En hommage à Mélanie, Championne de France militaire de judo 2018



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En hommage à Mélanie, Championne de France militaire de judo 2018
Zakaria Zigh, 19 ans, a été interpellé la nuit dernière sur un scooter volé. Karim Bouamrane (PS), qui deviendra officiellement maire de Saint-Ouen ce samedi, lui a demandé de se mettre en retrait de la vie politique.
La carrière politique naissante de Zakaria Zigh, 19 ans, a déjà du plomb dans l’aile. Il est peu probable que ce jeune colistier de Karim Bouamrane (PS) siège sur les bancs de la majorité, au sein du nouveau conseil municipal de Saint-Ouen : la nuit dernière, il a été interpellé alors qu’il circulait sur un scooter volé, avant d’être placé en garde à vue. Il a été relâché depuis et « fait l’objet d’un rappel à la loi », précise le parquet de Bobigny.
Un proverbe, qui serait africain, dit : « Si tu veux monter au cocotier, tu dois avoir les fesses propres ! »
Je dédie ce proverbe et cet article à la famille Traoré, et plus particulièrement à Assa, fille d’un Malien, Mara-Siré, et de l’une de ses quatre femmes. Cette personne agite les rues de France au nom de la justice pour la mort de son demi-frère, dénonçant le racisme, l’esclavagisme et tous ces noms doctrinaires et victimaires en « isme » dont la France serait coupable.
Ses multiples occupations, pendant et hors congé – elle fut mise en congé maladie pendant treize mois après le drame, si l’on en croit Causeur –, ne lui ont certainement pas laissé le temps de prendre connaissance de l’interview donnée, en 2017, à la chaîne malienne Renouveau TV par Me Mohamed Aly Bathily, ministre de la Justice du Mali de 2013 à 2014.
C’est donc avec grand plaisir que nous lui offrons la transcription mot à mot de cet entretien.
La Hongrie n’abandonnera jamais ses « officiers en uniforme », a déclaré le Premier ministre lors d’une cérémonie de remise des diplômes aux nouveaux policiers.
(…) Les forces de l’ordre et les forces armées « sont humiliées tant dans la rue que par les politiques », a déclaré le Premier ministre. « Les policiers sont qualifiés de racistes tandis que leur réputation est détruite en même temps que les statues. L’État et la loi se sont retirés des rues ».
« Mais la Hongrie n’est pas et ne sera jamais ce genre de pays », a déclaré M. Orbán.
Le Premier ministre a également déclaré que « toutes les vies comptent » en Hongrie. « Nous préférons un monde où règne l’ordre, où le bon sens prévaut, où la loi protège les innocents plutôt que les criminels, un monde où nous nous protégeons contre l’immigration, et où les ressources sont investies dans les familles et les enfants », a-t-il déclaré
Il est très curieux de constater que cette très grave affaire de viols répétés, au vu des nombreuses plaintes qui ont été déposées contre le bras droit de George Soros, Monsieur Howard Rubin, n’ait jamais été traitée dans la presse française. En outre, il est encore plus consternant de constater que toutes les activités criminelles de ces milliardaires peuvent être camouflées par des accords signés entre les parties et comportant des clauses de confidentialité qui interdisent aux plaignantes d’en parler après avoir reçu quelques millions à titre de dommages, afin d’acheter, pour ainsi dire, leur silence. Un tel procédé n’a strictement rien à voir avec la justice ; c’est plutôt un moyen efficace permettant aux puissants d’échapper à la case prison avec la complicité passive des forces de l’ordre et des instances judiciaires. Enfin, cette énième affaire démontre que les élites politico-économiques mondiales, plus spécialement occidentales, totalement dégénérées et plongées dans une profonde décadence, n’ont absolument plus aucune morale et se permettent les pires dérives.
Xavier Raufer dans Atlantico
Récemment, alors que d'impératives mesures sanitaires prohibent en France les attroupements de plus de dix individus, des "indignés" des banlieues et jeunes bourgeois gauchistes investissent par milliers Paris et autres métropoles françaises, volant notamment au secours d'un clan criminalisé - sur lequel on revient plus bas.
Alors que le ministre de l'Intérieur avait interdit toutes ces démonstrations pour "motif sanitaire" ; alors que préfet de police de Paris est réputé brutal, qu'advint-il lors de ces flagrants et massifs outrage à l'ordre public, un peu partout en France ? Rien.
La vague de haine antiblanche et anti-occidentale ne faiblit pas, et se traduit notamment par la destruction de statues de personnalités jugées « racistes » de façon anachronique ou délirante.
Mais cela déborde la question de l’esclavage (présentée de façon partiale et fausse), qui est un prétexte pour s’en prendre à l’Homme blanc.
Une nouvelle preuve en est donnée avec cette affaire : dans la ville nommée Saint Louis (Missouri), fondée par des Français en 1764, se trouve une magnifique et célèbre statue du grand roi de France Louis IX (Saint Louis), qui fut ce week-end la cible d’activistes noirs et de leurs maîtres gauchistes (qui sont blancs, ou considérés comme tels).
Ces voyous n’hésitent pas à agresser violemment les Américains qui veulent protéger pacifiquement cet emblème de leur ville (et qui récitent le rosaire pour certains).
Un rapport de l’ONU cite les prestations sociales parmi les sources de financement du terrorisme les plus fréquemment utilisées.
Depuis plusieurs semaines, la France sombre dans toujours plus d’anarchie. L’Etat régalien, visiblement si insignifiant pour Emmanuel Macron, est littéralement démantelé.
Après la mort de George Floyd aux Etats-Unis, le Collectif Justice pour Adama reprend du poil de la bête et organise des manifestations interdites. Christophe Castaner applaudit, au mépris des lois dont il devrait être l’un des garants. La Police est accusée de racisme, et Castaner fait allégeance, contre ces forces de l’ordre dont il a usé et abusé contre les Gilets Jaunes.
Source : https://lincorrect.org/
En quelques jours, le concept de « privilège blanc », jusqu’ici principalement cantonné aux cercles indigénistes, a traversé l’Atlantique plus franchement pour s’inviter avec force dans le débat public en France, dans le contexte de la mort tragique de George Floyd.
Le concept de « privilège blanc » a été formulé par la chercheuse et féministe américaine Peggy McIntosh en 1988. Elle le définit comme « l’ensemble d’avantages, de prérogatives, de bénéfices et de choix immérités et indiscutables conférés à des individus du seul fait de leur couleur. » Peggy McIntosh estime que ce privilège, qui n’existe pas de jure puisque la ségrégation raciale a été abolie aux USA en 1965, existe de facto.