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immigration - Page 936

  • Les territoires perdus des femmes en France

    André Versaille publie en ce moment un feuilleton sur le site du Monde, intitulé: « Les musulmans ne sont pas des bébés phoques »

    Cela fait des années que l’on voit l’islamisme irriguer des banlieues et y imposer progressivement sa loi, notamment sur les femmes. Nombre d’entre elles sont surveillées et leur liberté s’y restreint chaque jour davantage. Elles ont non seulement perdu le droit de s’habiller comme elles l’entendent sous peine d’être insultées, voire molestées, mais, ainsi qu’un reportage diffusé le 16 décembre 2016 sur France 2 l’a montré, dans plusieurs quartiers de la périphérie de Paris et de Lyon, par exemple, elles deviennent de plus en plus indésirables dans l’espace public. Là, pour une femme, se promener en jupe ou prendre un verre en terrasse s’apparente, aux yeux de certains musulmans, à une attitude de défi. Dans le reportage, une femme, Aziza Sayah, déclare : « Pour moi, l’islam, c’est comme le Code pénal, maintenant “Ça, c’est interdit ! Ça, c’est interdit ! Tout est interdit !” On est en France, quand même ! » Le reportage montre des femmes résignées comme cette assistante maternelle qui fait tout pour ne pas être remarquée : « Je mets des vêtements sombres, des pantalons, pas de jupe, pas de maquillage. On s’efface. – Pourquoi ? – Parce qu’on a peur, tout simplement ! »

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  • ME FRÉDÉRIC PICHON : « LE PROCÈS DE GÉNÉRATION IDENTITAIRE EST UNE ATTEINTE À LA LIBERTÉ D’EXPRESSION »

    Il y a cinq ans, l’action choc du groupe Génération identitaire, qui avait occupé le chantier de la mosquée UOIF de Poitiers, avait défrayé la chronique. Leur procès a lieu ce 20 octobre.

    Me Frédéric Pichon, un des avocats de ces jeunes gens, dénonce ces poursuites politiques qui n’ont d’autre but que de museler l’opinion sur la question de l’islam. 

    http://www.bvoltaire.fr/proces-de-generation-identitaire-atteinte-a-liberte-dexpression/

  • À charge de revanche

    La racine originelle de la haine des djihadistes « français » à notre encontre ne repose pas que sur le mépris de notre mode de vie occidentalisé ou les quelques bombardements hebdomadaires de nos forces armées en Syrie et en Irak. La véritable source de cette haine est bien plus profonde et ancrée. Elle transcende les siècles et les générations, elle dépasse même la « simple » question djihadiste. C’est parce que nous sommes aujourd’hui désarmés face à cette haine qu’il est devenu plus que nécessaire d’en cerner les fondements.

    Derrière le djihad, la revanche

    Le plus simple consiste à s’intéresser aux propos tenus par les djihadistes eux-mêmes, sans filtre. Dans son livre « Les Revenants », le journaliste David Thomson raconte ses entretiens avec des combattants « français » de retour de Syrie et d’Irak. Au fil des pages et des portraits de ces islamistes, une des raisons du mépris et de la haine de la France et des Français revient fréquemment : la colonisation.

    Un passage est particulièrement parlant. C’est celui où « Lena », une jeune maghrébine de retour de Syrie, nous explique les causes de son engagement :

    « J’ai toujours eu l’impression d’être inférieure du fait que j’étais musulmane » dit Lena, qui répète détester la France. Une détestation entretenue par un ressentiment post-colonial (…). « Moi étant d’origine algérienne, j’ai mon grand-père qui est mort durant la guerre [d’Algérie, NdA]. J’aime pas dire guerre car c’était pas à armes égales, moi je dis souvent « le génocide français ». Le djihad, c’est se battre pour retrouver notre dignité qu’on a perdue, qu’on a voulu écraser » (Les Revenants, David Thomson, éditions Seuil, page 189).

    Plus loin, un certain Abou Moujahib tient à peu près le même discours :

    « Nous, on est des Marocains, des Algériens et la France elle est venue en Algérie, elle a fait la guerre, elle a exterminé, elle a fait un génocide, elle a tué, elle a égorgé les têtes des Algériens. Donc il y a non seulement sa guerre contre l’islam dans sa politique actuelle, mais il y a aussi sa guerre contre l’islam dans son histoire. Voilà pourquoi la France est une des premières cibles ».

    Et David Thomson d’en conclure que « bien au delà de son intervention en Syrie et en Irak, de sa politique actuelle jugée hostile à l’islam, la France paierait donc aussi, sur le tard, les blessures issues de la colonisation » (Les Revenants, David Thomson, éditions Seuil, page 254).

    Des propos dont la teneur nous est familière, car déjà formulés dans bien d’autres bouches que celles de djihadistes. Ce mépris des Français en raison de la colonisation, on le retrouve aussi dans les cours d’écoles, on le lit également dans les commentaires sur les réseaux sociaux, on l’entend même sur les plateaux de télévision. Car du djihadiste à la racaille du collège en passant par la « beurgeoisie » médiatisée, on observe toujours les deux mêmes ressorts : le mépris plus ou moins exprimé des nôtres (le blanc, le Français, nos ancêtres responsables de tous les maux) et le sentiment de revanche. Entre la haine affichée à notre égard par la racaille, le djihadiste et le « militant anti-colonial » de la 25e heure, il y a une différence de degrés, mais pas de nature.

    Ce sentiment de revanche de musulmans à l’encontre des Européens n’est pas un phénomène nouveau dans l’Histoire. Dans son livre « Esclaves blancs, maîtres musulmans » sur la traite des chrétiens en Méditerranée de 1500 à 1800, l’historien Robert C. Davis dresse le constat suivant :

    « En Barbarie, ceux qui recherchaient des esclaves pour en faire la traite attendaient sans aucun doute d’en tirer un profit, mais dans leur trafic de chrétiens il y avait toujours une dimension de revanche, presque de jihad, en réparation des torts de 1492 (NdR : la chute de Grenade et la fin de la Reconquista). (…) C’est peut-être l’aiguillon de cette vengeance – à opposer aux rouages indifférents du marché – qui a rendu les traitants musulmans tellement plus actifs et, au départ au moins, plus prospères dans leur entreprise que leurs homologues chrétiens ».

    De manière peut-être diffuse mais bien tangible, la traite des blancs en Méditerranée était perçue comme une réponse à la Reconquista, tout comme, plusieurs siècles après, les attaques contre la France et les Français (les attentats mais aussi les agressions et les insultes du quotidien) sont, de manière plus ou moins consciente selon les cas, appréhendées comme une réponse à la colonisation et à l’exploitation supposée de l’Afrique par les Européens. Il s’agit ici d’un mécanisme séculaire : le sentiment de revanche est une pensée de fond qui s’inscrit sur le temps long et transcende les générations.

    Réhabiliter l’esprit de revanche

    Si aujourd’hui l’esprit de revanche des populations immigrées est basé sur des mythes destinés à culpabiliser leur prétendu oppresseur, l’esprit de revanche n’en est pas pour autant intrinsèquement néfaste. Tout dépend de ses motivations, dans l’Histoire il a pu aussi maintenir des peuples européens en vie. Guidé par l’espérance, l’esprit de revanche peut permettre à un peuple, au fil des générations, de survivre et de demeurer lui-même face à l’adversité. C’est le souffle de la revanche qui a animé le Reconquista pendant près de 8 siècles. C’est cet esprit qui a engendré la renaissance des pays des Balkans (Grèce, Serbie, Bulgarie…) après une longue et cruelle domination ottomane. La notion « d’esprit de revanche » mérite amplement d’être réhabilitée à la seule lumière de ces indéniables constats historiques.

    Par le passé, l’esprit de revanche pouvait, certes, aussi nourrir la rancœur et entraîner des peuples frères à une lutte stérile et autodestructrice. La Grande Guerre, source du suicide européen du XXe siècle, est un exemple criant. Mais c’est aussi, malgré tout, l’esprit de revanche face à l’Allemagne après la défaite de 1870 qui a contribué à forger la vaillance et la persévérance de nos poilus dans les tranchées. Le chant « La strasbourgeoise » est sans doute l’illustration la plus symbolique de ce sentiment qui animait nos Anciens, après pourtant quatre décennies de paix officielle. Face aux blessures infligées par l’ennemi, quel contraste entre l’attitude de la Mendiante de Strasbourg et les biens lénifiants « ils n’auront pas ma haine » d’aujourd’hui…

     

    Mais l’esprit de revanche ne souffle plus sur la France. Ou plutôt si, mais en négatif : loin de la porter, le vent de la revanche souffle désormais contre elle. Et de l’intérieur. Notre peuple est attaqué de toute part dans son identité, sa culture, sa langue. On lui retire sa fierté, on le contraint à la repentance. On insulte ses ancêtres pour mieux culpabiliser ses enfants. Autant de syndromes pour un même diagnostic : notre peuple est en danger de mort. Pourtant, il semble comme pétrifié. Un nouvel esprit de revanche pourra t-il le réanimer ?

    Une même volonté de salir

    Entre la traite des blancs en Méditerranée d’hier et les meurtres, les insultes et les agressions contre les Français d’aujourd’hui, il y a – outre l’esprit de revanche – une autre similarité frappante : l’expression d’un profond désir de souiller, de salir, de dégrader. Avec une humiliation perçue comme un mode d’action, un outil de la revanche.

    Dans cette entreprise, les femmes européennes constituent toujours une cible de choix. Autrefois vendues dans les marchés aux esclaves d’Alger, de Tunis ou de Tripoli, elles souffrent encore à notre époque du sentiment de revanche à leur encontre. Un phénomène qui dépasse largement la seule question des attentats, même si on songe évidemment – avec un profond sentiment de tristesse et de colère – à Mauranne et Laura, les deux jeunes filles victimes de la récente attaque à la gare Saint Charles de Marseille. Un crachat d’un « harceleur de rue », une insulte adressée à une caissière mère de famille, une gifle infligée à une collégienne… sont aussi les marqueurs quotidiens d’une volonté de souiller la femme européenne. Les épouses, les mères, les sœurs et les filles sont les premières cibles parce que symboliquement plus faciles à salir. En les attaquant, on vise le cœur de notre civilisation. On renvoie aussi l’Homme européen à sa lâcheté en ciblant une femme qu’il n’est trop souvent plus capable de défendre ni protéger.

    L’avenir de l’esprit de revanche

    Toutes ces attaques, des « petites » humiliations du quotidien aux tueries de masse, ont une conséquence : elles font elle-mêmes, inéluctablement, naître un sentiment de revanche, bien qu’encore en germe, chez les Français.

    N’est-ce pas l’ébauche d’un esprit de revanche qui explique la recrudescence des engagements dans l’armée et la police après chaque attentat d’ampleur ? N’est-ce pas cet esprit ressenti en réaction à des scènes vécues qui a motivé beaucoup des nôtres à changer de vote, prendre radicalement position ou s’engager politiquement ?

    Dans toutes les communautés, le sentiment de revanche progresse. Il est en train de gagner les esprits et les cœurs comme jamais. Il s’inscrit sur le temps long. A ce titre, il animera irrémédiablement les générations qui nous succéderont au cours de ce XXIe siècle.

    Cet esprit de revanche ne constitue sans doute pas une fin en soi. Il ne représente pas nécessairement un sentiment très noble. Mais on aurait grandement tort de le dédaigner, car quand il s’exprime, il a ce pouvoir rare de réanimer un peuple en dormition et de le détourner du chemin qui le mène vers la sortie de l’Histoire. Un peuple qui sera bientôt las de baisser la tête et de compter ses morts.

    Cyril Raul

    http://www.les-identitaires.com/2017/10/a-charge-de-revanche/

  • Expulsion de clandestins : une fausse promesse ? - Journal du Mercredi 18 Octobre 2017

  • Filip Dewinter repart en campagne contre l'islamisation de la Flandre

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    Le député du Vlaams Belang Filip Dewinter a présenté ce 12 octobre 2017 à la presse, devant la grande mosquée de Bruxelles, son ouvrage en néerlandais intitulé « Résistance ! Guide de résistance contre l’islamisation ! »

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    Source Lionel Baland

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Marseille : ce n'est pas le préfet qui aurait dû être limogé mais les juges

    6a00d83451619c69e201bb09ce25f9970d-250wi.pngJean-Yves Le Gallou est interrogé longuement dans Minute à propos du Djihadiste de la gare Saint-Charles, à propos duquel le préfet a été limogé. Extrait :

    "[...] La responsabilité est à imputer au minimum aux dirigeants de l’époque la plus récente, présidents de la République et ministres de l’Intérieur en tête, à savoir Macron, Collomb, Hollande, Valls et Cazeneuve.

    Mais ce qui s’est passé est aussi la conséquence du contrôle des lois par le Conseil constitutionnel en une application extensive des dispositions des conventions internationales, la Convention européenne des droits de l’homme et la Convention internationale des droits de l’enfant notamment.

    Le problème fondamental est qu’il n’y a plus de séparation des pouvoirs. Toutes les décisions en matière d’immigration sont prises par le pouvoir judiciaire ou effectuées sous le contrôle des juges. Le pouvoir administratif et le pouvoir politique ont quasiment disparu. Montesquieu devrait se retourner dans sa tombe.

    Ce qui est également scandaleux, c’est que ces problèmes, qui existent depuis des années et sont dûment identifiés, n’ont pas été abordés une seule fois durant la présidentielle ! Pas une seule minute ! Et pourtant, certains can- didats, et pas des moindres, avaient à disposition des gens tout à fait compétents sur ces questions-là, mais ça ne les intéressait pas... [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Après la nourriture halal ou la finance halal, voici l’assurance halal

    Sonia Mariji Assurance halal

    8968-20171018.jpgAprès l’alimentation halal, les confiseries halal, la bière halal (sic) et même la charcuterie halal (re-sic), les pratiques sexuelles halal et le reste, voici que la finance halal se lance dans l’assurance du même tabac. Dès 2012 sur internet, puis 2015 à travers un réseau physique d’agences, des sociétés financières réputées halal ont investi dans l’assurance des particuliers comme des entreprises. Parangon autoproclamé de la probité, la finance halal se drape dans le voile de toutes les vertus, draguant ouvertement musulmans et même non-musulmans, notamment les déçus de la financiarisation débridée et des abus bancaires en tous genres.

    La fondatrice de Noorassur, premier réseau de finance halal, Sonia Mariji (photo), annonce clairement la couleur lorsqu’elle écrit : « La Finance islamique par NoorAssur est une formule qui répond à un besoin réel parmi les Françaises et Français de confession musulmane, mais également des non-musulmans lassés du système bancaire conventionnel ! » Gageons qu’il se trouvera toujours un certain nombre de nos concitoyens un peu candides pour se laisser convaincre par d’aussi rudimentaires arguments.

    Ainsi, Noorassur, réseau spécialisé dans la finance islamique, promettant « une alternative à la finance conventionnelle, un compartiment de la finance responsable », se targue-t-il d’ouvrir une agence chaque mois en France, avec l’ambition de doubler ce développement en 2018. Jurant son grand dieu de bannir les intérêts haram (non halal) et l’usure au profit de plus-values respectueuses des préceptes de l’islam, le réseau financier annonce la création d’une gamme Takaful – contraction de l’arabe fakala, le partage, et de mutualisation.

    Il s’agit d’une assurance solidaire, 100 % halal, pour la santé – équivalent à nos mutuelles santé –, le rapatriement des corps, l’assistance voyage, mais aussi pour l’ensemble des besoins assurantiels des particuliers, entreprises, associations etc.

    Ces lénifiants engagements étant posés, Sonia Mariji, ne perdant visiblement pas le nord, recherche activement des partenaires franchisés capables de contribuer au développement rapide de son réseau Noorassur, comme le ferait n’importe quel vulgaire investisseur-franchiseur non halal…

    Arnaud Raffard de Brienne

    Article paru dans Présent daté du 18 octobre 2017

    https://fr.novopress.info/

  • Élections en Autriche : les conservateurs arrivent en tête et pourraient gouverner avec les populistes

    16/10/2017 – AUTRICHE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Les Autrichiens votaient hier pour élire leurs représentants au Conseil national. Les résultats de ces élections législatives sont moins bouleversants que ceux de la récente élection présidentielle, qui avaient vu la débâcle des deux grands partis.

    Ce sont les conservateurs qui l’emportent assez largement, avec plus de 31 % des voix

    C’est donc l’actuel vice-chancelier, Sebastian Kurz, 31 ans, qui devrait être amené à composer une coalition. Cette mission incombe en effet au parti arrivé en tête. Deux solutions s’offrent à lui. Soit reconduire la grande coalition actuelle avec les sociaux-démocrates, mais le chancelier actuel, le social démocrate Christian Kern, a exclu cette hypothèse, soit se tourner vers le parti des « libéraux », c’est à dire les populistes conduits par Heinz Christian Strache.

    Ces deux partis sont en effet dans un mouchoir de poche !

    Les résultats officiels donnent le FPÖ légèrement devant le SPÖ, les deux autour de 27 %. Mais c’est sans compter les votes par correspondance qui seront dépouillés jusqu’à jeudi ! Au total, les instituts de sondage placent les sociaux démocrates devant les populistes. Un beau succès quand même pour le parti de Strache, qui gagne 6 points par rapport aux précédentes élections. A noter par ailleurs que les Verts s’effondrent, victimes notamment d’une candidature dissidente.

    Le FPÖ est-il en passe de revenir au pouvoir ?

    C’est très probable : les populistes sont en position de faiseurs de roi, puisqu’ils pourraient former une majorité tant avec les conservateurs qu’avec les sociaux-démocrates. Mais l’hypothèse la plus crédible est une alliance « noire bleue », entre conservateurs et populistes. Kurz a fait de la maîtrise de l’immigration un important thème de campagne. C’est ce qui lui a permis de remobiliser l’électorat conservateur et de faire retomber le FPÖ. La priorité donnée par les électeurs à la lutte contre l’immigration semble mettre la gauche hors du jeu.

    https://fr.novopress.info/

  • Entrer illégalement en France, ce ne serait plus un délit

    Hier, dans son entretien, Emmanuel Macron a promis que tous les « étrangers en situation irrégulière » qui commettent un délit « quel qu’il soit seront expulsés », promettant d’être « intraitable sur ce sujet ».