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insécurité - Page 481

  • André Bercoff dénonce l’hypocrisie des féministes concernant l’islam (Vidéo

    André Bercoff dénonce l’hypocrisie des féministes concernant l’islam. Extrait tiré de l’émission « Bercoff dans tous ses états » (Sud Radio) du 25 novembre 2019.

    https://www.tvlibertes.com/actus/andre-bercoff-denonce-lhypocrisie-des-feministes-concernant-lislam-video

  • Attentat de Londres : du London Bridge, vendredi, au pont Alexandre-III, lundi

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    Tragique de répétition. L’expression d’Alain Finkielkraut, en 2015, pour qualifier les attentats islamistes n’a pas perdu, malheureusement, de sa justesse. Tout particulièrement dans le cas de l’attaque au couteau qui a eu lieu, vendredi après-midi, à Londres. Sur le London Bridge où, déjà en mai 2017, une camionnette avait foncé sur la foule avant que ses trois assaillants islamistes ne poignardent des passants aux terrasses des cafés, tuant huit personnes. Un vendredi, comme le soir du Bataclan.

    Mais le tragique de répétition atteint, ici, un nouveau stade, proprement insupportable, depuis que l’on a appris que l’auteur de l’attaque, un certain Usman Khan, 28 ans, avait été condamné en 2012 pour… terrorisme, et qu’il avait été remis en liberté conditionnelle. D’après des médias britanniques, l’homme portait un bracelet électronique.

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  • Xavier Raufer : « Il y a une discrimination entre la sauvagerie de la répression des gilets jaunes et l’inaction vis-à-vis de certains voyous ! »

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    Après un an de mobilisation des gilets jaunes, Xavier Raufer fait le point sur le mode de répression du gouvernement face à ce mouvement. Il cite des témoignages de médecins hospitaliers parlant de « boucherie » et rappelle les sanctions sévères appliquées par la Justice.

    Au micro de Boulevard Voltaire, il dénonce le deux poids deux mesures : d’un côté, « une répression sauvage », de l’autre, « une non-répression » des actes d’insurrection contre l’État dans les quartiers sensibles.

    https://www.bvoltaire.fr/xavier-raufer-il-y-a-une-discrimination-entre-la-sauvagerie-de-la-repression-des-gilets-jaunes-et-linaction-vis-a-vis-de-certains-voyous/

  • A Rennes, interdiction d’être de « droite » : les milices antifas veillent !

    Rennes, préfecture de l'Ille-et-Vilaine. Autrefois charmante et paisible ville de province, qui faisait un peu penser à Varsovie quand on la parcourait l'été, de sa place de la République à la place St Anne, le Colombier, son parc du Thabor. C'était propre et bien fréquenté. C'était surtout une autre époque, avant la "parisianisation" de la ville, la flambée des prix de l'immobilier, l'arrivée massive de populations "diversifiées" déplacées de la région parisienne ou en provenance directe d'Afrique afin d'apporter une touche de "vivre-ensemble" à la (fausse) capitale bretonne. Aujourd'hui, ce mini-Paris, considéré comme une ville où il fait bon vivre par la propagande municipale, concentre les trafics de drogue en plein centre-ville, les exactions des "bandes de jeunes", la présence de migrants agressifs entretenus et soutenus et devient invivable. 

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  • Sanglante répression en Iran, par Antoine de Lacoste

    1898520046.3.jpgLa République islamiste iranienne a franchi un nouveau pas dans l’interminable répression qu’elle inflige à la population. Tirs à balles réelles, manifestants violemment interpellés et passés à tabac, forces de l’ordre massivement présentes dans toutes les villes du pays, le tout sur fond d’Internet coupé. Pendant une semaine, du 15 au 22 novembre, le régime a frappé sans discontinuer les dizaines de milliers de manifestants (peut-être plus) qui ont pris tous les risques pour dire non au pouvoir et à son guide suprême, Ali Khamenei.C’est la hausse du prix de l’essence qui a mis le feu aux poudres : 50 % de hausse pour les 60 premiers litres mensuels, 300 % au-delà. Dans un contexte d’inflation galopante (plus de 40 %, en rythme annuel) et d’appauvrissement généralisé, la réaction populaire était prévisible. On peut, d’ailleurs, s’interroger sur le niveau d’anticipation du régime : a-t-il été surpris par l’ampleur des manifestations ou, au contraire, les a-t-il sciemment provoquées pour mieux réprimer et terroriser ?

    Depuis qu’Internet a été rouvert, ce qui signifie que les dirigeants iraniens se sentent à nouveau sûrs d’eux, témoignages et images affluent et en disent long sur la dureté de la répression. Amnesty International a parlé de « plus de 100 morts », puis de « près de 200 », mais sans plus de précisions. Il faut donc recourir aux témoignages individuels, tel ce médecin anonyme cité par Le Monde qui dit avoir reçu 6 corps sans vie dans son hôpital. Avec une nouveauté de taille : parmi ces 6 morts, un milicien du régime et un responsable des gardiens de la révolution, la force de frappe de la République islamiste. L’un tué par balle, l’autre au couteau. Les manifestants aussi semblent avoir franchi un nouveau pas…

    Certaines scènes sont, à cet égard, assez étonnantes : des commandos masqués et parfois armés ont, à plusieurs reprises, attaqué des banques ou des stations-service, n’hésitant pas à y mettre le feu. Provocations du pouvoir ou militarisation des contestataires les plus déterminés ? Il est évidemment impossible de trancher mais ces scènes sont tout à fait nouvelles.

    Pour bien comprendre ce qui se passe en Iran, il faut relier les événements récents à ceux d’Irak et du Liban. Là aussi, des manifestants ont remis en cause le régime : pacifiquement au Liban, plus violemment en Irak, où la répression est très dure : plus de 350 morts en quelques semaines. Le point commun avec l’Iran, c’est le rejet, par les chiites eux-mêmes, de la mainmise des milices chiites pro-Téhéran sur l’Irak. Au Liban, la contestation est plus globale : c’est l’incurie de l’État qui est d’abord visée. Mais, là aussi, ce sont les milices chiites (Hezbollah et Amal) qui ont attaqué les manifestants et ne veulent rien changer.

    Au fond, c’est tout l’axe chiite est-ouest du Moyen-Orient qui est en ébullition.

    Tout cela doit réjouir Donald Trump, qui peut penser que sa stratégie de « pression maximale » commence à payer. Rien n’est moins sûr : le régime des mollahs dispose d’un appareil policier redoutable et c’est la population iranienne tout entière qui s’enfonce dans la pauvreté et la répression.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/11/29/sanglante-repression-en-iran-par-antoine-de-lacoste-6194308.html

  • La Légion des Maliens de France

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    Lundi 25 novembre. 13 militaires français de l’opération Barkhane trouvent la mort au cours d’une mission aux confins du Mali.

    Dès le lendemain, une figure emblématique de la communauté malienne de Paris – jeune universitaire très actif dans une ONG de la diversité – interpelle vigoureusement ses concitoyens. En quelques jours, une conscience commune s’est émue, un élan s’est formé et des centaines, puis des milliers de jeunes hommes, âgés de 18 à 35 ans, se sont présentés, soit spontanément, soit poussés par leur famille, à des centres de recensement installés à la va-vite dans le quartier de La Chapelle, répondant au mot d’ordre « Malien de France, avec Barkhane et tes frères, viens combattre pour ta patrie ! » Une noria aérienne est organisée vers Bamako, où ces volontaires sont équipés, formés puis intégrés dans les unités du G5 Sahel…

    Fin de la fiction. Voilà ce qui serait juste, normal et digne.

    Or, comment ne pas être révolté devant ce scandaleux paradoxe : de jeunes Français combattent et meurent pour le Mali – État failli incapable de restaurer la paix dans ses frontières – tandis que des milliers de jeunes Maliens en âge de combattre errent dans nos banlieues, en mal de reconnaissance, d’identité et d’avenir.

    Aurions-nous imaginé, en 1914, qu’une diaspora française, jeune et nombreuse, reste oisive au-delà des mers tandis que le pays était en guerre ?

    L’auteur de ces lignes, dont l’un des fils, officier, rentre à peine d’une mission au sein de Barkhane, ne trouve pas tolérable que nous entretenions chez nous une population étrangère dont le pays en guerre est défendu par nos propres soldats.

    Jacques Coudrais

    https://www.bvoltaire.fr/la-legion-des-maliens-de-france/

  • Attaque "antifas" à Rennes : réaction du Parti de la France

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    L'avis de Jean-François Touzé

    Soutien aux étudiants du journal "L'étudiant libre" victimes d'une violente attaque des antifas lors de la réunion qu'ils tenaient mercredi soir à Rennes.

    Une fois de plus la vermine gauchiste, auxiliaire d'un Système qu'elle n'a jamais cessé de servir, a accompli ses basses œuvres.

    Espérons que les jeunes conservateurs agressés dont certains ont été sérieusement blessés auront ainsi compris que l'engagement politique national n'était pas un simple échange intellectuel entre "gentlemen" et ne se réduisait pas au seul champ du "méta".

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les fascistes du régime ont attaqué… des jeunes qui ont monté un magazine

    Les fascistes du régime ont attaqué… des jeunes qui ont monté un magazine

    C’était avant-hier soir à Rennes, lors d’une présentation dans un bar de la revue L’Etudiant Libre. Un jeune présent à cette réunion a été touché par de l’acide. Il a été emmené par les pompiers à l’hôpital. Ses paupières sont brûlées et son oeil abimé.

    Ouest France en parle :

    un groupe de personnes encagoulées, au moins une vingtaine, en vêtements sombres, […] ont fondu comme un essaim sur la terrasse de l’établissement, jetant des chaises sur la façade, usant de bombes au poivre et même d’une substance liquide à l’odeur d’ammoniac. […]

    « C’était notre première rencontre, mais pas une soirée de débat, plutôt un moment de convivialité. Nous avions privatisé une salle en sous-sol du bar. Nous étions une vingtaine », poursuit l’étudiant. L’un des participants a reçu un liquide à forte odeur d’ammoniac sur le visage. Il a été soigné sur place par les pompiers. « Heureusement, je portais des lunettes », dit-il, l’œil droit tout de même blessé, presque fermé à l’issue de la soirée.

    Mais les premières personnes ayant subi l’agression du groupe d’activistes encagoulés n’avaient rien à voir avec L’Étudiant libre, mais étaient des clients qui prenaient tranquillement un verre. « Oui, il y a eu quelques chaises qui ont atterri sur la façade. Mais rien n’a été cassé, ils ne sont pas entrés dans le bar », tempère un membre du personnel du Webb Ellis.

    Au restaurant juste à côté, le ton est plus grave. « Ils ont déboulé d’un seul coup, ils ont pris des chaises du bar à côté avant de les lancer. J’ai eu le temps de fermer le restaurant, décrit la patronne, encore sous le choc deux heures après les événements. À l’intérieur du restaurant, j’avais du monde, beaucoup de femmes, notamment des participants à un congrès au Couvent des Jacobins. » La police nationale est venue sur place.

    Il s’agissait de nervis d’extrême-gauche, appelés “antifascistes”, ces voyous protégés par le système policier et qui sert de milice au régime. Sur Facebook, un appel avait été lancé pour se rassembler devant le bar :

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  • Répression, mutilation… Le témoignage d’une battante

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    Camille Galic dans Présent

    Le 8 décembre 2018, Fiorina, jolie fille et brillante étudiante amiénoise en philosophie qui venait de rencontrer le grand amour, était éborgnée par un tir de LDB qui lui emporta la moitié du visage, dont les os furent « brisés en dizaines de morceaux » et les nerfs sensitifs atteints. Un an de désarroi et d’espoirs souvent déçus. Si la reconstruction de sa face est assez satisfaisante « entre les sept plaques, les vis, la grille » qui la structurent désormais, la victime devra finalement être énuclée et, la conjonctive s’étant à plusieurs reprises déchirée, le remplacement de l’œil n’est toujours pas définitif malgré maintes tentatives. Un an de souffrances morales et surtout physiques que même la morphine ne parvient pas à calmer, avec impossibilité de se risquer au soleil (la canicule estivale fut pour elle un enfer) ou dans l’eau. Un an perdu pour ses études, un an d’attente fiévreuse. Imagine-t-on la détresse, la révolte d’une jeune femme ainsi frappée à l’aube de sa vie adulte ?

    Et pourtant, publié sous le superbe titre Tir à vue, le témoignage qu’elle a dicté à son fiancé n’a rien de geignard ni de misérabiliste. En grande partie parce que ce fiancé, justement, n’a cessé de l’assister et de l’accompagner dans ses multiples « excursions » hospitalières, souvent au détriment de ses propres études. Mais aussi parce que Fiorina est une battante, convaincue que « là où il a une volonté, il y a un chemin », si bien que son courage a séduit bien au-delà des Gilets jaunes d’abord rencontrés « sur les ronds-points de la Somme », en réaction au pacte de Marrakech, qui « va amener toujours plus de migrants », et parce que son avenir, elle « veut le vivre dignement »  d’où sa décision d’aller manifester ce 8 décembre 2018, pour la première fois et bien sûr la dernière, sur les Champs-Elysées.

    Si Aude Lancelin, ancienne du Nouvel Obs passée au Média de Mélenchon, dont elle a depuis été congédiée, a été la seule à gauche à lui manifester de la sympathie, elle a reçu l’aide morale et financière de l’association Solidarité pour tous animée par Anne-Laure Blanc depuis les Manifs pour tous, cependant que Jordan Bardella, Alain de Benoist et surtout Jean-Yves Le Gallou s’employaient à faire connaître son cas. 

    Tir à vue - La répression selon Macron, par Fiorina Lignier. Ed. Via Romana, 246 pages, 19 euros.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/