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insécurité - Page 1016

  • Israël agresse la Syrie

    Au mépris du droit international et sans se soucier de la moindre formalité, l’Etat sioniste attaque la Syrie :
    « de fortes explosions ont frappé la banlieue de la capitale syrienne tôt ce dimanche, annonce la télévision d’Etat. Ces roquettes israéliennes ont ciblé un centre de recherche militaire. Les explosions ont été entendues près du mont Qasioun à Damas. La zone abrite le centre militaire de recherche de Jamraya. »
    Une agression qui aurait du soulever l’indignation de la « communauté internationale », mais il n’en sera évidemment rien : Israël est au dessus des lois et sous le prétexte d’assurer sa défense, peut tout faire. En l’occurrence violer le territoire d’un pays souverain, tuer près de 300 soldats syriens sans compter les blessés.

    Le plus notable (mais pas étonnant) dans cette affaire, c’est la coalition entre Israël et les terroristes islamistes qui sévissent en Syrie, soutenus par l’Occident.

    Par ailleurs, le site syrien Dampress rend public les noms de deux pilotes de l’appareil israélien qui a participé au raid contre la banlieue de Damas.
    Les sources sionistes ont reconnu avoir perdu contact avec Shamoel Azar et Esson Gary alors qu’ils survolaient la Syrie.

    http://www.contre-info.com/

  • Boston : un attentat sur commande ?

    « Un certain nombre de sites américains libertariens (partisans d’une limitation du rôle de l’Etat fédéral) ou socialistes (tel le très sérieux WSWS) considèrent depuis quelques heures que l’attentat de Boston avait été très largement organisé par des factions de « faucons » installés au cœur de l’Etat. » Exacte ou inexacte, cette information relayée par Jean-Paul Baquiast, auteur de l’article ci-après, montre bien la tendance qui se répand à la tête des Etats occidentaux à constituer des oligarchies politique et financière. L’une allant rarement sans l’autre, elles gouvernent autoritairement loin du peuple ou carrément sans lui. Les Français viennent de vivre, heureusement d’une façon moins tragique, tout récemment avec « Le mariage pour tous » imposé au nom de l’idéologie mondialo-socialiste, une première expérience de cette gouvernance new-look. (*)
    Polémia

    Dans quels buts [cet attentat organisé par des factions de « faucons » intallés au cœur de l’Etat] ? Moins comme on le considère souvent chez les partisans d’Obama pour déconsidérer celui-ci (il se déconsidère assez tout seul) que pour servir de répétition à l’instauration généralisée d’un gouvernement autoritaire, militaro-sécuritaire, qui prendrait le pouvoir en réponse à des insurrections populaires du type « Occupy Wall Street » se généralisant dans la suite d’une aggravation prévisible de la crise économique et du chômage. Le risque couru par les oligarchies dominantes serait tel alors que celles ci n’hésiteraient pas à un recours à la dictature.

    Les deux frères Tsarnaev, dans cette hypothèse, ont bien été les auteurs d’un attentat meurtrier à la cocotte-minute. Nul ne le nie. Mais ils auraient été depuis longtemps repérés, instrumentalisés et aidés par des agences fédérales pour qui leur passage à l’acte était la condition indispensable à la réalisation d’un scénario de coup d’état à l’échelle d’une grande ville. Il fallait non seulement expérimenter une coopération efficace des différents services sécuritaires, indispensable pour ce faire, mais habituer les citoyens à la nécessité d’abandonner leurs droits civils les plus élémentaires pour répondre à une urgence présentée comme mettant en cause la sécurité nationale toute entière.

    Des commentateurs américains ou russes, cités notamment par Philippe Grasset ce matin (« Notes sur le déchainement de la matière à Boston ») font valoir que les évènements de Boston ont plutôt mis en lumière le désordre et finalement l’inefficacité des différents services ou agences privées étant intervenues pour contrôler voire exploiter l’attentat. La confusion et les contradictions dans les discours officiels paraissent contredire en effet l’hypothèse d’une opération bien montée et de très haut. Mais on peut penser que la confusion dans la réalisation n’est pas nécessairement incompatible avec la détermination dans la décision initiale. De toutes façons, le résultat recherché serait atteint: habituer les citoyens, tant aux Etats-Unis que par répercussion médiatique en Europe, à la nécessité, en cas d’urgence dite « nationale » d’abandonner leurs droits civiques aux mains d’autorités de police publiques et privées intervenant en dehors de toutes règles.

    On devine sans peine le danger que représente pour les démocraties occidentales la conjonction en leur sein d’activistes dormants prêts à fomenter des attentats pour des raisons religieuses et d’oppositions politiques radicales visant à déstabiliser les gouvernements légitimes en créant des situations de type insurrectionnel. Les uns et les autres finissent par se rencontrer et s’appuyer, volontairement ou non, afin de provoquer des changements de régime. L’Europe et notamment la France ne sont pas à l’abri de tels risques. Les citoyens et partis politiques se réclamant de la démocratie seraient coupables de ne pas y penser et tenter de s’en prémunir.

    Jean Paul Baquiast
    Europe Solidaire
    23/04/2013
    http://www.polemia.com
    Note de la rédaction :
    (*) Voir « Feu la démocratie, la post-démocratie est bien là  », article de Michel Geoffroy dont les premières lignes sont : « Les Français ne vivent plus en démocratie mais en « post-démocratie » , comme de plus en plus d’Européens, d’ailleurs. La « post-démocratie » emprunte les mots de la démocratie : on parle toujours d’élections, de Parlement et de République française. Mais la « post-démocratie » prend le contrepied de la démocratie car elle programme la disparition de la souveraineté du peuple au profit d’un système oligarchique, qui vise à l’instauration d’un gouvernement mondial utopique. Depuis la fin de l’URSS et l’accession des Etats-Unis au rang de surpuissance mondiale, cette vieille utopie a libre cours car elle ne rencontre plus d’obstacles doctrinaux ; et aussi parce qu’elle sert les intérêts stratégiques américains (notamment pousser les pays à s’ouvrir au commerce international, empêcher l’Europe Puissance, contenir la Russie, etc.).

  • Les attentats de Boston, synthèse

    Excellent dossier d’Egalité et Réconciliation sur les attentats de Boston. Tout y est.

    Marathon de Boston : la piste de « l’État profond »

    Les deux explosions du marathon de Boston ont suscité dès le premier jour beaucoup de commentaires sur divers sites Internet et forums de discussion. Un certain nombre d’internautes, reconvertis en journalistes ou même en enquêteurs, ont relayé énormément d’« informations », dont certaines ont contredit l’enquête des autorités. Les médias maintream, avides d’une narration émotive et partisane, ont eu également le plus grand mal à dessiner pour leur public des pistes explicatives qui ne relèvent pas de la pure spéculation ; ils furent peu aidés dans leur tâche par des enquêteurs officiels avares de révélations. Au final, la piste de « l’État profond » reste plus que jamais ouverte. Retour sur les deux premières semaines d’un storytelling cahotique.

    Lundi 15 avril

    Le lundi 15 avril, à 14 h 49 [1], alors que le chronomètre du marathon de Boston indique 4 h 09 min 43 s de course, une bombe explose dans la foule de spectateurs massés à quelques mètres de la ligne d’arrivée, située sur Boylston Street. Treize secondes plus tard, une seconde explosion a lieu dans la même rue, à 190 mètres en amont sur le trajet de la course.

    La suite ici

    http://www.eschaton.ch

  • Italie : Deux Ghanéens violent une étudiante allemande, la gauche dénonce le racisme

    VENISE (NOVOpress Breizh) – « Indignes d’un pays civilisé » : c’est le jugement sans appel de Laura Boldrini, la nouvelle présidente de la Chambre des députés italienne.

    Mme Boldrini ne parle pas des faits d’il y a quatre jours à Valdagno, dans la province de Vicence en Vénétie. Une étudiante allemande de 22 ans, venue en Italie pour un cursus de spécialisation, avait cru pouvoir sympathiser avec deux immigrés ghanéens, de 27 et 29 ans. Elle avait accepté de venir dîner avec eux dans leur appartement. Sur place, l’un des deux l’a violée, en lui volant, pour faire bonne mesure, son téléphone portable.

    L’autre Ghanéen est alors intervenu en jouant au sauveur et a emmené l’Allemande hors de l’appartement. Mais, sitôt dehors, il l’a violée à son tour avant de l’abandonner dans la rue, vêtue seulement d’un tee-shirt en lambeaux. La jeune fille a fini par trouver une cabine téléphonique et a appelé Police Secours. Les deux Africains ont été arrêtés.

    Ce n’est pas cela qui scandalise Mme Boldrini, et ce n’est pas de la victime qu’elle se préoccupe.

     

    Avant de se faire élire députée sur les listes du parti ultra-immigrationniste Sinistra Ecologia Libertà, Mme Boldrini fut pendant 15 ans, de 1998 à 2012, porte-parole du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés. En cette qualité, elle avait exercé une pression décisive pour obliger le gouvernement italien à accueillir à Lampedusa tous les « réfugiés » d’Afrique, ne perdant aucune occasion de rappeler « l’opposition du Haut Commissariat à toute action de refoulement en mer des migrants qui se dirigent vers les côtes italiennes ».

    En 2010, l’hebdomadaire catho-conciliaire Famiglia Cristiana avait nommé Mme Boldrini « Italienne de l’année » pour « son engagement constant, mis en œuvre avec humanité et équilibre, en faveur des migrants, des réfugiés et des demandeurs d’asile. Et, surtout, pour la dignité et la fermeté qu’elle a mises à condamner les refoulements des immigrés dans la Méditerranée ».

    Ce que Mme Boldrini dénonce comme « indignes d’un pays civilisé », ce sont de supposés commentaires racistes qu’un journaliste de La Repubblica, en fouillant sur Facebook et dans les pages les plus obscures d’Internet, a dénichés après la nomination de la « première ministre de couleur de l’histoire italienne» (comme disent les médias du système pour la glorifier), la militante immigrationniste congolaise Cécile Kyenge Kashetu.

    La gauche est particulièrement scandalisée par les propos de Luca Zaia, l’énergique président de la région Vénétie, après le drame de Valdagno. « Je voudrais, a-t-il déclaré, inviter le nouveau ministre de l’Intégration Kyenge à venir à Vicence rendre visite à la victime, avec le courage d’affronter les problèmes tels qu’ils sont, et pour rappeler à tous qu’il ne peut pas y avoir d’intégration sans légalité ». « Que Zaia, a lancé sur un mode comminatoire la députée du Partito democratico Margherita Miotto, cesse d’alimenter le racisme et la xénophobie par ces stupides associations d’idées ».

    Associations d’idées, c’est le terme qui convient.

    http://fr.novopress.info

  • Kosovo : un trafic d’organes avec Israël démantelé

    Cinq hommes ont été condamnés lundi au Kosovo à des peines d’un an avec sursis à huit ans de prison pour leur implication dans un réseau de trafic d’organes humains dont la plaque tournante était une clinique de la banlieue de Pristina (capitale de cette province).

    Les donateurs, originaires de Turquie et de pays de l’ancienne Union soviétique, étaient attirés vers une clinique qui leur promettait le versement de 10 à 12.000 euros. Les receveurs d’organes, des Israéliens pour la plupart, versaient entre 80.000 et 100.000 euros. Certains donateurs n’ont jamais reçu l’argent promis. Le scandale a éclaté à la fin 2008 quand un Turc, visiblement souffrant après avoir été opéré, a été intercepté à l’aéroport de Pristina.
    L’affaire a d’autant plus gagné en notoriété qu’elle a fait écho aux accusations de trafic d’organes humains visant l’ex-guérilla albanophone de l’Armée de libération du Kosovo, en lutte contre l’armée serbe à la fin des années 1990. L’ALK est accusée d’avoir opéré des prisonniers – serbes notamment – et vendu leurs organes en Albanie voisine. Un rapporteur du Conseil de l’Europe, Dick Marty, a déclaré que les deux affaires étaient liées et touchaient aux plus hautes sphères du pouvoir au Kosovo, dirigé par l’ex-guérilla.

    Mais Dick Marty n’a pas souhaité témoigner à la demande de l’accusation, ce que le tribunal a regretté. Une équipe composée d’experts européens et dirigée par le procureur américain Clint Williamsondoit rendre un rapport en 2014 sur les accusations de Dick Marty. Les cinq condamnations prononcées lundi ne concernent que des ressortissants kosovars. Le directeur de la clinique Medicus, l’urologue Lutfi Dervishi, a été condamné à huit ans de prison pour crime organisé et trafic d’êtres humains. Son fils, Arban, a écopé de sept ans et trois mois. Un anesthésiste a été condamné à trois ans fermes et deux autres prévenus à un an avec sursis.Deux mandats d’arrêt ont été émis à l’encontre de deux autres suspects, un chirurgien turc, et le cerveau présumé du réseau, l’Israélien Moshe Harel. Fatos Bytyci; Jean-Stéphane Brosse pour le service français, édité par Pascal Liétout

    http://www.contre-info.com

  • Climat toujours explosif en Syrie

    DAMAS (NOVOpress via le Bulletin de la réinformation) - Nouveau signe que le conflit syrien, qui dure maintenant depuis deux ans, n’est pas prêt de s’apaiser : le Premier ministre de Bachar Al‑Assad, Wael Al-Halki (image ci-dessus), a échappé lundi à une tentative d’attentat à la voiture piégée. La bombe dans la voiture a été déclenchée à distance et a explosé au cœur d’un quartier résidentiel de Damas, non loin d’une école et d’un jardin public.

    A l’heure où les médias de l’oligarchie et les grandes puissances occidentales nous parlent de crimes de guerre et d’armes chimiques, les cadres du régime sont attaqués dans leur quartier par les forces de l’opposition. Une combinaison d’événements qui apparaît comme une grande tentative de renversement du régime par des pressions internes et externes. La Russie, de son côté, a mis en garde contre un scénario « à l’irakienne », lors duquel une enquête sur de supposées armes chimiques servirait de prétexte à une invasion et un renversement militaire du régime syrien.

    http://fr.novopress.info

  • Une affaire qui marche : le Goulag US

    Ex: http://www.dedefensa.org/

    L’ensemble pénitentiaire US s’est lentement transformé, depuis le début des années 1970, en un Prison Industrial Complex (PIC) qui s’avère être une des plus étonnantes trouvailles du Système dans la recherche d’une activité à la fois industrielle et génocidaire, – faisant passer au second plan les problématiques de la justice et de la délinquance qui, d’ordinaire, définissent la question des prisons. L’établissement du PIC est en général daté de 1973, avec une loi de l’Etat de New York passée par le gouverneur Nelson Rockefeller, rendant passible de prison tout détenteur et utilisateur de drogue. Depuis, les peines pour ces délits, jusqu'aux plus ridiculement mineurs, n'ont cessé de s'alourdir, mettant en évidence la participation active à l'entreprise du système législatif et du système judiciaire US.

    L’analyste politique et photographe Nile Bowie, collaborateur de Russia Today, publie ce 23 avril 2013 un article sur «[A] Moral monstruosity : America’s for profit Gulag system» Il y décrit les conditions de développement, de fonctionnement et d’existence du PIC, dont la population a augmenté de 772% entre 1970 et 2009, et dont la part du privé a été multipliée par 17 durant les deux dernières décades. Le PIC est effectivement devenu une part intégrante du Système, notamment dans sa division économique, comme un effet presque naturel et évident de la doctrine capitaliste développée dans les conditions du Système. Actuellement, la population carcérale aux USA approche les 25% de la population carcérale mondiale, alors que la population US se situe entre 4% et 5% de la population mondiale. (D’une façon qu’on devrait juger assez significative de l’implication du système capitaliste, et dans tous les cas certainement symbolique, ce rapport 4%/5% versus “près de 25%” est également celui du pourcentage de la population US par rapport au pourcentage d’émission de CO2 pour l’activité industrielle par les USA.)

    L’emploi du terme Goulag (ou GOULAG, puisqu’il s’agit d’un acronyme russe) pour qualifier le système pénitentiaire US apparaît en général assez délicat. Pourtant, la description du PIC tel qu’il est aujourd’hui écarte les dernières réticences : il s’agit bien d’un système de Goulag, puisque son opérationnalité permet l’usage d’une main d’œuvre à si bon marché qu’on peut la considérer comme quasiment gratuite, tandis qu’elle neutralise et élimine des catégories très précises d’individus dont le Système se méfie.

    Durant ces ces quelques décennies depuis l'institution du PIC, la population carcérale a été de plus en plus alimentée par trois grands courants sociaux et ethniques : la population dépendante de la drogue sous tous ses aspects, jusqu’aux cas les plus mineurs ; la population des immigrants clandestins capturés essentiellement à la frontière entre les USA et le Mexique ; la population des minorités ethniques, essentiellement les Africains Américains. (Bien entendu, les diverses catégories de “déviants” du Système, comme les “prisonniers politiques” sous la forme de contestataires divers, sont inclus dans ces courants.) L’auteur compare le système actuel des prisons au système de prisons, également privé, qui fut mis en place aux USA après l’abolition de l’esclavage, de la Guerre de Sécession jusqu’au début du XXème siècle, et d’ailleurs nullement cantonné à une seule région du pays, pour regrouper des populations fournissant de la main d’œuvre à bon marché, sinon à coût quasiment nul, pour le travail traditionnel de la cueillette de coton, mais aussi pour les travaux d’infrastructure de modernisation (routes, chemins de fer, etc.). Ce système est ainsi reproduit aujourd’hui, avec la privatisation maximale, les “travailleurs-esclaves” recevant des sommes ridicules sinon symboliques et les entreprises privées gérant les prisons (il y en a trois principalement, CCA, GEO Group, Cornell) sous-traitant des travaux divers pour l’extérieur. Ce système rassemble tous les attributs habituels du capitalisme américaniste, notamment une organisation de corruption maximale du monde politique avec une organisation très puissante de lobbying, pour obtenir certaines lois favorisant les activités rentables du complexe, aussi bien que des lois qui favorisent directement (sévérité des peines) et indirectement le “recrutement” des populations carcérales. Dans ce dernier cas, par exemple, les lobbies du complexe luttent avec acharnement contre la dépénalisation de la marijuana, la consommation de cette drogue mineure fournissant un nombre appréciable de “travailleurs-esclaves”.

    Dans tous les cas envisagés, les peines sont extrêmement lourdes, de façon à obtenir une stabilité de “la main d’œuvre”. Les prisonniers vivent dans des conditions de plus en plus dégradées, parfois dans des conditions stupéfiantes de promiscuité dans des immenses hangars organisés en dortoir, puisque les entreprises privées ne cessent de restreindre les budgets d’entretien et que les quelques interventions publiques sont restreintes à cause de la crise. Bien entendu, tout cela se passe dans un climat de contrainte et de violence internes constant, qui favorise indirectement la soumission des prisonniers. Lorsqu’ils sont libérés, puisque la chose arrive, les prisonniers sont le plus souvent privés de leurs droits civiques et d’accès aux services sociaux et au marché du travail, ce qui fait que le complexe espère les récupérer rapidement sous la forme de l’un ou l’autre délit de survie aussitôt transformé en une peine de prison maximale (récidive). Ainsi le système est-il complet, avec comme premier incitatif le profit. Enfin, toutes ces conditions excluent toute vie sociale et familiale des détenus ; elles suscitent une dégradation rapide de leur état de santé au sens le plus large avec des soins médicaux réduits au minimum, si bien qu’on peut considérer qu’il s’agit également d’une entreprise d’élimination “douce” (!) de type génocidaire, portant sur des populations dont le Système en général ne veut pas. Le circuit est ainsi bouclé et la capitalisme, parvenant à son essence la plus intime, rejoint complètement les caractères généraux du Goulag stalinien.

    Voici un extrait important du texte de Nile Bowie, de ce 23 avril 2013, dont l’intérêt est de développer la description des conditions de l’action du complexe pour assurer sa position de puissance au sein du Système, notamment dans le monde politique US.

    «The number of people imprisoned under state and federal custody increased 772% percent between 1970 and 2009, largely due to the incredible influence that private corrections corporations wield against the American legal system. The argument is that by subjecting correctional services to market pressures, efficiencies will be increased and prison facilities can be run at a lower cost due to market competition. What these privatizations produce in turn is a system that destroys families by incentivizing the mass long-term detention of non-violent criminals, a system that is increasingly difficult to deconstruct and reform due to millions paid out to state and federal policymakers. According to reports issued by advocacy group Public Campaign, the three major corrections firms –Corrections Corporation of America (CCA), the GEO Group, and Cornell, have spent over $22 million lobbying Congress since 2001.

    »As a means of influencing policymaking at the federal level, at least $3.3 million have been given to political parties, candidates, and their political action committees, while more than $7.3 million has been given to state candidates and political parties since 2001, including $1.9 million in 2010, the highest amount in the past decade. Senators like Lindsay Graham and John McCain have received significant sums from the private prison corporations while Chuck Schumer, Chair of the Rules Committee on Immigration and Border Enforcement, received at least $64,000 from lobbyists. The prison lobby thrives off of laws that criminalize migrants and submit them to mandatory detention prior to being deported, sometimes up to 10 months or more; private firms have consistently pushed for the classification of immigration violations as felonies to justify throwing more and more immigrants behind bars. The number of illegal immigrants being incarcerated inside the United States has risen exponentially under Immigration and Customs Enforcement, an agency responsible for annually overseeing the imprisonment of 400,000 foreign nationals at the cost of over $1.9 billion on custody-related operations.

    »The private prison industry has become increasingly dependent on immigration-detention contracts, and the huge contributions of the prison lobby towards drafting Arizona’s controversial immigration law SB 1070 are all but unexpected. Arizona's SB 1070 requires police to determine the immigration status of someone arrested or detained when there is “reasonable suspicion” that they’ve illegally entered the US, which many view as an invitation for rampant racial profiling against non-whites. While the administration of Arizona’s Governor Jan Brewer is lined with former private prison lobbyists, its Department of Corrections budget has been raised by $10 million in 2012, while all other Arizona state agencies were subject to budget cuts during that fiscal year. The concept of privatizing prisons to reduce expenses comes at great cost to the inmates detained, who are subjected to living in increasingly squalid conditions in jail cells across America. In 2007, the Texas Youth Commission (TYC), a state agency that overseas juvenile corrections facilities, was sent to a West Texas juvenile prison run by GEO Group for the purpose of monitoring its quality standards.

    »The monitors sent by the TYC were subsequently fired for failing to report the sordid conditions they witnessed in the facility while they awarded the GEO Group with an overall compliance score of nearly 100% - it was later discovered that the TYC monitors were employed by the GEO Group. Independent auditors later visited the facility and discovered that inmates were forced to urinate or defecate in small containers due to a lack of toilets in some of the cells. The independent commission also noted in their list of reported findings that the facility racially segregated prisoners and denied inmates access to lawyers and medical treatment. The ACLU and Southern Poverty Law Center have also highlighted several cases where GEO Group facility administrators turned a blind eye to brutal cases of rape and torture within their facilities, in addition to cases of its staff engaging in violence against inmates. According to the Justice Department data, nearly 210,000 prisoners are abused annually (prison personnel are found responsible half the time), while 4.5 percent of all inmates reported sexual assaults and rape.

    »It’s not possible to conceive how such institutionalized repression can be rolled back when the Obama administration shows only complicity with the status quo – a staggering $18 billion was spent by his administration on immigration enforcement, including detention, more than all other federal law enforcement agencies combined. Under Obama’s watch, today’s private prison population is over 17 times larger than the figure two decades earlier. Accordingly, Obama’s drug czar, Gil Kerlikowske, has condemned the recently passed state laws in Colorado and Washington that legalize the possession of marijuana in small amounts. The Obama administration is bent on keeping in place the current federal legislation, where a first-time offender caught with marijuana can be thrown in prison for a year. It’s easy to see why common-sense decriminalization is stifled - an annual report released by the CCA in 2010 reiterates the importance of keeping in place harsh sentencing standards, “The demand for our facilities and services could be adversely affected by the relaxation of enforcement efforts, leniency in conviction or parole standards and sentencing practices or through the decriminalization of certain activities that are currently proscribed by our criminal laws. For instance, any changes with respect to drugs and controlled substances or illegal immigration could affect the number of persons arrested, convicted, and sentenced, thereby potentially reducing demand for correctional facilities to house them.”

    »Such is the nature of a perverted brand of capitalism, and today’s model bares little difference to the first private prisons introduced following the abolishment of slavery in the late 1800s, where expansive prison farms replaced slave plantations where predominately African-American inmates were made to pick cotton and construct railroads in states such as Alabama, Georgia and Mississippi. Today, African-Americans make up 40% of the prison population and are incarcerated seven times more often than whites, despite the fact that African-Americans make up only 12% of the population. Inmates are barred from voting in elections after their release and are denied educational and job opportunities. The disproportionate levels of black people in prisons is undeniably linked to law enforcement’s targeting of intercity black communities through anti-drug stipulations that command maximum sentencing for possession of minute amounts of rock cocaine, a substance that floods poor black neighborhoods.

    »Perhaps these social ills are byproducts of a system that places predatory profits before human dignity. Compounding the illogic is that state spending on prisons has risen at six times the rate of spending on higher education over the past two decades. Mumia Abu-Jamal, America’s most famous political prisoner, has spent over three decades on death row; he was convicted in 1981 for the murder of a white police officer, while forensic experts say critical evidence vindicating Jamal was withheld from the trial. In an interview with RT, Jamal relates his youth activism with the Black Panthers party against political imprisonment in contrast to the present day situation, “We could not perceive back then of what it would become… you can literally talk about millions of people incarcerated by the prisoner-industrial complex today: men, women and children. And that level of mass incarceration, really mass repression, has to have an immense impact in effect on the other communities, not just among families, but in a social and communal consciousness way, and in inculcation of fear among generations.” The fear and immortality the system perpetuates shows no sign of abating. Being one of the few growth industries the United States has left, one can only imagine how many people will be living in cages in the decades to come.»

    Ce qui est remarquable dans cette description du complexe, c’est la façon structurelle décrite d’une organisation systématique, très rentabilisée, très bien contrôlée, qui dépasse très largement en efficacité et en rentabilité le système stalinien (Goulag). On rejoint alors des considérations beaucoup plus larges, qui doivent alimenter la réflexion sur la nature profonde d’un Système qui génère, presque naturellement, presque de lui-même, de tels ensembles dont les moyens de fonctionnement sont l’esclavagisme (dans des conditions pires que l’esclavage originel), la déshumanisation et la destruction psychologique, l’extermination organisée, “collectivisée” d’une façon rampante et indirecte. Grâce aux conditions de communication du Système, ces ensembles ont la caractéristique d’être présentées et perçues (supériorité indiscutable sur les dictatures d’extermination) comme de bien public et de participation efficace à la protection normale de la loi et de l’ordre démocratiques. L’effet de ces phénomènes rejoint la production naturelle du Système comme élément représentant le “pire de tous les maux”, ou le Mal parvenu à un état de fonctionnement maximal et exclusif ; il s’agit de la production maximale de déstructuration, de dissolution et d’entropisation, dans ce cas de la société et de populations diverses.

    Il faut noter que certains auteurs ont également rapproché le fonctionnement du système nazi gérant, organisant et développant le système d’extermination (Holocauste), de la référence du capitalisme américaniste (pour nous, produit du Système), avec sa branche bureaucratique et sa branche de productivité et de rentabilité. Ainsi en ont-ils fait un produit direct de la modernité, ce qui correspond assez justement au jugement naturel qui nous vient sous la plume. Le 7 décembre 2005, parlant alors du seul système de prisonniers de la CIA dans la Guerre contre la Terreur, nous écrivions ceci, qui citait un de ces principaux auteurs, le professeur Richard L. Rubenstein :

    «Pour ce qui concerne le système nazi, qui présente un autre cas, il faut lire La perfidie de l’Histoire, de Richard L. Rubenstein (né en 1924, professeur d’histoire et de philosophie des religions à l’université de Bridgeport, dans le Connecticut). Ce livre, publié en 2005 (éditions Le Cerf), comprend le texte original de Rubenstein, datant de 1975 (avec un ajout de circonstances, datant de 2004, traitant du terrorisme islamique). L’originalité de l’approche de Rubenstein est qu’il fait porter l’essentiel de la responsabilité de l’Holocauste dans son ampleur et dans la réalisation de son aspect systématique non sur l’idéologie, qui est l’élément déclencheur, mais sur la bureaucratisation et les méthodes industrielles modernes de gestion et de production. C’est introduire comme principal accusé de l’ampleur et de la substance du crime les méthodes et les contraintes modernistes au travers de l’expansion et de la gestion industrielles, et de la bureaucratisation systémique.

    »La caractéristique finale est un montage systémique s’apparentant moins à un complot qu’à l’évolution “naturelle” (c’est-à-dire logique dans ce cas, de la logique interne du système) d’un système de conception moderniste à la fois de cloisonnement et de dilution de la perception des responsabilités. L’effet mécanique du montage est de cacher l’ampleur et le motif du crime aux exécutants, et d’assurer son efficacité complète sans prendre le risque de l’illégalité qui constitue une transgression des lois difficilement supportable pour un esprit conformiste (la bureaucratie implique un complet conformisme de l’esprit ; — il faut donc ménager leur conformisme). Rubenstein observe qu’à cause de diverses dispositions et situations, l’Holocauste ne peut être tenu pour “illégal” selon les lois allemandes en vigueur à l’époque. Rubenstein laisse clairement voir qu’il considère la bureaucratisation de la puissance américaine comme une évolution de même substance que les structures qui permirent l’Holocauste...»

    http://euro-synergies.hautetfort.com/

  • Le Printemps Français manifeste contre les violences policières

    Environ 200 personnes se sont rassemblées lundi soir devant le palais de justice de Paris pour manifester contre les "violences policières" dont ont été victimes certains manifestants opposés au mariage homosexuel.
    Les manifestants se sont réunis en début de soirée "pour témoigner des violences policières" qu'ont subi "certains manifestants" et dénoncer "le détournement de la justice et de la police à des fins idéologiques", a déclaré Frédéric Pichon, avocat du Printemps Français, mouvement opposé au mariage homosexuel.¢
    Maître Pichon a ajouté que des militants opposés au mariage homosexuel "ont été passés à tabac" et qu’"il y a eu des violations procédurales comme des gardes-à-vue punitives" en marge des manifestations qui ont réunis les opposants au mariage homosexuel.
    Une jeune fille dénommée "Pauline" a également pris la parole pour raconter comment elle avait été conduite manu militari dans le métro, mercredi soir, alors qu'elle attendait devant l'Assemblée nationale, "toute seule". Deux gendarmes l'ont "secouée dans tous les sens" et l'ont insultée, selon son témoignage.
    Plusieurs des 67 opposants qui avaient été placés en garde à vue il y a deux semaines après avoir été interpellés devant l'Assemblée nationale, où ils s'apprêtaient à installer des tentes, étaient aussi présents.
    Au mégaphone, Maître Pichon s'en est pris au Syndicat de la Magistrature, dont le "mur des cons" donnerait "une certaine idée d'une justice idéologique", et au Petit Journal de Canal+ accusé d'être du côté de la préfecture et qui incarne "la bourgeoisie partouzarde, décadente et cocaïnomane".
    "Nous sommes là pour soutenir les victimes des violences policières", a déclaré Béatrice Bourges, porte-parole du Printemps français. "Nous sommes en pleine régression. Nous sommes contre la loi Taubira et on ne lâchera rien", a-t-elle dit.
    Une dizaine des jeunes hommes torse nus baptisés "Hommen" ont fait brûler des fumigènes devant le palais de justice en scandant "Hollande, ta loi, on n'en veut pas".
    Le texte ouvrant le mariage et l'adoption aux couples homosexuels a été définitivement adopté par le Parlement il y a huit jours. Il est depuis lors examiné par le Conseil constitutionnel qui a été saisis par des parlementaires de l'opposition.¢
    Avec AFP http://www.francepresseinfos.com/

  • Mesdames, venez tester le régime Valls !

    Mesdames, venez tester le régime Valls !

    Attention aux grains (de Vals) !

    Un régime révolutionnaire, testé par la rédaction : pour l’été, vous serez belles et rebelles !

    Où ?
    Dans le cadre prestigieux des Invalides, du Champ-de-Mars et des quartiers chics de nos belles villes de France.

    Avec qui ?
    Vos amies, vos filles, vos sœurs, vos collègues, mais pas seulement entre filles. Votre mari, vos enfants, vos adolescents, vos parents sont bienvenus. Sans limite d’âge.

    Quoi ?
    Un programme personnalisé vous permettra d’alterner sport et méditation, travail vocal et activités manuelles. Quelques exemples : nos animatrices vous conduiront au cœur des manifestations (pour marcher, crier, bouger, taper sur des casseroles), vous trouveront les plus belles pelouses pour des sit-in (pour la paix intérieure), passeront avec vous la nuit à veiller (une occasion unique de contempler les étoiles), vous apprendront comment apporter votre soutien aux plus jeunes (confection de banderoles, de kits antilacrymogènes), etc. En option : chant choral. Possibilité d’after (après démaquillage, déconseillé aux personnes porteuses de lentilles).

    Possibilité de privatisation pour enterrement de vie de jeune fille, anniversaires de mariage, fêtes de famille, etc.

    Quand ?

    A votre choix, mais surtout en fin de journée et début de nuit.

    Code vestimentaire :
    Tenue décontractée de saison, chaussures de sport, foulard, petit sac à dos. En option : fleurs dans les cheveux.
Matériel non fourni : pour les manifestations, batterie de cuisine, sifflets, bouchons d’oreille conseillés. Pour les veillées, bougies parfumées, thermos, petits fours, gâteaux maison. Pour les sit-in, lectures pacifistes. Pour les after, liste sur demande.

    Code couleur :
    Selon les actions envisagées, bleu et rose fuchsia, ou passe-muraille.

    Vos armes pour réussir :
    Bonne volonté, bonne humeur, sens de l’humour, cohésion, imagination.

    Un must :
    La garde à vue, pour tester votre zen attitude dans les lieux les plus sordides.

    Une certitude :
    Vos kilos superflus s’envolent, votre teint se réveille, votre jeunesse revient ! Pour l’été, vous serez belles et rebelles !

    Durée de l’offre :
    jusqu’à fin mai au moins – extension possible jusqu’au 14 juillet.
    Offre non limitée :

    Faites-la circuler à vos 10 meilleures amies ! Messieurs bienvenus.

    Anne-Laure Blanc
    Boulevard Voltaire
    27/04/2013
    Correspondance Polémia – 29/04/2011

    http://www.bvoltaire.fr/annelaureblanc/mesdames-venez-tester-le-regime-valls

  • Ce danger qui vient


    Ce danger qui vient
    Il est des fautes en matière de logique qui sont assez connues. Ainsi par exemple la démarche inductive consistant à généraliser abusivement, même si quelquefois le processus est valide: le plus souvent, pour ne pas écrire presque toujours, on ne peut extrapoler un cas particulier pour en faire un principe général universellement valide.

    Sachant cela, l'article d'Alexandre Latsa (1), puisqu'il ne concerne que la figure de Jacques Attali, n'apparaît pas inquiétant.

    Sauf que...

    On sait que la Grèce connaît un problème économique majeur. On m'accordera bien volontiers que Michel Rocard n'est nullement un extrémiste. Pourtant, dans le cadre d'un entretien, l'ancien premier ministre socialiste déclara que ce qui pouvait se faire de mieux au sujet de la Grèce, ce serait l'établissement d'une dictature permettant la résolution des problèmes économiques auxquels sont confrontés les Grecs. Michel Rocard éprouve un tel intérêt pour le système économique qu'il prône, qu'il n'hésite pas à fouler aux pieds les principes essentiels de la démocratie...

    Jean-Claude Trichet, lui non plus, n'est pas un extrémiste. Diplômé de sciences politiques puis de l'Ena, il fut directeur du Trésor de 1987 à 1993 puis gouverneur de la Banque de France de 1993 à 2003 avant d'être président de la Banque centrale européenne de 2003 à 2011. Assez récemment, il fit pourtant une déclaration assez surprenante: de son point de vue, si les Français ont vocation à s'exprimer par l'intermédiaire du suffrage universel, celui ci ne constitue nullement la finalité. Le vote, à ses yeux, n'a vocation à être, que si les Français ne remettent pas en cause les grands principes économiques qui font désormais consensus au sein de la grande majorité de nos élites politiques: dans le cas contraire, il faudrait repenser le système démocratique...

    Valéry Giscard d'Estaing n'est pas plus excentré politiquement que les deux hommes auxquels on vient de faire référence. Mais là encore, le discours est le même; à la question de Marie-France Garaud lui demandant s'il comptait faire son Europe même si les peuples européens n'en voulaient pas, l'ancien président répondit par l'affirmative...

    De façon similaire, on sait ce qu'il advint du traité de Lisbonne, rejeté par les Français via le processus d'expression majeur qu'est le référendum: sorti par la fenêtre assez durement, les parlementaires français lui ouvrirent bien grande la porte.

    On peut donc constater que Jacques Attali n'est pas esseulé en matière de prises de position extrémistes, en l'occurrence antidémocratiques, et que par voie de conséquence, l'article d'Alexandre Latsa a vraiment sa raison d'être, l'ancien conseiller de François Mitterrand n'étant qu'un parmi plusieurs.
    Philippe Delbauvre http://www.voxnr.com
    (1) http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EFyVkFVykFAVdULTDe.shtml