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Daniel Conversano et sa bande : "Les français en ont plein l'cul des..."
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Vincent Martigny : « Le combat identitaire ne fait que commencer »
Maître de conférences en science politique à l’Ecole polytechnique et chercheur associé au Cevipof, Vincent Martigny est un homme de gauche qui s’intéresse tout particulièrement au nationalisme et aux débats sur l’identité et co-anime, avec Thomas Wieder du journal Le Monde, L’Atelier du pouvoir sur France Culture. Sous le titre « Ces essayistes qui font monter Marine Le Pen », il signe cette semaine dans Le 1 un article engagé consacré à l’influence des thèses défendues par Patrick Buisson, Eric Zemmour et Philippe de Villiers. En voici la conclusion :
« Quels que soient les résultats du second tour le 7 mai prochain, les trois essayistes [Eric Zemmour, Philippe de Villiers et Patrick Buisson, Ndlr] continueront de semer les graines de leur influence dans les rangs de la droite classique (notamment autour de Laurent Wauquiez), chez les catholiques conservateurs, dans la jeune génération des militants de la droite identitaire (à l’image des journalistes Eugénie Bastié et Geoffroy Lejeune) ou auprès de Marion Maréchal-Le Pen, qu’ils couvent d’attentions. »
L’auteur de Dire La France – Culture(s) et identités nationales ajoute :
« Quand Marine Le Pen oriente ses messages politiques de deuxième tour autour de l’opposition entre patriotes et mondialistes, on mesure l’influence des trois essayistes dans la pensée de la dirigeante frontiste, et au-delà. Dans ce contexte, et tandis que le clivage “France ouverte“ contre “France fermée“ semble appeler à structurer durablement la réorientation de la vie politique française, tout porte à croire que le combat identitaire ne fait que commencer. »
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La France macronisée
Bernard Plouvier
Le candidat Macron, peut-être dopé par le muguet, à moins que ce ne soit par les sondages, joue de plus en plus à l’hercule de foire. Dans sa dernière pitrerie, il voudrait faire de Marine Le Pen la candidate de l’Anti-France !
C’en devient risible et ce n’est pas sans évoquer une supercherie historique : la bataille de Valmy, qui fut selon les doctes historiens militaires une « bataille à fronts renversés ». Effectivement, les Prussiens, venus de l’Est, se retrouvaient à l’Ouest du terrain, et les Français étaient séparés de la direction de Paris par l’armée ennemie. Cela n’avait guère d’importance, puisque les généraux savaient qu’ils ne livreraient qu’un semblant de bataille.
Tout se réduisit, en effet, à une canonnade, qui fit néanmoins quelques centaines de morts des deux côtés. C’était le prix, acquitté par les malheureux figurants, pour créer une légende nationale française et laisser repartir chez eux des généraux d’Outre-Rhin, enrichis par quelques bijoux de la couronne, volés au Garde-Meubles par le sieur Georges Danton (ministre de la Justice !) et ses monte-en-l’air… les mœurs de voyous de nos honorables excellences de la Ve tirent leur origine des « Grands Ancêtres ».
La galéjade macronesque de cette fin de campagne ressemble fort à la comédie burlesque de septembre 1792 et, comme ce fut le cas il y a 230 ans (ou presque), ce sont des Français qui vont faire les frais des macroneries, comme ils devinrent de la chair à canons durant les vingt années qui suivirent la « Victoire de Valmy ».
Prenons le Macron-rigolo au mot : Marine = Anti-France. Cela revient à dire que :
1 – L’immigration-invasion d’extra-européens, singulièrement de terroristes mahométans, d’imams et d’ulémas gueulant leurs appels au djihâd le vendredi soir dans les mosquées (qui servent parfois de salles d’entraînement aux sports de combat), des violeurs en tournantes, des voleurs & nobles racketteurs, des trafiquants de haschisch (cette belle plante, indispensable à la balance commerciale du Maroc), des vandales & casseurs, des petits dictateurs des 2000 cités de non-droit, en un mot : nos exotiques, « c’est la France », selon saint-Macron.
2 – Les financiers et négociants cosmopolites, les spéculateurs à l’argent tellement volatil qu’à la fin d’une journée de boursicotages, il a fait trois fois le tour (fictif) de la planète : « c’est la France » de Macron, le politicien issu du monde merveilleux du capitalisme de spéculation.
3 – La désertification industrielle de la France, liée aux délocalisations d’entreprises (nettement plus nombreuses en France qu’en Allemagne) : « c’est la France » de Macron, l’homme-lige de l’économie globale.
4 – que l’intégration programmée de l’agriculture française au sein d’énormes groupes multinationaux : « c’est la France », chère à Macron-mondialisation.
5 – Que l’insécurité dans les quartiers non-chics (donc non ou à peine surveillés par la police), les forces de l’ordre perpétuellement défiées & ridiculisées par les voyous gauchistes et les délinquants d’origine extra-européenne : « c’est la France » de Mignon-Macron.
L’étude des promesses de Papa Noël-Macron démontre à l’évidence que la seule Anti-France, c’est celle que nous concoctent, nous préparent, nous fignolent ceux qui agitent les ficelles de Macron-Pantin.
Dès le 8 mai (quel symbole !), les Français vont apprendre à souffrir plus encore qu’actuellement. Ils en viendront même à regretter Bouffon Ier !
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Zoom - Toute la vérité sur les attentats des Champs-Elysées
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501 SDF morts dans la rue en 2016, mais on achète des hôtels pour les migrants…
Le nouveau mobilier urbain de Madame Hidalgo a été conçu pour éviter que les SDF ne viennent y trouver refuge…
Ce quinquennat misérable s’achève sur un bilan peu glorieux qui n’est pas celui, pourtant désastreux, du chômage. Celui des 501 SDF, ces laissés-pour-compte de notre société, qui sont morts dans la rue, comme 501 bougies qui se seraient éteintes dans l’indifférence de la nation. 501 cadavres relevés dans nos rues pendant les 365 jours de 2016. Pour cette année 2017, déjà, ce sont 84 corps qui ont été retrouvés sur le macadam, dont Christina, âgée de 45 jours, et Christian, un pauvre hère abandonné de 72 ans.
Un terrible bilan, en effet, peu glorieux mais hélas endémique, pour ceux qui ont la charge de la survie de leurs concitoyens. Et lorsque les statistiques vous annoncent froidement que la moyenne d’âge de ces victimes de l’indifférence est de 49 ans, on ne peut que s’offusquer du peu de réalisme de notre devise républicaine : liberté (oui, celle de crever dans la rue), égalité (non), quant à la fraternité, qu’en dire ?
Chacun d’entre nous est responsable, bien sûr, quand nous tournons la tête devant ce pauvre homme qui nous tend une main crevassée.
Chacun d’entre nous devrait remettre une piécette à cette main qui appelle au secours afin de pouvoir dormir ce soir, dans un foyer ou un petit hôtel. Mais que penser de cet État dit républicain qui abandonne ainsi les plus faibles ? Que penser, par exemple, de Mme Hidalgo, que les bobos parisiens ont placée pour six ans à la tête du destin de la capitale, lorsque l’on apprend que le nouveau mobilier urbain a été conçu pour éviter que les SDF ne viennent y trouver refuge ? Que penser lorsqu’une dépêche très peu diffusée par nos médias nous informe que la République vient de racheter à Accor 62 hôtels Formule 1 pour y loger, non pas des Français, mais une dizaine de milliers de migrants ?
En effet, la SNI, filiale de la Caisse des dépôts qui vient de remporter l’appel d’offres du gouvernement afin de créer des logements d’urgence, a donc acquis, dans un premier temps (ce qui veut dire que les achats d’hôtels vont se poursuivre), 62 hôtels économiques dont les chambres vont être réhabilitées et leur gestion confiée à Adoma.
Allez-vous continuer à dormir tranquilles lorsque cette injustice est institutionnalisée ? Allez-vous continuer à voter pour des hommes et des femmes aussi peu soucieux du sort de leurs concitoyens et qui leur préfèrent une population allogène venue d’ailleurs et en toute illégalité ? Car, nous le savons bien, en dehors de quelques milliers de migrants venus chercher la paix chez nous, et que nous devons accueillir, l’immense majorité sont des clandestins économiques qui viennent tenter d’occuper nos villes et nos campagnes, et souvent dans un but de nous inculquer, insidieusement, leur religion.
Le quotidien La Croix a eu le courage de publier le nom de ces 501 morts anonymes pour qui le collectif Les Morts de la rue avait organisé, le 23 mars dernier, un hommage solennel sur la place du Palais-Royal à Paris. Face au Louvre, posées sur de petits tapis verts figurant le gazon d’un cimetière, 501 feuilles portant le nom des 501 victimes de notre société avaient été disposées au pied d’un petit pot de primevères. Chaque feuille, bordée d’un liseré noir, mentionnait le nom du défunt, son âge, la date et l’endroit où son corps avait été trouvé.
46 de ces personnes étaient des femmes, 11 des mineurs. 5 étaient réputées mortes de froid, les autres avaient succombé à une maladie, un accident, une agression ou à leur suicide. De fait, ils étaient surtout morts de notre insensibilité. De la lâcheté endémique de notre société et de ses gouvernants.
http://www.bvoltaire.fr/501-sdf-morts-rue-2016-on-achete-hotels-migrants/
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De Châteaurenard à Bonifacio, les femmes voilées à l'école on n'en veut pas...
Deux saines réactions à signaler, concernant le refus du voile à l'école (en notant toutefois que le refuser à l'école ne suffit pas : on ne doit le voir nulle part !)
Bernard Reynès, maire de Châteaurenard, ne veut pas - il a raison - qu'une mère d'élève accompagne, voilée, la classe de sa fille lors d'une sortie pédagogique. En face de lui se dresse le CCIF (Comité contre l'Islamophobie en France), à qui l'Inspection académique a scandaleusement donné raison.
Mais, question : aurait-elle, cette Inspection académique, autorisé une crèche dans l'école dont il s'agit ? Poser la question c'est, évidemment, y répondre ; et c'est montrer la mauvaise foi, l'hypocrisie, la veulerie et la lâcheté de fonctionnaires douillettement installés dans leurs bureaux ; et qui capitulent devant l'Islam militant, croyant acheter ainsi la paix religieuse et/ou sociale : ce ne sont rien d'autre que des collabos...
Il y a quelques semaines, à Bonifacio, cinq femmes voilées avaient été empêchées d'entrer dans une école maternelle de la ville par des parents - ils avaient raison - qui ne voyaient pas pourquoi - leurs propres enfants n'ayant pas le droit de porter des signes religieux distinctifs - elles pourraient, elles, entrer avec un voile ostensiblement « distinctif ».
Le maire PS de la ville persiste à croire finaud de « dialoguer » avec l'Islam dans sa ville, et affirme être favorable à la construction d'une mosquée, pensant lui aussi, naïvement, que cela va calmer les prosélytes musulmans, et qu'il va « acheter la paix » en ouvrant toutes grandes les portes à une religion et une culture totalitaires de fait.
Les administrés du Maire de Bonifacio sont plus sensés que lui : aux femmes voilées, qui se « regroupaient » - comme elles disent - outrées, les habitants ont déclaré : « Si vous voulez mettre un foulard ou vous habiller long, pourquoi n'allez-vous pas au Maroc ? »
Vox populi...
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Macron, l’héritier du Grand Hollande (? ou !!!)
Bernard Plouvier
S’il faut en croire certains échotiers, Emmanuel Macron serait non seulement le chouchou de la haute finance et de tout ce qui gravite autour de l’économie globale, mais aussi considéré par notre actuel Président comme son héritier, comme le « continuateur de son quinquennat ».
A priori, on devrait considérer cette dernière affirmation comme un bobard lancé par l’équipe concurrente pour mieux torpiller le jeunot, soutenu par la quasi-totalité des media.
Or, renseignement pris de diverses sources, il semble bien que notre génialissime François Hollande considère effectivement le candidat globalo-mondialiste comme son héritier, au point de le surnommer « Macron-Hollande »… l’humour de notre Guide suprême est à l’avenant du personnage et de sa non-politique, soit proche du degré zéro.
Donc, l’on est fondé à croire que le sieur Macron veuille poursuivre et même approfondir l’œuvre du locataire actuel de l’Élysée et qu’il endosse son bilan.
Or celui-ci est grandiose :
- 5,5 millions de chômeurs des trois catégories (chômeurs globaux et chômeurs partiels ou à emploi intermittent), ce qui dans un pays de 67 millions d’habitants (dont 65 en métropole), déjà peuplé de 13 à 13,5 millions de retraités et riche de 6 millions de fonctionnaires hyperactifs et hyperproductifs, n’est pas rien. Outre les jeunes, en principe en cours de formation, les « actifs » réels doivent traîner un boulet de 24 millions de peu ou pas productifs. Il a raison bébé-Macron : En Avant !... comme l’on disait autrefois à l’âne épuisé par son fardeau.
- Un nombre difficilement appréciable d’immigrés d’origine non-européenne, estimé selon les sources entre 10 et 13 millions d’individus, tous hautement productifs nous dit-on… effectivement, il faut beaucoup d’énergie pour défendre contre police, pompiers et professions médicales 2000 cités de non-droit, sans compter le travail épuisant & dangereux exigé par le trafic des stupéfiants.
- Est-ce corrélé au paragraphe précédent ? Le nombre de viols déclarés (et purement hétérosexuels ; on ignore celui des viols homo), en métropole pour l’année 2016, aurait un peu dépassé les 13 800 (cela ne fait rien que 38 / Jour) dont 8184 perpétrés sur des mineures d’âge
- En 2013 et rien qu’en métropole, 403 433 crimes et délits avaient fait l’objet d’une plainte ou d’une intervention des forces de l’ordre… et l’accroissement serait plutôt à l’ordre du jour qu’une baisse, toujours promise (comme pour le chômage)
- Une Dette publique qui avoisine les 100% du Produit Intérieur Brut durant le quinquennat du Génial François (8% de mieux ces quatre dernières années)
On pourrait également évoquer les délocalisations d’entreprises qui se poursuivent toujours et auraient même tendance à croître sur un rythme accéléré (en dépit des promesses contraires, bien sûr).
Grandiose résultat pour le pays qui compte le ratio élu/habitant le plus élevé de la planète : 1 élu pour 120 habitants, si l’on additionne les gros (élus nationaux & européens), les moyens (régionaux et départementaux, maires de grandes villes) et les petits (conseillers municipaux).
Plutôt que de savoir d’où vient le météore Macron (c’est à l’évidence un produit franco-globalo-mondialiste), il faut méditer le bilan qu’il endosse, hérité de tous les guignols qui se sont succédés depuis 1976 - Loi de regroupement familial - et 1981 - entrée de la France dans le monde merveilleux de l’économie globale (avec sa désertification industrielle) et de la mondialisation de la vie politique (avec ses guerres exotiques, sans intérêt pour la Nation française, mais ordonnées par l’Empereur des USA et du « Monde libre »).
Faut-il ou non poursuivre dans la même voie ou enfin s’occuper de la Nation ? Telle est la bonne question.
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Feu vert à l'islam en entreprise
À la mi-mars, la Cour de justice européenne a rendu un arrêt s'imposant - à notre pays - lequel, rappelons-le, n'est plus véritablement indépendant juridiquement depuis sept décennies, les abandons de souveraineté ayant débuté avec le Pacte Charbon-Acier sous la IVe République. L'ingérence des eurocrates s'est étendue à tous les domaines, y compris les plus intimes. Arrêtons-nous à la vie en entreprise, objet de l'arrêt du 14 mars, produit de deux affaires d'ingérence de l'islamisme dans la vie sociale, dans un cas belge, dans l'autre français. Les cours de cassations de ces deux pays s'étaient débarrassées de leurs responsabilités sur Bruxelles. Les conséquences vont peser très lourdement dans un avenir proche sur les rapports entre salariés entre eux, et avec leurs employeurs, car les juristes du mondialisme ont choisi la pire des options. Laquelle a été saluée avec une tranquillité inconsciente par la presse des deux États en cause. En apparence, il s'agit d'un geste de confiance dans la démocratie de base. Pour les exhibitions de signes religieux sur les lieux de travail, ce sera aux employeurs de s'en sortir tout seuls, comme des grands, en organisant une consultation du personnel par un vote sur l'opportunité du port du foulard islamique par des membres du personnel féminin, ou la modification des horaires de travail en fonction du départ de tel ou tel vers une mosquée le vendredi après-midi. Il y a, on s'en doute, une quantité infinie d'autres revendications religieuses de l'Islam possibles, et d'ailleurs pratiquées largement depuis fort longtemps. Ainsi les cantines où le porc est interdit, des lieux avec tapis de prière réservés aux adorateurs d'Allah, etc.
Une victoire sans coup férir
Du coup, les gouvernements sont débarrassés d'un gros problème qu'en fait, ils étaient seuls à pouvoir maîtriser, avec leurs fonctionnaires spécialisés, leurs tribunaux et le cas échéant, leur police. Les cas de figure auxquels les employeurs seront bientôt exposés revêtent une grande simplicité. Ou bien le personnel de religion musulmane se trouve majoritaire dans une société donnée, et le résultat du vote interne ne fait aucun doute. Des originaires du Maghreb, d'Afrique noire islamisée ou du Proche-Orient, ou leurs descendants, sauront automatiquement ce qu'ils auront à faire, à moins d'être candidats au suicide. Et le tour sera joué. Ou bien il se produira, en cas de rejet par une majorité de votants, une cassure ethno-religieuse dans la communauté de travail. On sait qu'il faut beaucoup moins qu'une telle situation pour créer une atmosphère difficile à supporter. Les commentaires des spécialistes sociaux français ont omis de s'intéresser aux acteurs syndicaux, présents pourtant dans de nombreux lieux de travail, des multinationales aux PME/PMI. Pour ne pas perdre d'adhérents, ou du moins d'électeurs aux scrutins du social (prudhommes, etc.), ils hurleront avec les loups de l'islamisme, d'autant plus servilement que des branches professionnelles entières sont islamisées (sécurité, bûcherons de l’O.N.F., nettoyage, etc.). On objectera que la CGT ou FO sont des organisations marxistes ou anarcho-marxistes d'essence. Cela ne changera rien à leur soif de cotisants et d'influence. Ces syndicats n'hésiteront pas à encourager le vote pro-Islam de leurs sympathisants libres penseurs ou chrétiens.
Mais il y a encore, objectera-t-on, un autre acteur : le client, présumé roi, qui pourrait se refuser à solliciter telle vendeuse largement voilée. Des problèmes ont déjà surgi à ce propos. Encore faudra-t-il que, dans de nombreux "quartiers", l'acheteur ait le choix, car le « Grand Remplacement » ne relève pas de la fiction, mais se constate sur des points du territoire de plus en plus nombreux. Et de plus, les entreprises possédées, grandes, moyennes ou petites, par des musulmans, se multiplient. Afin d'éviter une soumission progressive, rapide et générale aux islamistes du monde du travail français, il fallait la puissance de l’État. Celle-ci est aux abonnés absents, et il ne faut pas douter qu'on le savait à Bruxelles avant le rendu d'un arrêt "démocratique". À noter que dans la fameuse loi El Khomri figure un passage autorisant les directions d'entreprise à inscrire un principe de neutralité dans les règlements intérieurs. Voici cette disposition devenue inutile, la responsabilité se trouvant diluée dans le personnel. Au total, un concours de lâcheté, rendu possible par le système européo-mondialiste.
Nicolas TANDLER Rivarol du 30 mars 2017
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Forte poussée de l’islamisation dans les entreprises
Un observateur attentif et de bonne composition ne pourrait que demeurer perplexe en constatant le peu de cas fait des dangers de l'islamisation par les principaux candidats en lice pour l'élection présidentielle en cours. Hormis le terne François Fillon prétendant ne s'en prendre qu'aux djihadistes et au terrorisme, et Marine Le Pen promettant la mise à genoux de l'islam radical, aucun candidat ne semble s'être sérieusement inquiété, même du bout des lèvres, de l’islamisation légale, massive et rapide, provisoirement pacifique, prospérant au vu et an su de tous et en passe de modifier en profondeur notre civilisation ou ce qu'a en subsiste. Il est fâcheux que ni les uns, ni les autres ne semblent avoir parcouru l'essai consistant paru aux éditions du Toucan en 2009, du chercheur universitaire américain, Christopher Caldwell, dont le titre et le sous-titre dispensent de commentaires : « Une révolution sous nos yeux. Comment l'islam va transformer la fiance et l'Europe ».
Après avoir appelé de leurs vœux le développement de la "diversité" en entreprise comme ailleurs, source d'infinies richesses nous affirme-t-on, de grands vrais ou faux naïfs feignent de découvrir l'irruption du « fait religieux », comme ils disent, dans entreprise sans jamais bien préciser ou le plus subrepticement possible, en quoi peut bien consister ce « fait religieux » qui empoisonne l'ambiance et la productivité de nombre d'entreprises.
S'agirait-il, par hasard, d'impétueux catholiques entonnant à temps et contretemps de vibrants Salve Regina ou Ave Maria sur leur poste de travail ou exigeant du poisson le vendredi au restaurant d'entreprise et des menus allégés durant le Carême ? Ou peut-être d'ardents Israélites clamant Shema Israël au détriment de leur fonction et de la patience de leur voisinage de travail ? Ou encore quelques disciples de Bouddha débitant des mantras au milieu de nuages d'encens et enquiquinant leurs collègues avec les vertus supposées du Dalai Lama ? Peut-être des Témoins de Jéhovah au prosélytisme apocalyptique un peu trop lourdingue ? Difficile de trancher à la lecture des nombreuses publications sur le sujet évoquant pudiquement une réalité du fait religieux dans l'entreprise. Inutile de prolonger cruellement le suspens car malgré les pudeurs de chaisières des grands média dont la fonction essentielle consiste à masquer encore et toujours et le plus longtemps possible, jusqu'à l'irréversibilité du processus, la réalité de la situation, chacun sait bien que c'est de l'inexorable montée d'une islamisation qui n’épargne guère plus les entreprises que la société civile qu'il s'agit.
Une islamisation galopante à l’assaut du monde du travail
Année après année, les enquêtes de l'Institut Ranstad et de l'Observatoire du fait religieux en entreprise (OFRE) démontrent et quantifient un affichage, sinon un étalage, de plus en plus manifeste des « convictions religieuses » au travail. Dans l'enquête de 2016, la dernière en date, Lionel Honoré, professeur des universités et directeur de l'OFRE, affirmait que 65 % des salariés interrogés certifiaient avoir constaté cette progression, contre 50 % en 2015 et 44 % en 2014. Les signataires de l'étude concèdent, sans doute à contrecœur, que « le plus souvent la religion impliquée est l'islam » pour ajouter benoîtement, sans doute terrifiés par leur audace : « même si toutes sont concernées ». Ah bon, lesquelles ? La lecture du compte-rendu de l'enquête ne nous renseignera pas à ce sujet.
La même étude révèle que les gênes occasionnées par la pratique mahométane ont fait plus que doubler en un an, passant de 8 % en 2015 à 18 % en 2016, ce qui s'avère extrêmement inquiétant pour l'évolution de la situation dans les années à venir et laisse présager des lendemains qui déchantent. En octobre 2014, l'Observatoire Sociovision avait démontré qu'en vingt ans, la part des croyants et des pratiquants au sein de la société française, toutes religions confondues, n'avait fait que régresser, passant de 60 % à 45 %. Mais, commente l'organisme Technologia, « cette proportion est aujourd'hui clivée : d'un côté, une majorité de catholiques âgés, de l'autre une faible proportion de baptistes (sic) et de jeunes musulmans dont 41 % ont moins de 30 ans ». On demeure sidéré devant le grotesque tour de passe-passe consistant à enrôler les baptistes qui n'en peuvent mais, avec les musulmans qu'il convient sans doute de ne pas "stigmatiser" seuls.
L'accélération du processus d'islamisation en cours dans les entreprises ne peut faire oublier que dès les années 1970 des constructeurs automobiles, tels Renault et Peugeot, concédaient déjà des aménagements horaires destinés aux musulmans en période de ramadan et installaient des salles de prière dans l'enceinte de leurs entreprises. C'était l'époque de la grande utopie de l'intégration et de l'assimilation auxquelles n'ont sans doute jamais cru les véritables instigateurs d'une colonisation de peuplement décidée dès les années 1970 par les maîtres du monde et symboliquement entérinée par la législation sur le regroupement familial. Oubliée la législation de 1905 sur la laïcité, modèle prétendument indépassable de neutralité dont il s'est vite avéré qu'il ne s'agissait que d'une machine de guerre contre le seul catholicisme. Mettre l'ensemble des cultes sur un pied d'égalité dans une nation alors essentiellement catholique ne revenait bien sûr qu'à affaiblir le catholicisme en le noyant dans une pluralité de cuites bénéficiant ainsi de fait, avant la lettre, d'une discrimination positive. Aussi vrai que l'arbre juge à ses fruits, les résultats sont là, flagrants, incontestables et il apparaît que le laïcisme militant loin de constituer un rempart contre l'islamisation n'aboutit finalement qu'à saper les fondements de la civilisation chrétienne pour ouvrir un boulevard à des croyances d'importation.Une bonne quarantaine d'années plus tard, Jean-Michel Lagarde le député-maire d'Aulnay-sous-Bois, commune de Seine-Saint-Denis, département colonisé s'il en est, président de l'UDI et démocrate pur jus, jusqu'alors jamais pris en défaut de conformisme, avouait au micro de France Info, face à Jean-Michel Aphatie, le 3 janvier dernier, l'omniprésence religieuse et les dérives communautaristes liées à l'islam dans l'usine PSA de la commune, précisant même que « la pratique trop poussée de l'islam à l'usine d'Aulnay-sous-Bois est à l'origine de la fermeture de l'usine en 2013 ». Réactions indignées des Jeunesses communistes, expertes sans doute en matière de liberté d'expression, sur les réseaux sociaux, et démenti indigné de Pierre-Olivier Salmon, porte-parole du groupe PSA n'évoquant que de vagues problèmes économiques, rejoint dans son indignation par l'inévitable CGT dénonçant une "saloperie".
La RATP, pépinière de fichés "S"
Quant à la RATP, officiellement Régie Autonome des Transports Parisiens et non, contre toute apparence, Régie Africaine des Transports Parisiens, l'entreprise française la mieux pourvue en individus fiché "S" si l'on en croit le quotidien Le Parisien, en
2013, un collectif de femmes salariées de ladite Régie avait choisi de s'exprimer par le truchement d'un enregistrement vidéo diffusé en ligne sur le calvaire enduré par la gent féminine dans cette entreprise très largement ouverte à la "diversité". Avant même de visionner l'enregistrement, il conviendrait de se poser et répondre à trois questions simples : qui conduit les rames du métro et du RER ? Qui les remplit ? Qui assure la maintenance des stations et matériels ? Les habitants d'Ile-de-France connaissent bien la réponse. Passons... Dénonçant les maltraitances de la part de certains de leurs collègues masculins « fanatiques religieux sexistes », les atteintes à la laïcité, les prières clandestines, les signes ostentatoires de leur pratique, les relèves non effectuées pour ne pas avoir à remplacer des femmes, ni devoir s'asseoir après elles sur le même siège - situation parmi tant d'autres révélant une frustration sexuelle véritablement pathologique - les courageuses salariées s'exposèrent à quelques quolibets et réactions virulentes mais surtout au lâche silence gêné du système politico-médiatique et de la direction de l'entreprise. Il faut dire que Pierre Mongin, le PDG de l'époque, parti depuis lors pantoufler chez GDF Suez en qualité de Directeur général adjoint n'a pas vraiment le profil de l'intrépide résistant. Issu en 1980 de la promotion Voltaire de l’ENA, tout comme Ségolène Royal, Dominique de Villepin, François Hollande et vice-président de la Fondation Agir Contre l'Exclusion (FACE), Pierre Mongin reconnu par ailleurs comme grand professionnel du transport et même encensé par la CGT, ce qui n'est jamais très bon signe, ne pouvait ignorer que le moindre soupçon d'islamophobie aurait définitivement compromis son transfert de la Régie communautarisée à l'un des fleurons du CAC 40 dirigé par Isabelle Kocher, ex-conseillère de Lionel Jospin, Premier Ministre. Ce petit monde consanguin du système ne souffre pas la moindre incartade et aucun de ses affidés ne peut s'offrir le luxe du courage, ni la moindre velléité d'indépendance d'esprit. Le maintien autour de l'assiette au beurre est à ce prix et les convives savent l'impérieuse nécessité d'y toujours penser sans jamais en parler.
Réflexions, conférences et brochures pour contrer l’islamisation
En avril 2010, Nicolas Sarkozy, Président de la république en fonction, invitait le Haut Conseil à l'Intégration (HCI) à mener une réflexion sur l'application du principe de laïcité dans la république et notamment sur l'expression religieuse et la laïcité dans l'entreprise. Le machin accoucha bien entendu d'un rapport convenu rappelant la liberté de conscience, notamment en matière de croyances, à ne surtout pas confondre avec une liberté d'expression religieuse qui ne saurait être absolue. Il affirmait notamment que le règlement intérieur de l'entreprise peut prévoir des limitations de l'expression religieuse en rapport avec les obligations définies dans le contrat de travail, notamment concernant la nature des tâches à effectuer et les impératifs liés à la sécurité, l'hygiène et la santé.
À noter qu'une grande inégalité subsiste entre la fonction et les entreprises publiques et celles relevant du secteur privé. L'Etat laïc et indépendant des cultes, conformément aux prescriptions de l'article 10 de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen, reprise dans l'article 1er de la Constitution du 4 octobre 1958 dispose en effet que : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure par conséquent, théoriquement tout au moins, l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte, en principe, toutes les croyances... ». Ces généreux principes imposent aux agents desdites administrations et entreprises publique de ne manifester d'aucune façon leurs convictions religieuses alors que les citoyens étant, eux, individuellement libres de manifester leur croyance ne sont pas astreints aux mêmes obligations. Subtilité, certes, mais d'importance. En mars 2013, la cour de cassation annulait le licenciement d'une employée de la crèche associative Baby Loup, implantée dans un quartier "populaire" (traduire "ethnique") de Chanteloup-les-Vignes, celle-ci refusant d'enlever son voile islamique. L'affaire initiée en 2008 par la salariée en question aboutit en 2013 à une annulation du licenciement au motif qu'il aurait été prononcé en raison des convictions religieuses de la salariée. Même Manuel Valls, alors ministre de l'Intérieur, déplora une décision remettant en cause le principe de laïcité.
Mais derrière cette agitation juridico médiatique, auront beau se multiplier les incantations à la laïcité, les outils de communication, les guides, les conférences, les formations, les sensibilisations, l'islamisation n'épargnera évidemment pas le monde du travail d'autant que nous n'avons pas à faire à une religion comme persistent à qualifier l'islam les observateurs les moins avertis. L'islam n'est pas une religion mais un système idéologico-religieux au service d'une théocratie totalitaire comme le rappelle l'islamiste Hani Ramadan, frère du très médiatique mais non moins ambigu Tariq Ramadan, un temps chouchou des plateaux télévisés et proche de l’UOIF (l'Union des Organisation Islamiques de France), lorsqu'il déclare : « L'islam touche tout autant l’espace public que la sphère privée [...] Il est religion et État, foi et loi, doctrine et mode de vie ; il comprend dans son système les principes d'un gouvernement et aussi des prescriptions de guerre, appelant les croyants au combat pour défendre leurs droits ». Lorsqu'il explique l'islam, ce grand défenseur de la charia, de la lapidation des femmes et autres préceptes d'un autre âge, islamologue patenté, récemment arrêté à Colmar et frappé d'une interdiction administrative de résider sur le sol français au motif de « risque à l'ordre public », sait sans doute de quoi il parle... Mais il n'est de pire sourd que celui qui ne veut entendre.
Arnaud RAFFARD de BRIENNE. Rivarol du 27 avril 2017
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DESOBEISSANCE CIVILE OU REBELLION ?
Pieter Kerstens
De multiples naturalistes, anthropologues, historiens et scientifiques ont étudié les phénomènes de migrations et remarqué qu’il existe un seuil de « tolérance ».
Que ce soit pour les oiseaux, les insectes, les poissons, les plantes ou même les humains, le niveau d’acceptation, d’assimilation, d’intégration de concentration ou d’assemblage se situe à 6%. Au-delà on assiste dans tous les cas à des situations conflictuelles qui conduisent à des perturbations et des évolutions préjudiciables aux espèces locales. Les recherches de l’éthologiste Konrad Lorenz (prix Nobel) ou du démographe Alfred Sauvy, parmi d’autres, en font état.
Au fil des siècles les migrations humaines ont toujours existé, au prétexte d’un meilleur « ailleurs ». La plupart d’entre elles, lorsque leur implantation a été définitive, l’a été au détriment des populations autochtones. Par exemple : les Etats-Unis d’Amérique où les Indiens ont été asservis ou tout bonnement exterminés. En Australie, les aborigènes ont été anéantis par l’alcool et les maladies. Au 16ème siècle, les Bantous avaient émigrés vers le sud de l’Afrique (pas encore considéré comme Etat) chassant les Boschimans et les Hottentots. On trouve d’autres exemples identiques aussi bien en Amérique du Sud, qu’en Asie Centrale, au Moyen-Orient ou en Extrême-Orient, tel le royaume mongol de la Horde d’Or fondé par Batu Khân, petit-fils de Gengis Khân, par le fer et par le feu, en exterminant les populations russes et galiciennes.
L’invasion des pays européens par des hordes de sans-papiers depuis des décennies conduit à des bouleversements indésirables. Sommes-nous suicidaires et voulons-nous disparaître ?
Soyons clairs : la charité, l’accueil et la solidarité se justifient en fonction des circonstances, de l’ampleur du phénomène et des comportements des individus qui demande aide et protection.
Tel était le cas des Russes fuyant la révolution bolchevique de 1917, des Italiens ou des Espagnols refusant les régimes de Mussolini et de Franco. Tous se sont intégrés, avec plus ou moins de difficultés, ou sont repartis dans leur pays d’origine dès le calme revenu. Mais tous étaient de souche européenne, blanche et chrétienne.
Cette situation est devenue différente depuis 1974, date de l’arrêt officiel de l’immigration dite « économique » en Europe. Parce que nos gouvernements laxistes et mondialistes nous ont imposé une immigration de peuplement, d’abord en régularisant des centaines de milliers de clandestins tous les ans, et ensuite en accordant la naturalisation à des millions d’immigrés non-européens ces 40 dernières années.
Et c’est à ce moment qu’intervient le fameux « seuil » d’acceptation de 6% avec les peuples autochtones.
Immanquablement des conflits entre espèces ou communautés - non assimilées - et populations européennes ont eu lieu, dans l’indifférence méprisante des autorités successives. Malgré les mises en garde, les signaux d’alarme et les constats des diverses administrations, les euro-mondialistes s’obstinent dans leur utopie sectaire d’une société « multiculturelle et pluriethnique », dont le résultat pratique est la multiplication des émeutes en Suède, en Angleterre, en France et bientôt en Allemagne ou en Belgique, par exemple.
Plus de 66% des gens interrogés refusent l’arrivée de nouveaux « migrants », non par égoïsme, repli sur soi, xénophobie, par peur ou racisme. Simplement ils répondent que partout en Europe il y a déjà un trop-plein d’inassimilables ; ils disent que les caisses sont vides ; que des dizaines de millions d’Européens de souche sont déjà sans travail et que promettre un emploi à des analphabètes non-européens est une folie ; que des dizaines de millions d’autres blancs vivent dans la pauvreté et surtout, les personnes sondées répondent qu’ils en ont ras-le-bol de constater que la majorité de ces immigrés régularisés et naturalisés depuis 40 ans nous imposent leurs us, leurs coutumes et leurs traditions, incompatibles avec notre civilisation et nos modes de vie !
Que ce soit en France ou ailleurs, le peuple est exaspéré par la culpabilisation, la repentance, le politiquement correct, la discrimination « positive » et le racisme anti-blanc. Partout en Europe les signaux sont au rouge. Que les adeptes du métissage à tous les étages et leurs complices francs-maçons prennent garde : l’exaspération précède le désespoir et la désobéissance civile est un prélude à la rébellion. Ce n’est qu’une question de temps.
Et si les « nouveaux Européens » ne sont pas contents de leur sort, personne ne les empêche de retourner dans le pays de leurs aïeux, étant donné qu’ils ont aussi la double nationalité, pour une grande majorité d’entre eux.