immigration - Page 916
-
« Defend Europe » au JT de France 2
-
La Suède refuse l'asile politique à une iranienne convertie au christianisme
Une actrice iranienne, Aideen Strandsson, convertie au christianisme secrètement, arrivée en Suède avec un visa de travail de trois ans, a demandé l’asile à la Suède... qui lui a été refusé. Pourtant, en raison de sa conversion au catholicisme, elle est passible de sanctions pouvant aller jusqu’à la peine de mort si elle retourne dans son pays.
« Tout le monde connaît la situation en Iran et en Islam. Dans la charia, la conversion à une autre religion n’est pas acceptable et elle est punie de mort.».
La Suède vient pourtant de lui refuser l’asile, au motif que sa conversion relève « de son choix » et qu’elle n’aurait « qu’à affronter seulement six mois de prison en Iran » !
La Suède est ce pays qui accueille des immigrés clandestins, et annule des festivals de musique pour éviter que les immigrés ne commettent des agressions sexuelles. La Suède a accueilli récemment 244 000 demandeurs d’asile (dont 34% de Syriens et 10% d’Irakiens).
Les dirigeants hongrois ont publiquement fait savoir par la voix du vice-Premier ministre Zsolt Semjén que la Hongrie lui accorderait l’asile.
-
Immigration et manipulation en Allemagne
par Giampaolo Rossi
Journaliste italien ayant étudié l’archéologie, se défini lui-même ainsi : « D’abord et surtout archéologue. Pour cette raison je m’occupe de politique et des médias. J’écris pour Il Giornale. À leurs risques et périls.»
LES MENTEURS DES REDACTIONS
Ceci est un acte d’accusation sans précédent contre les médias allemands : en pleine urgence migratoire, entre 2015 et 2016, les principaux journaux d’Allemagne ont délibérément falsifié la réalité en publiant une information unilatérale et dénuée de toute critique du phénomène, embrassant exclusivement le point de vue d’Angela Merkel, de son gouvernement et des élites politiques et économiques qui voulaient imposer à l’opinion publique la « culture de l’accueil sans discrimination ». L’accusation ne vient pas des habituels polémistes réactionnaires, des blogueurs sans vergogne ou des xénophobes qui servent de prétexte pour empêcher toute opposition au délire du multiculturalisme idéologique. Non. L’accusation vient cette fois d’une recherche de la Fondation Otto Brenner réalisée par un pool de chercheurs de l’Université de Leipzig et de la Hamburg Media School, recherche coordonnée par le prof. Michael Haller ; son titre : « La crise des réfugiés dans les médias ». C’est l’étude la plus complète et la plus élaborée méthodologiquement sur ce thème.
UNE ÉTUDE RAVAGEUSE
Cette recherche a analysé plus de 30.000 articles des principaux journaux nationaux et régionaux allemands entre 2015 et 2016. Plus de 200 pages de chiffres et de statistiques détaillés sur les articles des journaux Süddeutsche Zeitung, Frankfurter Allgemeine Zeitung, Die Welt, Bild, ainsi que sur des publications en ligne et 85 journaux régionaux.
Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, Europe et Union européenne, immigration, lobby 0 commentaire -
De l’immigration de grand remplacement au métissage obligatoire…
Immigration de grand remplacement et métissage obligatoire ? Rappel de quelques déclarations significatives…
-
Immigration: thèse, antithèse, foutaise
Le plan immigration présenté par Edouard Philippe confirme l’un des principaux aspects de la méthode Macron : sur la forme, on dit tout et son contraire, sur le fond, on se place dans la lignée de son prédécesseur.
Cela donne un plan « ferme et solidaire » en clair, les vannes restent grandes ouvertes, mais avec fermeté. Tel un Valls expliquant que « les jeunes Français doivent s'habituer à vivre durablement avec la menace d'attentats », Edouard Philippe a ouvert la présentation de son plan immigration par un renoncement. « Compte tenu des causes qui l'explique [...] cette situation est amenée à durer ».
Une résignation qui n'est pas le seul point commun entre l'action de Philippe et celle de son prédécesseur. Ce qui frappe pourtant d'emblée, c'est que le Premier ministre est bien la voix de son maître, Macron. Dans son discours, le même souci de ménager la chèvre et en même temps le chou. Il a ainsi multiplié l'utilisation du mot « solidarité », à destination de sa gauche, et en même temps les mesures de « fermeté » pour rassurer le Français moyen, du moins celui qui écoute d'une oreille distraite.
Car au-delà du verbe, c'est le grand flou macronien. Le gouvernement affirme ainsi que « les personnes déboutées feront systématiquement l'objet d'une mesure d'éloignement dès le rejet de leur demande d'asile ». Comment ? Mystère. Pourtant, il admet l'ampleur du problème, reconnaissant que sur 91000 étrangers en situation irrégulière interpellés, moins de 25 000 ont quitté le territoire. Il n'a tout de même pas cité la Cour des comptes, qui a relevé que 96 % des personnes déboutées du droit d'asile restaient en France. Cela aurait été admettre que l'État organise une filière d'immigration clandestine.
Fermeté verbale...
En revanche, Edouard Philippe a. aussi insisté sur sa « volonté d'éviter la mise en place de nouveaux campements ».. Sans donner la moindre précision sur la manière d'y parvenir. À ce propos, celui de la porte de la Chapelle, évacué pour la... 34e fois à la veille de son annonce, se remplissait déjà au moment même où il donnait de la voix. Le gouvernement aurait voulu illustrer qu'il entendait vider la mer à la petite cuiller qu'il ne s'y serait pas pris autrement.
Autre point non détaillé dans ce plan gouvernemental, la préservation des moyens liés à l'hébergement et à l'accompagnement d'urgence. Est-ce parce que la pilule des économies passe mal, notamment auprès des armées (cf. pp. 24-23) - que le Premier ministre n'a pas souhaité en chiffrer le coût ?
Il a pourtant été plus précis sur d'autres éléments du volet « solidarité », quand il a annoncé la création de 12 500 places d'hébergement pour les clandestins d'ici à 2019 7 500 places pour les demandeurs d'asile et 5 000 autres pour aider les « réfugiés » à accéder au logement. Naturellement, penser que de telles mesures puissent créer un appel d'air, comme l'a démontré la même politique menée par Hollande, serait inconvenant.
Laxisme factuel
Inconvenant aussi de se dire que les mesures en faveur de « l'intégration », puis de cours de français, de dispositifs de formation, ne semblent pas à la hauteur des enjeux. L'intégration ne consiste-t-elle pas pour l'immigré à adopter les valeurs du pays d'accueil, et pas seulement sa langue et ses emplois ?
Inconvenant enfin de constater que le « passeport-talent », repris mot pour mot d'une mesure annoncée par Hollande, ressemble à un gadget rive droite et que les mesures d'accélération des procédures d'octroi du droit d'asile s'enliseront dans le flot sans cesse croissant des clandestins, à l'instar de celles de son prédécesseur.
Car le contrôle de l'immigration est largement resté au niveau des vœux pieux. Si le premier a affirmé vouloir « mieux maîtriser les flux migratoires en Europe et en France », cette maîtrise repose pour lui sur le contrôle aux frontières françaises jusqu'en novembre. Les niçois, qui voient passer chaque jour des dizaines de clandestins en provenance d'Italie, apprécieront l'ironie de la chose. Au-delà, ce sera la finalisation de la transformation de Frontex en agence européenne des garde-frontières qui devra permettre un meilleur contrôle des limes de l'UE. Quand on sait que cette dernière favorise l'immigration et que les navires de Frontex acheminent les clandestins sur nos rives, on mesure l'hypocrisie toute macronienne du propos d'Edouard Philippe.
Richard Dalleau monde&vie 26 juillet 2017 -
Attaque des militaires de Sentinelle : mais où était le chef des armées qui a réagi... 9h après ?
Plus prompt à utiliser les médias aux ordres pour faire sa crise d'autoritarisme et orchestrer l’éviction d'un général que de soutenir les militaires blessés :
-
POURQUOI L'IMMIGRATION EST-ELLE L'ABOUTISSEMENT DES VALEURS RÉPUBLICAINES ?
-
Herrou et ses pareils ne sont pas des Tartuffes mais des ennemis déclarés !
Par Jean de Maistre
Les commentaires se suivent et même se complètent sur Lafautearousseau. Celui-ci du jeudi 10 août fait suite aux commentaires reçus à propos de notre publication « Bravo, l'Italie ! Pas pour Saint-Nazaire ! Pour la Méditerranée ! ». Notamment celui d'Antiquus repris ici hier, en réponse à un commentaire d'Hugues Noël, auquel on devra se reporter ainsi qu'à notre article. (Lien ci-dessous). LFAR
Un excellent commentaire en effet. L'humanisme n'a pas grand chose à voir avec ce soutien à l'invasion migratoire et aux mafias qui l'organisent. On assiste à une volonté délibérée de détruire l'Europe, son identité, sa culture par l'installation d'une masse migratoire de plus en plus importante, issue des pays arabes et africains, immigration dont on sait aujourd'hui qu'elle refuse de plus en plus l'assimilation et constitue des enclaves ethniques sur le sol national, hostiles aux sociétés d'accueil.
Cette volonté est à la rencontre de plusieurs courants, le gauchisme qui veut punir l'Europe de ses '' fautes '' passées, de la colonisation et qui cherche vainement un prolétariat de substitution pour jeter à bas la société, depuis que le prolétariat de souche a accepté le monde tel qu'il est. Ce prolétariat de substitution, le gauchisme le trouve dans l'immigré, nouvelle divinité devant échapper à toute critique. Un autre courant est le libéralisme qui veut au nom de la mondialisation détruire les vieilles nations, seul cadre où les peuples peuvent encore avoir un semblant de contrôle sur leur destin. C'est la rencontre du gauchisme internationaliste et de la mondialisation libérale, voilà qui ne manque pas de sel.
Aux USA, les partisans les plus acharnés de l'immigration sans contrôle sont les libertariens, c'est-à-dire les ultra-libéraux, qui ne rêvent que de privatisation de tout, y compris de l'espace public, et de la destruction des frontières, afin d'avoir à disposition une main d’œuvre bon marché, comme lorsque les Anglais faisaient venir au XIX° siècle dans les usines de Manchester les irlandais chassés de leur île par la famine.
On remarquera que les richissimes émirats du golfe ont fermement déclaré qu'ils n'accepteraient aucun migrant. C'est à l'Europe et à elle seule de supporter le poids de l'invasion migratoire. Dans l'esprit des islamistes (ce n'est pas moi qui le dit, c'est eux ! ) l'arrivée de millions d'immigrés musulmans participe de la stratégie de la conquête de l'Europe déjà considérée par certains d'entre eux comme Dar al Islam, terre d'islam. Et l'on voudrait que les européens ne réagissent pas ? Si l'on veut installer dans nos vieilles nations qui n'en peuvent mais les prodromes de futures guerres civiles, il n'y a qu'à continuer ainsi.
Lire ...
Bravo, l'Italie ! Pas pour Saint-Nazaire ! Pour la Méditerranée !
-
CELA S’APPELLE TOUT SIMPLEMENT UNE INVASION…
C’est arrivé le 7 août dernier à Ceuta, l’une des deux enclaves espagnoles (l’autre est Melilla) établies au Maroc depuis le XVesiècle et aux portes desquelles s’entassent depuis longtemps, guettant l’entrée dans le « Paradis », des foules de « remplaçants noirs » venus de l’Afrique subsaharienne. Plus de 200 d’entre eux ont tout simplement franchi en force la frontière entre le Royaume du Maroc et l’enclave en passant par la porte principale. Franchir en force : en un mot, cela s’appelle envahir…
En général, la police du roi Mohammed VI fait bien son boulot et aide ses confrères espagnols à empêcher ces intrusions. Mais là, elle n’a rien pu y faire. Imaginons la situation si un jour la monarchie alaouite devait fléchir sous les coups, par exemple, d’un quelconque « printemps »… Il vaut mieux ne pas y penser. C’est notre plus grande hantise, me disait récemment un habitant de Ceuta.
Rares en Europe sont les journaux qui relatent cette invasion et s’émeuvent de ce dernier assaut du 7 août. Et s’ils le font, c’est parce qu’un policier espagnol a eu les jambes cassées. C’est très bien, une telle émotion, mais il ne faudrait pas oublier les dizaines de policiers qui ont été également blessés au cours d’autres assauts contre le grillage de fil de fer barbelé construit en 1998, haut de six mètres et pourvu de deux clôtures parallèles qui courent, aussi bien à Ceuta qu’à Melilla, au long des douze kilomètres de frontière.
Il s’agit là d’un imposant rempart qui a pourtant été percé lors de plusieurs attaques particulièrement violentes et qui ont blessé aussi bien des envahisseurs que des policiers espagnols. Inutile de dire sur lesquels des deux sont tombées les larmes de la bien-pensance…
Or, il semblerait que les derniers renforcements apportés au grillage aient été assez efficaces, car depuis quelques mois, il n’y avait plus eu d’assauts… jusqu’à celui de l’autre jour, lorsqu’une foule de 200 remplaçants noirs ne se sont même plus donné la peine de grimper sur le haut des fils de fer barbelé afin d’en forcer le passage. Mais non, voyons, c’est trop risqué ! C’est beaucoup plus simple d’entrer en courant et en grande foule – il fallait y penser ! – par la porte d’entrée, là où, à cinq heures du matin, il n’y avait que trois ou quatre policiers qui, ayant l’interdiction d’employer leurs moyens de défense contre les agresseurs, n’ont évidemment rien pu faire, sauf se faire casser les jambes, pour empêcher leur passage.
Il est à espérer que les autorités espagnoles prendront les mesures nécessaires (de nouvelles barrières, d’autres grillages, un pont-levis, peut-être… que sais-je) pour empêcher qu’un telle ruse ne puisse se reproduire. Or, c’est autre chose qu’il faudrait surtout espérer voir mettre en œuvre – mais que les belles âmes et les collabos de tout poil soient rassurés : cela ne se fera pas. Il faudrait, surtout, espérer qu’on en finisse une fois pour toutes avec cette singerie hypocrite et procédurière par laquelle, dès qu’un envahisseur a touché le sol d’un pays, on ne peut plus le renvoyer illico là d’où il est parti.
Ce ne serait qu’alors qu’on pourrait ne plus voir des images aussi consternantes que celles qui nous sont offertes. On y voit, riant, sautant de joie, se roulant par terre et poussant des cris sauvages, après leur « exploit », ces « nouveaux Espagnols » : les derniers 200 remplaçants venus nous remplacer. Une goutte d’eau, c’est vrai, par rapport aux millions que nos oligarques vont incessamment laisser entrer chez nous.
Javier Portella Écrivain et journaliste espagnol El Manifiesto -
L'efficacité de l'opération Sentinelle remise en cause par le général Desportes
Le général Desportes n'y va pas de main morte :
"Les militaires de l'opération Sentinelle ont une nouvelle fois été pris pour cible, ce mercredi matin à Levallois-Perret, par un homme au volant d'un véhicule qui les a percutés, faisant 6 blessés.
Pour le général Vincent Desportes, interrogé au micro de Sud Radio, c'est l'existence même de l'opération Sentinelle qu'il faut remettre en cause.
"Ça suffit ! L’opération Sentinelle n’a jamais prouvé qu’elle avait empêché la moindre attaque terroriste, en revanche, elle fournit des cibles toutes trouvées pour les illuminés de Daesh. Chaque fois que les militaires de Sentinelle sont intervenus, c’est pour se protéger d’attaques dont ils étaient eux-mêmes l’objet", a-t-il rappelé.
"C’est une opération qui coûte très cher en capacité d’entraînement des militaires. Ça pèse lourd sur les armées. Elles sont sous-entraînées par rapport à toutes les normes internationales, en particulier à cause de l’opération Sentinelle. Ça a un coût sur les familles, avec un taux d’absentéisme des pères, des maris, extrêmement forts. Bon nombre de soldats ne veulent plus renouveler leurs contrats, arrêtent leurs contrats, parce qu’ils font un métier qui n’est pas le leur", a ajouté le général Desportes.
Pour lui, elle pose aussi la question de l'utilisation des moyens de l'armée, par rapport aux théâtres d'opérations extérieures : "Nous avons arrêté l’opération Sangaris en Centrafrique parce qu’il avait besoin d’effectifs pour Sentinelle. Bilan : la Centrafrique est aujourd’hui à feu et à sang. Au Sahel, nous avons 4000 soldats dans une zone plus grande que l’Europe, parce que nous ne pouvons pas mettre les effectifs suffisants."
"Je crois que le président Macron, au lieu de passer son temps à retirer des crédits aux armées, doit se poser la question du rapport coût / intérêt de cette opération et il comprendra que les soldats ont autre chose à faire que défiler dans les rues de Paris et servir de cibles aux illuminés de Daesh", a conclu le général Vincent Desportes".