insécurité - Page 393
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Pierre-Yves Rougeyron : Réaction suite aux attentats
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63 islamistes, condamnés pour terrorisme, sont sortis de prison en 2020, une vingtaine seront libérés avant la fin de l’année, la plupart des détenus relâchés ne sont pas surveillés
Plusieurs dizaines d’islamistes, incarcérés dans les prisons françaises, ont été libérés cette année. Des libérations “massives” selon un magistrat spécialisé interrogé par le Figaro qui révèle ces chiffres. Le suivi sociojudiciaire serait peu appliqué après une libération.
“Les sorties sont massives”. Le commentaire d’un magistrat spécialisé dans les affaires terroristes n’est guère rassurant. Le Figaro détaille, ce mardi, les chiffres des libérations de détenus islamistes alors que de nouvelles attaques terroristes ont frappé la France et que le plan Vigipirate a été relevé au niveau “urgence attentat”.
505 personnes sont actuellement détenues pour des faits de terrorisme en lien avec l’islamisme en France. 273 ont été condamnées définitivement et 232 sont mises en examen ou en attente de leur procès. Depuis le début de l’année 2020, 63 prisonniers ont été libérés et une vingtaine de libérations supplémentaires sont attendues d’ici la fin de l’année. Les prévisions de libération se montent à 70 personnes en 2021, une cinquantaine en 2022 et une trentaine en 2023.
Un magistrat spécialisé interrogé par le Figaro explique que “les gens qui sortent actuellement sont les djihadistes de la première vague, des individus souvent hyper entraînés et prêts à tout, y compris à mourir, pour certains”.
(…) Autre élément d’inquiétude : le suivi sociojudiciaire des détenus libérés est relativement faible. Seuls 80 des 273 détenus islamistes bénéficieront de ce suivi.
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Violences urbaines en banlieue lyonnaise et Lilloise
Appelés pour l’incendie d’une voiture à Bron (Rhône) lundi soir, les pompiers ont été bloqués par un groupe de personnes. A Mons-en-Baroeul (Nord), les forces de l’ordre ont été visées par des tirs de mortiers.
https://www.tvlibertes.com/actus/violences-urbaines-en-banlieue-lyonnaise-et-lilloise
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Sa fille assassinée au Bataclan, PATRICK JARDIN témoigne sur VIVE L'EUROPE, avec Daniel CONVERSANO
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Ce racisme ordinaire dont on parle rarement…
Depuis quelques jours, des message de haine accompagnés d’appels à la violence circulent sur Internet contre les Asiatiques de France. Il s’agit, carrément, d’injonction directes à agresser les Chinois, proférées depuis de nombreux comptes Facebook, Twitter, etc. L’affaire a été révélée par l’Association des jeunes Chinois de France, sur sa page Facebook, puis relayée par la LICRA sur son site Internet : on y voit des tweets d’un certain Imad appelant à tabasser les Chinois au collège, puis d’un certain JNK suppliant les « renois et rebeus du 91, 92, 93, 94 95 à tabasser chaque Chinois croisé dans la rue ».
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« Service après-vente, bonjour ! » : contre l’islamisme, Omar Sy aux abonnés… évasifs !
Revenons sur le « séisme » de l’affaire Paty. Une vague de sidération a secoué le microcosme politico-médiatique à l’annonce de ce terrible assassinat. Pourtant, ce n’était pas la première fois qu’on tuait, en France, dans une école, au nom de l’islam. Rappelez-vous ! Le 19 mars 2012, le djihadiste Merah abattait froidement Arié et Gabriel, 5 et 3 ans, leur père, et Myriam, 8 ans, dans une école juive de Toulouse. Et ce 16 octobre 2020, le saint des saints de la République, l’école « laïque, gratuite et obligatoire », était atteint par le martyre de l’un de ses serviteurs. Pas de sanctuaire contre le terrorisme islamiste !
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Attentat de Nice Les politiques au pied du mur, par Véronique Jacquier.
Face à la menace terroriste, hommes et femmes politiques sont conduits à répondre au défi civilisationnel qui se pose désormais en France.
« Aujourd’hui les mots ne suffisent plus. Il n’y a pas d’avenir ni de relèvement de la France si elle n’assume pas ses racines chrétiennes. » Ainsi parle le député européen François-Xavier Bellamy. Mais quelle forme pourrait prendre cette affirmation de notre identité ?
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Environ 200 enquêtes ouvertes en France pour apologie du terrorisme, menaces de mort, injures ou provocations à la haine en lien avec la décapitation de Samuel Paty
En France, près de 200 enquêtes ont été ouvertes au cours de la dernière semaine d’octobre pour apologie du terrorisme, menaces de mort, injures ou provocations à la haine en lien avec la décapitation du professeur le 16 octobre à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines).
La Chancellerie, qui confirme ce chiffre avancé par France Info, précise qu’il est « à appréhender avec prudence, dans la mesure où il n’y a pas de point de comparaison nationale » et n’a pas souhaité actualiser ce bilan. « Ça explose! On a beaucoup de menaces qui visent des personnalités publiques, le Président de la République, le Premier ministre, plusieurs ministres, des députés, des enseignants », détaille une source judiciaire, qui y recense beaucoup d’allusions plus ou moins directes « à des menaces de décapitation ».
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Emmanuel Macron découvre les vertus de la frontière !
Trop tard, certainement. Pour les malheureuses victimes des terroristes islamistes qui n’auraient jamais dû se trouver sur le territoire national. Trop peu, sans doute : 4.800. C’est le nombre de policiers, gendarmes et militaires qui vont être déployés à nos frontières, soit un doublement de l’effectif. Pour 2.913 kilomètres de frontières terrestres, cela semble peu, effectivement. Mais c’est toujours ça. C’est, en tout cas, l’annonce faite, ce jeudi 5 novembre, par Emmanuel Macron, alors qu’il était au Perthus, dans les Pyrénées-Orientales.
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Oyonnax : des scènes de guérilla en ville en plein confinement
Dans la nuit du vendredi 6 au samedi 7 novembre, des scènes de guérilla urbaine se sont produites en plein cœur d’Oyonnax (Ain), relate La Voix de l’Ain.
« Oyonnax, c’est devenu Bagdad »
Des poubelles et des voitures brûlées, des tirs de mortiers et de pétards ont nécessité l’intervention des pompiers pour éteindre les divers incendies. Les forces de l’ordre ont été violemment prises à partie durant les interventions. La police mais aussi la BAC et même le peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) ont dû être mobilisés pour disperser les agresseurs.