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insécurité - Page 483

  • Lettre ouverte à Didier Lallement, chien de garde du système néolibéral déguisé en préfet de police.

     
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    Philippe Bailly
    Monsieur Lallement,
    Il est des jours où la lumière apparaît, où la vérité ose se montrer, telle qu’elle est, sans fard.
    Incontestablement la journée du 16 Novembre 2019 est à ranger dans cette catégorie.
    À une dame se revendiquant « Gilet Jaune » vous avez, dans une morgue mal contenue, sèchement rétorqué « eh bien, nous ne sommes pas dans le même camp, Madame ».
    Ce faisant, vous indiquez que, à vos yeux, et donc aux yeux du pouvoir, nous ne sommes plus dans une logique de lutte sociale ou de lutte des classes mais bel et bien dans une guerre plus ou moins larvée entre deux France qui se font face, deux France irréconciliables.
    Dans cet élan de sincérité, probablement à votre corps défendant, vous ne faites, finalement, que dévoiler ce que nous subodorions déjà.
    Quiconque dans ce pays a une once de sens politique comprend vite que l’actuel pouvoir est dans une pure logique de répression.
    Vous le savez aussi car, en votre qualité de préfet de police, vous êtes à la tête du bras armé de ce pouvoir.
    Vous exercez cette fonction avec zèle et surtout sans état d’âme.
    Les cris des gilets jaunes éborgnés ou des manifestants aux mains arrachés, les arrestations arbitraires de syndicalistes ou de membres d’association ou de collectifs, les morts d’une femme qui a eu pour seul tort de fermer sa persienne au mauvais moment ou d’un jeune homme qui voulait prolonger un peu plus tard la fête de la musique sur les bords de la Loire, vous touchent la visière de la casquette sans faire bouger le bouton de votre caleçon.
    Tout ces gens ne sont à vos yeux que des riens qui doivent subir dans le silence ou être sévèrement sanctionnés.
    Fort de l’autorité que vous confère votre poste et du peu de cas que vous faite de la condition humaine des plus modestes, vous-vous en donnez à cœur-joie : des nassages et des gazages de foule, des tirs tendus de flash-ball, des milliers de gardes à vue qui conduisent fréquemment à de la prison pour de braves gens qui, à travers leurs manifestations, ne faisaient qu’alerter sur le drame social qui s’accentue en France, ne faisaient qu’accomplir un devoir somme toute citoyen en nous éclairant sur les injustices de ce pays.
    Eclairer, alerter, accomplir un devoir citoyen sont des actes forts de démocratie.
    Mais de cela, ni vous, ni ceux qui nous gouvernent n’en veulent.
    Il suffit de voir, lorsque vous fûtes préfet de police en Gironde, les chaleureuses félicitations que vous avez prodigué aux force de l’ordre après qu’elles eurent tabassé un député, c’est-à-dire ni plus ni moins qu’un représentant élu du peuple souverain, pour comprendre à quel niveau d’importance vous situez la démocratie.
    Vous vous présentez comme un rempart qui protège l’ordre.
    Oui, vous êtes un rempart, je n’en disconviens pas.
    Vous êtes le rempart qui protège un système économique où une infime minorité se gave au-delà de toute raison, au-delà même du vertigineux et au détriment de l’intérêts général.
    Vous êtes le rempart qui protège les délocalisations sauvages et les licenciements boursier qui jettent des centaines de milliers de nos compatriotes dans la misère et la précarité.
    Vous êtes le rempart qui protège le démantèlement systématiques de nos services publics dans l’optique à peine voilée de leur privatisation.
    Vous êtes le rempart qui protège toutes les dérégulations qui font qu’actuellement, à un rythme quasi quotidien, des salariés du privés et du public, des agriculteurs, des petits artisans, des chômeurs indemnisés ou non, sombrent dans un tel désespoir qu’ils mettent fin à leur jour.
    Vous êtes le rempart qui protège la casse du droit du travail qui ubérise notre société et fait que, chaque année, plus de 500 salariés perdent leur vie accidentellement en essayant de la gagner. Vous êtes le rempart qui protège la fraude fiscale des milliardaires, les spéculations boursières les plus obscures et la corruption d’une partie de notre élite politique qui place l’intérêt général à niveau proche du néant.
    Vous êtes le rempart qui protège les conflits d’intérêts et les marchés truqués toujours aux profits des mêmes.
    Vous êtes le rempart qui protège celles et ceux qui jettent à la vindicte populaire, le noir, le musulman, le migrant ou tout autre bouc-émissaire commode.
    Avec un tel pedigree on en arrive presque à se dire que si vous aviez vécu à des périodes plus sombres de notre histoire vous auriez été un monstre.
    Mais, ayant le sens de la mesure et de l’honnêteté de ce peuple que vous méprisez tant, je nous ferai pas ce procès d’intention.
    Monsieur Lallement, en ce 16 novembre, vous avez, d’un pas guilleret, foulé les tous premiers mètres du sentier, certes encore très long, qui mène à cette guerre civile dont personne, ou presque, ne veut.
    Grand bien vous fasse.
     Laissez moi cependant vous dire que parfois, ce sont les communards qui gagnent la semaine sanglante, et ce, plus souvent que vous ne le pensez.“

  • CHARLES GAVE : "On va vers une guerre civile !"

    Conférence de Charles Gave à Culey

    Charles Gave : Je viens de passer une journée dans l’est de la France, invité par le Maire d’une petite commune de la Meuse, Culey, que je remercie ici. J’en suis revenu encore plus indigné que je ne l’étais en partant, tant la situation des habitants y est encore plus désastreuse que tout ce que je pouvais imaginer. Je me suis précipité en rentrant sur mon ordinateur pour écrire un compte rendu de ce petit voyage. En l’écrivant, j’ai eu la sensation que j’avais déjà tout décrit avant même d’y être allé. J’ai vérifié, et j’ai retrouvé ce texte que j’ai écrit il y a environ un an et que je reprends in extenso, n’ayant rien à y ajouter.

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La Nouvelle « Justice » de la République macronienne

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    Bernard Plouvier

    Le jeune et fringant Emmanuel avait multiplié les promesses électorales, puis avait été élu par un tiers du corps électoral - les abstentionnistes ayant fait le jeu de ce brillant jeune homme.

    Mais dans son super-hyper-extra programme – grâce auquel il serait facile « de trouver du boulot », dans lequel la « France allait gagner » etc. -, dans ce joli programme, il ne nous avait pas dit que, sous son règne plutôt abject, il allait côtoyer la pitre racaille immigrée (des photographies le prouvent) et que la « Justice » allait en profiter pour se moquer ouvertement des « Valeurs de la République »… et allons-y de cette triste rengaine qu’on nous ressasse à longueur de débat télévisé ou de discours de politicard aveugle et sourd aux vrais problèmes de la Nation !

    Un demi-fou noir veut à tout prix devenir célèbre. Il prend un nom amerlocque et appelle à tuer du Blanc, de tous âges, y compris les bébés. Ce fou furieux raciste va – selon nos « Valeurs Républicaines » - récolter une lourde peine de prison pour « incitation à la haine et à la violence raciale »… c’est normal, c’est écrit dans notre Code pénal !

    Eh bien, NON ! la « Valeur Républicaine » dans la France macronisée, la France « niquée » par les esthètes du rap – si l’on préfère d’honorables « immigrés venus enrichir notre France de leur différence » - est d’infliger une « amende avec sursis » (le 19 mars 2019).

    Et le Lumumba de l’ordure, l’Idi Amine Dada du clip en remet une couche, avec un nouveau clip où « il baise la France jusqu’à l’agonie ». Dans les hôpitaux, on avait connu des détraqués sexuels qui s’envoyaient leur chèvre ou même un cadavre, mais le Nick de ses fesses fait cela avec « les grands-mères »… après tout, ça évite de transformer un viol en naissance indésirable et puis s’il y a des candidates pourquoi les en priver ?

    C’est ce qu’ont dû se dire les nobles juges, garants des « Valeurs de la République », lors de la seconde plainte, induite par son nouveau chef d’œuvre. Le Nick Conrad a été acquitté en cet automne de réchauffement climatique : « les faits n’étant pas clairement établis… les preuves étant insuffisantes pour que l’infraction soit constatée » !  

    Imaginons le scénario d’un Blanc ou d’un Jaune ou d’un Vert (paraît que ça existe) qui éructe, sur scène ou ailleurs, qu’il « baise les imams » (variante : les honorables jeunes filles de l’immigration extra-européenne qui doivent être fort belles puisqu’elles sont voilées, ou encore les grands-mères en burkini moulant), que va-t-il se passer avec les « Valeurs Républicano-macroniennes » ?

    La réponse est simple : de nouvelles tueries au couteau à céramique et des émeutes raciales aux abords des quartiers dits « sensibles ». Et bien sûr, le couple présidentiel viendra assurer les ZZ (Z’Honorables Z’Immigrés) de leur soutien… et les « Valeurs Républicaines » exigeront une lourde condamnation (d’ailleurs justifiée) du délinquant.

    La seule chose que la Nation est en droit d’exiger du jeune excité élu par un tiers de l’électorat, c’est l’Isonomia – soit l’Égalité absolue de tous les citoyens et des résidents étrangers devant la Loi.

    La « Justice » à la « langue fourchue », celle qui a deux poids et deux mesures, c’est une « Valeur Ripoublicaine ».

    Depuis deux années, nous sommes non pas gouvernés, mais ballottés de déclaration fracassante en promesse sensationnelle, et nous continuons à flirter avec le chiffre de 6 millions de chômeurs et nous totalisons une quinzaine de millions d’immigrés d’origine extra-européenne dont chacun ayant des yeux et des oreilles peut constater qu’ils ne sont pas tous de grands travailleurs ni des prix de vertu. 

    Une leçon s’impose à tout amateur de « Valeur » européenne - on se moque qu’elle soit démocratique, autocratique, socialiste ou continentaliste - : ne plus voter pour des clowns, pour des gens qui se moquent de la Nation. Exiger le respect de notre race et de notre culture… ou alors, il faudra passer à l’action.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2019/11/23/la-nouvelle-justice-de-la-republique-macronienne-6192732.html

  • La France est dans un «ensauvagement général» avec un «degré de violence inédit», alerte le renseignement

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    Le coordinateur national du renseignement a mis en garde contre «une forme d’ensauvagement général» à laquelle fait face la France et d’autres sociétés occidentales, constatant un «degré de violence inédit», rapporte l’AFP.

    Lors d’une conférence au salon dédié à la sécurité intérieure des États, Milipol, à Villepinte, en Seine-Saint-Denis, Pierre de Bousquet de Florian, le coordinateur national du renseignement, a mis en garde contre plusieurs dangers.

    «On constate une forte dégradation des rapports sociaux dans les sociétés occidentales», a observé jeudi le coordinateur national du renseignement, Pierre Bousquet de Florian, parlant d’«un degré de violence» inédit.

    Evoquant des «postures populistes de plus en plus véhémentes», il estime que l’on est face à «une forme d’ensauvagement général de notre société avec un degré de violence et une rapidité de montée vers la haine que nous n’avions jamais connus auparavant».

    La France n’est «pas la seule concernée», et le djihadisme n’est pas «la seule idéologie» préoccupante, a-t-il expliqué.

    Dans ce contexte, il a évoqué plusieurs points «d’attention majeurs» pour les services: l’ultradroite et l’ultragauche, mais aussi «les radicaux de tous bords».

    Selon lui, cela comprend tous les groupes se distinguant par des discours «de plus en plus violents» c’est-à-dire les antispécistes, les autonomistes, les identitaires, demain peut-être une marge radicale de mouvements écologistes…»

    Il a enfin évoqué «une quatrième catégorie à laquelle il faut être attentif, les Etats». Si «on n’a pas constaté de véritable terrorisme étatique contre nos intérêts ces dernières années», «il n’est pas exclu qu’un Etat acculé puisse recourir à ce type d’extrémités.»

    Source: Sputnik

    Crédit photo: © AFP 2019 Thibauld MALTERRE

    https://www.alterinfo.ch/2019/11/22/la-france-est-dans-un-ensauvagement-general-avec-un-degre-de-violence-inedit-alerte-le-renseignement/

  • Les black-blocs, fidèles fils de 1789

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    Nombreux sont ceux qui s’offusquent face à la violence présente dans les manifestations de gilets jaunes. Ça condamne à tout va. Le dernier exemple que l’opinion publique retient est le saccage, à Paris, du monument rendant hommage au Maréchal Juin, le 16 novembre dernier.
    Plusieurs questions se posent ? S’agissait-il de gilets jaunes ? S’agissait-il de black blocs ? Ou bien de « casseurs ».

    Le casseur passe bien, c’est à la fois un gilet jaune et un black bloc. Les uns voient dans ces manifestations, seulement des black-blocs d’extrême gauche et d’autres pensent que les gilets jaunes sont tous des casseurs. Et ceux-ci demandent qu’il serait mieux que les choses se règlent autour du fameux « débat démocratique ». « Il faut s’asseoir autour d’une table et discuter » nous dit-on. À chaque fois qu’un média parle d’une manifestation, on a l’impression que la violence ne devrait plus exister au XXIe siècle et que c’est chose étrange de voir des heurts, des troubles et des dégâts surgirent à cette occasion !

    Mais il ne s’agit pas ici de légitimer la violence, il s’agit surtout de ne pas se donner cet air suffisant et hautain comme ces journalistes qui s’érigent en moralisateur de la sainte raison et qui répondent à la violence par un méprisant « mais quand même, il faut mieux discuter, enfin ! » Comme si c’était évident.

    Alors, il faut se faire l’avocat du diable et se mettre à la place d’un militant d’extrême gauche, par exemple. C’est toujours plus intéressant de bien comprendre ceux qui agissent différemment. Le militant d’extrême gauche, qui s’organise en black bloc lors d’une manifestation et perçoit la violence comme une fin. La lutte qu’il mène doit aboutir à un état de chaos qui est plus préférable au capitalisme, règne de l’argent. La guerre civile qu’il semble promouvoir est, de son point de vue, bien plus proche de la paix que l’état actuel des choses dans lequel les dominants exploitent les dominés (en extrapolant la simple dichotomie bourgeois/prolétaire, la lutte est infinie : spéciste antispéciste, lutte des genres, lutte des sexes, minorités etc.).

    Le casseur d’extrême gauche ne lutte pas seulement pour rétablir, par le chaos, l’égalité entre les différentes portions de l’humanité, il lutte pour sauver l’humanité elle-même. En effet, quand le GIEC donne des chiffres alarmant sur le réchauffement climatique – il faut limiter de toute urgence la production de CO2 pour sauver une partie du « vivant » comme le dit Aurélien Barreau – là, évidement, un casseur d’extrême gauche a tout compris. Il faut accélérer la chute des institutions et de l’ordre établi parce qu’il est trop tard, et un État ne pourra jamais reprendre les choses en mains. Mieux vaut détruire que périr.

    Et de toute manière, un antifasciste est quand même un fils de 1789 ! Qui peut reprocher à quelqu’un d’être un fils de la Révolution ? C’est l’essence même de notre République, nos droits en sont issus, nos droits sont ceux de l’Homme, ils sont nés dans la tourmente, la Convention a mis en place un régime de terreur en leur nom. Qui n’a pas envie de chanter la Marseillaise en levant le point ? C’est un chant de lutte, c’est un chant de révolutionnaire. Si un sang impur doit abreuver nos sillons, il faut bien que ce sang coule de quelque part. Les racines les plus profondes de nos constitutions invitent à chaque moment le peuple à se soulever.

    Alors soyez honnêtes, les moralisateurs de la sainte raison ! Les black-blocs et autres antifascistes sont les plus fidèles fils de la République et des institutions en place. Ils rappellent à chaque manifestation que c’est dans la terreur que se préservent les droits humains.

    Erwan de Pavelle

    https://www.bvoltaire.fr/les-black-blocs-fideles-fils-de-1789/

  • Acte 53 des Gilets jaunes : des vidéos montrant des policiers de la BAC déguisés en Black Blocs provoquent l’indignation (Vidéo)

    Lors de l’acte 53 des gilets jaunes , plusieurs vidéos partagées sur les réseaux sociaux ont montré trois personnes vêtues de noir et ressemblant à des casseurs rejoindre les rangs des forces de police. On peut d’ailleurs entendre les CRS dire «c’est la BAC, c’est la BAC.” Ces images controversées ont provoqué l’indignation de nombreux internautes. Si l’infiltration des forces de l’ordre n’a rien de nouveau, certains ont dénoncé la présence de «policiers déguisés en casseurs» pour saboter l’image des Gilets jaunes auprès de l’opinion publique.

    Voir la video sur TVL ici

  • I-Média n° 273 : Gilets Jaunes. Médias et extrême-gauche gâchent l’anniversaire

    04:48 L’image de la semaine

    Face à une Gilet Jaune pacifique, le préfet Lallement s’est montré extrêmement dur, l’amalgamant avec les casseurs et n’hésitant pas à évoquer deux camps qui s’opposeraient de manière irréconciliable.

    07:28 Gilets Jaunes. Médias et extrême-gauche gâchent l’anniversaire

    Les Gilets Jaunes ont fêté un an d’une mobilisation exceptionnelle par sa nature et sa longévité. Mais les violences de l’extrême-gauche ont marqué les esprits à Paris, complaisamment relayées par des médias avides de diaboliser les Gilets Jaunes.

    19:58 Revue de presse

    L’AFP qui exporte son amateurisme à l’international et se couvre de ridicule, France Culture qui sombre dans le complotisme… La semaine médiatique aura été agitée jusqu’au bout !

    33:59 Manif des identitaires : les médias du côté de l’islamisme ?

    Minimisation, attaques absurdes, volonté de salir… Tout le registre de la diabolisation médiatique a été utilisé à l’encontre de la manifestation contre l’islamisme.

    40:25 Coup de chapeau à Valeurs Actuelles dans sa bataille contre Quotidien

    https://www.tvlibertes.com/i-media-n-273-gilets-jaunes-medias-et-extreme-gauche-gachent-lanniversaire

  • Attentat islamiste de Nice : comment continuer à vivre après le massacre ?

    À l’occasion du Congrès international des victimes du terrorisme qui s’ouvre jeudi à Nice, dans le sud de la France, France 24 s’est rendu dans cette ville meurtrie. Le 14 juillet 2016, un attentat au camion bélier y faisait 86 morts, plus de 400 blessés et laissait des milliers de personnes traumatisées.

    Comment surmonter le deuil après un événement aussi traumatique ? Comme vit-on quand on a survécu à un massacre ? Karina Chabour et Audrey Racine ont rencontré des parents qui ont perdu un enfant et des jeunes, témoins de l’attentat.

    À l’occasion du Congrès international des victimes du terrorisme qui s’ouvre jeudi à Nice, dans le sud de la France, France 24 s’est rendu dans cette ville meurtrie. Le 14 juillet 2016, un attentat au camion bélier y faisait 86 morts, plus de 400 blessés et laissait des milliers de personnes traumatisées. Comment surmonter le deuil après un événement aussi traumatique ? Comme vit-on quand on a survécu à un massacre ? Karina Chabour et Audrey Racine ont rencontré des parents qui ont perdu un enfant et des jeunes, témoins de l’attentat. Leur combat pour continuer à vivre est une leçon de courage.

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