
Chacune des parties au procès de N., un Syrien de 22 ans, s’accorde à dire qu’il y a un contexte derrière les deux préventions de viol sur mineure de moins de seize ans entre 2023 et le mois de février dernier, pour lesquelles il est cité à date du mois de novembre 2023, lorsqu’une adolescente de 14 ans se présente au CPVS (Un centre de prise en charge des violences sexuelles, NdlR) avec sa mère. Toutes deux sont Syriennes et elles ne s’expriment pas très bien en français, selon l’infirmière qui les accueille. Cette dernière explique dans une audition ultérieure qu’il était question d’une plainte pour viol mais surtout de la perte de la virginité de la fille.








