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insécurité - Page 483

  • Clément Martin : « La société multiethnique est un échec et les attentats djihadistes ne sont que les prémices du chaos généralisé »

    En 2012, des militants de Génération identitaire étaient montés sur le toit de la mosquée de Poitiers en construction pour y déployer une banderole et dénoncer la montée de l’islamisation, cinq d’entre eux avaient été condamnés.

    En 2012, Génération identitaire était montée sur le toit de la mosquée de Poitiers en chantier. Sept ans après, regrettez-vous ?

    Aucun regret, mais une immense fierté. Car cette action symbolique avait permis de placer la question de l’islamisation au cœur du débat public. Une islamisation visible et revendicative qui passe notamment par la construction de mosquées géantes avec minaret, comme celle de Poitiers. Signal de reconquête, notre opération avait également connu un grand retentissement dans toute l’Europe au point de susciter la création de fédérations identitaires dans différents pays (Autriche, Allemagne, Italie, etc.).

    On vient d’apprendre que cette mosquée avait été financée à hauteur de 400.000 euros par le Qatar. Comment avez-vous réagi en apprenant cela ?

    Ce n’est pas vraiment une surprise. Cette mosquée est en effet affiliée à l’UOIF (émanation des Frères musulmans en France) dont la proximité avec le Qatar est largement documentée. Cela confirme les velléités d’influence de cet État islamiste dans la vie politique française. Et, par ricochet, la lâcheté de nos élites qui ont laissé faire, par ignorance ou complaisance.

    Cette mosquée qui, rappelons-le, s’appelle Balat-al-Chouhada (mosquée Pavé des martyrs) en référence à la bataille de Poitiers. Vous aviez fait référence à cette bataille à l’époque et cela vous avait été reproché. Comment expliquez-vous cette dichotomie ?

    Pour le tribunal de Poitiers, la simple référence à la victoire de Charles Martel constituait une « provocation à la haine » de notre part. Or, le véritable nom de cette mosquée (Pavé des martyrs) témoigne lui-même d’un esprit de revanche évident car, contrairement aux Européens amnésiques, les musulmans cultivent la longue mémoire. Malheureusement, ce qui est permis, encouragé et valorisé pour les étrangers est interdit ou censuré pour les Français. Seul l’Autre peut revendiquer la fierté de ses origines et de son histoire. Pour nous, elle est forcément synonyme de scandale. Pourtant, la « provocation » consiste davantage à humilier notre peuple avec un tel édifice qu’à proclamer le droit à vivre sur notre terre selon notre identité.

    En ce moment, une campagne de boycott frappe Éric Zemmour. Vous reconnaissez-vous dans ses propos à la Convention de la droite ?

    Une nouvelle fois, les propos d’Éric Zemmour choquent les journalistes et l’entre-soi parisien alors qu’il ne fait que décrire fidèlement la réalité. L’islam et la mémoire d’affrontements séculaires nourrissent une volonté de conquête. La société multiethnique est un échec et les attentats djihadistes ne sont que les prémices du chaos généralisé (partition du territoire, reconquête et/ou affrontements sanglants) qui se profile si aucune mesure radicale n’est prise. Conclusion : la sécurité et la prospérité de notre pays passent nécessairement par un arrêt de l’invasion migratoire et de l’islamisation. Ce diagnostic est le nôtre en tout point.

    Tribune reprise de Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Rouen explose – Les Reportages de Vincent Lapierre

    L'explosion de l'usine Lubrizol a produit autant de pollution que de questions. Les Rouennais demandent toute la vérité sur cette affaire.

    L'usine de pétro-chimie Lubrizol située à Rouen a explosé au matin du jeudi 26 septembre, provoquant un nuage de fumée toxique qui a survolé la ville durant de longues heures. A quels produits ont été exposés les Rouennais ? Pourquoi les autorités ne donnent aucune information concernant la procédure à suivre pour se protéger ? Pourquoi disent-elles qu'il n'y a aucun risque alors que tout indique le contraire ? C'est ce que sont allés demander les Rouennais à une réunion d'élus locaux avec le préfet.

    Vincent Lapierre et l'équipe du Média pour Tous étaient également sur place.

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  • Attaque à la préfecture de police : des renseignements aux abois – journal du lundi 7 octobre 2019

    1) Attaque à la préfecture de police : des renseignements aux abois

    4 jours après l’attaque terroriste à la préfecture de police de Paris, un rapport de service atteste des multiples signaux de radicalisation de l’assaillant. L’Etat se retrouve donc confronté à son propre échec et Christophe Castaner est en première ligne.

    2) Pari réussi pour les opposants à la PMA

    Dimanche, à l’appel d’un collectif d’une vingtaine d’associations dont La Manif Pour tous, une grande manifestation a défilé dans les rues de Paris. Un pari réussi qui prouve que la mobilisation pro-famille n’a pas pris une ride depuis 2013.

    3) Immigration : faux débat et vrai manœuvre politique

    L’immigration est de retour dans le débat politique français ! Une volonté du président de la République qui s’inscrit dans une démarche électorale à quelques mois seulement des prochaines élections municipales.

    4) L’actualité en bref

    https://www.tvlibertes.com/attaque-a-la-prefecture-de-police-des-renseignements-aux-abois-journal-du-lundi-7-octobre-2019

  • Rouen : de 5.253 tonnes de produits chimiques incendiés on passe à 9.050 ! Etonnez-vous qu'on soit inquiet...

    La Préfecture de Seine maritime avait bien publié une liste de produits chimiques incendiés, évalués à 5.253 tonnes.

    Voilà que, vendredi soir, ce chiffre était augmenté de... 9.050 tonnes (excusez du peu !), car on s'est rendu compte, après coup, que l'usine Lubrizol stockait des marchandises chimiques "type Seveso" dans trois hangars de l'entreprise voisine, Normandie Logistique.

    Sur ces trois hangars, un a été détruit intégralement, un deuxième à soixante pour cent environ, le troisième à environ vingt pour cent...

    La Préfecture a manifestement mal géré l'information : elle a soit parlé trop vite, soit dit trop peu... Résultat : l'inquiétude, et plus, persiste et s'accroît...

    (lire ou relire notre note du 5 octobre dernier : envoi de lecteur rouennais)

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/10/07/rouen-de-5-253-tonnes-de-produits-chimiques-incendies-on-pas-6180881.html

  • Attentat de la préfecture de police : souvenons-nous des promesses de l’État islamique

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    Le profil de l’assassin de la préfecture de police de Paris se précise : islam radical, accointances avec une organisation terroriste, opération préméditée. L’assassinat est désormais un attentat. Le terroriste une taupe ?

    Souvenons-nous des promesses de l’État islamique. C’était encore l’époque où on l’appelait par son nom : État islamique en Irak et au Levant. Ce n’était pas encore le Califat, et on n’utilisait pas encore l’acronyme arabe de Daech pour rendre moins évident à l’oreille française son caractère religieux et prophétique. À cette époque, l’État islamique inondait Twitter, Facebook et YouTube de ses clips de propagande, de ses visuels imitant les jeux vidéo, de ses citations coraniques et des numéros de sa revue, Dabiq, qui a, depuis, changé de titre et de format.

    Alors qu’il consolidait ses conquêtes en Irak et en Syrie, l’État islamique avait un slogan principal : « Dawlat-al-Islam baqiya ! » ou, plus simplement, « Baqiya ! » (« L’État islamique restera ! »). Il avait un slogan secondaire abondamment relayé sur les réseaux sociaux : « We are coming, o Rome! » Il promettait l’accomplissement de la prophétie sunnite selon laquelle les cavaliers aux étendards noirs prendraient le Levant et soumettraient la capitale de la chrétienté, établissant la domination de l’islam sur le monde.

    Mais pour conquérir Rome, il faut d’abord passer sur le corps de la France, protectrice de la papauté depuis le règne de Pépin le Bref et considérée comme telle par l’État islamique. Le numéro 15 de Dabiq, publié à la suite des attentats de Paris en 2015, illustrait son dossier « Pourquoi nous vous haïssons » par une photographie de la messe traditionnelle ad orientem.

    Attentats des marchés de Noël, attentat de Charlie Hebdo, attentats de Paris, attentat de Nice, attentat des Champs-Élysées… L’État islamique l’a promis, l’État islamique l’a fait. L’État islamique avait appelé ses fidèles à tuer les Français partout, tout le temps, au couteau, par le poison, sous les roues des voitures… et les égorgements, renommés « coups de couteau à la gorge », partout ont fleuri.

    À cette époque, l’État islamique avait aussi promis de déstabiliser l’Europe en la submergeant sous une vague de millions de réfugiés, parmi lesquels ses fidèles se cacheraient comme des loups au milieu du troupeau. L’État islamique l’a promis, l’État islamique l’a fait.

    L’État islamique a été fondé par d’anciens cadres des renseignements irakiens qui ont mis leurs compétences au service de cette organisation. Pour faire tomber la Syrie, ils avaient placé ou retourné des hommes dans chaque ville et chaque village. Au moment opportun, ceux-ci avaient su indiquer sur qui s’appuyer, qui arrêter, qui exécuter.

    Le terroriste de la préfecture de police de Paris avait accès, par son accréditation secret défense, à des données sensibles du renseignement antiterroriste. On ne sait pas encore s’il a prêté allégeance à l’État islamique, s’il a été retourné pour devenir une source de renseignement… Étant donné le profil des fondateurs de cette organisation, c’est possible et il pourrait ne pas être le seul.

    Souvenons-nous que l’État islamique tient ses promesses. Sous-estimer un ennemi peut faire du bien au moral, mais cela ne fait pas gagner la guerre.

    Guillemette Pâris

    https://www.bvoltaire.fr/attentat-de-la-prefecture-de-police-souvenons-nous-des-promesses-de-letat-islamique/

  • Enseignants : voyage au bout de la nuit

    On sait que les suicides sont, hélas ! voués à de fatales imitations, parfois inexplicables quand elles sont simultanées.
    Il y a une semaine, la directrice d’une école maternelle de Pantin, Christine Renon, se donnait la mort. Elle était en fin de carrière, et son épuisement extrême, aggravé par l’incompréhension totale de ce qui se passe sur le terrain, de la part d’une hiérarchie caparaçonnée dans son mode de gestion bureaucratique, l’avait enfermée, emmurée, dans sa solitude, son désespoir, sa révolte ultime.
    Frédéric Boulé était, lui aussi, en bout de carrière.
    À bout de souffle.
    À bout de vie.
    Professeur de SVT au lycée international de Valbonne (Alpes-Maritimes), il a été écrasé par une logique mortelle, celle d’un face-à-face avec un système scolaire absurde, impitoyable. Lui n’a pas écrit de lettre pathétique. Il a préféré en finir dans le silence, le même jour que sa collègue de Saint-Denis. Cinq jours avant sa mort, il avait rencontré le médecin de prévention du rectorat.
    Que s’étaient-ils dits ?
    Les professionnels de santé, dans ce milieu pathogène qu’est l’Éducation nationale, dont la schizophrénie crée des conditions de dérives mentales parmi élèves et enseignants, sont confrontés massivement à des problèmes souvent insolubles.
    Combien de professeurs se sentent-ils pris au piège, comme des rats, la boule au ventre, le noir de la désespérance submergeant leur esprit, sans lumière qui point dans un horizon bouché comme un ciel ravagé ?
    Combien ont-ils vu leur idéal brisé par la démagogie des pédagogues irresponsables, par une administration tatillonne et aveugle, par l’indifférence du système aux épreuves qu’ils subissent pour tenter de délivrer leur savoir à des populations de plus en plus déséquilibrées, déstabilisées par une sous-culture mortifère, hostiles à la culture, à l’effort intellectuel, au livre, au savoir scientifique, historique ?
    Il est des lieux où cinq minutes de silence approximatif constituent le summum de l’ambition. Mais, plus généralement, une force surhumaine est nécessaire pour se faire, tout simplement, écouter. Et pas seulement par les élèves allogènes !
    La peste de l’inculture agressive frappe tout le monde, y compris les enfants « de souche ». C’est une pandémie barbare, que les idéologues ne veulent pas voir, quand ils ne la cautionnent pas par des préceptes égalitaristes, laxistes et « bienveillants » ineptes. C’est un ver tenace qui ronge, qui a rongé les fondements d’un édifice vermoulu, autrefois prestigieux.
    Qui se souvient que l’École française était la meilleure du monde ?
    Et ce n’est pas un remède somatique psychosomatique, à base de « communication », de réunions entre « spécialistes », de « stages de gestion de classe », de trucs pédagogistes, qui guérira cette plaie, de plus en plus virulente.
    Il faut de l’autorité, il faut rétablir la sélection, il faut sanctionner vraiment, il faut réformer, voire révolutionner, l’institution scolaire.
    Claude Bourrinet

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/10/enseignants-voyage-au-bout-de-la-nuit.html#more

  • Le juge Trévidic : « Le pire est devant nous, Daech prépare des massacres de masse en France »

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    Le vice-Président du tribunal de grande instance de Lille, le juge Trévidic, a affirmé mercredi que le pire en matière d’attaques terroristes islamiste est à venir pour la France, la cible prioritaire du groupe État islamique (EI).

    « La menace est à un niveau maximal, jamais atteint jusqu’alors. D’abord, nous sommes devenus pour l’EI l’ennemi numéro un. La France est la cible principale d’une armée de terroristes aux moyens illimités. », a déclaré l’ancien patron du Pôle judiciaire antiterroriste dans un entretien accordé à Paris Match.

    « J’ai acquis la conviction que les hommes de Daech [acronyme de l’Etat islamique] ont l’ambition et les moyens de nous atteindre beaucoup plus durement en organisant des actions d’ampleur, incomparables à celles menées jusqu’ici. Je le dis en tant que technicien : les jours les plus sombres sont devant nous. La vraie guerre que l’EI entend porter sur notre sol n’a pas encore commencé. », a-t-il mis en garde.

    « Nous avons en face de nous un groupe ­terroriste plus puissant que jamais. Bien plus puissant qu’Al-Qaïda à sa grande époque. L’EI, fort d’environ 30 000 « soldats » sur le terrain, a recruté plus de membres que l’organisation fondée par Ben Laden en quinze ans ! Et ce n’est pas fini.

    La France est, de fait, confrontée à une double menace. Celle du déferlement de ce que j’appelle les “scuds” humains du djihad individuel, ces hommes qui passent à l’action sans grande formation ni préparation, agissant seuls, avec plus ou moins de réussite, comme on a pu le voir ces derniers temps.

    Et celle, sans commune mesure, que je redoute : des actions d’envergure que prépare sans aucun doute l’EI, comme celles menées par Al-Qaïda, qui se sont soldées parfois par des carnages effroyables. », a poursuivi M. Trévidic.

    « Les hommes de Daech ont les moyens, l’argent et la faculté d’acquérir facilment autant d’armes qu’ils veulent et d’organiser des attaques de masse. Le terrorisme est une surenchère ; il faut toujours aller plus loin, frapper plus fort. »

    Et puis, il reste « le prix ­Goncourt du terrorisme » à atteindre, et je fais là référence aux attentats du 11 septembre 2001 contre les tours du World Trade Center.

    Lire aussi:  Explosion à Lyon : le suspect a reconnu avoir prêté allégeance au groupe Etat islamique

    Je n’imagine pas un instant qu’un homme tel qu’Abou Bakr ­al-Baghdadi et son armée vont se satisfaire longtemps d’opérations extérieures de peu d’envergure.

    Ils sont en train de penser à quelque chose de bien plus large, visant en tout premier lieu l’Hexagone.», a expliqué le magistrat.

    Selon M. Trévidic, « les juges, les policiers de la DGSI, les hommes de terrain, sont complètement débordés. » « Nous risquons d’aller dans le mur. », a-t-il conclu.

    Éric Hazan – © Le Monde Juif.info | Photo : DR

    https://www.alterinfo.ch/2019/10/05/le-juge-trevidic-le-pire-est-devant-nous-daech-prepare-des-massacres-de-masse-en-france/

  • Rouen : la quantité de produits chimiques brûlés lors de l’incendie revue à la hausse

    Une large partie du site de « Normandie Logistique », une entreprise située à côté de l’usine chimique de Lubrizol, a aussi été touchée par les flammes le 26 septembre. Plus de 4000 tonnes de produits Lubrizol (12 700 fûts) et 139 tonnes de produits Total y étaient entreposées. Alors, 5 000 tonnes ou le double ? la quantité exacte de produits partis en fumée reste inconnue alors que Lubrizol et Normandie Logistique se rejettent la responsabilité de l’origine de l’incendie catastrophique.

    En tout cas, en plus des 5 253 tonnes de produits de chez Lubrizol partis en fumée, la préfecture de Seine-Maritime a publié le 4 octobre une nouvelle liste de 9 050 tonnes de produits entreposés par l’entreprise voisine, partiellement touchée par l’incendie.

    Chez Normandie Logistique, on affirme toutefois qu’il n’y avait «pas de stockage de produits explosifs ou dangereux».

    RT News

    https://www.tvlibertes.com/actus/rouen-la-quantite-de-produits-chimiques-brules-lors-de-lincendie-revue-a-la-hausse

  • Watergate suite à l’attentat de la préfecture de police de Paris : la conférence de presse du parquet national antiterroriste est juste effroyable.

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     Tout le monde savait mais personne n’a rien fait.. Le syndicat France Police – Policiers en colère sort de son silence et livre un constat sans concession
    1. Le naufrage des services de renseignement a été rendu possible par deux facteurs :
    – La destruction du renseignement par l’absurde fusion Renseignements Généraux (RG) et Direction de la Surveillance du Territoire (DST) imposée par Nicolas Sarkozy à des fins politiciennes.
    – La police politique de la pensée unique qui interdit de soupçonner un converti de radicalisation et d’enquêter sur lui, faute de quoi l’on est immédiatement traité d’islamophobe.
    2. La politique en matière de renseignement conduite par l’ancien directeur de la DGSI et actuel n°2 du ministère de l’Intérieur, Monsieur Nunez, qui a orienté les missions des services secrets vers la lutte contre ses opposants politiques en tant que militant Lrem, à savoir les Gilets jaunes, au détriment de la lutte antiterroriste.
    3. L’obsession du gouvernement à ordonner systématiquement des enquêtes IGPN dès qu’une banale intervention de police critiquée nuit à ses intérêts politiques plutôt que de se concentrer sur les collègues présentant une réelle menace pour la société.
    4. Un système législatif très protecteur des personnes radicalisées qui rend particulièrement compliqué leur révocation de la fonction publique.
    5. Une hiérarchie médiocre, en dessous de tout, obsédée par les primes et les avancements, qui ne veut surtout pas faire de vague et produire du chiffre pour favoriser la carrière.
    Si les oppositions appellent à la démission de Christophe Castaner, il va de soit que sa démission ne réglera pas tout.
    Monsieur Nunez doit également faire sa valise.
    En outre, c’est toute l’organisation des renseignements qui doit être revue de fond en comble, à commencer par l’IGPN, transformée en arme de communication massive par la Macronie.
    On comprend mieux pourquoi le président Macron ne voulait plus être protégé par la police nationale mais plutôt par des gardes du corps privés à la sauce Benalla.
    Lorsque l’on voit le degré d’infiltration de nos services par des personnes radicalisées, l’affaire Riss en octobre 2018 en est la preuve, on s’aperçoit de l’ampleur du chantier..
    Michaël Harpon était notre frère d’arme, du moins le croyait-on.
    Aujourd’hui le syndicat France Police Policiers en colère ne demande pas de faire la chasse à nos collègues musulmans dans la police nationale mais uniquement de révoquer ceux qui sont en lien avec la mouvance radicale.

  • Le cancer islamiste n’a pas fini de frapper

    Le drame de la préfecture de police est un coup de semonce terrible qui va ébranler durablement tous les services de renseignement et nous obliger collectivement à une remise en cause des certitudes en matière de sécurité.

    Face au cancer de l’islamisme, le moindre doute est coupable : il faut écarter des services de police et de gendarmerie tout suspect.

    Prendre le moindre risque, c’est à l’évidence mettre en péril la vie d’hommes et de femmes, mais c’est aussi fragiliser les services en dépit des règles de cloisonnement, axiome de base de tout service de renseignement.

    En juin 2019, le rapport parlementaire d’Éric Diard et Éric Poulliat avait souligné que la radicalisation dans les services publics n’était pas alarmante mais qu’il était nécessaire d’être vigilant. Nous en avons la preuve aujourd’hui !

    Les deux députés reconnaissent qu’en l’état du droit, il est difficile d’agir pour déplacer l’agent d’un service sur de simples soupçons, l’agent bénéficiant de garanties légales en raison de son statut de la fonction publique.

    C’est très certainement sur ce point que le législateur devra se pencher à nouveau. Il ne s’agit pas de mettre en place une « loi sur les suspects » comme au temps de la Convention nationale, loi du 17 septembre 1793, mais bien de prévenir. Écarter des postes sensibles tout individu en voie de radicalisation est une nécessité.

    Il reste à découvrir cette radicalisation, tant il est vrai que la dissimulation est l’art des djihadistes, la « taqiya » qui n’est pas seulement pratiquée par les chiites mais par les sunnites également.

    Le cancer de l’islamisme n’a pas fini de frapper, il faut en avoir conscience, le meilleur remède contre cette idéologie fanatique et mortelle est de sortir des béatitudes des bien-pensants et de la naïveté du politiquement correct !

    Vaste programme !