
Marion Maréchal, vice-présidente exécutive de Reconquête s’est exprimée ce lundi sur les émeutes qui ont éclaté en France, après la mort de Nahel. Cet adolescent de 17 ans est décédé après un contrôle routier et un refus d’obtempérer à Nanterre.
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Un communiqué du Collectif Némésis :
• Pas un seul débordement pour Julie Martin tuée par Hafid Malouk.
• Pas un seul débordement pour Melanie Lemee tuée par Yassine El Aziz.
• Pas un seul débordement pour Aurelie Châtelain tuée Sid-Ahmed Ghlam
• Pas un seul débordement pour Jessica Schneider tuée par Larossi Abballa.
• Pas un seul débordement pour Stéphanie Monfermé tuée par Jamel Gorchene
• Pas un seul débordement pour Marie-Belen tuée par Faycal
Onze hommes et femmes, originaires de la communauté des gens du voyage de Bulgarie, ont été condamnés, fin juin par le tribunal correctionnel de Paris. Ils étaient soupçonnés de tenir des ados en esclavage pour les contraindre à dépouiller les touristes.
[…]Avant de se rendre sur l’étape du Tour de France, le président a échangé avec des élus du 64 ce jeudi matin à Pau. Il est revenu longuement sur les émeutes :
À Lyon, c'est un peu comme à Paris ou à Bordeaux. Ou à Grenoble. Ou à Nantes. Les riches habitants du centre, que l'on appelle parfois bobos, ont élu des maires hors-sol qui prennent des décisions incompréhensibles au commun des mortels.
À Nantes, un jeu de chamboule-tout anti-flic. À Paris, un concert de soutien aux émeutiers, avec la bénédiction de la mairie.
Et à Lyon... eh bien, à Lyon, on a une police municipale, mais on ne s'en sert pas. Du moins, pas vraiment. Bien sûr, les agents municipaux doivent être bien occupés en temps de paix, avec les petits ou grands délits ainsi que les P.-V., probablement. Mais en temps de pré-guerre civile, comme lors des émeutes qui ont organisé la rencontre entre les bourgeois et les racaille, niet.
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Ce ne sont pas les Macron et autre Darmanin qui ont ramené le calme dans les cités exotiques, jusqu’à la prochaine explosion, avec armes à feu cette fois. Non, ces « zones de non droit » que les derniers résidents « de souche » et immigrés intégrés à la société française cherchent à fuir, sont sous la suzeraineté de néo-féodaux. Ces derniers ont presque droit de vie et de mort sur les habitants de tous ces « quartiers difficiles ». Sont-ils dans ces nouveaux fiefs, les descendants de Barbaresques conquérants qui, par-delà les siècles, sembleraient vouloir prendre leur revanche ?
Pour Pierre Brochand, ex-patron de la DGSE, « Avec les émeutes, le pronostic vital de notre pays est engagé. Si nous en sommes arrivés là, c'est en raison de l'idéologie dominante qui a justifié l'immigration massive». Une intervention à paraître dans le Figaro Magazine de ce week-end.
« Mais les gamins, ils écoutent qui, alors ? » Dans la nuit du 3 au 4 juillet, alors qu’il se rend au chevet des forces de l’ordre mobilisées depuis une semaine pour ramener le calme en France, Emmanuel Macron s’interroge naïvement.
Les policiers sont-ils craints par les émeutiers ? Les parents des jeunes délinquants ont-ils encore de l’autorité sur les enfants ? La réponse des fonctionnaires de police présents ce jour est sans appel.