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immigration - Page 913

  • «C’est nos crèches qui vous font peur ? Moi ce qui me fait peur, c’est ça.»

    Philippe Vardon (Vice-Président du groupe FN PACA) brandit le livre islamique “Le Licite et l’Illicite en Islam” de Youssef al-Qaradâwî :

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/12/cest-nos-cr%C3%A8ches-qui-vous-font-peur-moi-ce-qui-me-fait-peur-cest-%C3%A7a.html

  • L’islam à la conquête de l’école

    Islamconqueteecole-600x785.jpgIl y a 28 ans, à Creil, à travers le voile de trois jeunes filles, une lutte âpre s’est engagée entre les Résistants à l’islamisation de notre pays et ceux qui désirent faire de notre pays le 58e pays musulman de la planète. Ces derniers ont compris que l’école était le terrain de choix pour manipuler les mentalités, les changer, falsifier l’histoire et imposer à nos jeunes enfants l’omniprésence de l’islam.

    Malgré les 1400 ans de conquêtes, de rapines, d’enlèvements des nôtres et leur mise en esclavage, l’islam, désormais, est présenté en classe comme une “religion de paix et d’amour”… Pire encore, rien ne sera épargné à nos enfants : accompagnatrices voilées, enseignement de l’arabe, invitation de rappeurs et de voilées, prosélytisme actif pro-immigration, formation de nos enseignants par des activistes musulmans, disparition de Charles Martel mais étude des Empires africains… et Belkacem !

    Ce petit ouvrage de Christine Tasin montre les différents aspects de l’endoctrinement de nos enfants, nomme les responsables politiques français et européens et remonte à la clé de tout, un document musulman de 2000 expliquant comment et pourquoi l’islam doit partir à la conquête de l’école.

    Pour commander cet ouvrage : https://ripostelaique.com/lislam-a-la-conquete-de-lecole-le-terrifiant-livre-choc-de-christine-tasin.html

    https://fr.novopress.info/208925/lislam-a-la-conquete-de-lecole/

  • Merci pour ce moment…à grand coup de bûche de bonheur

    Saint-Nicolas.jpgÉvoquant l’élection de Miss France diffusée samedi sur TF1, une cht’i de souche, Maëva Coucke (une insupportable provocation raciste?),  le journaliste d’Europe 1 David Abiker a commis ce tweet assez drôle, en pleine polémique désormais habituelle initiée par d’ autoproclamés féministes et autres défenseurs des minorités opprimées : « je trouve que le concours miss France a une approche légèrement genrée de la compétition et assez peu inclusive des moches. » En Autriche, la récente compétition électorale législative a été elle aussi assez peu inclusive pour la gauche de manière générale, et les euromondialistes en particulier. Vainqueur de ce scrutin, le jeune conservateur assumé Sebastian Kurz du Parti populaire (ÖVP) vient de conclure une alliance de gouvernement avec nos amis de l’opposition nationale autrichienne du Parti de la liberté (FPÖ). Ceux-ci ont obtenu six portefeuilles dans ce nouveau gouvernement dont trois ministères régaliens (l’Intérieur confié à Herbert Kickl , la Défense  attribué à Mario Kunasek, les Affaires étrangères à Karin Kneissl).  Le président du FPÖ,  Heinz-Christian Sträche,  est nommé pour sa part vice-chancelier et ministre de la Fonction publique et des Sports, l’ex candidat national  à la présidentielle Norber Hofer  à la tête du  ministère des transports…

    Les nationaux Autrichiens sont donc de retour aux affaires 17 ans après les négociations menées par leur ancien dirigeant Jörg Haider qui, au terme des législatives de 1999,  avait vu  le FPÖ  (26,9 % des voix)  nouer  une alliance de gouvernement en 2000  avec l’ ÖVP présidée à l’époque par Wolfgang Schüssel. Un accord  qui eut alors pour conséquence la mise au ban de l’Autriche par les instances de l’UE   et les médias-gardiens-du-dogme  qui avaient hurlé au retour  de la Bête immonde. La montée en puissance des mouvements nationaux,  patriotes, populistes  au sein de l’Union européenne, la résistance du groupe de Visegrad aux oukases bruxelloises,  rendront cette fois beaucoup plus difficile un ostracisme aussi délirant… et nettement moins audible une  propagande aussi grossière.

    Le  vice-président du FN Nicolas Bay, invité hier de l’émission Questions politiques pour France Inter, franceinfo et Le Monde,  s’est félicité de cette entrée au gouvernement du FPÖ  dont les députés européens siègent aux côtés de ceux FN au sein du groupe ENL. Nationaux qui « défendent l’identité de l’Autriche dans l’Europe des Nations », « exactement la même position que celle du Front national.  » « Un accord de gouvernement  de ce type n’est peut-être pas forcement exportable  en France  a noté Nicolas, parce que la situation autrichienne n’est pas forcément la même »,  mais il est « la preuve que nos alliés sont prêts à travailler à l’intérêt général des Autrichiens, mais d’une manière générale, de l’Europe et des peuples européens. »

    Les lignes peuvent-elles aussi bouger en dans notre pays ? C’est la grande peur d’une large partie du microcosme politico-médiatique.   Le quotidien suisse Le Temps l’exprime en expliquant à ses lecteurs que  « L’Autriche inaugure une expérience dont l’issue sera scrutée par toutes les droites classiques du continent. Aux Pays-Bas, cette droite a barré la route à Geert Wilders en s’appropriant en grande partie ses idées. En France, Les Républicains espèrent renaître en s’alignant sur la politique du Front National. Ce pari de l’accommodement – dont rien n’indique qu’il barrera la route à l’extrême droite – met en jeu l’avenir même de nos démocraties.  »

    La juppéiste ralliée opportunément à Laurent Wauquiez, Virginie Calmels, avait créé l’émoi en affirmant la semaine dernière que son parti refusait « pour le moment » la main tendue de Marine, toute alliance, même locale, municipale,  avec le FN. Cette formulation pour le moment a heurté la droite sous influence idéologique de la gauche.  Mme Calmels  a donc voulu  rectifier  le tir sur twitter et sur France info:  « Jamais on ne pourra m’accuser de vouloir faire quelconques accords avec le FN.  » «Pour le moment, ça n’a jamais eu lieu et ça n’aura jamais lieu », a-t-elle insisté.  « Souvent, j’envie Manuel Valls. Quand il dit un certain nombre de choses sur l’islam radical, lui, on ne lui fait pas le procès de tutoyer le FN (sic). Alors que quand on est de droite, on nous fait ce procès. »

    De droite ?  Celle de l’humaniste-juppéiste Dominique Bussereau, président LR du département de Charente-Maritime,  qui a appelé à voter PS pour faire barrage au FN, est à l’abri de ce genre de critiques. Lundi dernier sur Sud Radio, il s’interrogeait sur son ralliement éventuel au parti d’Emmanuel Macron et ajoutait: « le FN, c’est tout ce que j’exècre dans la vie politique. Pour moi, l’idée d’un rapprochement ce n’est même pas une ligne rouge, c’est une ligne violette. Cette phrase est très maladroite, il n’aurait pas fallu la prononcer. » M. Busserau par ses outrances pathétiques  vis-à-vis de l’opposition patriotique représente il est vrai tout ce que le peuple de la droite des valeurs rejette.  Son tweet du 28 avril dernier consécutif au soutien apporté par Nicolas Dupont-Aignan à Marine dans l’entre deux tours de la présidentielle n’a pas non plus  été oublié: « Soi disant gaulliste mais en réalité pétainiste, Dupont-Aignan doit être battu aux législatives et dans sa commune. Vrai collabo. » Et M. Bussereau est un vrai quoi ?

    Cette  droite démonétisée, celle qui conjugue trahison des promesses,  impuissance une fois au pouvoir  et  fulminations inquisitoriales est dénoncée par beaucoup de nos compatriotes. Elle est jugée, à juste titre, grandement responsable de  l’immigration-invasion, du grand remplacement,  de la paupérisation-tiers-mondisation de notre pays, de son affaiblissement, de son déclassement social, économique, identitaire.

    Invité ce matin de l’antenne  de RTL, le ministre de l’Intérieur  Gérard Collomb comme M. Wauquiez et tous ses prédécesseurs place Beauvau  depuis trente ans,  a promis de la fermeté, une augmentation des expulsions des clandestins.  « Aujourd’hui, nous ne savons qui se trouvent dans ces centres (d’accueil des migrants) . On pense qu’il y a à peu près un tiers des personnes qui sont des réfugiés, un tiers qui sont des déboutés et un autre tiers dont il faut évaluer la situation »,  environ 103 000 personnes a-t-il dit.  Et  s’il a  reconnu  que nous ne pouvons pas accueillir  toute la misère du monde – «il y a 95 000 demandes d’asile par an, c’est-à-dire une grande ville chaque année »-  il  a réaffirmé de manière contradictoire  la décision  d’ouvrir notre territoire « à  celles et ceux qui sont réfugiés des théâtres de guerre (ça fait beaucoup de monde M. Collomb!, NDLR) , qui sont prisonniers politiques, mais en même temps (sic)  d’essayer de mener une politique qui permette que les migrations économiques soient menées de manière autre.  » Tout cela est bien flou et quand c’est flou il y a un loup selon la célèbre formule de Martine Aubry

    Une immigration qui pèse sur des pans entiers de notre société et notamment à l’école. Valeurs actuellesrelayait  l’enquête annuelle d’Ipsos sur La relation à l’autre et aux minorités , dévoilée dans Le Point, selon laquelle « plus de la moitié des professeurs interrogés admettent avoir déjà été confrontés à l’hostilité de leurs élèves sur certains sujets. Ainsi, 56% des enseignants ont déjà rencontrés des difficultés avec des élèves en cours d’histoire, notamment sur les questions de religions, de croisades et de décolonisation. Même chose en cours de SVT où 51% des enseignants ont déjà eu maille à partir avec leurs élèves, en particulier sur les sujets de biologie sexuelle et de théorie de l’évolution. Ces chiffres passent à 78% et 70% chez les enseignants en zones sensibles. »

    Immigration massive qui conduit de nombreux pays occidentaux  à l’acculturation… au nom du multiculturalisme, afin de ne pas heurter la sensibilité des minorités, comme si elles arrivaient dans des pays qui étaient des pages  blanches, sans passé, sans traditions, sans culture autochtone. Le site canadien Le Peuple indiquait  dernièrement  qu’« après la compagnie General Motors qui n’ose plus parler d’un arbre de Noël, mais plutôt d’un  arbre des fêtes , c’est au tour cette fois de deux autres compagnies, IGA et Vachon, de se distancier cette année des fêtes chrétiennes. Du côté d’IGA, on apprend (…)  que la compagnie ne vend pas des bûches de Noël, mais des  bûches du bonheur ; et sur celles-ci, on y souhaite non pas un joyeux Noël, mais de  joyeuses fêtes (…). Du côté de Vachon (…)  sur un emballage pour une  bûche des fêtes (…) on souhaite de  joyeuses fêtes  plutôt qu’un joyeux Noël. » Le pli  de ne plus prononcer le nom honni de Noël est pris de manière plus générale depuis longtemps par nos médias français, les grandes enseignes, la pub…

    Gilles-William Goldnadel, chroniqueur dans l’émission de Thierry Ardisson sur C8, s’indignait hier soir de ce que le marché de Noël de Bruxelles ait été rebaptisé par son maire Loisirs d’hiver,  tandis que la Croix rouge dans cette même ville entendait se renommer La rouge, afin de faire disparaître  le mot  croix… dans le but de faciliter le vivre-ensemble (?), de respecter les populations allogènes faisant appel à ses services (?). Une offensive qui est aussi le produit du travail de sape mené par des personnalités politiques, des  officines et autres lobbies cosmopolites œuvrant sous nos latitudes à la mise en place de sociétés proprement orwelliennes.

    Me Goldnadel  rappelait aussi qu’il  y a vingt-et-un ans, le quotidien de référence Le Monde pouvait tranquillement évoquer dans un article l’inauguration par le maire de Paris Xavier Tibéri et sa femme  de la traditionnelle crèche de Noël  sur le parvis de l’hôtel  de ville, bien impensable aujourd’hui… Il est certain, constate Bruno Gollnisch, que la polémique de ces dernières années sur la présence de  crèches dans l’espace public est un indicateur assez révélateur de la montée en puissance des attaques contre notre mémoire. Racines, valeurs de notre magnifique civilisation helléno-chrétienne, vision du monde des peuples européens  menacées aujourd’hui certes  par une immigration  torrentielle. Mais cette dernière  n’est jamais  que le fruit empoisonné – ce n’est pas le seul, loin s’en faut - d’une idéologie mondialiste qui ne manque pas de collabos, comme dirait M. Bussereau, au sein d’un  Système à tuer les peuples dont les pays du sud sont  aussi les  victimes. 

    https://gollnisch.com/2017/12/18/merci-moment-a-grand-coup-de-buche-de-bonheur/

  • L'État républicain n'assume pas les conséquences de ses actes

    Ce n'est certainement pas une surprise pour les lecteurs du Salon Beige, mais en cette occurrence, le bouchon est poussé très loin, comme le présente ce reportage.

    Notez que ce reportage a été présenté lors du premier journal télévisé de RT France, en français, dont vous trouverez l'intégrale ici.

    Paula Corbulon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Immigration : Macron dans ses contradictions, par Ivan Rioufol

    ivan-rioufol.jpg

    Une désuète conversation de salon : c’est ce à quoi s’est prêté le journaliste de France 2, Laurent Delahousse, en interrogeant Emmanuel Macron, dans une séquence préenregistrée mardi soir et diffusée dimanche soir sur la chaîne publique. Sur le fond, rien n’est à retenir de cette pure opération de communication et d’auto-promotion. Macron a estimé que son élection “a stupéfait le monde”. Il a expliqué qu’il avait fait enlever de l’antichambre du premier étage les portraits “des présidents morts” pour les remiser après restauration dans une pièce à part.

    Les téléspectateurs ont assisté à la mise en scène du président déambulant dans les pièces de l’Elysée (du bureau doré au hall d’entrée), de manière à bien faire comprendre qu’il était perpétuellement “en marche”. Pas un instant, les questions de Delahousse, visiblement envouté par le regard fixe de son interlocuteur, n’auront cherché à fâcher le jeune monarque républicain, prêt à déceler “l’esprit chagrin”, voire la “haine” (chez Laurent Wauquiez) derrière la moindre critique. Ce week-end, le chef de l’Etat, féru de symbolique, avait choisi le site du château de Chambord pour fêter un pré-Noël en famille, dans un gîte rural situé sur le domaine royal. Alors que les médias assurent que Macron s’apprête à défendre une position de grande fermeté sur l’immigration clandestine, ce sujet n’aura pas été abordé. Il ne l’avait pas été davantage lors de sa campagne électorale, ni lors de son débat avec Marine Le Pen ou lors de sa première intervention télévisée du 15 octobre. Hier soir, la forme a de nouveau primé sur le fond.

    Les efforts que déploie le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, pour feindre l’autorité de l’Etat face à l’afflux d’immigrés fuyant la misère, ont du mal à convaincre. Ce lundi, sur RTL, Collomb a dit son souhait de voir les associations humanitaires travailler “de manière partenariale” avec les pouvoirs publics. Or ces associations refusent de distinguer entre le réfugié politique et l’exilé économique. Elles prônent un “asile pour tous”, au nom des droits de l’homme et de la non-discrimination : des principes dont se réclame Macron, qui ne cesse de dénoncer les “populistes” qui demandent des freins à ces flux migratoires qui perturbent de plus en plus la cohésion nationale. “La situation sur Paris est totalement explosive”, assure même le ministre de l’Intérieur.

    Pourtant, dans Le Monde de ce week-end, des maires de grandes villes (dont Martine Aubry et Alain Juppé) signent une tribune collective dans laquelle ils se préoccupent “du déracinement des migrants”, qui doivent être intégrés, qu’ils soient réfugiés reconnus ou déboutés du droit d’asile ayant décidé rester. Ces maires écrivent : “Accueillir dignement les nouveaux habitants relève de nos responsabilités à tous”. Reconnaître aux clandestins le statut de “nouveaux habitants” dit tout du renoncement des prétendus humanistes à faire obstacle à une substitution de population. Pour s’opposer à cette folle invasion, Macron serait obligé de se dédire. “Je fais ce que j’ai dit”, a-t-il prévenu hier.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 11 décembre et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • Génocide des Blancs en Afrique du Sud [Vidéo]

    Excellente vidéo pour un génocide dont les merdia ne parlent pas, puisque les Blancs sont destinés à être exterminés, en Europe mais aussi bien sûr en Afrique du Sud, pays il y a quelques années le plus libre et puissant d’Afrique, devenu un coupe-gorges et un gigantesque bidonville grâce à Mandela et ses successeurs. Mais Mandela ayant été nommé prix Nobel de la paix par la vermine mondiale, il y a des choses à ne pas dire!

    Dans cette vidéo, on voit Mandela appeler au génocide des Blancs! On y voit le président sud-africain en pleine assemblée hurler au massacre des Blancs, faisant chanter et danser les députés!

    Lire la suite et voir la video

  • Le vrai choc viendra des banlieues...

    Le site Breizh-info rapporte l'entretien qu'il aurait eu avec un militant d'extrême-gauche, passé notamment par la "ZAD" (zone à défendre) de Notre-Dame des Landes. Des propos qui montrent notamment que si certains "militants" rêvent d'une jonction avec les banlieues, elle n'est pas souhaitée par tous. Nous vous invitons avec insistance à lire l'article entièrement. Extraits.

    "Si c’est la police ou la gendarmerie, la plupart des effectifs ne sont pas formés à la guérilla qui va leur être menée en face. La France, c’est le pays du manque de « cojones ». Chez les flics et l’État, comme chez les militants entre guillemets radicaux d’ailleurs. C’est pour cela que ça se résume essentiellement à une guerre de position et à jouer à se faire peur. Hormis quelques rares déterminés et quelques cinglés, chacun a bien trop à perdre, c’est ce qui maintien l’équilibre. Mais c’est bien grâce à cet équilibre qu’on a réussi à faire reculer l’État à Sivens, que la ZAD est toujours là, et qu’à chaque fois qu’on veut vraiment quelque chose, on y parvient par le blocage ou la micro violence ».

    Mais notre homme ne croit pas du tout au Grand soir : « C’est ce que je vous ai déjà dit. Il y a un équilibre presque naturel. C’est de la guéguerre flics/militants, au même titre qu’il y a une guéguerre militants de gauche contre militants d’extrême droite. Cela ne va jamais bien loin, c’est stérile et cela se résume à quelques bagarres, agressions et parfois des dérapages un peu plus lourd quand un camp ou un autre a abusé de certains produits. Si un jour il y a une bascule qui doit vraiment impacter durablement le système, cela ne viendra pas de chez les libertaires, ni de l’extrême droite d’ailleurs qui fantasme aussi dessus, mais des banlieues. Là, vous avez vraiment des gens qui n’ont rien à perdre, qui ont tout à gagner, qui ont encore un instinct animal qu’une partie d’entre nous avons perdu. Là – et malgré le fait que le trafic canalise la violence – vous avez de la misère, de la souffrance, de la rage, de la colère, et ça explosera un jour au visage de ceux qui n’ont pas voulu la voir».

    Paula Corbulon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • AUTRICHE: L’EXTRÊME DROITE ENTRE EN FORCE AU GOUVERNEMENT AVEC 3 MINISTRES RÉGALIENS

    Après un accord avec les conservateurs du chancelier Sebastian Kurz, l’extrême droite autrichienne obtient les ministères de l’Intérieur, de la Défense et des Affaires étrangères.

    http://bvoltaire.com/actu/alerte-autriche-lextreme-droite-entre-en-force-au-gouvernement-avec-3-ministres-regaliens/

  • En voyant les obsèques de Johnny, j’ai cru que la Reconquista avait eu lieu…, par Martin Moisan

    Je n’en croyais pas mes yeux ! J’ai ressenti la même chose que le talentueux journaliste Thierry Normand, sur Boulevard Voltaire.

    Nous étions enfin entre nous. Un million de Français sur les Champs-Elysées. Terminés les barbus en djellabas, les voilées, les emburkanées, les rappeurs, les racailles et autres parasites. Fini le vivre ensemble qu’on cherche à nous imposer depuis 40 ans. Terminé les rassemblements qui dégénèrent en vandalisme et en agression des forces policières. Nous étions de nouveau en France ! Avec ces gens qui nous ressemblent, se comportent bien, ont de l’éducation.

    Sur les Champs-Elysées, les bikers avaient remplacé les supporters algériens ou marocains, ceux qui piétinent la tombe du Soldat inconnu. Pas de collabos, pas de gauchistes, pas d’antifas, pas de sans-papiers hurlant « Et des papiers pour tous ». Rien que des Français, rien que des images de la France des années 1960 et 1970.

    Même à l’église de La Madeleine, Patrick Bruel, Jean Réno, Line Renaud, Marion Cotillard (cherchez l’erreur) et rien que des gens comme nous. Pas de Djamel Debbouze, pas d’Omar Sy, pas de Noah, pas de Nabila, pas de Bouteldja, pas de « Chances pour la France »…

    Je me suis dit un instant que René Marchand et son livre « Interdire l’islam » avait été entendu. J’ai rêvé que le programme de « Génération Identitaire » sur la Remigration. avait été appliqué. J’ai imaginé que le livre « Le Grand Rembarquement » d’Emmanuel Albach n’était plus une fiction. J’ai songé que le cauchemar de « Guerilla » de Laurent Obertone ne pourrait plus jamais se produire. Je me suis rassuré : « Soumission », de Houellebecq, c’était une fiction derrière nous.

    Je me suis dit que les crevures de l’antiracisme ne pourraient plus nous traîner devant les tribunaux. J’ai imaginé que plus jamais Merah et ses acolytes responsables de Charlie, le Bataclan, Nice, le père Hamel, les policiers de Magnanville, Laura et Mauranne, Joachim ne séviraient en France.

    Bref, j’ai rêvé de la Reconquista, autre oeuvre majeure de René Marchand.

    Et puis, ce matin, j’ai regardé le site Fdesouche, et j’ai compris que la France et l’Europe, c’était devenu autre chose que le Paris d’un 9 décembre 2017…

    Martin Moisan

    Article paru sur le site de Riposte Laïque

    https://fr.novopress.info/