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Immigration : “Vous serez bienvenus chez nous” - Journal du Mardi 20 Février 2018
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Retour des djihadistes : des stratégies différentes pour l’Europe, la Russie et les USA
Face au recul de Daesh, le problème du retour des djihadistes se pose plus que jamais.
Rapatriés dans leur pays d’origine ou traduits en justice en Irak ou en Syrie, chaque pays a sa propre stratégie.
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Une Finlandaise pose les bonnes questions sur le multiculturalisme.
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400 000 immigrés clandestins en France ?
C'est l'estimation du député Guillaume Larrivé :
Cette estimation est basée sur un rapport parlementaire rédigé par le même député au 15 février, qui précise qu'il y a 311 310 bénéficiaires de l'Aide Médicale d'Etat (soins gratuits pour les étrangers en situation irrégulière) en 2016. Mais il est douteux que les 3/4 de la jeune population immigrée clandestine ait chaque année besoin de soins médicaux...
Cette estimation se base également sur le nombre d'expulsions prononcées : du 1er janvier 2012 au 30 septembre 2017, 539 832 mesures d’éloignement avaient été prononcées à l’égard d’étrangers en situation irrégulière, parmi lesquelles 120 555 éloignements avaient été exécutés. Sur cette période, 419 277 personnes sont donc restées sur le territoire sans titre de séjour.
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ALLEMAGNE : VIOLENCE GAUCHISTE CONTRE LES FEMMES QUI DÉNONCENT LES VIOLENCES SEXUELLES DES MIGRANTS ET LA POLITIQUE DE MERKEL
Diverses initiatives prises par des femmes, notamment des manifestations, voient le jour en Allemagne afin de dénoncer les violences sexuelles commises par les migrants.
Ainsi, une marche des femmes s’est déroulée dans ce cadre, ce samedi 17 février 2018, dans le centre de Berlin. Selon la police, 500 personnes ont pris part au rassemblement organisé par madame Leyla Bilge, âgée de 35 ans, kurde et musulmane, membre du parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD) et sympathisante du mouvement anti-islamisation PEGIDA.
Leyla Bilge, qui se présente en tant que militante des droits de l’homme et qui aide – grâce à son association « Leyla » – les réfugiés yézidis et chrétiens au Proche-Orient et dans les camps de réfugiés situés près de la frontière turco-syrienne, déclare : « Nous sommes ici en Allemagne au XXIe siècle. Il ne doit pas y avoir de retour au Moyen Âge, ni d’introduction rampante de la charia. »
Le motif de ce rassemblement n’a pas plu à tout le monde et 900 gauchistes ont perturbé et bloqué l’événement durant des heures malgré la forte présence policière. Des affrontements physiques et verbaux ont eu lieu entre les gauchistes et les représentants des forces de l’ordre. Les contre-manifestations, au même titre que la manifestation, ont été autorisées. Par contre, le blocage de la manifestation est illégal. Les deux manifestations se sont dissoutes près de Checkpoint Charlie vers 18 h 30. Les contre-manifestants de gauche reprochent à Leyla Bilge de diffuser une vision raciste et antimusulmane, et d’instrumentaliser le droit des femmes.
La police a annoncé, en début de soirée, que certains participants à la marche des femmes ont, malgré tout, pu atteindre, en petits groupes, le but ultime : la chancellerie d’Allemagne. Les forces de l’ordre ont qualifié la situation de défi en matière logistique et de sécurité.
La perturbation par des gauchistes de manifestations de femmes a également eu lieu à Hambourg, dans le nord du pays.
Le 5 février dernier, la première manifestation du lundi – inspirée de celles qui eurent lieu en 1989 en Allemagne de l’Est et qui conduisirent, à l’époque, à la chute du régime communiste – y a rassemblé 60 personnes. Organisée par une dame indépendante de tout parti ou mouvement politique, dénommée Uta Ogilvie, et visant le départ de la chancelière sous le slogan « Merkel doit partir ! » (« Merkel muß weg »), elle n’a pas provoqué d’afflux de contre-manifestants.
Cependant, la réussite de ce rassemblement quasi spontané a attiré a posteriori les foudres de membres de milices gauchistes qui s’en sont pris à Uta, à ses biens et à sa famille. Ainsi, dans la nuit du dimanche 11 au lundi 12 février, des gauchistes ont conduit une attaque contre son domicile : la façade de la maison a été salie avec de la peinture, une fenêtre de chambre à coucher a été brisée par un objet contenant de la peinture et celle-ci s’est répandue dans la pièce. Les pneus des deux véhicules de la famille ont été aussi endommagés.
Le lundi 12 février, en début de soirée, en se rendant à la deuxième manifestation, Uta et son père ont été attaqués par des gauchistes, mais ont pu être extraits par la police. D’autres personnes ont rencontré le même problème. Uta Ogilvie dénonce le fait que, selon elle, ces gauchistes sont financés par l’État, via de l’argent public accordé à des fondations. Afin de protéger sa famille, Uta a été contrainte de jeter l’éponge en déclarant : « Je ne peux imaginer ce qu’il serait advenu si les lits des enfants s’étaient trouvés sous cette fenêtre. »
Mais une autre dame a décidé de reprendre le flambeau et organise, ce lundi 19 février 2018, une nouvelle manifestation.
Écrivain et journaliste belge francophoneLien permanent Catégories : actualité, Europe et Union européenne, immigration, insécurité 0 commentaire -
Le nombre de mineurs étrangers en France explose, leur coût atteindrait 1,5 milliards d’euros
Le coût annuel de leur accueil atteindrait 1,5 milliard dans six mois. L’État livrera ses solutions le 6 mars.
La courbe est exponentielle. De l’aveu même des départements, le coût de la prise en charge des mineurs étrangers non accompagnés (MNA) ne cesse d’augmenter. Compte tenu du nombre d’accueils enregistrés chaque semaine, les collectivités estiment que la facture pourrait atteindre 1,5 milliard dans six mois, alors qu’elle était évaluée à 1 milliard en septembre dernier.
Dans les Hautes-Alpes, la situation devient préoccupante. «Les chiffres avaient déjà été multipliés par vingt entre 2016 et 2017 et le flux continue, crescendo. On ne sait pas comment nous allons finir 2018», s’alarme Jean-Marie Bernard, président de ce département de 140.000 habitants, qui compte 1300 MNA. En plein mois de février et malgré les neiges hivernales, les arrivées sont aussi importantes qu’au mois d’août.
Le coût de la prise en charge d’un mineur étranger au titre de l’aide sociale à l’enfance (ASE) atteint 50.000 euros par jeune et par an, alors que la contribution de l’État ne dépasse pas 1250 euros par mineur. Chaque année, les départements assument ainsi 25.000 cas, soit 1,25 milliard d’euros.
Le 6 mars, le premier ministre recevra le président des départements de France, où ce problème aigu sera abordé. Édouard Philippe a commandé un rapport sur ces mineurs isolés pour évaluer précisément l’ampleur du phénomène et proposer des solutions. Cette mission a été conjointement menée par les services de l’État et les départements.
Selon une récente note issue de ces travaux, révélée mardi, deux scénarios sont envisagés pour décharger les collectivités. Le premier conserve le principe de l’évaluation décentralisée des migrants, en augmentant les moyens financiers jusqu’à 106 millions d’euros pour 60.000 individus.
La seconde piste consisterait à confier l’évaluation et la mise à l’abri des jeunes migrants à l’État. Ce projet ne pourrait s’amorcer qu’à partir de 2019. Il impliquerait la construction de centres d’hébergement et l’organisation de plateformes interdépartementales. Coût prévu: 125 millions d’euros par an pour 50.000 jeunes étrangers.
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Clandestins à Ouistreham, jusqu'où les autorités laisseront-elles pourrir la situation ?
Source PdF Calvados cliquez ici
Clients du Casino importunés par les Soudanais qui déambulent et qui squattent aux alentours, riverains qui voient les clandestins casser les fenêtres des résidences secondaires pour essayer de s'y installer, touristes qui annoncent qu'ils ne reviendront plus à Ouistreham malgré "l'accueil et la gentillesse des habitants", présence quasi-hebdomadaire d'agitateurs d'extrême gauche qui se servent des pseudo-migrants pour fantasmer sur une révolution, etc., Ouistreham a-t-elle définitivement vocation à devenir un repoussoir invivable ?
Lorsque nous avons manifesté contre l'implantation des clandestins en 2016, les autorités et les médias nous accusaient de dénoncer un problème imaginaire, sous-entendant largement que nous exagérions, voire que nous mentions.
Deux ans plus tard, quand nous avons de nouveau manifesté le 03 février dernier, les médias ne pouvant plus nier la problématique migratoire, nous avons été accusés de ne voir que le mauvais côté des choses.
Pourtant, la vérité c'est qu'il n'y a aucun bon côté, et les exemples que nous avons cités en début d'article, ne sont que quelques-unes des problématiques que les Ouistrehamais et les amoureux de Ouistreham nous remontent quasi-quotidiennement.
Si, à l'appel de l'Association pour le Retour au Pays des Expatriés (ARPE), nous avons manifesté pour demander l'expulsion de tous les clandestins, c'est notamment pour que cette charmante station balnéaire ne perde pas sa belle réputation qui attire tant de touristes vitaux pour le commerce local.
Le Parti de la France s'associe une fois de plus à l'ARPE et à tous les Ouistrehamais mobilisés contre la colonisation migratoire, pour demander la libération totale et immédiate de la ville !
Rejoignez nos équipes militantes en écrivant à calvadospdf@gmail.com et n'hésitez pas à contacter l'ARPE à cette adresse : arpecourriel@gmail.com
Sur la manif de Ouistreham cliquez ici
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Stop à l’islamisation ! : les militants de l’AFD manifestent à Berlin
À Berlin, des échauffourées ont éclaté entre des manifestants et la police. Ils s’étaient réunis pour tenter d’empêcher un défilé de militants de l’AFD, le parti populiste allemand.
Plusieurs personnes ont été arrêtées. Les manifestants ont organisé un sit-in sur le tracé du cortège.
Ils n’ont cependant pas empêché la tenue de la manifestation, dont le principal slogan était “Stop à l’islamisation”. Sur les pancartes des participants, un appel à défendre les droits des femmes.
L’AFD avait organisé cette manifestation dans le quartier de Kreuzberg où vivent de nombreux musulmans.
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Le grand remplacement jusqu'au cinéma
De Michel Geoffroy sur Polemia :
"Depuis longtemps les films hollywoodiens nous montrent que les méchants sont des albo-européens, même si leur nationalité peut varier selon le scénario. Des méchants mafieux siciliens, des méchants albanais qui organisent des réseaux de prostitution et surtout des méchants russes… Tous fachos et suppôts de Poutine ! Comme lorsqu’à la télévision, on nous présente des policiers procédant à une interpellation : le prévenu est toujours de la bonne couleur ! Car les codes hollywoodiens se sont imposés partout en Occident. Les asiatiques ont certes eu leur heure de gloire dans le registre du mal cinématographique : du Docteur No au méchant Thao qui veut voler la belle voiture de Clint Eastwood puisqu’il est bien connu que les gangs hmongs sont très puissants outre-atlantique…. Il y a encore périodiquement aussi des méchants terroristes islamistes au cinéma, mais ils sont heureusement souvent mis hors d’état de nuire par de gentils policiers musulmans ou noirs. Mais aujourd’hui, sur nos écrans, chacun peut constater que les méchants sont pour l’essentiel des « personnes perçues comme blanches ».
Les gentils sont afro-américains
Les afro-américains, par contre, entrent rarement dans la catégorie des méchants. Ils jouent en général des rôles de policiers, de militaires, de savants, de prêtres (non pédophiles) ou d’informaticiens dans les productions hollywoodiennes. S’ils commettent des hold-up c’est en général pour se venger des méchants blancs, car ce sont toujours de gentils bandits. Ils sont aussi Président des Etats-Unis ce qui, vous en conviendrez, est un gage de gentillesse. Ce stéréotypeapparaît désormais comme la marque de fabrique des productions hollywoodiennes et déteint partout.
Le rôle des lobbies communautaires
Cette situation ne résulte pas du hasard. Elle traduit d’abord la volonté de l’industrie médiatique de séduire aux Etats-Unis le public afro-américain et, sur un plan plus général, de s’adapter à un monde où, demain, 40% de la population mondiale, sera, d’après les prévisions de l’ONU, issue du continent africain. Et de s’adapter aussi à une Amérique de moins en moins WASP et de plus en plus multiculturelle. Un phénomène qui se retrouve d’ailleurs dans la propagande publicitaire, qui met désormais systématiquement en scène des couples mixtes ou des métis voire qui vise des créneaux carrément ethniques, mot novlangue pour désigner un segment de cette clientèle « perçue comme non-blanche ». Le stéréotype « méchant blanc/gentil noir » traduit aussi la vigilance des associations de défense communautaires qui veillent au respect de la bonne image cinématographique et télévisuelle des « minorités » et qui n’hésitent pas à engager des procès et des boycotts pour se faire entendre.
Les remakes, expressions de la nouvelle norme politiquement correcte
D’où aussi la propension du cinéma à augmenter la proportion de personnages de couleur incarnant un rôle positif dans le scénario, comme on peut le voir lorsqu’on examine des remakes. Car les remakes correspondent le plus souvent à une réécriture politiquement correcte de l’œuvre initiale. Ainsi par exemple le film américain de fiction apocalyptique Je suis une légende de Françis Lawrence (2007) est un remake du film Le Survivant de Boris Sagal (1971). Mais dans ce remake, le héros est noir (incarné par l’acteur Will Smith) alors que, dans le film original, il est blanc (incarné par l’acteur Charlton Heston). Dans le remake le héros rencontre aussi une femme blanche ; dans le film initial il rencontre une métisse. Dans le remake enfin, les méchants mutants ont la peau blanchâtre alors que dans la version originale ils avaient la peau sombre ! En d’autres termes le starring du film a été systématiquement inversé.
Salauds de blancs !
Cette comparaison permet de mesurer la progression du stéréotype consistant désormais à associer aux albo-européens des caractères systématiquement négatifs. Un stéréotype que bien sûr les bonnes âmes se gardent de dénoncer. Ainsi, par exemple, dans le film de fiction Prometheus de Ridley Scott (2012), les méchants humanoïdes albinos qui veulent détruire la terre, semblent sortis de la statuaire d’Arno Brecker ! Et dans le même film le capitaine du vaisseau spatial qui se sacrifie courageusement pour sauver la terre est… un afro-américain, comme il se doit. Il serait fastidieux de citer les innombrables scénarios, que ce soit sur grand ou petit écran, qui reposent sur ce stéréotype de nature raciste : salauds de blancs, gentils noirs ! Mais ce racisme ne choque évidemment pas les ligues de vertu puisque, par construction, le racisme anti-blanc n’existe pas. Et qu’il véhicule une haine de soi à destination du seul public albo-européen, sommé de gober sans broncher ces stéréotypes masochistes. Les blancs sont méchants et les gentils sont de couleur : une autre façon, finalement, d’affirmer que « l’immigration est une chance pour nous » !
Le Grand Remplacement, c’est aussi dans nos têtes
Mais cela ne suffisait pas ! Car aujourd’hui Hollywood et ses suiveurs sont en passe de franchir une nouvelle étape : remplacer tout simplement les albo-européens par des afro-américains dans les films à prétention historique. Par exemple dans le film King Arthur de Guy Ritchi (2016), l’acteur noir Djiman Hoansou incarne un chevalier de la Table Ronde, sir Bevedere. Dans la série télévisée Once Upon a Time, c’est Sinqua Walls, un autre acteur noir, qui joue le rôle de Lancelot. Dans le film Robin Hood Origind’Otto Bathurst, le personnage de Petit Jean sera joué par un acteur afro-américain Jamie Fox. Au théâtre, l’actrice afro-américaine Condola Rashad incarnera Joan Of Arc. Et dans la série de la BBC The Hollow crown, la reine Marguerite d’Anjou est jouée par l’actrice métisse Sophie Okonedo. On entend déjà les bonnes âmes s’écrier : pourquoi une personne « perçue comme non blanche »n’aurait-elle pas le droit de jouer Lancelot ou Marguerite de Valois ? D’autant que les races humaines n’existent que dans l’esprit tordu des racistes. Mais, curieusement, les mêmes ne supporteraient sans doute pas qu’un acteur albo-européen joue, par exemple, le personnage de Martin Luther King…Comme le footballeur Antoine Griezmann l’a appris à ses dépens, quand il s’est déguisé en basketteur afro-américain ! Car pour le Système médiatique, il ne peut y avoir de réciprocité : le Remplacement n’est autorisé que dans un seul sens. Sinon c’est du racisme, du colonialisme ou de l’appropriation culturelle. Bref, c’est toujours mal quand c’est blanc.
Un casting ridicule ? Non un projet chaotique
A l’évidence ces castings placés sous le signe de la « diversité », comme ces scénarios où les méchants sont invariablement des albo-européens, ne sont pas neutres : ils jettent les bases d’une nouvelle guerre cognitive menée contre les Européens. Une guerre destinée à leur faire croire qu’ils n’existent pas, sinon pour nuire au reste de l’humanité. Une guerre qui s’attaque aux représentations de leur passé donc à leur identité et à leur être. Une guerre qui s’intègre dans le projet chaotique de la Super Classe Mondiale consistant à transformer les Européens en monades, pour mieux les mettre en servitude. Ces castings font certes sourire ceux qui ont encore un peu de culture, car il est douteux qu’on ait désormais le droit d’en rire en Europe de l’Ouest. Mais qu’en sera-t-il demain des petits européens qui auront été essorés par la machine à « éducation inclusive », sevrés de théorie du genre et d’antiracisme obligatoires et lobotomisés à la sous-culture du portable ? Croiront-ils que le roi Arthur était un migrant Erythréen et que Jeanne d’Arc entendait des Negro Spirituals avant d’aller bouter les Russes hors d’Ukraine ? Si c’est le cas, la Super Classe Mondiale qui pilote les écrans aura gagné : ils ne seront plus Européens car ils auront aussi été remplacés dans leur tête."
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Allemagne : plus d’un millier de personnes ont manifesté à Berlin pour protester contre l’immigration incontrôlée et l’islamisation de leur pays
Plus d’un millier de personnes ont défilé à Berlin pour protester contre la violence des migrants. L’organisatrice de la marche dans la capitale allemande est la militante pour les droits des femmes et membre du parti de l’AfD Leyla Bilge.
L’une des raisons de la protestation était la mise en danger des femmes allemandes par une immigration incontrôlée, pouvait-on lire sur des pancartes.
Sur un flyer, le groupe exige «la sécurisation immédiate de la frontière allemande et l’expulsion de tous les immigrés illégaux».