du gouvernement qui sont d’habitude si prompts à se presser dans la chambre d’hôpital de blessés très communautaires. Nous pensons à l’inqualifiable président précédent, qui avait engagé le poids de l’État et des Français dans son incroyable visite à « Théo », ou à ces ministres de l’Intérieur, véritables obligés, qui courent dès que les « associations » sonnent le tocsin d’une agression « antisémite », laissant de côté toutes les autres.

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  • Les forces du futur ne désarment pas, par Elisabeth Lévy

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    Causeur-Elisabeth-Lévy-270x350.jpgEn 2002, dans un louable effort d’unification sémantique, la gauche lyncheuse, en la personne de Daniel Lindenberg, décida d’affubler tous les penseurs qui lui déplaisaient de l’épithète unique de réactionnaire. En 2017, quand des intellectuels critiquent Emmanuel Macron, il décrète qu’ils représentent « le vieux monde » et « n’ont rien produit de renversant », ce qui signifie certainement qu’ils n’ont pas assez co-worké pour team-builder notre start-up nation. La liste de Macron est aussi disparate que celle de Lindenberg. On ne voit pas ce qui permet d’enfermer dans le même sac idéologique Debray, Finkielkraut, Badiou, Onfray et Todd, qui ne pourraient pas prendre un café ensemble, sinon qu’ils déplaisent au président, pour la raison que lui ne leur plaît guère, et qu’ils sont tous, avec d’abyssales dfférences, les heureux héritiers d’un monde ancien : celui de l’écrit.

    Du gauchisme culturel au progressisme présidentiel, quelle que soit la lettre épinglée au plastron de l’adversaire, elle est toujours écarlate et le crime toujours le même : il sent le passé – et ça ne sent pas la rose. Quand nous devrions nous efforcer d’arracher nos pieds de la glaise, de rompre avec nos petites habitudes existentielles et d’entrer à pieds joints dans le monde de la fluidité identitaire et de la citoyenneté numérique, des grincheux parlent d’héritage, de dette et de continuité historique. Ça plombe l’ambiance.

    Comme on ne peut pas faire disparaître physiquement les réfractaires au nouveau cours, on s’emploie à les effacer symboliquement en les désignant comme de risibles survivances. On somme donc la vieille France (province du « vieux monde ») de consentir à son sacrifice sur l’autel du multiculti radieux, quand on ne lui raconte pas qu’elle n’a jamais existé puisque « nous sommes tous des immigrés ». […]

    Heureusement, […] la nation a la vie dure. « Les forces du monde ancien sont toujours là », confie le président au Point. Malgré l’énergie déployée pour lui faire intégrer sa propre indignité, la France d’avant refuse de jeter toute son histoire avec l’eau sale des heures les plus sombres ; elle entend continuer à écrire sa langue avec ses bizarreries et « oignon » avec un « i ». Et elle ne veut pas déboulonner les statues de Colbert, même si cela blesse certains de ses concitoyens que l’on honore l’un des bâtisseurs de notre État en dépit de son rôle actif dans l’esclavage.

    Nous devons connaître les ombres autant que les lumières de ceux qui nous ont précédés ; cela ne nous commande pas de les renier ou alors, il faudra interdire Shakespeare et surtout Voltaire qui n’étaient pas blanc-bleu sur le plan de l’antisémitisme. Et ne parlons pas des sexistes qui pullulent dans notre littérature.

    De plus, comme le rappelle Alain Finkielkraut, la spécificité de l’Europe n’est pas d’avoir pratiqué l’esclavage, mais de l’avoir aboli.

    Tant pis pour ces afféteries historiques et pour quelques statues qu’il faudra abattre, dit-on, afin de ne pas froisser les identités minoritaires. Sur le plateau de Karim Rissouli, sur France 5, Finkielkraut a raconté qu’au King’s College de Londres, il était question de cacher les bustes des fondateurs blancs. Personne n’a moufté, comme si cette inquisition rétrospective était le prix à payer pour guérir les blessures dont nous sommes collectivement coupables.

    Le camp progressiste célèbre ainsi à sa façon le centenaire de la grande révolution d’Octobre. Là-bas, on escamotait les sociaux-traîtres des photos ; ici et maintenant, on efface de l’histoire de vieux mâles blancs – morts de surcroît. Conception pour le moins paradoxale du vivre-ensemble que celle qui proclame ainsi : ôte-toi de là que je m’y mette.

    Elisabeth Lévy

    Extrait de l’éditorial du n° 50 de Causeur daté d’octobre 2017

  • [communiqué] Les islamistes ont-ils voulu assassiner Olivier Renault, contributeur de Riposte Laïque ?

    Même si nous ne rejoignons pas tous les combats de cette association, voici un communiqué de Riposte Laïque apportant une potentielle réponse à "l'inexplicable" tentative d'attentat du XVIe arrondissement de Paris.
    OlivierRenault2.jpgDans la nuit de ce vendredi à samedi, à 4 heures du matin, quatre bouteilles de gaz ont été retrouvées, avec un dispositif de mise à feu, sur le palier d’un immeuble du 1e arrondissement, situé au 31, rue Chanez. Un locataire ayant entendu du bruit a prévenu la police, évitant miraculeusement un massacre.
    Cinq personnes, présentées comme appartenant à la mouvance radicale de l’islam, ont été arrêtées le lendemain. Il se trouve, selon les enquêteurs, que ce serait une confusion des djihadistes qui a fait que cet immeuble soit visé. En effet, parmi les occupants figure un homme appelé Olivier Renault… même nom qu’un contributeur régulier de Riposte Laïque. Les enquêteurs paraissent privilégier la piste d’un homonyme, et pensent que notre ami était visé, pour sa participation à Riposte Laïque. Qu’il y ait eu, de la part des islamistes, une confusion – Olivier Renault, journaliste indépendant, est le correspondant de Riposte Laïque en Allemagne – ne change rien à la réalité. Cet épisode confirme que ceux qui refusent l’islamisation de la France sont terriblement exposés, dans un contexte où les musulmans les plus radicaux entendent terroriser la population pour lui imposer la charia.
    Nous n’avons pas oublié que le groupe Forsane Alizza, dissous en 2012, avait préparé, sous l’impulsion de son leader, Mohamed Achamlane, des repérages autour des habitations des organisateurs de l’Apéro saucisson pinard et des Assises internationales contre l’islamisation de nos pays. Nous n’avons pas oublié les menaces de mort qui, régulièrement, visent, sur les réseaux sociaux, certains de nos animateurs, obligés de prendre dans leur quotidien de nombreuses précautions.
     La mise en danger de nos contributeurs, confirmée par cette tentative d’attentat, est d’autant plus intolérable que, parallèlement, l’Etat français, des associations dites antiracistes et des organisations musulmanes multiplient les plaintes et les poursuites contre Riposte Laïque et Résistance républicaine, comme le confirme l’emploi du temps de notre avocat, cette semaine.
    Un gouvernement digne de ce nom mettrait fin immédiatement à toutes ces procédures iniques, qui visent des lanceurs d’alertes à qui les faits donnent raison quotidiennement, et font le jeu des islamistes, et de leurs complices. Les choses sont pourtant claires : on ne vaincra pas l’islam, qui a déclaré la guerre à notre modèle de civilisation, sans l’interdire en France, et sans expulser massivement les musulmans qui préfèrent la charia aux lois de la République. Si cela avait été fait, les deux cousines, Laura et Mauranne, assassinées à Marseille par un islamiste clandestin, délinquant multi-récidiviste, seraient encore en vie.
    Loin de se laisser intimider par cette nouvelle tentative d’attentat, qu’elle ait visé Olivier Renault ou pas, Riposte Laïque et Résistance républicaine lanceront, dans les jours qui vont suivre, une énorme campagne d’autocollants, en France et dans toute l’Europe, demandant l’interdiction d’un dogme qui encourage, dans ses textes sacrés,  le crime de ses disciples contre tous ceux qui ne sont pas de vrais musulmans.
    lu sur le site de riposte laïque

  • Islamisme : l’hebdomadaire Marianne dénonce à son tour la politique de l’autruche

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    Qui restera-t-il, à part peut-être Libération, pour ne pas s’inquiéter des avancées de l’islamisme ? Marianne, dans son numéro à paraître demain, s’inquiète à son tour de la politique de l’autruche qui prévaut. En Une, le dossier de la semaine, titré : « Ceux qui ne veulent pas voir », et comme surtitre : « L’islamisme avance, le terrorisme frappe partout… » Mais jusque-là, tout va très bien, madame la marquise…

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  • LE VIVRE ENSEMBLE PEUT AUSSI S’AVÉRER MORTEL

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    À Rome, on ne peut plus vivre comme les Romains !

    Chez nous, il y a les drames exceptionnels – quoique de moins en moins –, liés à une certaine diversité culturelle hégémonique, que sont les attentats, mais il y a aussi les drames anonymes, qui ne bénéficient pas de l’attention médiatique et adviennent dans le silence d’une société de plus en plus amorale, sans paraître émouvoir outre mesure ceux qui sont censés protéger les citoyens en danger. Heureusement, il existe Internet, qui peut parfois offrir le meilleur.

    Ainsi une mère de famille a-t-elle appelé au secours sur la Toile, vivant, avec ses quatre filles, « cloîtrées depuis plusieurs jours dans leur appartement des HLM Vernet-Salanque, et terrorisées par une famille de voisins dont quatre frères d’une vingtaine d’années. Derrière leurs volets fermés, la porte d’entrée bloquée par une chaise, elles supplient, en pleurs, que quelqu’un leur vienne en aide et mette un terme à ce quotidien de recluses »(source : Midi libre).

    Comment pareille situation s’est-elle produite et, surtout, pourquoi perdure-t-elle ?

    La réponse à la première question est la suivante : « Tout aurait ainsi débuté en juillet, pour un motif qui reste encore bien flou. Elles auraient subi une première agression physique et auraient déposé plainte » (op. cit.). Quant à la seconde question, elle s’explique par le fait que leurs assaillants – car c’est bien ce qu’ils sont – traitent ces femmes de putes lorsqu’elles sortent en jupe, détruisent leurs voitures, assènent qu’elles n’ont rien à faire dans les parages, que c’est la loi du quartier qui prime, etc. Inutile d’insulter l’intelligence des lecteurs, ils auront compris ! 

    Bien entendu, les conciliantes autorités, lorsqu’il s’agit d’ouailles de cette engeance, ont été alertées mais n’ont pas donné suite. Cette famille en danger a été hébergée un temps dans un foyer mais n’a pu y demeurer car elle ne remplissait pas les conditions, à l’heure où l’État se plie en quatre pour assurer le gîte et le couvert aux migrants. Ou quand à l’amour allogène répond la haine de soi. Résultat de cette honteuse indifférence au sort de ces proies, puisque c’est ainsi qu’on les traite : la fille aînée a tenté de mettre fin à ses jours.

    Le pire, c’est que si cette mère, son frère – habitant à proximité et logé à la même enseigne – ou l’une de ses filles commettaient le grave péché d’autodéfense, un juge complaisant se dresserait sûrement, tel le Commandeur de Don Juan, et prononcerait une sentence implacable. Car à la terreur infligée par une bande de terroristes du quotidien s’ajoute la tyrannie du vivre ensemble, qui s’accommode même des menaces de mort proférées à l’encontre de ces femmes et de coups de feu tirés devant leur domicile. Il sera toujours temps de déplorer officiellement un « incident » au cas, probable, où l’un des harceleurs passerait à l’acte !

    Voilà où nous mènent des années de justifications oiseuses du pire : à Rome, on ne peut plus vivre comme les Romains !

    http://www.bvoltaire.fr/vivre-ensemble-saverer-mortel/