insécurité - Page 479
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Émission spéciale "affaire Epstein" avec Alain Soral et Pierre Jovanovic
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Attentat : Ces évidences qu'on n'ose plus dire !
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Le rôle des gauchistes dans l’embrasement communautaire de la France
La fondatrice de la Brigade des Mères explique comment la France Insoumise sème la haine contre la France dans les cités et radicalise les voyous :
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L’insécurité à Paris en augmentation
FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
La préfecture de police de Paris a livré à l’Agence France Presse les chiffres de la criminalité sur les neuf premiers mois de l’année. Sans surprise, on constate une forte hausse de la délinquance, dans la continuité des chiffres du début de l’année qui s’annonçait déjà encore plus alarmants que les années précédentes. Ainsi, jusqu’au mois de septembre, plus de 230 000 délits ont été recensés à Paris, soit une hausse de plus de 10% par rapport à 2018. Cette hausse concerne indifféremment tous les arrondissements parisiens, du XVIIIe au XVIe. Pour l’adjointe (PS) à la Sécurité de la maire de Paris, Colombe Brossel « L’ensemble des faits de délinquance quotidienne explosent que ce soit les indicateurs de cambriolage, vols à la roulotte, vols avec violence… Ils sont tous au-dessus de 15%, voire bien au-delà »Quelles causes seraient avancées ?
Pour la maire de Paris, cette hausse de la délinquance peut s’expliquer par le mouvement des Gilets jaunes, qui a mobilisé les forces de l’ordre pour la surveillances des manifestions plus que pour la sécurité des Parisiens… Pas un mot sur la proportion d’étrangers dans ces délits qui se multiplient – rappelons que les statistiques ethniques sont interdites. Mais LCI citait en juillet dernier un haut fonctionnaire du ministère de l’Intérieur en ces termes : « La proportion d’étrangers mis en cause augmente clairement, notamment dans la délinquance du quotidien, comme les vols à la tire. Beaucoup sont en situation irrégulière dans l’Hexagone. »
Peu de médias ont traité l’information
Alors que les municipales se rapprochent, certains chiffres ne sont pas bons à être clamés sur les toits ! Effectivement, ce sujet qui touche près de deux millions de Français, n’a fait aucun grand titre. Parallèlement, l’affaire du voile qui présente les musulmans en victimes de l’intolérance latente des Français est sur représentée. Les médias auraient-ils plus d’hésitations à traiter des sujets qui pourraient remettre en cause une certaine forme d’immigration ?
https://fr.novopress.info/215857/linsecurite-a-paris-en-augmentation/
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Effondrement ? « La France va droit au chaos », selon Laurent Obertone
Il fallait une suite à son roman « Guérilla: le jour où tout s’embrasa », vendu à plus de 100.000 exemplaires.
Le journaliste Laurent Obertone revient avec un deuxième volume, tout aussi anxiogène: « Guérilla, le temps des Barbares ».
Alors, réaliste ou caricatural ? Entretien.
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Pendant que la Turquie bombarde les Kurdes, l’UE n’interrompt pas les négociations d’adhésion
Le groupe parlementaire Identité et Démocratie, auquel appartiennent les députés RN élus au Parlement européen, a organisé le 15 octobre un colloque intitulé “Où va la Turquie ?”
Ce sujet était choisi il y a plus d’un mois, bien avant l’offensive turque contre les Kurdes de Syrie… car la dérive d’Erdogan n’est pas nouvelle. Mais avec cette nouvelle agression (la Turquie occupe toujours la partie nord de Chypre), les députés ont demandé à l’UE de sortir de l’ambiguïté et de mettre fin au processus d’adhésion de la Turquie.
Les dirigeants de l’UE n’osent pas trop s’en prendre à Erdogan, qui menace de son côté de laisser entrer en Europe les milliers de réfugiés stationnés sur son territoire suite à la guerre en Syrie… Le Conseil des affaires étrangères de l’UE, qui s’est tenu le 14 octobre, a débattu de l’action militaire menée par la Turquie. Mais sans évoquer le processus d’adhésion à l’UE…
Dans son communiqué de condamnation de l’offensive turque, la France n’évoque pas la rupture des négociations d’adhésion :
La France réitère sa ferme condamnation de l’offensive unilatérale engagée par la Turquie dans le nord-est de la Syrie. Cette offensive remet en cause les efforts sécuritaires et de stabilisation de la Coalition globale contre Daech. Elle entraîne des conséquences humanitaires importantes. Elle porte donc atteinte à la sécurité des Européens.
Voici le communiqué du groupe ID du 14 octobre :
« La délégation française du groupe Identité et Démocratie demande à la France et à l’Union Européenne d’adopter une position ferme contre l’invasion turque. »
Le président Erdogan a bombardé le territoire syrien, notamment la ville de Qamishli, habitée par des tribus arabes, des chrétiens d’Orient et des Kurdes. D’après nos informations, de nombreuses victimes sont déjà à déplorer notamment dans les familles chrétiennes.
Ce Vendredi, le Secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, était présent à Istanbul au milieu d’une crise internationale qui souligne les ambigüités de la communauté internationale au Proche Orient et tout spécialement de la France.
En effet, l’opération menée par la Turquie engage tout l’OTAN puisque nous faisons partie de l’alliance. Une position que Federica Mogherini, haute représentante de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité/vice-présidente de la Commission européenne, a souvent souligné, allant jusqu’à fortement associer la Turquie aux trois éditions de la conférence internationale intitulée : Supporting the Future of Syria and the Region.
La délégation française du groupe Identité et Démocratie demande à la France et à l’Union Européenne d’adopter une position ferme contre l’invasion turque. Pourquoi ne dénoncèrent-elles pas le soutien turc aux factions islamistes de la « rébellion » syrienne ? Pourquoi l’Union Européenne continue-t-elle de soutenir la Turquie alors que Recep Tayyip Erdogan nous menace d’utiliser l’arme de la submersion migratoire à chacune de ses décisions ? Pourquoi Josep Borrell, candidat au poste de Haut Représentant de l’Union Européenne pour les affaires étrangères continue-t-il à souhaiter le retour des djihadistes de nationalité européenne ?
Nous disons toute notre fraternité aux habitants du Nord Est de la Syrie, avec une pensée toute particulière aux chrétiens d’Orient qui y vivent.
Notre délégation organise une conférence au sujet de la Turquie ce mardi 15 octobre.
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La Cocarde violemment attaquée à Nanterre! (Communiqué)
La Cocarde Etudiante – Ce jeudi 17 octobre des militants de la Cocarde étudiante ont distribué des tracts sur la place de l’université de Nanterre dans le cadre de l’élection de la COMUE.
Il est tout a fait normal de venir défendre ses idées, de surcroît le jour d’une élection universitaire.
Très rapidement un groupe nombreux et armé, composé de membres de l’UNEF et du NPA de Nanterre (autocollants visibles) ainsi que de milices « antifas » (voir videos) est venu s’en prendre physiquement à nos militants. Alors que nous n’avions que nos mains pour nous défendre ils sont venus armés: Cagoules, casques, matraques télescopiques, bombes lacrymogènes et gants coqués.
Les forces unies d’extrême-gauche n’ont cependant pas réussi à faire abandonner le terrain aux militants de La Cocarde, et après plusieurs autres tentatives d’assaut de leur part, il a fallu attendre l’arrivée des CRS pour mettre fin à leurs violences délibérées.
Nous avons évidemment déposé plainte à l’encontre de certains membres identifiés de cette milice.
Néanmoins il est hors de question d’en rester là : la présidence de l’université ne peut pas rester passive vis à vis de ces débordements. Nous exigeons de lourdes sanctions individuelles pour les agresseurs étudiants à Nanterre, et nous demandons à ce que la liste de l’UNEF Nanterre soit invalidée pour avoir prémédité ces violences.
La meilleure sanction viendra des urnes ! Nous appelons tous les étudiants qu ne supportent plus la présence de ces milices d’extrême gauche à voter pour la Cocarde étudiante, jusqu’à 18h30 dans la salle E01 du bâtiment Clémence Ramnoux.
Contre l’extrême gauche à Nanterre, je vote Cocarde Etudiante !
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La Syrie toujours victime de stratégies étrangères, par Christian Vanneste
L’abandon des Kurdes par les Américains, et donc les Occidentaux, puisque aucun allié n’est capable de se maintenir sur place sans leur soutien paraît scandaleuse : elle est d’une ingratitude absolue envers les combattants qui ont d’abord résisté aux islamistes d’Al Qaïda puis à ceux de l’EI et ont fourni les troupes victorieuses de celui-ci. On se souvient de la résistance de Kobané en 2014-2015, puis de la libération de Sinjar, cette ville-martyr des Yézidis, enfin de la prise de Raqqa. Les milliers de morts kurdes ont compensé un engagement occidental, essentiellement matériel et logistique, après une longue période d’indécision. De plus, l’intention d’Erdogan est clairement de procéder à un nettoyage ethnique, en installant des Arabes dans des villages construits dans l’actuelle zone kurde. Soumis au feu de la critique de son propre parti républicain, Donald Trump menace maintenant la Turquie de représailles économiques et financières, mais paraît faire un peu n’importe quoi alors qu’à nouveau une procédure de destitution est engagée à son encontre, à la suite d’un échange avec le nouveau président ukrainien au cours duquel il aurait invité ce dernier à lui fournir des munitions contre l’un de ses concurrents démocrates.
Quelle est la logique de l’occupant de la Maison Blanche ? Elle existe et elle est simple : la politique intérieure est plus importante que l’extérieure. Ne pas exposer des soldats américains loin de leur pays dans un conflit tribal qui ne les concerne en rien dans un pays où les intérêts nationaux ne sont pas engagés constitue le fond d’une doctrine qui table sur l’adhésion de l’Amérique profonde contre l’Etat profond de Washington. Que les Etats-Unis perdent leur crédit en abandonnant un allié ne lui semble pas si important : ce n’est pas la première fois, si l’on se souvient du Sud-Vietnam, ou du Shah d’Iran. Un tri logique s’effectuera en fonction des enjeux internes : Trump n’est pas prêt d’abandonner Israël.
De même, l’intervention turque est motivée par des considérations de politique intérieure. Reccep Tayyip Erdogan est très proche des Frères Musulmans. Au début de son règne, il y avait en lui du Calife ottoman, puisque jusqu’après la première guerre mondiale, le sultan ottoman était aussi commandeur des croyants. Les Frères Musulmans n’ont pas été étrangers aux « révolutions » ou guerres civiles que la naïveté occidentale a appelées « Printemps arabe » en croyant qu’elles allaient vers la démocratie alors qu’elles tendaient vers l’islamisme. La Turquie y a été impliquée, et notamment en soutenant les rebelles islamistes de Syrie à travers la frontière, tous les rebelles, y compris l’Etat islamique avec lequel un trafic a été organisé. En février 2016, lorsque les Kurdes avancent vers Tall Rifaat aux mains des djihadistes, l’artillerie turque pilonne les combattants de l’YPG ! Aujourd’hui l’armée d’Ankara réoccupe ces territoires libérés, et elle est accompagnée d’une milice « syrienne » qui, comme par hasard, se livre aux mêmes atrocités que les islamistes de l’EI, naguère. Mais, cette fois, Erdogan est moins islamiste que nationaliste : il est affaibli politiquement par des élections municipales qui ont donné les deux plus grandes villes aux kémalistes, et c’est sur le terrain du nationalisme qu’il entend reprendre l’avantage : les Kurdes lui en fournissent l’occasion.
Enfin, il y a la Russie, le seul pays dont la stratégie a été cohérente dans ce dossier. La Syrie est un allié. La Russie ne lâche pas ses alliés, et encore moins ceux dont le territoire fournit des bases indispensables au maintien du statut de puissance mondiale, même de second rang. Vladimir Poutine a engagé l’armée russe dans le conflit de façon déterminante et avec assez de prudence pour limiter le coût et les pertes. L’intervention turque lui offre une double opportunité : d’abord de jouer les médiateurs puisqu’il est le seul à parler à toutes les parties, et comme Raminagrobis, le mieux placé pour être le troisième qui tire parti du conflit entre les deux autres. Les YPG, vaguement marxistes, sont des vieilles connaissances des Russes et la Russie entretient désormais des relations cordiales avec la Turquie à travers le processus d’Astana : l’intervention turque et le lâchage américain permet à l’armée syrienne de venir au secours des Kurdes et de s’interposer le long de la frontière, en rétablissant de fait la souveraineté de Damas sur une nouvelle partie de son territoire. En visant cet objectif, Poutine est le seul à concilier l’intérêt de son pays, son image, et le droit international. Voilà qui est mieux que l’impuissance verbeuse des Européens, ensemble au Conseil de sécurité pour proposer une condamnation qu’ils n’obtiennent pas, mais divisés aussitôt après sur l’embargo sur les armements à destination de la Turquie !
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Me Frédéric Pichon : « Toute forme de contestation sociale est désormais réprimée de manière disproportionnée ! »
Mardi, la manifestation des pompiers à Paris à laquelle s’étaient joints des infirmiers, des aides soignants, des policiers municipaux et des urgentistes a tourné à l’affrontement avec les forces de l’ordre.
Boulevard Voltaire a interrogé Me Frédéric Pichon, qui donne son analyse de la situation.
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Sébastien Chenu : « La gestion de la manifestation des pompiers a été déplorable ! »
Mardi a eu lieu, à Paris, une mobilisation des pompiers à laquelle se sont joints des policiers municipaux, des urgentistes et des infirmiers. Une manifestation qui a tourné à l’affrontement avec les forces de l’ordre : canons à eau, grenades, coups de matraque et arrestations.
Une situation à comparer avec celle du groupe Extinction Rébellion qui a pu, en toute tranquillité, il y a quelques jours, bloquer des voies de circulation dans la capitale sans intervention des forces de l’ordre.
Pourquoi une telle différence de traitement ?
Réponse de Sébastien Chenu au micro de Boulevard Voltaire.
Les pompiers, les policiers municipaux, les urgentistes et les infirmières ont manifesté à Paris.
La manifestation avait bien démarré, mais a fini quelque peu dans la violence. Qu’avez-vous pensé de cette mobilisation ?Je voudrais témoigner notre sympathie et notre soutien à toutes ces professions qui protègent les Français. Je rappelle qu’il y a eu 2280 agressions de sapeurs pompiers ces dernières années. Les agressions physiques ont augmenté de 80 % en quelques années.
Évidemment, la gestion de ces manifestations a été déplorable. Le fait que le ministre de l’Intérieur fasse charger sur les pompiers est une image absolument terrible de l’État. La police a reçu des ordres qui étaient d’une extrême fermeté fasse aux pompiers. Cela amorce assez mal l’idée d’un dialogue nécessaire avec ceux qui protègent au quotidien les Français.Les images ont été assez choquantes. On a vu des canons à eau, des jets de grenade lacrymogène, des coups de matraque et des arrestations. On à peine à voir une telle répression quand on voit ce qui s’est passé avec Extinction Rebellion dans le centre de Paris. On a toujours cette impression de deux poids deux mesures.
Le gouvernement a géré d’une façon qui est désormais habituelle. Il est dur avec ceux qui ne peuvent pas répliquer et qui ne peuvent pas manifester et casser. Il est faible avec ceux qui contournent la loi, bloquent Paris, insultent l’État.
En réalité, ce gouvernement n’a plus d’autorité. L’autorité doit être juste et ne doit pas servir simplement à taper les plus faibles ou ceux qui ne peuvent pas manifester et se mettre en grève.
Ce gouvernement nous démontre qu’au-delà de son manque total d’autorité, il a une incapacité à entamer le dialogue avec les Français qui ont pour mission de protéger les autres. Cela me semble assez grave et assez éloigné d’une paix sociale et d’une unité nationale qu’Emmanuel Macron revendiquait pendant l’élection présidentielle. Il aura désormais réussi à diviser davantage les Français en traitant les pompiers comme des blacks Blocs. Il signe le mépris qu’il a également pour eux.Le Rassemblement national avait demandé officiellement la démission de Christophe Castaner. On imagine que cette demande est réactualisée ce soir.
Il y a mille raisons que Christophe Castaner s’en aille. En voilà une de plus. Quand on fait charger sur les pompiers et qu’on laisse Extinction Rebellion se vautrer dans la paille place du Châtelet en bloquant tout Paris pendant trois jours, c’est qu’on n’est pas un ministre de l’Intérieur à la hauteur de sa mission et en capacité de répondre aux attentes sociales de notre pays et de demande de protection de nos concitoyens.
Chaque dossier confié à Christophe Castaner a été un dossier mal géré. Il n’y a pas un dossier qu’il a ouvert avec savoir-faire, capacité et respect de ses interlocuteurs. Je pense que c’est probablement le pire ministre de l’Intérieur de la Ve République que nous ayons connu. Il n’est pas viré parce qu’il est le copain du président et parce qu’ils sont incapables d’en trouver un autre.