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insécurité - Page 477

  • Gilbert Collard dénonce la responsabilité colossale des journalistes-voyous de BFM dans la montée des violences

    Gilbert Collard dénonce la responsabilité colossale des journalistes-voyous de BFM dans la montée des violences

    Alors que tous les journalistes dénonçaient à l’unisson la pratique de l’amalgame lorsqu’il s’agit d’un agresseur ou terroriste musulman, la totalité des médias ne traite que d’un seul sujet ce matin en boucle : le fait que l’agresseur âgé de 84 ans des 2 musulmans à la mosquée de Bayonne ait été candidat du FN en 2015. Pas un seul ne fait preuve de retenue ou n’évoque un éventuel déséquilibre mental. C’est beau les médias !

    L’agression, le 8 octobre dernier à la gare RER de Corbeil-Essonnes, de deux personnes blessées au couteau à la gorge et au thorax n’a pas même pas été évoqué sur BFM… On ne saura jamais ni le nom ni l’origine de l’agresseur.

    Gilbert Collard (RN) a remis à sa place un journaliste de BFM en direct :

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  • Paris croule sous la délinquance – Journal du mardi 29 octobre 2019

     

    Paris croule sous la délinquance

    La criminalité explose dans la Capitale. Les chiffres de la préfecture de Paris viennent de tomber et le verdict est implacable : les attaques aux personnes sont en hausse depuis janvier. Sans surprise, les 18 et 19èmes arrondissements sont les plus criminogènes.

    Criminalité : le gouvernement veut cacher la vérité

    Alors que la sécurité demeure l’une des préoccupations majeure des Français, le gouvernement a annoncé la suppression de deux instituts régaliens : l’INHESJ et l’ONDRP. Une décision sous couvert d’économie budgétaire qui cacherait, en réalité, une dérive bien plus importante. Le criminologue, Xavier Raufer, et l’avocat Stéphane Maître, témoignent dans cette édition.

    La revanche de Matteo Salvini

    Deux mois après son départ du gouvernement, Matteo Salvini revient plus fort que jamais. Dimanche, la Ligue a remporté haut la main les élections régionales en Ombrie infligeant, par la même occasion, une claque à l’alliance gouvernementale.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/paris-croule-sous-la-delinquance-journal-du-mardi-29-octobre-2019

  • Laurent Obertone : "Le drame [de l'attentat à la préfecture de Paris] aura encore lieu"

  • Al Baghdadi est-il encore mort ? – Journal du lundi 28 octobre 2019

     

    Al Baghdadi est-il encore mort ?

    Le calife Abou Bakr al-Baghdadi serait mort ! Le chef de l’organisation Etat Islamique, traqué par des forces armées étasuniennes aurait actionné une ceinture explosive. Ce n’est pas la première fois que l’individu est censé être mort… une mort qui ne changera finalement pas vraiment la donne.

    Policiers, pompiers : cibles de choix

    Alors que le gouvernement appelle à la reconquête républicaine des zones de non-droit, les guet-apens contre les policiers et les pompiers se multiplient dans les banlieues parisiennes. Un phénomène devenu quasi-quotidien qui enflamme un peu plus des quartiers totalement hors-de-contrôle.

    L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/al-baghdadi-est-il-encore-mort-journal-du-lundi-28-octobre-2019

  • Main arrachée pendant les gilets jaunes : le parquet général de Bordeaux relance l’affaire

    Le parquet de Bordeaux avait classé sans suite la plainte de ce jeune Bayonnais, qui a perdu une main dans une manifestation à Bordeaux. L’affaire est relancée

    Le parquet général de Bordeaux ordonne une information judiciaire pour « mutilation volontaire », dans le cas d’Antoine Boudinet. Ce jeune homme originaire de Bayonne, avait eu la main droite arrachée, le 8 décembre 2018, en marge d’une manifestation des gilets jaunes à Bordeaux.

    En cause: les grenades lacrymogènes GLI F4. Dans un premier temps, le parquet de Bordeaux avait classé sans suite la plainte d’Antoine Boudinet. Le procureur général Vincent Lesclous balaie cette décision et relance l’affaire.

    Sud Ouest

    https://www.tvlibertes.com/actus/main-arrachee-pendant-les-gilets-jaunes-le-parquet-general-de-bordeaux-relance-laffaire

  • Mort du chef de l'Etat islamique : une simple péripétie.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Le bon shérif Trump a finit par abattre le méchant du désert syrien. Tant mieux. Il l'annonce avec tambours, trompettes et hymne étoilé. C'est de bonne guerre. 
    Le cadavre d'un ennemi sent toujours bon. Celui du chef du soi-disant État islamique plus que tout autre. Mais ne nous y trompons pas : une ordure islamique tuée, c'est dix de retrouvées.
    D'autres viendront a la suite d'al-Baghdadi. De nouvelles organisations surgiront qui remplaceront Daech, toutes embrasées par l'ambition eschatologique de la reconstruction du Califat et animées par la volonté d'instaurer l'Islam universel. Un islam universel dont l'entreprise stratégique de domination ne passe pas seulement par le djihad ou le terrorisme.
    La mort de Bakr al-Baghdadi est réjouissante. Elle n'en est pas moins une péripétie. Presque une anecdote. En quelque sorte un point de détail de la guerre de conquête plus que millénaire declarée à l'Occident par les fous d'Allah. 
    Ce n'est pas le commencement de la fin. Pas même la fin du commencement. 
    Une guerre, pour être gagnée, doit être reconnue comme telle afin que soient mobilisées toutes les ressources militaires, logistiques, économiques, morales et spirituelles nécessaires à la victoire.
    Pour le moment nous en sommes loin.
  • Nîmes – Un conseiller régional et des militants du Rassemblement National agressés ce samedi soir

     

  • Mantes-la-Jolie : un guet-apens avec plus de 100 individus, des blessés et… « aucune interpellation » ?

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    Je n’ai aucune compétence judiciaire ou policière. Simple citoyen, je vois défiler, depuis des années, au sujet des violences qui embrasent régulièrement le pays, toujours les mêmes séries de faits, avec exactement les mêmes éléments de langage – et de réalité – dans la presse. Ainsi, pour les féminicides, le conjoint ou l’ex était déjà violent, souvent connu de la police et de la Justice, mais celle-ci n’a pas réussi à le mettre hors d’état d’assassiner sa femme. Pour les attentats, les terroristes radicalisés étaient aussi connus, parfois signalés, parfois fichés S, mais là encore, la Justice n’a pas su, ou voulu, éviter le passage à l’acte meurtrier. Et puis, pour les pièges tendus par des « jeunes » de banlieue aux pompiers et aux policiers, on a, aussi, toujours le même scénario : la voiture qui brûle comme appât, le coup de fil, les pompiers escortés et le guet-apens. À Mantes-la-Jolie, c’est encore ce qui s’est produit, jeudi soir.

    Certes, on retrouve toujours les condamnations des ministres, dont l’un, Laurent Nuñez a reconnu que c’était une « attaque extrêmement violente ». Certes, la Justice a ouvert une enquête pour « violences avec guet-apens, arme et en réunion », « participation à un groupement formé en vue de la commission de violences » et « outrages » sur personne dépositaire de l’autorité publique.

    Mais on retrouve aussi, dans le compte rendu de ce « fait divers » par 20 Minutes, la phrase fatidique : « Aucun individu n’a été interpellé. »

    Et le simple citoyen de s’interroger. Pourquoi ? La nuit était trop noire ? Les individus cagoulés ? Et ceux qui sont allés directement aux urgences après leur petite attaque ? Ou bien fallait-il laisser retomber la tension ? Permettre à ces jeunes de retrouver leurs esprits après leur coup de feu ? Par crainte d’un embrasement ? Parce que la Justice avance à son rythme ? Parce que la police, déjà contrainte de battre en retraite, n’aurait pas les moyens de ? Il faudra, un jour, nous le dire. Sinon, le simple citoyen se fera son idée. Mais toutes ces raisons cumulées n’ont rien de rassurant. Surtout quand on sait comment la Justice et la police, par exemple lors de manifestations de gilets jaunes, ont procédé à des interpellations « préventives » en mobilisant des moyens exceptionnels, on s’interroge.

    Et le simple citoyen pourrait se dire, un jour : si la police ne peut pas, alors… Alors qui ? L’armée ? Mais peut-être que les chefs de la police, et les hommes au-dessus d’eux, ceux pour qui ces choses qui se déroulent dans l’espace public sont un petit peu l’affaire quand même, s’interrogent aussi : alors qui ? Alors quand ?

    Frédéric Sirgant

    https://www.bvoltaire.fr/mantes-la-jolie-un-guet-apens-avec-plus-de-100-individus-des-blesses-et-aucune-interpellation/

  • Déchéance de la nationalité : pour une application systématique.

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    L'avis de Jean-François Touzé

    Condamné à quatre ans de prison pour avoir voulu rejoindre les rangs de Daech en Syrie, le "franco-marocain" Fayçal Aïd Messoud vient de se voir retirer la nationalité française.

    Une décision rarissime puisque seulement seize déchéances de la nationalité ont été prononcées en vingt ans, dont treize pour terrorisme. 
    Une goutte d'eau dans l'océan de la dislocation française.
    Rappelons qu'en raison des conventions internationales qui interdisent de "fabriquer" des apatrides, seuls, en théorie, peuvent être déchus de la nationalité les bi nationaux.
    Des conventions que la droite nationale au pouvoir devra formellement dénoncer le jour venu pour retrouver sa liberté d'agir, de déchoir et d'expulser.
    Ce qui sera d'autant plus aisé que si la "Déclaration universelle des droits de l'homme" de 1948 indique bien que "tout individu a droit à une nationalité", il ne s'agit que d'un texte à portée philosophique et non contraignant, et que si la France a signé la convention onusienne de 1961 relative à la réduction des cas d'apatridie et celle du Conseil de l'Europe de 1997, elle ne les a pas ratifiées.
    Nous aurons ainsi toute liberté de prendre les décisions qui s'imposent. Pas seulement dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, mais dans celui, global, de la reconstruction identitaire de notre Pays.
  • Angleterre. « Bâtards de Blancs » : des paysagistes attaqués à la hache par un gang extra-européen

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    Une nouvelle affaire de violence extra-européenne sur fond de haine des Blancs a fait l’actualité judiciaire ces derniers jours en Angleterre.

    Angleterre : Habibur Rahman était sur « son territoire »

    Une simple altercation de la route qui vire au cauchemar pour un paysagiste.
    Voici la trame de ce qui s’est déroulé dans une rue de Rochdale, ville du nord-ouest de l’Angleterre située non loin de Manchester, en cet après-midi du 17 octobre 2017.
    Le gérant d’un restaurant local, un certain Habibur Rahman, alors âgé de 27 ans et visiblement agacé par la conduite d’une vieille dame au volant, a couvert d’insultes cette dernière.
    Une scène à laquelle ont assisté des paysagistes travaillant dans la rue.
    L’un d’entre eux demandera au conducteur de se calmer.
    Ce qui sera considéré comme une véritable offense pour Habibur Rahman, menaçant les hommes de revenir avec des renforts pour les attaquer.

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    Habibur Rahman. Source : Manchester Evening News
    Ce qu’il va faire peu après.
    C’est alors une vingtaine d’individus qui va s’en prendre aux paysagistes.
    Lesquels ont eu la mauvaise idée de lui avoir « manqué de respect » sur « son territoire ».
    Tandis que les ouvriers tentent de quitter rapidement la propriété où ils travaillaient pour échapper aux représailles, l’agresseur de 27 ans leur bloque la sortie avec son véhicule.
    C’est alors que, pris au piège, les hommes vont subir un véritable assaut de violence
    « Bâtards de Blancs »
    Par la suite, l’un des paysagiste, âgé de 18 ans, se fera couper la main avec une hache par l’un des assaillants.
    D’autres portaient des couteaux, des machettes, un marteau et un poignard.
    Le propriétaire de la hache, un dénommé Mohammed Awais Sajid, a par ailleurs frappé l’un des paysagistes à la poitrine, lui brisant les côtes et provoquant un affaissement pulmonaire.
    Selon le témoignage de la victime, le coup de hache visait initialement sa tête…
    Il faudra attendre que l’un des ouvriers parvienne à démarrer une tronçonneuse pour que les agresseurs prennent enfin la fuite.
     
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    La main de la victime après les coups de hache. Source : Manchester Evening News
    Par ailleurs, lors de l’audience au tribunal de Manchester Minshull Street Crown, le caractère raciste de certaines insultes a bien été confirmé.
    « Bâtards de Blancs »« vous êtes dans mon pays », a proféré Habibur Rahman au moment des menaces.
    En leur précisant qu’ils allaient « se faire poignarder ».
    Le verdict, rendu il y a quelques jours, a vu Mohammed Awais Sajid être étrangement acquitté de tentative de meurtre et n’être condamné qu’à 18 ans d’emprisonnement après avoir été reconnu coupable des blessures commises.
    Quant à Habibur Rahman, il n’a été condamné qu’à quatre ans et demi de prison pour avoir été reconnu coupable d’avoir cassé le nez de l’une des victimes avec un poignard.
    Enfin, sur les 12 individus arrêtés en janvier 2018 dans le cadre de l’enquête, neuf ont été libérés sans inculpation.
    De son côté, le juge Potter a déclaré qu’aucun membre du groupe n’avait manifesté « une once de remords » tout au long des procédures, refusant de témoigner lors de deux procès.
    La vie suit donc son cours dans le « paradis » multiculturel britannique. 
    AK
    Crédit photo : Publicdomainpictures.net (CC0/Petr Kratochvil)
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