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insécurité - Page 479

  • Communiqué de Boulevard Voltaire : notre journaliste prise à partie et violentée par des antifas !

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    Ce mardi 17 décembre, place de la Nation à Paris, notre journaliste envoyée sur place pour réaliser un reportage sur la mobilisation contre la réforme des retraites, a été prise à partie, violentée et expulsée. Aux cris de « dehors les fachos », elle a essuyé invectives, insultes et coups avant de parvenir à s’extraire. Ce n’est pas la première fois. Le 10 novembre dernier, notre reporter avait subi le même traitement à l’occasion de la « marche contre l’islamophobie ».

    La rédaction de Boulevard Voltaire apporte tout son soutien et sa solidarité à sa consœur et ne peut que s’alarmer devant la violence systématique de ces autoproclamés « antifas » qui semblent jouir d’un total sentiment d’impunité.

    Boulevard Voltaire est aujourd’hui ciblé sur les réseaux sociaux par des activistes qui harcèlent ses annonceurs. Et maintenant dans la rue par d’autres qui n’hésitent plus à s’en prendre physiquement à nos équipes ! Ces attaques, loin de nous affaiblir ou de nous intimider ne font, au contraire, que renforcer notre détermination et notre volonté de vous proposer une information fiable, engagée et lucide. Encore une fois, à travers les attaques répétées contre Boulevard Voltaire, c’est bel et bien la liberté d’informer et la liberté d’expression qui sont visées.

    « Notre liberté dépend de la liberté de la presse et elle ne saurait être limitée sans être perdue ».

    https://www.bvoltaire.fr/communique-de-boulevard-voltaire-notre-journaliste-prise-a-partie-et-violentee-par-des-antifas/

  • Dans la revue l'Incorrect : François Bel-Ker : « La violence à l’égard de l’Action Française est désormais hebdomadaire »

    Après les incidents ayant eu lieu au Mans le week-end dernier et face au traitement médiatique des évènements par les médias dominants cherchant à accabler l’Action française, L’Incorrect a souhaité donner la possibilité à François Bel-Ker, Secrétaire général du mouvement, de s’exprimer sur l’affaire.

    Pouvez-vous nous donner votre version des évènements qui se sont déroulés au Mans ce week-end ?

    Samedi une commémoration en hommage aux victimes des massacres du Mans du 12 et 13 décembre 1793 était organisée au Mans. 15 000 Vendéens et Chouans furent exécutés par les révolutionnaires. Cette manifestation est organisée régulièrement par le collectif « La marche du souvenir vendéen » au sein de laquelle les militants de l’Action Française sont venus particulièrement en nombre cette année. Il y avait 150 personnes lors de cette manifestation rassemblant principalement des jeunes et des familles et les militants de l’AF étaient près de 80. Nous avons rejoint cette manifestation en notre nom propre, avec notre chef de section locale qui s’y est exprimé, de façon totalement reconnue par « la marche du souvenir vendéen » et en appelant tous les Manceaux qui le souhaitaient à rejoindre l’évènement.

    Il s’agissait donc d’une commémoration pacifique ?

    Evidemment, puisqu’il s’agit de faire mémoire ! Mais il se trouve que depuis quelques mois devant la présence importante des militants et sympathisants de l’Action Française dans les facultés ou dans les manifestations de Gilets Jaunes, un front se dresse contre nous de la part d’un collectif auto-proclamé et mal nommé « antifasciste ». Ce front était composé pour l’occasion de la CNT (Anarcho-syndicaliste), de la FSU, de la Ligue des Droits de l’Homme, du NPA, de l’UNEF. Ce collectif a appelé samedi à une contre-manifestation contre l’Action Française. Ouest-France qui a relayé cette information parle d’une centaine de manifestants d’extrême-gauche refusant que les militants d’AF « s’approprient l’héritage des chouans » (sic). C’était une contre-manifestation, à laquelle de nombreux appels à participer avaient été lancés de longue date. Je tiens à préciser que notre manifestation avait été déclarée en préfecture et autorisée par la police.

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  • Attaques antifas : Les hyènes dans la crèche, par Etienne Defay

    La bêtise et la violence de l’extrême gauche n’ont décidément plus de limites. Ce dimanche, une meute de décérébrés a attaqué la crèche vivante des enfants à Toulouse. Ce sont nos confrères de La Dépêche et d’Info Toulouse qui rapportent l’événement. En marge des manifestations contre la réforme des retraites ou des Gilets jaunes, ou des deux ensemble après tout, la place Saint-Georges accueillait comme tous les ans un spectacle de Noël joué par des enfants et des associations locales. Mais c’était compter sans la violence et la bêtise d’une soixantaine d’individus qui ont déboulé sur la place aux cris de « Nous on est anticapitalistes » ou encore « Stop aux fachos ».

    Certains ont même fait irruption sur scène devant les yeux des petits dont certains se sont mis à pleurer, abasourdis par cette violence inexplicable. Heureusement la scène, si elle avait de quoi scandaliser toute personne douée de raison, n’a pas fait de blessés.

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  • [VIDÉO] Crèche vivante attaquée à Toulouse : « Quand il s’agit de nos racines, c’est silence radio » – Jean Messiha (RN)

    Crèche vivante attaquée à Toulouse :
    « Il y a quelques semaines, on a su nous montrer ce gamin éploré dans un Conseil général avec sa mère en forme de madone, et tout le monde s’est ému. Là, la crèche était faite par des enfants, pas une télé n’en a parlé.
    Si cela avait été un lieu de culte musulman, ou un lieu cultuel d’une autre religion, tout le progressisme se serait indigné. Là, il s’agit de nos propres racines, c’est silence radio, aucun progressiste n’a réagi ! »
    Jean Messiha (RN) sur CNews

    Article sur l’attaque de la crèche de Toulouse : ici

     
  • Autriche : attentats déjoués au marché de Noël, 3 Tchétchènes arrêtés

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    Les forces de l’ordre ont neutralisé trois hommes qui projetaient des tueries au marché de Noël à Vienne.
    Les autorités autrichiennes ont déjoué un projet d’attentats, dont l’un devait toucher un marché de Noël à Vienne, selon l’agence de presse autrichienne APA. Trois hommes, d’origine tchétchène, seraient impliqués dans cette affaire.

    Le parquet en charge de l’enquête n’était pas joignable lundi. Le chef du réseau, âgé de 24 ans, était influencé par l’idéologie de l’EI, a ajouté APA.

    Ce jeune homme, repéré après une dénonciation anonyme, était déjà en prison après deux tentatives de rejoindre la Syrie et l’EI. Il communiquait avec ses deux complices présumés à l’aide d’un téléphone portable, en violation des règles de la prison, poursuit APA. Ses comparses, âgés de 25 et de 31 ans, ont été incarcérés à la fin de la semaine dernière.

    Le chef du réseau aurait eu l’intention de s’en prendre au marché de Noël devant la cathédrale Saint Stéphane dans le centre de Vienne, entre Noël et le Nouvel An. D’autres cibles potentielles auraient pu être Salzbourg (ouest), mais aussi des villes en Allemagne, en France et au Luxembourg, toujours d’après l’agence autrichienne.

    (afp/nxp)

    Source: 24 Heures

    https://www.alterinfo.ch/2019/12/17/autriche-attentats-dejoues-au-marche-de-noel-3-tchetchenes-arretes/

  • Affaire Méric : l’appel de Dufour et Morillo renvoyé en avril 2020

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    Aristide Leucate

    Article publié dans le quotidien Présent cliquez ici

    « Courroye est l'incarnation de la porosité entre le parquet et le pouvoir », dixit Marianne (26 juin 2010). Décidément, la session de la Cour d’appel d’assises d’Evry démarre sous les plus funestes auspices. La présence de Philippe Courroye comme avocat général dans l’appel d’Esteban Morillo et Samuel Dufour, condamnés en 2018, respectivement à 11 ans et 7 ans de réclusion criminelle pour la mort accidentelle, le 5 juin 2013, du jeune « antifa » Clément Méric, n’est pas faite pour rasséréner la défense. L’on peut légitimement craindre, en effet, que l’ajustice prévaudra. « Magistrat contesté dans la profession » (Le Point, 6 juillet 2010), sa déontologie sera suffisamment prise en défaut pour que le dossier Bettencourt soit dépaysé vers le tribunal de Bordeaux en novembre 2010.

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  • Selon le ministère italien de l’Intérieur, les migrants sont responsables de 42 % des viols dans le pays

    Breizh Info – Le chiffre est gigantesque si on le rapporte à la population italienne dans son ensemble. En Italie, 42 % des viols sont le faits de migrants, d’immigrés, selon le ministère italien de l’Intérieur. Une proportion qui ne cesse d’augmenter. 42 % de viols et violences faites aux femmes évitables donc, s’il n y avait pas ou beaucoup moins d’immigrés. C’est le quotidien Il Giornale qui a repris l’information.

    Les statistiques démontrent également que les femmes italiennes sont bien plus sujettes à être victimes de harcèlement sexuel et d’agressions sexuelles que les femmes étrangères.

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  • 10 années de procédure et une levée d’immunité parlementaire pour aboutir à une relaxe

    10 années de procédure et une levée d’immunité parlementaire pour aboutir à une relaxe

    Le tribunal correctionnel de Paris a relaxé vendredi l’ancien président du Front national Jean-Marie Le Pen, poursuivi pour avoir dit en 2009 que 90 % des faits divers ont à leur origine soit un immigré soit une personne d’origine immigrée.

    L’infraction n’est pas constituée a estimé le tribunal, qui a débouté SOS Racisme de ses demandes de dommages et intérêts. Les personnes immigrées ou “d’origine immigrée” visées par Jean-Marie Le Pen, en l’absence d’aucun autre élément permettant de caractériser une communauté déterminée, ne constituent pas un groupe […], ces personnes pouvant être françaises et n’ayant donc pas pour point commun leur non-appartenance à la nation française, a-t-il jugé.

    Lors de l’audience, l’avocate de SOS Racisme avait dénoncé un amalgame entre immigration et délinquance, en rappelant que le chiffre de 90 % ne pouvait pas exister, les statistiques ethniques étant interdites en France.

    La proportion est peut-être un peu excessive mais c’est ce qui me saute aux yeux quand je regarde les pages “Faits divers”, avait commenté Jean-Marie Le Pen.

    Jean-Marie Le Pen avait invoqué son immunité d’eurodéputé pour justifier son refus de se présenter devant le juge dans cette affaire. Le Parlement européen avait fini par lever cette immunité en juin 2017, à la demande de la justice française.

    Dans le tome 2 de ses Mémoires, Jean-Marie Le Pen évoque longuement cette persécution judiciaire incessante, encore aujourd’hui, de la part d’opposants, d’associations subventionnées, du fisc, de procureurs politiques, qui ont cherché à l’asphyxier.

    https://www.lesalonbeige.fr/10-annees-de-procedure-et-une-levee-dimmunite-parlementaire-pour-aboutir-a-une-relaxe/

  • Les milices d’extrême-gauche à l’oeuvre à Science-Po Rennes

    Les milices d’extrême-gauche  à l’oeuvre à Science-Po Rennes

    Fin novembre, un bar où avait lieu la présentation de la revue L’Etudiant Libre était attaqué par des milices d’extrême-gauche. Début décembre, c’est Science-Po Rennes qui a connu la violence de ces militants impunis.

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