Dans Face à l’info, l’éditorialiste a démontré le “changement de nature” de la délinquance depuis les années 70, qui s’apparente aujourd’hui à une “conquête de territoire”.
insécurité - Page 388
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Éric Zemmour : “Les mineurs délinquants mènent une guerre de conquête en chassant les Français de souche des banlieues”
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Petite sociologie du manifestant black-bloc, par Bertrand Alliot.
Une bonne vieille manif’ est bien plus exaltante qu’une séance de paintball ou de laser-game…
Les bonnes vieilles manifs sont en train de se réinventer. Quel que soit l’objet de la protestation, elles s’accompagnent dorénavant d’actes spectaculaires de vandalisme et de violences inouïes envers les forces de l’ordre. Les vitrines sont défoncées, les voitures incendiées et les policiers poursuivis comme des cerfs lors des chasses à courre.
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Michel Thooris : « Affaire Zecler : on a affaire à une tentative d’interpellation qui a mal tourné en raison de la résistance de la personne mise en cause »
Le syndicat France Police-Policiers en colère adresse un courrier au procureur de la République lui demandant d’attaquer Michel Zecler en Justice.
Une initiative à contre-courant de l’actualité ?
Explication de Michel Thooris au micro de Boulevard Voltaire.
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Lynchage de Zecler : derrière le récit officiel, par Ivan Rioufol
Le récit officiel, repris par les médias, dit ceci : parce qu’il est noir, le producteur de rap, Michel Zecler, a été lynché par des policiers blancs dans le XVII e arrondissement de Paris, le 21 novembre. La scène principale, filmée par la caméra de surveillance d’une entrée d’immeuble, dit les faits. La victime assure aussi avoir été traitée de “sale nègre”. Hier, quatre policiers ont été mis en examen. Deux d’entre eux ont été placés en détention provisoire. Est-il permis néanmoins d’apporter des précisions ? Ce point semble risqué, au vu du consentement de la presse à s’en tenir à la version établie. Remarquons pourtant que les fonctionnaires ont été présentés dimanche, par le procureur de la République Rémy Heitz, comme ayant “des bons, voire des très bons états de service“.
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Le vrai scandale de la loi Sécurité globale.
L'avis de Jean-François TouzéL'article 24 de la loi sur la sécurité globale est sans doute l'arbre mineur mis en avant pour cacher une forêt d'épines autrement plus redoutable.La focalisation du débat sur les conditions de diffusion d'images de policiers ou gendarmes en opération -comme si la question du floutage de leur visage était la condition première de leur sécurité - si elle cause quelques désagréments au gouvernement de buses conduit momentanément par Jean Castex, présente en revanche l'immense avantage de dissimuler à l'opinion publique le vrai scandale de ce projet : la privatisation de la sécurité des Français. -
C News/Zemmour : images de violence, deux poids deux mesures ?
(A Guy Bertran de Balanda, à l'origine de cette chronique télévisuelle)...
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Expulsions: l’État de droit dans le mur. Le transfert du pouvoir des élus vers les juges empêche de lutter contre l'islamisme, par Michel Aubouin.
Le centre de rétention administrative (CRA) de Vincennes, 18 septembre 2019.© Stephane de Sakutin/AFP
Ancien préfet, Michel Auboin connaît de l’intérieur les rouages et chausse-trappes du système administratif chargé de l’expulsion des étrangers dangereux. Son constat : aujourd’hui ces rouages sont grippés à cause d’un transfert de pouvoir des élus et des fonctionnaires vers les juges. Encore un mauvais coup des énarques!
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Violences policières : le tweet totalement indécent de l’éborgneur Castaner
Christophe Castaner était l’homme de main de Macron, à la tête du ministère de l’Intérieur, avant le traître Darmanin.
Castaner, individu grossier, incompétent et ancien du Milieu, s’est illustré en chapeautant la très brutale répression de la révolte populaire et bon enfant (avant la dernière phase gangrénée par la gauche) des Gilets jaunes : des dizaines de Français honnêtes, travailleurs inquiets ou menacés par la ruine, souvent patriotes, ont été éborgnés, énucléés, amputés, dans une indifférence médiatique et judiciaire ahurissante.
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Fiorina : « Pour avoir l’attention des médias et de l’IGPN, faut-il être immigré ? »
Entretien avec Fiorina Lignier, Gilet Jaune et auteur de Tir à vue ♦ Dans quelques jours, le 8 décembre, cela fera 2 ans que Fiorina Lignier a perdu un œil durant la révolte populaire des Gilets Jaunes. Elle a perdu un œil et bien plus. Deux ans après les faits, elle se sent plus seule que jamais, alors que l’État et les instances judiciaires sont aux abonnés absents. L’IGPN est rapidement saisie par Gérald Darmanin lorsqu’un clandestin afghan est victime d’un croche-pied ou lorsque un extra-européen subit des violences lors d’une intervention policière. Mieux, elle rend des rapports en moins de 48 heures. Fiorina attend toujours, deux ans après les faits, alors que les responsables du tir qui l’a éborgnée sont parfaitement identifiés.
Voici un entretien avec Fiorina qui revient sur l’épreuve qu’elle traverse.
Fiorina a perdu un œil mais pas l’essentiel : son courage et son honneur. Des biens précieux dont sont départis beaucoup de ceux qui ont encore leurs deux yeux.
Polémia« La République n’a jamais essayé de se préoccuper de mon cas »
Polémia : Bonjour Fiorina, rappelez-nous ce qui s’est passé et il y a deux ans.
Fiorina : Il y a deux ans, je perdais mon œil gauche à cause d’un tir policier lors d’une manifestation de Gilets Jaunes.
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Face à l’impasse, la majorité parlementaire suspend le controversé « article 24 »
Les patrons des groupes composant la majorité parlementaire, LREM, MoDem et Agir tenaient une conférence de presse commune à l’Assemblée nationale ce lundi 30 novembre, afin de trancher une position commune sur le très controversé article 24 de la loi de « sécurité globale ». Christophe Castaner, chef de file des députés LREM, a annoncé leur volonté de suspendre cet article portant sur la diffusion d’images des forces de l’ordre.
La majorité proposera « une nouvelle écriture complète de l’article 24 », a précisé Christophe Castaner.