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Zoom - François Billot de Lochner : Non à la république islamique de France
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L'armée Française face à la destruction de la Nation
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RELOCALISATION DES IMMIGRANTS ILLÉGAUX : LES PAYS DU GROUPE DE VISEGRÁD NE RECULERONT PAS
Le système de relocalisation a fait la preuve de son inefficacité, ce qui ne semble pas perturber les eurocrates.
Jeudi dernier, la Commission européenne a porté devant la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) l’affaire de la relocalisation des demandeurs d’asile arrivés illégalement en Grèce et en Italie. Le plan adopté par le Conseil de l’Union européenne en septembre 2015 prévoyait que 120.000 immigrants illégaux, en plus des 40.000 qui avaient déjà été convenus, seraient « relocalisés » dans un autre pays de l’Union européenne selon un système de quotas obligatoires.
Aucun pays ne s’est dégagé de ses obligations, mais trois revendiquent officiellement leur refus de prendre ne serait-ce qu’un seul immigrant illégal : la Pologne, la Tchéquie et la Hongrie, au nom de leur souveraineté nationale. Ils expliquent que le système de relocalisation a fait la preuve de son inefficacité, ce qui ne semble pas perturber les eurocrates.
La veille de la procédure engagée par la Commission, le gouvernement portugais, bon élève du système de relocalisation, confirmait que sur 1.500 « réfugiés » accueillis, plus de 820 s’étaient déjà enfuis et l’on ne sait rien de leur lieu de séjour.
Dès jeudi, le Fidesz hongrois parlait d’une attaque de Bruxelles « à l’arme automatique » du fait que, le même jour, la Commission européenne avait également engagé une procédure devant la Cour de justice de l’Union européenne dans deux autres dossiers concernant la Hongrie au sujet des établissements supérieurs et des ONG. Dans un communiqué, le Fidesz accusait Bruxelles d’être sous l’influence de George Soros, ce qui n’est pas faux puisque le milliardaire américain était venu au printemps discuter de ces lois hongroises directement avec les dirigeants de la Commission européenne.
Viktor Orbán affirme, par ailleurs, que Bruxelles s’en prend à la Hongrie à cause de son opposition au « plan Soros » (Dans un document publié en septembre 2015, George Soros: Here’s my plan to solve the asylum chaos, M. Soros explique que l’Union européenne doit accueillir au moins un million de demandeurs d’asile par an, et ce chiffre a été repris plus tard par Dimítris Avramópoulos, le commissaire européen grec chargé des questions d’immigration pour plaider pour une plus grande ouverture de l’Union européenne.)
En Tchéquie, le nouveau Premier ministre Andrej Babiš a remporté les élections en promettant de refuser les quotas de demandeurs d’asile de la Commission, et il pourra difficilement se dédire. Comme ses partenaires du groupe de Visegrád, il propose l’aide de son pays pour garder les frontières de l’Union européenne, mais pas pour faire venir des immigrants illégaux.
En Pologne, le ministre de l’Intérieur Mariusz Błaszczak a mis en avant l’impératif de sécurité face à la menace terroriste qui accompagnerait immanquablement la venue d’une partie des immigrants musulmans arrivés illégalement en Grèce et en Italie. Il a aussi fustigé les zones de non-droit dans les pays de l’ouest du continent, dont il a rappelé qu’elles étaient le produit de l’immigration et une base arrière du terrorisme islamique. Il a nommément cité la France comme l’exemple de ce qu’il ne fallait pas faire en matière d’immigration. Dans sa première interview télévisée jeudi soir, le nouveau Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki a confirmé son refus du système de relocalisation.
Les graves agressions antisémites qui ont eu lieu en Europe ces derniers jours et la toute nouvelle tentative d’attentat par un immigré musulman à New York (arrivé dans le cadre du regroupement familial) donnent encore une fois raison à ces pays et ils ne céderont pas.http://bvoltaire.com/relocalisation-immigrants-illegaux-pays-groupe-de-visegrad-ne-reculeront/
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Manifestation du SIEL pour la défense de la civilisation chrétienne
Avant-hier devant le Conseil d'Etat :
Christian Vanneste:
Charles Beigbeder :
François Billot de Lochner :
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Contrôlée en niqab, elle demande aux passants de s'en prendre aux policiers
L'incident s'est produit à Marseille jeudi après-midi. La femme, âgée de 37 ans, a refusé le contrôle d'identité tout en déclarant vouloir garder son voile. Elle a ensuite proféré plusieurs insultes à l'égard des fonctionnaires. Elle a été interpellée pour incitation à l'émeute et outrages.
Une femme voilée de 37 ans a été interpellée jeudi en fin d'après-midi dans le centre-ville de Marseille pour incitation à l'émeute et outrages à agents de la force publique, alors qu'elle conduisait sa voiture avec ses quatre fillettes à l'intérieur.
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VIDEO. Envoyé spécial. Logés depuis cinq ans à l'hôtel, pour 5 300 euros par mois
Une famille de neuf réfugiés roumains vit depuis plus de cinq ans dans une résidence hôtelière : 5 300 euros par mois payés par le Samu social, donc le contribuable. Au plus grand bénéfice du propriétaire. Extrait d’"Envoyé spécial" du 25 février.
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Attentat de New York : L’immigration (encore) en cause, par Franck Delétraz
Interpellé lundi peu après avoir commis un attentat à New York, le principal suspect, Akayed Ullah, présente une fois de plus le même profil que d’autres djihadistes : celui d’un immigré musulman, accueilli récemment par les Etats-Unis, auxquels il a choisi d’exprimer sa « reconnaissance » en les frappant.
Lundi matin, à l’heure où des milliers de New Yorkais se rendaient à leur travail, l’islamo-terroriste, muni d’un engin explosif rudimentaire attaché au corps avec des bandes Velcro, faisait exploser sa charge dans un tunnel du métro reliant Times Square à la gare routière de Port Authority, ne faisant par miracle que quatre blessés légers. En effet, selon le chef de la police James O’Neil, qui a visionné les images enregistrées par les caméras de surveillance, la veste rudimentaire que portait le djihadiste « aurait explosé prématurément » et « partiellement », expliquant ainsi le faible nombre de victimes à cette heure d’affluence.
Lui-même blessé par l’explosion, le suspect a été rapidement interpellé et identifié, avant d’être hospitalisé avec des blessures et des brûlures au corps.
Son profil est bien sûr sans surprise. Disant agir au nom de l’Etat islamique par vengeance contre les bombardements américains visant les pays musulmans et avoir choisi tout spécialement de frapper ce quartier à cause des affiches de Noël, Akayed Ullah, âgé de 27 ans, n’est autre qu’un immigré originaire du Bangladesh, arrivé aux Etats-Unis en 2010 avec un visa F-4, réservé au rapprochement familial. Un temps chauffeur de taxi, il était installé dans le quartier de Brooklyn.
Bref, un profil de djihadiste (hélas) tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Similaire à celui de Sayfullo Saipov, cet immigré ouzbek qui, aux commandes d’un camion-bélier, a fait huit morts et douze blessés à Manhattan le 31 octobre dernier, et à tous ceux qui ont frappé les Etats-Unis et l’Europe, qui les avaient pourtant si généreusement accueillis.
« Mettre fin aux migrations en chaîne »
Une générosité tellement suicidaire et inconcevable en ces temps de guerre avec l’islamo-terrorisme que Donald Trump, qui a déjà interdit l’entrée aux Etats-Unis aux ressortissants de sept pays essentiellement musulmans (mais dont le Bangladesh ne fait pas partie), a immédiatement rappelé lundi soir « l’urgente nécessité pour le Congrès de voter des réformes législatives pour protéger les Américains ».
En effet, a insisté le président Trump en faisant référence au visa de regroupement familial qui a permis à Akayed Ullah de venir aux Etats-Unis, « le Congrès doit mettre fin aux migrations en chaîne ». Avant de réaffirmer, comme il l’avait judicieusement fait en octobre, que les auteurs d’actes terroristes méritent « les peines les plus lourdes », y compris la peine de mort.
Franck Delétraz
Article paru dans Présent daté du 13 décembre 2017
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DAMIEN RIEU : « NOUS SOMMES TRÈS LOURDEMENT CONDAMNÉS, MAIS NOUS IRONS JUSQU’AU BOUT SI NOUS SOMMES SOUTENUS PAR LA COMMUNAUTÉ DES PATRIOTES ! »
Pour avoir occupé pacifiquement le chantier de la grande mosquée de Poitiers, Damien Rieu et quatre autres militants de Génération identitaire ont été condamnés en première instance à un an de prison avec sursis, une forte amende et la déchéance de leurs droits civiques pour cinq ans.
Une « cagnotte » a été ouverte sur le site Leetchi.com pour aider les condamnés à s’acquitter de leurs frais d’avocat. Cet appel aux dons vient d’être bloqué par le site.
Damien Rieu s’en explique au micro de Boulevard Voltaire.
Damien Rieu, vous avez été condamné avec quatre autres militants de Génération identitaire à un an de prison avec sursis, une forte amende et une déchéance de vos droits publics d’une durée de cinq ans. Quel est votre sentiment vis-à-vis de cette condamnation ?
Je crois que c’est une victoire pour les islamistes. C’est une mosquée radicale, un imam radical avec des fréquentations sulfureuses qui fait la promotion de prédicateurs très dangereux dans son institut. C’est aussi une défaite pour les victimes de l’islamisme et pour ceux qui se battent contre le terrorisme qui a fait tant de morts dans notre pays.
Pour payer l’amende à laquelle vous avez été condamné, vous aviez ouvert une cagnotte sur Leetchi. Celle-ci a été fermée pour des raisons assez vagues.
Savez-vous pourquoi ?Il est interdit, en France, de faire des cagnottes pour payer des amendes. En revanche, c’est autorisé pour payer les frais d’avocat. C’est pourquoi nous avions organisé une collecte exclusivement pour les frais d’avocat. Cette cagnotte marchait très bien. Beaucoup de gens sont en colère à propos de cette décision de justice et ont voulu nous aider. Nous avons récolté plusieurs milliers d’euros en quelques heures.
Des militants d’extrême gauche l’ont vue sur Internet. Ils ont donc mis la pression sur Leetchi en prétextant que la collecte était illégale, car ayant vocation à payer des amendes. Nous avons pourtant toujours communiqué que la vocation de cette collecte était de payer la procédure d’appel.
Leetchi a cédé sous la pression de nos adversaires et a prétexté avoir besoin de renseignements complémentaires sur la destination des fonds. Ce matin, ils ont changé de discours. Ils ferment la cagnotte et remboursent les dons, soi-disant parce qu’ils ne savent pas d’où viennent les fonds…
On voit bien que ce changement de raison est d’abord politique. Ils essayent de trouver des raisons pour s’en sortir, mais il est clair qu’il s’agit d’une censure politique.Considérez-vous qu’il y a une partie politique dans votre jugement ?
On voit très clairement qu’avec une méthode d’action équivalente, voire bien plus grave, puisque Notre-Dame de Paris est consacrée depuis bien longtemps – ce qui n’est pas le cas du chantier de la mosquée que nous avons occupé -, les Femen ont été relaxées.
Nous n’y avons fait aucune dégradation et le lieu de culte n’était pas consacré, et pourtant nous sommes très lourdement condamnés.
Je ne vois pas comment les citoyens qui observent ce jugement ne peuvent pas voir le cruel deux poids deux mesures dans les verdicts.Allez-vous faire appel du verdict ?
Nous avons pris la peine maximale. Donc, nous allons faire appel, puis nous irons en Cassation et à la Cour européenne des droits de l’homme s’il le faut. Nous pourrons le faire si nous sommes soutenus pour les frais juridiques par toute la communauté des patriotes et militants anti-islamistes.
Si nous sommes soutenus, nous irons jusqu’au bout et nous ferons les démarches utiles et nécessaires pour être blanchis.Damien Rieu Collaborateur FN -
« L’islamisation de la France est parfaitement programmée par le monde musulman »
François Billot de Lochner, haut fonctionnaire président de la Fondation de Service politique, vient de publier, aux éditions Pierre Guillaume De Roux, une Chronique de l’islamisation ordinaire de la France dans laquelle il dresse un constat sans appel. Il a été interrogé par Breizh Info. Voici cet entretien. Polémia
Breizh Info : Pouvez vous vous présenter à nos lecteurs ?
François de Lochner : En tant que président de la Fondation de service politique, je dénonce sans relâche le déclin continu de la France, qui risque de s’achever par sa disparition si nous n’y prenons garde. A cet égard, la dizaine de livres que j’ai écrits depuis 15 ans pointe tous les affaissements politiques, économiques, sociaux, moraux, religieux ou culturels de notre pays, mettant en exergue les forces de déconstruction à la manœuvre, analyse les gigantesques problèmes auxquels nous somment confrontés et tente d’apporter des solutions à un déclin qui n’est pas irrémédiable.
Breizh Info : Il y a eu de nombreux ouvrages, ces dix dernières années, traitant de « l’islamisation de la France ». Qu’est ce que le vôtre souhaite apporter de plus ?
François de Lochner : Mon livre ne ressemble pas aux ouvrages que vous évoquez. En effet, il a pour objectif de dévoiler la pensée des leaders musulmans français, européens ou mondiaux, en partant de ce qu’ils disent sur l’islamisation du monde. Depuis plus d’un demi-siècle, tout ce qu’ils disent ou écrivent va dans le même sens : la France deviendra islamique dans un court délai.
En même temps, ces leaders indiquent aux musulmans du monde entier la meilleure façon d’opérer pour qu’il en soit ainsi. Je démontre donc que l’islamisation de la France est parfaitement programmée par le monde musulman, qui s’appuie sur la lâcheté et la compromission des élites politico-médiatiques, ainsi que sur la soumission pour le moins surprenante du peuple français.
Breizh Info : Nous avons publié une étude du très sérieux Pew Research Center concernant la progression de l’islam en France et en Europe. Vous la jugez sous-évaluée. Pourquoi ? Sur quoi vous basez-vous pour faire une telle affirmation ?
François de Lochner : Je vous renvoie à de multiples études, infiniment plus sérieuses que celle que vous signalez. Il suffit de projeter quelques chiffres pour savoir que nous serons un pays majoritairement musulman dans une trentaine d’années. Parmi les chiffres qu’il faut avoir en tête, en voici quelques-uns : la population immigrée sur plusieurs générations est comprise entre 15 et 20 millions de personnes ; le taux de fécondité des femmes blanches est de 1,6, contre le double environ pour les populations immigrées ; nous accueillons chaque année 400.000 personnes environ, dont l’immense majorité est musulmane.
La projection de ces quelques chiffres, qui peuvent être affinés par d’autres chiffres qui vont dans le même sens, aboutissent à un résultat non contestable : la France sera majoritairement musulmane dans une trentaine d’années. L’étude que vous citez est donc complètement erronée. Pour mémoire, je vous rappelle qu’il y a quelques mois, Alain Juppé affirmait à la télévision que l’immigration concernait moins de 100 000 personnes… A ce niveau de mensonge, les bras nous en tombent.
Breizh Info : Dans votre livre, vous citez des exemples de pays, notamment musulmans, qui ont pris des mesures pour endiguer l’islamisation de leur société. Pouvez-vous revenir dessus ?
François de Lochner : Certains pays musulmans, en effet, ont compris que l’islam politico-religieux pouvait aboutir à détruire les valeurs traditionnelles de leur société. Ainsi, le Tadjikistan, musulman dans sa quasi-totalité et dirigé par un musulman, a pris des mesures coercitives pour contrer l’islamisation de la société. Par exemple, le port du voile ou la barbe islamique ne sont pas les bienvenus.
Il n’est pas inutile, en complément de cet exemple, de citer les positions de certains musulmans ayant des postes de responsabilité en Occident. A cet égard, le maire de Rotterdam, musulman convaincu, refuse catégoriquement l’islamisation de sa ville et agit en conséquence : si les musulmans ne veulent pas respecter les valeurs fondamentales des Pays-Bas, qu’ils s’en aillent… À l’inverse, le maire de Londres, musulman très proche de l’organisation terroriste des Frères musulmans, organise en sous-main l’islamisation de la Grande-Bretagne.
Breizh Info : Alain Wagner a récemment livré une interview dans laquelle il confirme la thèse d’Eurabia, qui accable l’Union européenne qui aurait « vendu » l’Europe aux organisations islamiques et au monde musulman. Accréditez-vous cette thèse ?
François de Lochner : Comme je le disais tout à l’heure, la compromission et la lâcheté des « élites » politico-médiatiques, de l’Union européenne en général et de la France en particulier, correspondent objectivement à une sorte de « vente » de l’Occident au monde musulman. La soumission est partout et rend le combat particulièrement difficile.
Breizh Info : Finalement, votre constat est très long, mais votre « Que faire ? » est assez court. N’avez-vous donc pas un message d’espoir à faire passer ?
François de Lochner : Le message d’espoir est dans mon livre, et notamment dans le « Que faire », qui me semble suffisamment long. En effet, ce « Que faire » n’a aucunement l’intention d’être exhaustif, mais donne quelques coups de projecteur sur l’action que chacun d’entre nous peut mener pour ne pas se retrouver un jour en République française islamique. Je préfère quelques actions ciblées et menées, à une litanie d’actions exhaustives mais restant lettres mortes. Mon livre a pour objectif d’éveiller les consciences, de chacun d’entre nous comme de celles des « élites politico-médiatiques ».
François de Lochner 07/12/2017
Propos recueillis par Yann Vallerie
Source : Breizh Info
François Billot de Lochner, Chronique de L’islamisation ordinaire de la France, éditions Pierre Guillaume de Roux, 27 octobre 2017, 300 pages
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Donald Trump cible l’immigration après l’attentat terroriste à New York
L’auteur de l’attentat est arrivé aux Etats-Unis en 2011, au titre du regroupement familial. Le président américain a dit vouloir stopper “l’immigration en chaîne“.
Le suspect est un homme de 27 ans identifié comme Akayed Ullah. Il portait attaché au corps “un engin explosif rudimentaire”, a précisé le chef de la police, James O’Neill.
La police n’a rien dit pour l’instant sur les motivations du suspect, mais l’homme était “influencé” par les groupes jihadistes et avait cherché sur internet comment fabriquer la bombe, a déclaré Andrew Cuomo.
L’individu avait émigré aux Etats-Unis il y a six ans, au titre du regroupement familial (visa F43). Un système que Donald Trump a qualifié “d’immigration en chaîne” et qu’il a dit vouloir stopper.
Cette attaque “illustre une nouvelle fois l’urgente nécessité pour le Congrès de voter des réformes législatives pour protéger les Américains“, a déclaré le président américain.
“Si cette politique avait déjà été mise en place, cet attaquant n’aurait pas été autorisé à entrer dans le pays“, a ajouté Sarah Sanders, la porte-parole de la Maison Blanche, lors d’une conférence de presse.
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