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immigration - Page 913

  • Derrière l’islamisation rampante de la France, ne pas oublier la fracture raciale [rediffusion]

    Par Jean Dutreuil, journaliste ♦

    Notre communauté de la ré-information patriote, si faible numériquement soit-elle, n’en témoigne pas moins d’un extrême dynamisme. Néanmoins, ce foisonnement d’idées, de livres et d’initiatives émanant de la « réinfosphère », pèche par une insuffisante prise en compte de la fracture raciale de notre pays. On doit cette lacune au fait que la majorité des blogs de la réinfosphère sont animés par des catholiques imprégnés d’universalisme chrétien voyant l’Autre comme un frère et concentrant principalement leur lutte contre l’islam politique.

    Ainsi, par exemple, le charismatique François Billot de Lochner, directeur du collectif France Audace, ne propose pour résoudre le malaise identitaire, dans son dernier ouvrage Échapper à la mort de la France, que le tarissement des flux migratoires, alors même que les naissances extra-européennes sur notre territoire dépasseront dans 10 ans celles des autochtones.

    Son site, Liberté Politique, souhaite convertir les musulmans au christianisme afin de les assimiler. Mais ce désir se bloque à plusieurs problèmes concrets. D’une part, il ne s’est jamais vu dans l’Histoire qu’un peuple en train de devenir démographiquement minoritaire puisse intégrer à sa culture et à sa religion des minorités en passe de le dominer par le nombre. D’autre part, si la conversion avait lieu, elle serait minée par des différences identitaires. En effet, l’universalisme des grandes religions planétaires butte systématiquement sur la diversité ethnique qui a tendance à modifier le dogme originel en fonction des spécificités ethno-culturelles. Pour pouvoir divulguer leur foi à l’humanité, le christianisme et l’islam postulent que les êtres humains sont identiques. Or ce paradigme est faux. Les distinctions culturelles et sociologiques ont pour source des différences biologiques irréfragables.

    Exemple chrétien : le dogme de l’incarnation du Christ a été défini non pas à l’aube du christianisme mais plusieurs siècles plus tard au travers des conciles œcuméniques organisés par une élite impériale européenne dont les aïeux vénéraient des dieux et héros païens incarnés, engendrés de vierges. Mais ce dogme fut majoritairement rejeté par les chrétiens sémites d’Afrique du Nord et du Moyen Orient qui adoraient dans leur passé pré-chrétien des dieux purement spirituels. Aujourd’hui comme hier, 90% d’entre eux sont donc monophysites (voir Le dictionnaire de l’Histoire, monophysisme, monothélisme, orthodoxie), excluant pour certains la nature humaine et pour d’autres la nature divine du Christ.

    Ces fractures existent aussi dans l’islam, même radical. Celui-ci émane des bédouins de la pureté du désert de la péninsule arabique et considère qu’on ne doit rendre un culte qu’à un Dieu absolu et uniquement spirituel. Toute vénération des saints est donc totalement prohibée. Or l’islam radical qui gagne toujours plus d’Africains subsahariens ne parvient guère à les extraire de leur culture animiste ancestrale. La secte islamiste nigérienne Boko Haram qui souhaite étendre l’islam radical dans tout l’arc saharo-sahélien a eu beaucoup de mal à conclure une alliance avec l’organisation Daesh implantée en Libye, répugnée par ses pratiques animistes jugées infâmes. Comme l’a exprimé avec justesse le romancier ivoirien Ahmadou Khourouma : « l’Afrique est habitée par des animistes, les uns teintés de christianisme, les autres d’islam ».

    Pour finir, quand bien même tous les extra-Européens seraient de fervents cathos-tradis, la France resterait un enfer. Il suffit simplement de voir ce que sont devenues les Amériques, dont l’écrasante majorité des populations est chrétienne. Comme nous pouvons le constater sur la carte Sécurité voyageurs de notre ministère des Affaires étrangères, les pays d’Amérique latine les plus sûrs sont ceux où l’homogénéité raciale à dominance européenne est la plus forte, comme par exemple l’Argentine (87% de blancs) et le Chili (58% de blancs). Plus la société est diverse et plus elle est dangereuse à l’instar de la Colombie (37% de blancs, 49% de métis 10,6% de noirs et 3,4% d’amérindiens) ou du Mexique (15% blancs, 70% métis, 12% indigènes, 3% autres).

    Les Etats-Unis n’échappent pas à la règle. Ces fractures se montrent au grand jour lors des élections. Les Blancs qui seront minoritaires en 2060 votent à plus de 60% pour le parti républicain, alors que les Noirs donnent 90% de leurs voix et les Latinos 70% des leurs au parti démocrate. Au sein de ces populations, il y a une ethnicisation du christianisme : les Latinos pratiquant un catholicisme quasi-identitaire, aux côtés de protestants divisés, si l’on schématise, entre baptistes afro-américains et méthodistes anglo-américains. Dans ce pays multiracial dont nous avons une image tronquée par les réussites de Facebook, Google et de l’industrie hollywoodienne, le reporter Michel Floquet nous rappelle qu’un enfant sur quatre mange à la soupe populaire alors que 50% du budget annuel sont consacrés à une armée qui perd toutes ses guerres, que 30 personnes environ meurent quotidiennement sous les balles d’armes à feu et qu’un quart des jeunes noirs est dans des prisons contenant la plus grande population carcérale, dépassant proportionnellement celle de la Chine et de la Corée du Nord !

    Comme chez nous, l’écrasante majorité des extra-Européens s’est implantée à partir des années 1970 grâce à la loi du Président Johnson libéralisant l’immigration. Les Afro-américains issus de cette nouvelle vague récente sont beaucoup plus nombreux que les descendants d’esclaves et de la ségrégation. De mémoire, il y a 50 millions d’hispaniques dont 11 millions d’illégaux. Un flux continu d’immigrés se déverse du Mexique charriant un grand nombre de criminels et de trafiquants de drogues. Ils émanent des cartels mexicains qui ont en 2015, torturé et tué, à proportion égale, deux fois plus de victimes que Daesh, selon le géopolitologue Alexandre Del Valle. Un grand nombre de Latinos ne s’intègre pas, refusant de parler l’anglais et souhaitant rattacher les Etats du sud au Mexique qui les avaient perdus lors de la guerre américano-mexicaine (1846-1848). En ayant ces données en tête, on comprend la popularité d’un Trump !

    Par conséquent, au côté d’une lutte implacable contre l’islam radical, le redressement de la France – puisque c’est elle qui nous intéresse au premier chef – nécessitera la mise en place, sur une période de 40 ans, d’une remigration de tous les extra-Européens ne pouvant ou ne voulant s’intégrer économiquement et culturellement. Au côté de cette remigration, notre diplomatie devra favoriser l’émergence de pouvoirs forts et durables en Afrique afin qu’ils mettent en place des politiques de régulation des naissances à l’instar de la Chine afin d’enrayer une démographie suicidaire, principale cause de la paupérisation et de la radicalisation islamique du continent noir et du déferlement migratoire sur l’Europe.

    Jean Dutreuil 12/04/2016

    Sources bibliographiques :
    – Triste Amérique de Michel Floquet
    – Osons dire la vérité à l’Afrique de Bernard Lugan
    – Immigration : la catastrophe. Que faire ? de Jean-Yves Le Gallou
    – Pour les statistiques ethniques de l’Amérique latine : Wikipédia

    Source : ndf.fr

    https://www.polemia.com/derriere-lislamisation-rampante-de-la-france-ne-pas-oublier-la-fracture-raciale/

  • Le terrorisme low cost et saisonnier

    Bernard Plouvier

    Tout raisonnement sur le terrorisme djihadiste actuel en Europe doit partir de deux points fondamentaux : le coran et la pomme pourrie.

    Le coran est un livre de haine et d’appel au meurtre des « infidèles » (soit : tout ce qui n’adore pas le dénommé allah) et des apostats de la religion mahométane. Que l’on ne vienne pas nous leurrer avec une équivalence djihâd = perfectionnement de soi-même : c’est une fantaisie de soufi ! Le coran est d’une clarté aveuglante, dans un nombre effarant de sourates : le djihâd, c’est tuer tous ceux qui ne veulent pas adorer allah.

    La pomme pourrie qui contamine tout un panier de beaux fruits, ce n’est pas une théorie, mais une réalité que tout apprenti récoltant et stockeur de fruits connaît bien. Appliquée au terrorisme, cette contamination explique bien des choses.

    Dans un milieu de jeunes mahométans transplantés ou nés en Europe occidentale ou scandinave, l’on se rend très vite compte que seule une minorité de jeunes noirs, maghrébins ou moyen-orientaux vont triompher dans leurs études et obtenir un travail rémunérateur, intéressant et gratifiant. La majorité de ceux-ci ne pourra que végéter dans la médiocrité, pratiquant de petits boulots ingrats, vivre de la charité publique (les allocations diverses), à moins de se lancer dans divers trafics (vente de drogue ou d’armes, vol et rackett, prostitution et proxénétisme).

    Pour certains parmi ces ratés sociaux ou ces jeunes programmés pour devenir les rebuts de la société européenne, il existe un pari (assez proche du pari pascalien dans sa finalité) : se lancer dans le terrorisme. D’abord pour connaître les joies intimes de la conspiration en petit groupe uni par le même but, celles de la prise de risque et, par-dessus tout, celles de nuire à des « nantis », à des êtres plus doués, mieux adaptés. Enfin et surtout, l’obtention à tout coup du paradis : effectivement, le coran promet le paradis d’allah à tout muslim (fidèle) mourant pour assurer la propagation de l’islam. À quoi bon vivre honnêtement et prosaïquement s’il est aussi simple d’obtenir une éternité de délices surnaturels.

    Pour tuer du pékin qui se rend à son travail, fait ses courses, jouit de vacances bien méritées ou de festivités saisonnières, il ne faut guère déployer beaucoup d’imagination ni investir des sommes folles. Les commanditaires et auteurs des attentats du 11 septembre 2001 à New York voulaient frapper de stupeur l’opinion publique planétaire. Ils ont réussi, mais la réalisation coûta cher et les retombées pour les mahométans d’Afrique, du Proche-Orient et du Moyen-Orient furent détestables.

    Le terrorisme des sociopathes agglutinés dans les quartiers mahométans des cités européennes est, à terme, beaucoup plus rentable et à bien moindre coût. Voler un camion ou n’importe quel véhicule assez lourd pour tuer un maximum de promeneurs dans une course au sein d’une foule est à la portée de n’importe quel groupuscule de voyous de banlieue.

    De même, s’il est quasiment impossible à un Européen autochtone d’acheter une arme pour protéger sa famille, il est très simple à un mahométan de se procurer un AK-47 ou un Uzi, avec l’argent volé, racketté ou provenant d’un trafic. Au pire, un candidat djihadiste besogneux peut se rabattre sur quelques couteaux à lame en céramique.

    Investissement modeste, voire minime, et résultat assuré : les attentats perpétrés en Europe depuis 2014 font généralement une ou plusieurs dizaines de tués et une ou deux centaines de blessés… c’est presque aussi rentable en nombre de victimes que l’envoi de quelques bombardiers sur une cible choisie et c’est infiniment moins coûteux.

    Contre ce terrorisme simple, mais efficace, bon marché pour les assassins, et qui se répète de façon épidémique en période festive et aux dates symboliques, il n’est qu’une seule mesure radicale : refouler vers les terres d’islam ces mahométans dont l’Europe n’a que faire.

    Si les Européens occidentaux sont trop mollassons, trop corrompus pour assurer le renouvellement endogène de leurs Nations, supprimons le droit à l’avortement de complaisance et importons des Européens de l’est… des vrais, en se souvenant qu’un Rom ne sera jamais un Roumain ou un Bulgare, même s’il est porteur d’un passeport qui l’affirme.

    L’islam djihadiste est à l’évidence une religion de haine meurtrière. Ulémas, mollahs et autres bons apôtres nous assurent que le véritable islam ne l’est pas. La lecture du coran infirme absolument ces belles paroles. Il faut imposer la lecture du coran aux Européens pour qu’ils comprennent enfin la dangerosité extrême de ce culte barbare, médiéval, misonéiste et sanguinaire.      

  • L'alliance qui unit extrême-gauche et islamistes

    Dénoncée par Alexandre Del Valle sur Atlantico :

    "Le "Calife" de l'Etat Islamique, Abu-Bakr al-Bagdadhi, avait déclaré en 2014 que l'Etat islamique s'étendrait jusqu'à Rome, indiquant par là une volonté de convertir le monde entier à l'Islam. Face à l'accumulation des attentats en Europe, l'Occident n'aurait-il pas intérêt à réaffirmer son identité chrétienne, en termes culturels et civilisationnels, afin de décourager l'adversaire, et de lui signifier l'impossibilité de la tâche qu'il se donne ?

    Il faut remonter pour comprendre cela à l'alliance qui unit extrême-gauche, politiquement correct et islamistes. Ce sont cette extrême-gauche et ce politiquement correct que l'on peut globalement définir comme les plus hostiles à la civilisation judéo-chrétienne ont laissé prospérer sur le sol occidental les forces islamistes parce qu'elles avaient un même ennemi : l'Occident. Votre question d'une certaine façon induit la réponse : si l'Occident arrivait à vaincre le totalitarisme rouge, l'idéologie communiste et tiers-mondiste qui continue à diaboliser la société occidentale et à valoriser tout ce qui ne l'est pas – l'extrême gauche ayant toujours été l'allié des forces qui détestent notre civilisation – nous aurions plus de facilité à gérer notre sécurité. Nous aurions plus de facilité à contrôler les flux migratoires, les juges pourraient plus facilement appliquer les lois, les politiques ne seraient pas systématiquement traités de racistes ou de fascistes lorsqu'ils veulent défendre leur civilisation. On se rappelle sur ce point du cas Guéant, diabolisé parce qu'il avait osé parler du choc des civilisations pour exprimer l'opposition de l'Occident et de l'Islam. [...]

    On voit bien que ce qui nous empêche aujourd'hui de lutter contre le totalitarisme islamique, c'est l'influence dans nos rangs du totalitarisme rouge qui contrôle les médias, le système universitaire et une partie du système judiciaire. Il agit comme une force qui empêche de lutter contre l'ennemi islamiste et de préserver nos valeurs. La dernière revue créée par Daech s'appelle Rumia, qui symbolise l'objectif très important pour les islamistes de conquérir un jour la chrétienté. Il faut évidemment reconquérir Al Andalus, la perle de l'ancien califat perdue au profit des rois très catholiques, mais aussi prendre Rome et c'est un élément très important de la propagande de Daech et de nombreux islamistes : selon un hadith– une parole attribuée à Mahomet qui a valeur de texte sacré - très souvent cité par des islamistes, y compris les non-terroristes tel Qardawi des Frères Musulmans, après Constantinople, Rome sera prise et l'Europe sera islamisée.

    Cette idée est très présente dans toute la logique de l'islamisme mondial : on voit donc bien qu'il ne s'agit pas de cas de terroristes isolés mais que cela découle d'un mouvement mondial de néo-impérialiste. C'est un combat civilisaitionnel, et puisqu'il est pensé tel quel et que cette guerre est livrée non seulement par des terroristes mais aussi grâce à l'appui d'États tel l'Arabie Saoudite, le Pakistan ou d'association comme les Frères Musulmans. Face à une agression qui est le résultat d'un projet de révolution civilisationnelle revanchard, la réponse ne sera pas par la guerre mais la défense et le refus du vide. Le vide que nous produisons aujourd'hui dans la détestation de notre propre religion et de notre propre identité et est le meilleur allié des islamistes. Il nous manque aujourd'hui un projet civilisationnel comme. Nous devons mener cette politique des civilisations. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Lutte contre le terrorisme : la Pologne montre la voie

    6a00d83451619c69e201bb09ba6fa2970d-800wi.jpgPendant que nos autorités condamnent "fermement" sans annoncer de mesure ferme, éteignent la Tour Eiffel et allument des lumignons, le ministre polonais de l’Intérieur Mariusz Blaszczak déclare :

    «Chez nous en Pologne, nous n’avons pas de communautés musulmanes, pas d’enclaves qui constituent une base naturelle pour le développement des terroristes islamistes. Nous faisons tout notre possible pour que notre pays soit en sécurité et ne voulons pas accueillir de migrants».

    Le ministre a estimé que ces événements tragiques résultaient du «choc des civilisations», en ajoutant qu’il n’y avait pas, selon lui, de façons efficaces de lutter contre ce phénomène.

    «La seule possibilité pour l’Europe est de fermer la porte».

    L’homme qui a poignardé à mort deux personnes vendredi à Turku, dans le sud-ouest de la Finlande, est un demandeur d’asile marocain de 18 ans. CQFD.

     par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/08/lutte-contre-le-terrorisme-la-pologne-montre-la-voie.html

  • Les 5 conséquences catastrophiques de l’invasion migratoire

    Chronique de Paysan Savoyard

    (n°186 – août 2017)

    L’immigration non européenne a commencé dans les années soixante. Quatre décennies plus tard, on peut estimer le nombre des immigrés non européens d’ores et déjà présents sur le territoire métropolitain à au moins 15 millions de personnes. L’immigration se poursuit au rythme actuel d’au moins 400 000 immigrés supplémentaires par an (entrées légales, illégales, naissances, les décès et départs étant déduits). Le phénomène est comparable dans la plupart des pays d’Europe occidentale.

    A ce rythme, les peuples européens, d’Europe occidentale du moins, seront mis en minorité sur leur propre sol d’ici le milieu du siècle. Ce phénomène de Grand remplacement se traduira par un processus de tiers-mondisation, d’ensauvagement de décadence. Il s’ensuivra la disparition de la civilisation européenne.

    De façon plus précise et concrète, l’invasion en cours entraîne et entraînera une dégradation continue des différents aspects de  notre vie quotidienne : 

    • L’immigration entraîne une dégradation des conditions de vie

    Provoquant par définition une augmentation importante de la population, l’immigration se traduit par une hausse continue du prix du logement dans les agglomérations, une extension de l’urbanisation, un accroissement des coûts et des temps de transport,  un accroissement de la pollution.

    Rappelons que la population française métropolitaine, qui était de 40 millions après la guerre, a explosé depuis : 50 millions dès 1968 ; 60 millions en 2002 ; 63 millions en 2016. La plupart des familles autochtones n’ayant que deux enfants, la population aurait dû depuis longtemps se stabiliser : du fait de l’immigration, elle continue de croître fortement.

    Dans quelques années, dans ces conditions, seuls les ménages à haut revenu pourront habiter dans des endroits vivables.

    • L’immigration exerce une pression à la baisse sur les salaires

    L’immigration permet aux employeurs de pratiquer des salaires faibles dans tous les secteurs qui utilisent des emplois manuels et d’exécution (BTP, transport et livraison, services à la personne, restauration, nettoiement…). Les immigrés acceptent ces niveaux de salaires, pour eux élevés rapportés au niveau de vie dans les pays d’origine : une fois convertis en monnaie locale, la partie de leur salaire que les immigrés envoient dans le pays d’origine représentent des sommes considérables et font vivre les familles « restées au pays ».

    S’est ainsi mis en place un système pervers. Les Français (y compris ceux qui sont issus de l’immigration) fuient les emplois manuels et d’exécution, tentent d’accéder à un emploi public (par exemple dans les collectivités locales) et à défaut choisissent l’assistanat.

    Les Français sont incités à refuser les emplois manuels du fait des salaires faibles mais aussi parce que la proportion des immigrés sur les chantiers BTP ou dans les entreprises de services est telle qu’elle est devenue dissuasive pour les Français de souche.

    La mise en place du travail détaché ces dernières années a encore accru l’ampleur du phénomène de dumping social.

    • L’immigration provoque la ruine des systèmes sociaux et des services publics

    D’ores et déjà la sécurité sociale, l’hôpital, l’éducation nationale, le système de retraite et le système de logement social ont commencé à imploser sous le poids de l’immigration, débordés qu’ils sont par le nombre, par les difficultés sociales inhérentes aux populations immigrées et par leurs comportements incivils et délinquants.

    Les systèmes publics ont été jusqu’ici maintenus à peu près à flot en étant financés par la dette, passée en trois décennies de 5 % à 96 % du PIB. Cette dette se traduit par une augmentation des intérêts versés aux banques qui prêtent à l’Etat : une somme équivalant à la totalité du produit de l’impôt sur le revenu est ainsi engloutie dans le paiement des intérêts.

    Dans quelques années, seuls les membres de la classe supérieure pourront se soigner correctement, scolariser leurs enfants dans un contexte favorable et disposer à leur retraite d’un niveau de vie confortable. Malheur aux autres, et en particulier aux familles de salariés, qui, accablées d’impôts, seront évincées des services publics et des protections dont elles bénéficient jusqu’à présent. 

    • L’immigration alimente une augmentation continue de l’insécurité et de la délinquance

    Selon les statistiques officielles, 3,5 millions de crimes et délits sont commis chaque année. Les enquêtes de « victimation » montrent que ce nombre est en réalité trois fois plus élevé, un grand nombre de délits n’étant pas portés à la connaissance de la police. Une grande partie de ces crimes et délits sont commis par des étrangers ou par des personnes originaires de l’immigration.

    Si l’immigration se poursuit et si une partie des immigrés présents ne sont pas reconduits (en particulier les clandestins et les étrangers et naturalisés condamnés), la délinquance continuera à croître. Dans les années qui viennent des centaines de milliers de Français autochtones seront victimes de cambriolages, de braquages, d’agressions, de car-jacking, de home-jacking, de coup de couteaux, de viols…

    Dans les temps à venir, seules les personnes disposant de revenus élevés pourront se protéger de la délinquance en habitant dans des endroits sécurisés.

    • L’immigration conduit la population de souche européenne à baisser les yeux dans son propre pays

    L’invasion migratoire nous contraindra de plus en plus à adopter une attitude de réserve et de soumission, qui prendra plusieurs aspects :

    Nous devrons rester vigilants en toutes circonstances pour éviter les rencontres malencontreuses. Changer de trottoir, changer de voiture dans le métro, s’interdire certains lieux, proscrire certains horaires, éviter de croiser le regard d’une personne issue de la « diversité »…

    Nous devrons cohabiter, dans les différents compartiments de notre vie, avec des personnes issues de la « diversité ». Dans le cadre professionnel, un nombre croissant de nos collègues auront une origine différente de la nôtre, les quotas de la «  discrimination positive » imposant progressivement la diversité dans tous les secteurs et à tous les niveaux. A l’hôpital et dans les maisons de retraite, nous serons soignés de plus en plus souvent par des personnels issus de l’immigration, ce qui rendra la position de faiblesse dans laquelle la fréquentation de ces lieux nous place par nécessité, encore plus délicate et pénible à supporter.

    Les responsables des entreprises de travaux auxquelles nous devront faire appel, les commerçants auxquels nous nous adresserons, les conseillers des banques auprès desquels nous solliciterons un emprunt, les fonctionnaires des guichets devant lesquels nous nous présenterons, tous seront de plus en plus fréquemment issus de la diversité. Il en sera de même des policiers qui nous toiseront et nous verbaliseront. Nous devrons côtoyer au quotidien des voisins de palier diversifiés. Certains des membres de nos propres familles seront issus de l’immigration ou du métissage. Nous serons souvent mal à l’aise lorsque nous rencontrerons toutes ces personnes, compte tenu de leur origine différente et de leur fréquente hostilité latente que nous ressentirons.

    Dans ces conditions, nous devrons rester constamment vigilants et méfiants, taire nos opinions et nos réactions, prendre garde en toute circonstance, même dans les lieux les plus privés, aux propos que nous tiendrons. Nous devrons faire allégeance à l’idéologie universaliste ou à tout le moins rester cois sur le sujet. Il nous sera défendu d’exprimer la nostalgie que suscite en nous la pensée de la France« d’avant ». Nous devrons, à l’inverse, accepter sans réagir les revendications, les comportements d’affirmation et les provocations de diverses natures que les communautés d’origine immigrée multiplieront, bien conscientes qu’elles sont de participer à une entreprise historique d’invasion.

    **

    Il serait conforme à la morale que les immigrationnistes soient les seuls à supporter les conséquences de l’immigration : il n’en est rien bien entendu, malheureusement.

    Les immigrationnistes d’un certain âge peuvent espérer que le rythme de la dégradation ne sera pas trop élevé et qu’il leur permettra de terminer leur vie sans subir trop lourdement les effets de la tiersmondisation en cours. Il n’en sera pas de même des jeunes. La plupart d’entre eux ne disposeront pas de l’argent nécessaire pour se protéger des effets de l’invasion qu’ils auront souhaitée. Compte-tenu de leur espérance de vie, ils paieront de longues années durant les conséquences de leurs positions suicidaires. Ce ne sera que justice.

    Cette chronique reprend et actualise celle parue en avril 2012.

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/

  • L’ISLAM? IL FAUT PRENDRE DES PRÉCAUTIONS AVEC LA VÉRITÉ. MARSAUD CLAQUE LA PORTE DE BFMTV

    Une vidéo fait le buzz sur les réseaux sociaux. Celle où l’on voit Alain Marsaud, ancien magistrat antiterroriste et ancien député LR, quitter, désabusé, le plateau de BFM TV devant l’incroyable cécité des deux journalistes présents et de leur second invité, lui aussi journaliste.

    Le matin, Alain Marsaud s’était déjà accroché avec Alain Marschall sur RMC, l’équivalent radio de la chaîne télé, et pareillement propriété de Patrick Drahi, l’éternel ami d’Emmanuel Macron. Cause de ces accrochages ? Barcelone, bien sûr. Et peut-être même, implicitement, Sept-Sorts. Mais les autorités françaises n’ont vu, dans ce dernier acte, qu’une malheureuse bousculade due à un déséquilibré dont le nom nous a été épargné, mais qu’on sait algérien, donc forcément un peu musulman… Mais cela est une autre histoire qui refera parler d’elle le moment venu.

    Donc, vendredi, en début de soirée, sur le plateau de BFM TV, nous avions, en face du duo paritaire des deux journalistes, en l’occurrence Alexis Cuvillier et Caroline Dieudonné, Alain Marsaud et le journaliste Anthony Bellanger, chroniqueur forcément de gauche puisqu’il commente l’actualité internationale sur France Inter. Je mentionne ce que pense de ce dernier un lecteur de Boursorama prénommé Ddrek, qui le décrit comme « un petit arrogant, la chevelure grisonnante, maniéré et bavard qui a eu cette phrase culte : il faut prendre des précautions avec la vérité ». Une phrase qui allait déclencher le buzz grâce au départ brutal de l’ancien magistrat.

    Alain Marsaud est l’auteur de cette réplique indiscutable : « À force de ne pas nommer l’ennemi, l’ennemi nous vaincra. » Eh bien, justement, qui nomme cet ennemi ? Personne, bien entendu. Personne de la sphère du politiquement correct, dont heureusement Alain Marsaud ne fait pas partie car il va oser prononcer cette phrase qui tue. Qui tue ses trois interlocuteurs : 

    « Nous sommes en guerre contre l’islamo-fascisme. Personne n’a dit que c’était un attentat islamiste. Personne ne parle d’islamisme radical. On a peur de quoi, bon sang ? Pas un seul journaliste ou responsable politique n’a dit, depuis deux jours, que c’était un attentat islamiste ! »

    Et le chevelu maniéré de s’énerver à son tour et de lui rétorquer : « Vous dites absolument n’importe quoi, tout le monde sait que ce sont des attentats islamistes. Les journalistes ne sont pas là pour dire ce que vous voulez mais pour dire les choses telles qu’elles sont. » Et de poursuivre sa diatribe : « Vous êtes libre de faire le commentaire que vous voulez, ils sont libres de faire leur métier. Leur travail, c’est de prendre des précautions avec la vérité ! »Anthony Bellanger aurait mieux fait de dire que le travail de ces journalistes-là, et lui en particulier, est de travestir la vérité. Puis, sur un ton péremptoire, comme si c’était lui le maître sur le plateau, il lance un martial : « Continuons ! »

    À ce moment-là, Marsaud, stupéfait, réfléchissant à ce qu’il va répondre, se lève en disant : « Si c’est pour me traiter comme ça, vous continuerez sans moi. » Et il quitte le plateau. Dire qu’un tel expert s’est fait blackbouler de l’Assemblée… Il y a de quoi se poser des questions sur l’intelligence des électeurs, quand on sait qu’ils lui ont préféré, à 70 %, la macroniste Amal Amélia Lakrafi !

    Une fois de plus, l’information se limite à ce que la bien-pensance exige. L’islamisme intégriste n’existe pas, il est donc inutile et vain de le nommer.

    http://www.bvoltaire.fr/lislam-faut-prendre-precautions-verite-marsaud-claque-porte-de-bfmtv/

  • Espagne : les djihadistes n'avaient «pas d'antécédents terroristes»

    L'enquête avance rapidement et la police découvre que l'attentat à Barcelone devait être bien plus sanglant si les terroristes étaient parvenus à leurs fins :

    "La cellule terroriste semblait envisager un scénario plus sanglant encore. Les complices ont d'abord tenté de fabriquer au moins une bombe à l'aide de plusieurs bouteilles de propane et d'explosifs artisanaux dans une maison d'Alcanar, une ville à une cinquantaine de kilomètres au sud de Barcelone. Mercredi soir, cette habitation avait été soufflée par une explosion, d'abord attribuée à une fuite de gaz, faisant un mort et sept blessés. Vendredi, le chef de la police, Josep Lluis Trapero a confirmé que «les auteurs préparaient depuis quelque temps dans ce bâtiment d'Alcanar les attentats de Barcelone». «C'était un groupe dont nous ignorons le nombre exact (…). Beaucoup sont identifiés». De son côté, un magistrat de l'Audience nationale, le parquet, Javier Zaragoza, a assuré que les djihadistes n'avaient «pas d'antécédents terroristes» mais constituaient un «réseau structuré».

    [...] Si les Mossos d'Esquadra, la police de Catalogne, ont confirmé détenir quatre personnes «en lien avec les attentats», au moins trois autres étaient en fuite selon une fiche de recherche diffusée vendredi. La police a d'abord longuement cherché le chauffeur de la camionnette blanche utilisée sur les Ramblas. De sources officieuses, l'homme est identifié comme Moussa O., un Marocain de 17 ans. Il aurait en fait trouvé la mort avec quatre complices dans une fusillade avec la police à Cambrils, selon la presse espagnole. Le jeune homme, résidant légal en Espagne, se serait radicalisé ces dernières années. Sur un réseau social, il avait ainsi fait part de son intention de «tuer les infidèles pour ne laisser que les bons musulmans».

    Selon les derniers éléments de l'enquête, il se serait enfui des lieux en prenant le conducteur d'une voiture en otage. Une demi-heure après l'attentat des Ramblas, cette Ford Focus a forcé un barrage à la sortie est de la capitale catalane, renversant un sergent. Elle devait être retrouvée, deux kilomètres plus loin, son chauffeur mort au volant, tué de plusieurs coups de couteau. Considéré dans un premier temps comme un suspect potentiel, cet homme, qui n'avait pas été identifié vendredi après-midi, était désormais plutôt vu comme la quinzième victime du tueur.

    Les deux autres fuyards ont, pour leur part, été identifiés jeudi dans la soirée. Il s'agirait des conducteurs d'une seconde camionnette, une Fiat, louée en même temps que celle abandonnée sur les Ramblas. Ce van, longuement traqué, a été retrouvé sur le parking d'un fast-food de Vic, une commune située à une cinquantaine de kilomètres au nord de Barcelone. À l'intérieur, les Mossos ont découvert la carte d'identité d'un certain Younès A., un Marocain de 22 ans. Ce dernier pourrait être accompagné d'un autre individu, Mohamed H., 20 ans. Les deux hommes habitaient les environs de Ripoll. Le ministre français de l'Intérieur, Gérard Collomb, a tout de même ordonné vendredi le renforcement des contrôles à la frontière franco-espagnole. Le dernier homme recherché est un Marocain, Saïd A, 18 ans.

    Les enquêteurs, très prudents, n'ont pas confirmé d'éventuels liens, ni entre les fuyards, ni avec les personnes arrêtées. Seule certitude, l'une d'elles est Driss O., le frère de Moussa O. C'est avec les papiers de ce jeune homme que la camionnette des Ramblas a été louée. Ce Marocain de 28 ans, a été interpellé vendredi soir à Ripoll, la petite ville à cent kilomètres au nord de Barcelone où il habite. Aux policiers, l'homme a affirmé s'être fait voler ses papiers quelques jours auparavant. Il n'avait cependant pas porté plainte. Driss O., s'il n'était pas connu pour des faits en liens avec le terrorisme, était fiché après avoir effectué un mois de détention préventive en 2012 dans le cadre d'une affaire d'agression sexuelle. Le second suspect placé en garde à vue est un proche de Driss O. Ce Marocain de 30 ans a été interpellé, vendredi à l'aube, également à Ripoll. Le troisième, est également un résident de cette cité. Des perquisitions étaient en cours vendredi après-midi dans une demeure de la ville.

    Le dernier djihadiste incarcéré a été appréhendé à Alcanar. Selon la police, il s'agit d'un citoyen espagnol né à Melilla, une enclave espagnole en plein Maroc. Cet homme, âgé d'une vingtaine d'années, serait l'un des blessés de la maison d'Alcanar. Il aurait lui aussi loué une camionnette.

    Les policiers se concentraient en parallèle sur les cinq terroristes tués dans la foulée de l'équipée sauvage de Cambrils. Ils avaient tout d'abord lancé leur Audi A3 noire, dans les rues entourant le port de cette station balnéaire très fréquentée. La voiture avait ensuite pris la fuite, plein sud, avant d'être bloquée à un barrage de police. Les terroristes, dont certains étaient équipés de fausses ceintures explosives, sont alors sortis de la voiture pour attaquer les forces de l'ordre avec des armes blanches. Ils ont été tous abattus. Trois d'entre deux ont été identifiés. Le caractère visiblement improvisé de cette dernière attaque renforce l'hypothèse des enquêteurs. Dans leur refuge d'Alcanar, les complices souhaitaient sans doute mettre au point une ou deux bombes de forte puissance. Ils voulaient ensuite les placer dans les camionnettes louées et envoyer ces engins piégés à Barcelone. Josep Lluis Trapero a affirmé que «les terroristes souhaitaient déclencher des bombes». «L'explosion de la maison d'Alcanar a sans doute permis de l'éviter». «Ils se sont alors rabattus sur un plan B de manière désespérée.» Un plan B qui a fait 14 victimes."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La Catalogne est à son tour victime du terrorisme islamique

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    Un communiqué de LLorenç Perrié Albanell,

    président du mouvement régionaliste Resistència

    Dans l’après-midi, sur les célèbres Rambles de Barcelone,  une camionnette a foncé dans la foule. Le véhicule laisse dans son sillage deux morts, et 32 blessés selon les informations recoupées sur divers site d’informations.

    La police catalane n’a pas hésité longtemps à qualifier cet acte odieux « d’attaque terroriste ». Nous sommes loin de la prudence pétocharde des autorités française toujours prêtes à saupoudrer à grand coup de cuillère à pot l’opinion publique avec de la poudre de « pasdamalgame ».

    Seulement dans cette triste affaire les masques tombent rapidement. L’identité de l’un des terroristes est dévoilée par les forces de l’ordre : Driss Oukabir. Un passeport a été trouvé dans la camionnette qui a servi au crime.

    Apparemment deux suspects armés seraient en fuite.

    Comme à chaque événement du même genre, nous avons tous le ventre noué par le dégout, une pensée pour les familles, et le regard tourné vers les autorités. Ces autorités que nous dénonçons depuis des mois, des années même. Nous dénonçons leur laxisme. Nous dénonçons leur folie migratoire qui plonge aujourd’hui encore notre Europe dans le chaos.

    Ce n’est pas avec des bougies, des fleurs, des discours, ou toute autre marque d’affection du même type que nous arrêterons le carnage. Non.  Afficher une marque de solidarité ce n’est pas s’afficher dans la niaiserie. Afficher sa solidarité c’est résister contre la barbarie. Afficher sa solidarité c’est savoir désigner l’ennemi. Savoir c’est très bien, oser le dénoncer et le combattre c’est encore mieux.

    L’heure n’est plus à liker sur facebook, allumer une bougie ou de gober des comprimés au pasdamalgame. L’heure est à la Résistance.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • BARCELONE : QUE LES COUPABLES (LES VRAIS) SOIENT ENFIN DÉVOILÉS

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    Ce n’est pas un attentat qui a été commis hier à Barcelone : c’est une action de guerre commise par un ennemi qui veut nous anéantir.

    L’ennemi vient encore de frapper à Barcelone, où l’on compte, au moment d’écrire ces lignes, 13 morts et environ 80 blessés, dont certains très graves. Le moment est venu de dévoiler enfin les coupables – les vrais.

    Et les vrais coupables, les coupables premiers, ne sont ni l’Arabe né à Marseille (un certain Driss Oukabir, déjà arrêté), ni les deux autres tués par la police, ni tout le reste de complices… et de commanditaires. Eux ne sont rien d’autre, finalement, que l’ennemi. Et avec l’ennemi qui vous déclare la guerre, les culpabilités n’ont strictement rien à voir. Les prêchi-prêcha de la moralité non plus. Les cierges qui seront bientôt allumés et les peluches qui seront déposées par les Bisounours de toujours, encore moins. Ce n’est pas un attentat qui a été commis hier à Barcelone, c’est une action de guerre commise par un ennemi qui veut nous anéantir : l’empêcher de le faire, l’abattre avant qu’il n’y parvienne, voilà notre devoir le plus simple, le plus élémentaire. Un point, c’est tout.

    Or, ce n’est pas de combattre l’ennemi, c’est de l’accueillir qu’il s’agit pour les véritables coupables de notre déroute. Ce Carles Puigdemont, par exemple, président sécessionniste de la Generalitat de Catalunya (Généralité de Catalogne) qui, lorsque le sang des tués et des blessés est encore tout frais sur les Ramblas de Barcelone, a eu l’outrecuidance de déclarer, après avoir essuyé une larme : « La Catalogne a toujours été terre de paix et d’accueil. Nous ne permettrons pas qu’ils nous empêchent de l’être toujours. »

    Non seulement ils accueillent l’ennemi les bras ouverts, mais voilà que lorsque celui-ci frappe, ils osent encore insister sur leur complicité coupable. Pas la moindre mise en question, pas l’ombre d’une interrogation sur l’impossibilité de la société « multiculturelle » qu’ils ont eu le rêve fou de vouloir bâtir. Et le bâtir en faisant majoritairement appel, en Catalogne, à l’immigration arabe et musulmane, de préférence aux immigrés provenant de l’Amérique espagnole, qui ont, eux, le tort de parler la langue que les séparatistes haïssent et qu’ils voudraient voir disparaître de leur territoire. (C’est, d’ailleurs, peine perdue, car la plupart des « nouveaux Catalans » venus remplacer les anciens finissent, malgré les aides considérables qui leur sont allouées, par apprendre l’espagnol. Que voulez-vous ! Six millions de personnes en Catalogne, face aux 500 millions parlant l’espagnol de par le monde, ça fait quand même une petite différence !)

    C’est pour que les populations visées par les actes de guerre continuent à les considérer comme de simples attentats qu’il faut certes condamner, mais qui ne devraient nous faire tomber ni dans l’islamophobie ni dans le rejet de la fraternité multiculturelle, c’est pour cela que les autorités ont lancé ce soir des appels (inutiles, au demeurant) pour qu’on évite de faire circuler les images les plus frappantes de la tuerie. Mais les images ont circulé et circuleront. La censure n’a jamais empêché la vérité d’éclore ni les peuples de se révolter pour retrouver leur liberté et leur identité bafouées.

     Écrivain et journaliste espagnol El Manifiesto
  • L’Espagne frappée de plein fouet par le terrorisme - Journal du Vendredi 18 Août 2017