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insécurité - Page 678

  • Alba Ventura sur Danièle Obono : « On est entre l’idéologie, la provocation et la bêtise »

    04/10/2017 – FRANCE (NOVOpress) : Ce matin sur RTL, Alba Ventura, d’ordinaire mesurée, s’est livrée à une charge violente contre Danièle Obono, ce député de la France insoumise qui a expliqué qu’un chauffeur de bus qui refuse de prendre le volant derrière une collègue féminine, ce n’est pas de la radicalisation, c’est « seulement du sexisme » :

    « Bien sûr ! Désolé madame Obono, mais le sexisme c’est considérer qu’une femme n’est pas à sa place. L’intégrisme c’est considérer que Dieu vous interdit de toucher une femme, de lui serrer la main ou de vous asseoir là où elle s’est assise, parce que la femme est jugée impure. Dans le cas du chauffeur de bus, il s’agit bien d’un signe évident de radicalisation. Appelons un chat un chat !

    « On a affaire à une spécialiste, a enchaîné AlbaVentura. C’est la même madame Obono qui n’admet pas qu’on lui demande si dire “Vive la France” c’est plus gênant que de dire “Nique la France”. Tenir de tels propos, c’est atterrant, qui plus est de la part d’une députée. On est entre l’idéologie, la provocation et la bêtise. À la France insoumise, ils sont impayables en la matière.

    « Prenez les jeunes députés Adrien Quatennens et Ugo Bernalicis qui parlent de “démocrature” dans le cadre de la loi antiterroriste, autrement dit d’un glissement de la démocratie vers la dictature. Savent-ils ce que c’est une dictature ? On peut désirer très fort que la rue gouverne, sauf que ce n’est pas le cas en démocratie. Là encore que de bêtises. »

    « Aussi haut que Raquel Garrido. La porte-parole du parti de Jean-Luc Mélenchon, devenue chroniqueuse télé, se trouvait samedi 30 septembre au Parc des Prince, sans doute en bonne compagnie, peut-être même invitée par sa chaîne, lorsqu’une tribune s’est effondrée à Amiens. Raquel Garrido a tweeté ceci : “J’ai assisté ce soir au match du PSG, événement qui coûte des millions, tandis qu’à Amiens une tribune s’effondre. Cherchez l’erreur”, écrit-elle. Elle fait donc un parallèle alors qu’elle n’y connait rien. Elle parle sans savoir, en oubliant un peu vite que la chaîne pour laquelle elle travaille, qui a longtemps été la chaîne du foot, brasse aussi des millions. Chez les Insoumis, c’est un sacré défilé d’indignité. » !

    « Ils devraient se tenir oui. Jean-Luc Mélenchon dit des énormités. Il lui arrive de déraper dans l’agressivité. Mais lui, à la différence de ceux sus-cités, a de la densité politique. Il place la République à un autre niveau que ces gens-là. Il ne va pas essayer de trouver des excuses aux intégristes. Nous ne sommes pas sûr qu’il soit toujours en phase avec ses jeunes troupes. »

    « Mais attention. Ils ont parfaitement le droit de penser que le monde est injuste, qu’il faut plus d’impôts pour les riches, que les lois Travail ne sont pas bonnes, qu’il faut nationaliser les banques et qu’il faut une VIe République. C’est ça la démocratie. C’est la fameuse formule de Voltaire : “Je ne suis pas d’accord avec vous, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire”. Seulement il y a une différence entre dire ce que l’on pense et dire n’importe quoi. »

    https://fr.novopress.info/207711/alba-ventura-sur-daniele-obono-on-est-entre-lideologie-la-provocation-et-la-betise/

  • LE VIVRE ENSEMBLE PEUT AUSSI S’AVÉRER MORTEL

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    À Rome, on ne peut plus vivre comme les Romains !

    Chez nous, il y a les drames exceptionnels – quoique de moins en moins –, liés à une certaine diversité culturelle hégémonique, que sont les attentats, mais il y a aussi les drames anonymes, qui ne bénéficient pas de l’attention médiatique et adviennent dans le silence d’une société de plus en plus amorale, sans paraître émouvoir outre mesure ceux qui sont censés protéger les citoyens en danger. Heureusement, il existe Internet, qui peut parfois offrir le meilleur.

    Ainsi une mère de famille a-t-elle appelé au secours sur la Toile, vivant, avec ses quatre filles, « cloîtrées depuis plusieurs jours dans leur appartement des HLM Vernet-Salanque, et terrorisées par une famille de voisins dont quatre frères d’une vingtaine d’années. Derrière leurs volets fermés, la porte d’entrée bloquée par une chaise, elles supplient, en pleurs, que quelqu’un leur vienne en aide et mette un terme à ce quotidien de recluses »(source : Midi libre).

    Comment pareille situation s’est-elle produite et, surtout, pourquoi perdure-t-elle ?

    La réponse à la première question est la suivante : « Tout aurait ainsi débuté en juillet, pour un motif qui reste encore bien flou. Elles auraient subi une première agression physique et auraient déposé plainte » (op. cit.). Quant à la seconde question, elle s’explique par le fait que leurs assaillants – car c’est bien ce qu’ils sont – traitent ces femmes de putes lorsqu’elles sortent en jupe, détruisent leurs voitures, assènent qu’elles n’ont rien à faire dans les parages, que c’est la loi du quartier qui prime, etc. Inutile d’insulter l’intelligence des lecteurs, ils auront compris ! 

    Bien entendu, les conciliantes autorités, lorsqu’il s’agit d’ouailles de cette engeance, ont été alertées mais n’ont pas donné suite. Cette famille en danger a été hébergée un temps dans un foyer mais n’a pu y demeurer car elle ne remplissait pas les conditions, à l’heure où l’État se plie en quatre pour assurer le gîte et le couvert aux migrants. Ou quand à l’amour allogène répond la haine de soi. Résultat de cette honteuse indifférence au sort de ces proies, puisque c’est ainsi qu’on les traite : la fille aînée a tenté de mettre fin à ses jours.

    Le pire, c’est que si cette mère, son frère – habitant à proximité et logé à la même enseigne – ou l’une de ses filles commettaient le grave péché d’autodéfense, un juge complaisant se dresserait sûrement, tel le Commandeur de Don Juan, et prononcerait une sentence implacable. Car à la terreur infligée par une bande de terroristes du quotidien s’ajoute la tyrannie du vivre ensemble, qui s’accommode même des menaces de mort proférées à l’encontre de ces femmes et de coups de feu tirés devant leur domicile. Il sera toujours temps de déplorer officiellement un « incident » au cas, probable, où l’un des harceleurs passerait à l’acte !

    Voilà où nous mènent des années de justifications oiseuses du pire : à Rome, on ne peut plus vivre comme les Romains !

    http://www.bvoltaire.fr/vivre-ensemble-saverer-mortel/

     

  • Islamo-terrorisme : LR veut censurer l'information

    6a00d83451619c69e201bb09ca1e53970d-200wi.jpgBrigitte Kuster, député LR, a déposé une proposition de loi visant à interdire la diffusion du nom de famille et des images des terroristes dans les médias.

    Il ne faudrait en effet pas que les Français sachent et comprennent que l'immigration massive, le laxisme envers les immigrés clandestins souvent délinquants multirécidivistes, est aussi à la source de ce terrorisme qui a tué des centaines de personnes innocentes sur notre sol et qui tuera certainement encore... 

    Ce que Brigitte Kuster et ses amis ne savent visiblement pas, c'est que nous continueront à nous informer à l'étranger, non pas chez les autruches, Suisses ou Romains, qui font semblant de croire que ces musulmans immigrés sont aussi violents que quiconque, parce que cibler une population cépabien, mais dans la presse anglo-saxonne.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L'attentat de Marseille, malheureusement, n'en est qu'un de plus !

    Que dire de l'attentat de Marseille, que nos lecteurs ne sachent déjà, qui n'ait été vu et revu sur toutes les chaînes d'info en continu ? Tout le monde, aujourd'hui sait - ou croit savoir - tout sur tout, tout de suite ! Inutile d'en rajouter.

    Qu'exprimer alors d'important qui ne l'ait déjà été ici ? Nous n'aimons pas tellement les redites logorrhéiques qui ne servent à rien sinon à passer sa colère, son exaltation indignée, son horreur, rafale de points d'exclamation à l'appui. Les sentiments que nous venons de dire, nous les connaissons tous ; ils ne servent pas le Pays au niveau qui convient. En tout cas pas avec le sérieux voulu. Les forces de l'ordre font leur travail avec courage et en grande part avec efficacité. Ce sont elles qui en courent les risques - les plus élevés. Et les assassins ressortent de leurs actions rarement vivants. Comme si, à leur encontre, une sorte de peine de mort, d'exécution immédiate, avait été tacitement et heureusement rétablie.  Nul ne s'en étonne ni ne s'en indigne. Comme jamais, « nécessité fait loi » ! Les militaires de l'opération Sentinelle ont encore abattu le forcené d'hier, Gare Saint-Charles, à Marseille. Ils ont fait ce qu'il y avait à faire. Deux passantes sont mortes qui ne font que s'ajouter à la longue liste des victimes des fous de l'Islam.  Se taire, s'incliner...

    Mais pourquoi ces victimes, celles de Paris, de Nice, de Toulouse, de Levallois-Perret ... hier de Marseille ? A raison de quelles causes, de quelle politique, puisque c'est de cela qu'il s'agit ? Et de quelles responsabilités ? Telle est la vraie question. Depuis les attentats de janvier 2015, il y a presque trois ans, rien de fondamental ne s'est ajouté. Les choses ont continué : les flux migratoires - comme avant et  - comme il était prévisible - les attentats, en France et dans toute l'Europe. Ne s'est ajoutée que la vague supplémentaire des migrants réfugiés, ou prétendus tels. Folie supplémentaire elle aussi, sous le Haut Patronage européen d'Angela Merkel.

    Pourquoi ces victimes ? A raison, à cause de quoi, de qui ? Nous avons répondu à cette question dès janvier 2015 - le 8 - et, après trois ans, nous ne voyons pas grand chose à y changer. Il nous semble avoir, alors, vu et dit l'essentiel.

    Le voici :

    « Quand on laisse entrer chez soi, en un laps de temps relativement court, des millions d’immigrés venus d’un autre continent, nés d’une civilisation radicalement différente, guidés par les mirages d’un niveau de vie que leur misère originelle rend terriblement attrayants et qui n’ont que peu de sens et de respect de ce que sont les mœurs, les lois, les traditions du pays où ils arrivent, quand on en a soi-même largement perdu l’amour et la pratique, il n’y a pas de quoi être étonnés des troubles et des violences qui se produisent inéluctablement. C’est la première réflexion qui nous vient à l’esprit après les événements tragiques d’hier, à Paris. Il y a longtemps, ici, en effet, que nous mettons en garde contre la politique d’immigration de la France, devenue plus périlleuse encore du fait de la crise économique et du laxisme de nos gouvernants. Du fait, aussi, d’un certain nombre de nos erreurs - de graves erreurs - en matière de politique étrangère. Il y a longtemps que nous signalons à quel point notre République vit sur une poudrière et qu’il peut arriver un temps où le travail de nos services de sécurité ne suffira plus à empêcher la multiplication des violences et des attentats. Ce temps est peut-être arrivé et il ne faut pas manquer d’en rechercher les causes, d’en marquer les responsabilités. Certes, tous les musulmans de France ne sont pas des terroristes. Loin de là. Nombre d’entre eux sont probablement en voie d’intégration. Et le réalisme devrait conduire, si nous en sommes capables, à les y aider, à les y encourager. Mais les risques de l’immigration massive demeurent ; elle est un terreau porteur de terribles dangers. Et, en tout cas, tous les terroristes qui menacent aujourd’hui la France le font au nom de l’Islam. »

    Tout esprit censé comprendra qu'il s'agirait aujourd'hui de mettre en place une politique inverse de celle qui a été menée jusqu'ici en matière d'immigration. Et en bien d'autres domaines corrélés, encore : famille, Education, culture, médias. Etc. En bref, il s'agirait en tous domaines essentiels, selon la formule maurrassienne, de « renverser la mécanique de nos malheurs ». 

     Lafautearousseau

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/index-1.html

  • La vérité dangereuse

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    Bernard Plouvier

    Il est évident, pour tout esprit libre de dogme(s), qu’il n’existe pas plus de vérité politique, philosophique ou juridique qu’il n’existe de vérité historique ou religieuse. Toutefois, il existe une vérité factuelle : les faits d’observation forment des évidences et nier ces évidences définit médicalement le délire.

    Fait : le terrorisme mahométan est devenu un risque permanent un peu partout dans le monde et rien ne permet de différentier a priori un fidèle d’allah calme d’un djihadiste en puissance. De même qu’une canaille d’affaires peut un jour décider de ne plus escroquer son prochain, de même qu’il arrive qu’un alcoolique ou un drogué cessent d’être esclaves de leur poison, un homme pieux peut devenir un illuminé, fou de son dieu.

    Un jour peut-être, les « penseurs » comprendront-ils qu’il n’est pire criminel de masse que celui qui impose un dogme où l’extermination des ennemis est présentée comme chose belle et bonne, agréable à la divinité ou à son substitut politique.

    Il arrivera fatalement qu’un historien « révisionniste », versé dans l’exploitation prudente des statistiques modernes et des estimations chiffrées antiques et médiévales, estimera que les religions monothéistes ont été aussi meurtrières que le marxisme qui a endeuillé le XXesiècle.

    Ce ne sera pas une chose aisée à présenter, ni dépourvue de risque judiciaire dans un monde où le milieu politique est prosterné devant les divinités économiques (et le pétrole en est une aussi puissante que la finance cosmopolite dont Wall Street et la City ne sont plus que des bases historiques)… sans même évoquer « l’action directe » dont le courageux auteur pourrait être l’objet de la part de tueurs fanatiques.

    Il est à noter que si notre « État de droit » n’intervient pas souvent pour freiner le délire verbal des imams et ulémas hébergés sur le sol français, toute allusion aux risques que la religion mahométane fait courir aux Français peut être requalifiée « d’appel à la haine » dite « raciale » ou religieuse par un magistrat proche de la mouvance globalo-mondialiste.      

    Fait : les races de chiens, de vaches, de chevaux, etc. existent. Aucun politicien n’a été assez stupide pour légiférer sur ce point ni aucun juriste assez carriériste pour condamner un vétérinaire au titre du racisme canin ou caprin. En revanche, selon la Loi française du régime macronien, il n’existe pas de race humaine, mais « de prétendues races ». Toutefois, il existe un racisme, qu’en bonne logique on devrait dénommer « supposé » ou « présumé » puisque son objet n’existe pas ou plus.

    Parler de races était autrefois un sujet d’anthropologie, pouvant déboucher sur des constatations sociologiques dénommées ethnologie et cela pouvait mener à devenir membre d’une académie ou titulaire d’une chaire d’université. En nos jours de progrès continu des connaissances (et des législations toquées), cela mène à la case prison ou à un « stage de rééducation civique ».

    Fait : l’Europe, où les autochtones les moins certifiés, mais aussi parfois de jeunes diplômés connaissent un chômage massif et de longue durée, n’a nul besoin d’une immigration d’extra-européens dont une grande partie est analphabète (les autorités scandinaves et allemandes l’ont reconnu), dépourvue de toute connaissance professionnelle… sans même parler de la délinquance voire des activités criminelles d’un nombre effarant de jeunes hommes importés, avec la bénédiction pontificale, à la demande de la grande distribution pour accroître ses bénéfices grâce à une consommation en partie parasitaire, alimentée par les contribuables.  

    Présenter cette réalité quotidienne, évoquer la menace d’une substitution de population majoritaire et les risques de guerres de « prétendues races » et de religion au sein de notre continent qui se remet à peine du précédent épisode, mènent au lynchage médiatique et à de ruineux procès. Il est piquant de constater que les Goyim nés bien après 1945 sont contraints de déguster l’évocation de la Shoah matin, midi et soir (voire la nuit pour les plus accrochés) et qu’on ne peut sans risque évoquer l’hypothèse d’un prochain génocide des Européens dans leur propre continent.

    Fait : l’omniprésente corruption, dans les milieux politique, médiatique et administratif. On peut en parler de façon vague, mais citer précisément ses mécanismes, ses institutions, notamment sectaires, les agents corrupteurs mène devant un juge… lui-même pouvant appartenir à un parti, une secte maçonnique ou une tribu corrompue ou corruptrice.    

    Et l’on pourrait multiplier ces vérités factuelles qui sont tellement dérangeantes pour nos véritables maîtres que leur évocation en est devenue périlleuse. Auparavant, l’on disait : « Toute vérité n’est pas bonne à dire ». Il se pourrait bien que dans un avenir pas trop éloigné on en revienne à l’application d’un rituel mongol : le messager porteur de mauvaises nouvelles est exécuté.

    L’histoire le prouve abondamment : une civilisation meurt peu après avoir atteint son apogée. Mais une société où le fait de délirer - c’est-à-dire : nier l’évidence des faits – est institutionnalisé, sanctifié par des lois de circonstances aussi bien que par « l’idole que l’on adore au Vatican » (saluons « Voltaire »), ne peut que s’effondrer sous le poids de sa bêtise, de sa médiocrité, de son absence de référence éthique, comme l’ont fait les sociétés marxistes.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/10/04/la-verite-dangereuse-5986234.html

  • Marine Le Pen présente la « grande loi antiterroriste » que veut le FN

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    Marine Le Pen tenait ce matin une conférence de presse sur la lutte contre le terrorisme et contre l’islamisme, les deux sujets étant évidemment liés. Entourée des députés FN Sébastien Chenu, Gilbert Collard, Bruno Bilde et Ludovic Pajot, la présidente du Front national a présenté la « grande loi antiterroriste » qu’elle appelle de ses vœux, avec procédures et juridictions d’exception.


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    "L'idéologie islamiste est une idéologie politico-religieuse qui a programmé notre asservissement et nous fait la guerre." 

    https://fr.novopress.info/207645/marine-le-pen-presente-grande-loi-antiterroriste-que-veut-le-fn/

  • RETOUR DES DJIHADISTES DE SYRIE : RACHIDA DATI PRÔNE UNE SOLUTION RADICALE

    Interrogée par Nice-Matin, lors de la Conférence des maires des villes d’Europe et de la Méditerranée qui se tenait à Nice le 30 septembre, sur les moyens d’empêcher les djihadistes de retour de Syrie de frapper sur le territoire français, Rachida Dati a déclaré : « Ceux qui veulent partir en Syrie ou en Irak, non seulement on devrait les laisser partir, mais surtout les empêcher de revenir par tous les moyens dont nous disposons. »

    Il semble qu’elle ait ainsi renoué avec la fougue qui lui avait valu, en 2007, de devenir la porte-parole de Nicolas Sarkozy.

    Sur les plateaux télé, ses cheveux d’un noir de jais, son regard de braise et son sourire éclatant, mis en valeur par la chemise bleu ciel qu’elle arborait alors, sont restés dans les mémoires.

    Elle avait conquis, par sa fermeté de ton, cette partie de l’électorat frontiste que Sarkozy avait décidé de séduire, ce qui lui assura la victoire à la présidentielle quelques mois plus tard.

    Plus tard, Garde des Sceaux chargé de réduire le budget de la Justice et de fermer de très nombreux tribunaux, et aux prises avec une vie privée compliquée, elle fut moins appréciée.
    Avec ses collègues LR, ses relations ne sont pas toujours au beau fixe non plus. Très attachée au très droitier VII e arrondissement de Paris dont elle est maire, elle a agi contre la candidature de NKM à la 2e circonscription de Paris proposée par Fillon en remerciement du ralliement de celle-ci à sa candidature lors du second tour des primaires, et n’aurait pas hésité – aux dires de certains – à fournir au Canard enchaîné des éléments accablant Fillon…

    Nicolas Sarkozy, juste avant l’élection du président de LR, veut-il la faire monter au créneau afin qu’elle ait une place de choix dans le futur organigramme du parti ? Ou a-t-elle choisi d’elle-même de revenir sur la scène nationale, elle qui avoue ne guère s’intéresser à l’Europe ? (« L’Union européenne, elle s’occupe… de ce qu’on lui donne à s’occuper », avait-elle répondu à un journaliste qui l’interrogeait sur son mandat au Parlement européen.)

    Choqués et terrifiés par l’assassinat, le 1er octobre dans la gare de Marseille, de deux très jeunes filles selon des modalités atroces (égorgement de l’une, éventrement de l’autre) qui rappelle les heures sombres du FLN ou du GIA, les Français lui seront en tout cas reconnaissants d’avoir dit et redit – notamment face à Jean-Jacques Bourdin le 2 octobre – ce qu’ils pensent eux-mêmes dans leur grande majorité : « Ceux qui veulent partir en Syrie ou en Irak, non seulement on devrait les laisser partir, mais surtout les empêcher de revenir par tous les moyens dont nous disposons, je dis bien tous les moyens. »

    Y compris au moyen d’exécutions ciblées par des drones ? Oui, car elle ajoute : « Obama est celui qui a signé le plus d’autorisations d’élimination des terroristes sur les terrains de guerre, notamment par drone. »

    Et ils ne pourront qu’être d’accord sur la conclusion de son interview : « On ne peut plus accepter qu’un pays tout entier puisse être tenu en joue par des individus déterminés qui n’ont rien à perdre. »

    Nous sommes en effet tous très exactement « tenus en joue » à chaque minute comme dans les pires scénarios de film d’horreur.

    Et qui est plus « déterminé » que des jeunes gens de 20 ans décidés à mourir ?

    Et quelles sanctions possibles contre ceux « qui n’ont rien à perdre » ? Aucune.

    Qu’ils trouvent la mort à la guerre qu’ils ont choisi de mener est sans doute la seule solution pour éviter qu’ils ne viennent se la donner ici en venant « égorger jusque dans nos bras nos fils, nos compagnes ».

    http://www.bvoltaire.fr/retour-djihadistes-de-syrie-rachida-dati-prone-solution-radicale/

  • Terrorisme / Marseille : chronique d’un échec - Journal du Mercredi 04 Octobre 2017

  • Islamistes à la RATP : l’auteur de Mahomet au volant répond à Danièle Obono

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    RATP-Chauffeurs-de-bus-238x350.jpgGhislaine Dumesnil, conductrice de bus à la RATP jusqu’en 2015, a raconté dans son livre Mahomet au volant, la charia au tournant (éditions de Riposte laïque) les avancées affolantes du communautarisme islamiste au sein de la RATP, entreprise publique qui emploie le plus grand nombre de fichés « S » et où les barbus imposent de plus en plus la loi coranique.

     Vous avez bondi en entendant la députée de La France insoumise Danièle Obono affirmer que le comportement d’un chauffeur de bus qui refuse de conduire un bus après une femme ne relève pas de la radicalisation islamiste mais d’un simple sexisme ?

    — Soit elle ne connaît pas le sujet dont elle parle, ce qui est embêtant pour une députée qui prétend défendre l’intérêt des Français. Soit elle cherche à disculper l’islam, ce qui est à mon avis beaucoup plus grave et revient à nier totalement la réalité de la situation. C’est le nouveau « négationnisme ». Pour moi elle sait très bien ce qui se passe et elle est complice.

    8958-20171004.jpg[…] Danièle Obono feint de se demander si lorsqu’un conducteur de bus refuse de prendre le volant après une femme, c’est sexiste ou religieux. Elle est de mauvaise foi. Et parfaitement complice. Je rappelle à Mme Obono que Samy Amimour, l’un des tueurs islamistes du Bataclan, qui avait travaillé à la RATP, s’était fait remarquer par son refus de travailler avec des femmes. On a vu comment ça a fini.

    — Avez-vous des exemples personnels et vécus de la période (de 1999 à 2015) où vous étiez machiniste RATP ?

    — L’exemple le plus choquant et qui était quotidien, c’était le refus de saluer les femmes. C’est quelque chose de très perturbant et d’humiliant.

    Je peux donner à Danièle Obono des dizaines de noms de musulmans qui refusaient de nous parler, de nous regarder dans les yeux et de nous serrer la main, au sein de l’entreprise publique de la RATP parce que nous étions des femmes.

    Et je la mets au défi de trouver un seul chauffeur de bus non musulman qui aurait eu la même attitude avec les femmes (avec toutes les femmes) par « sexisme ». Jamais elle ne trouvera une seule affaire de ce type ! Ça n’existe pas. Qu’elle nous en cite une seule avec le lieu et la date.

    Dès 2006 circulait à la RATP un tract édité par un syndicat des cadres qui citait le cas de conducteurs de bus qui refusaient de travailler avec des femmes et de conduire le bus après elles, lors de la relève suivante. Ce syndicat appelait la direction générale au secours et demandait – avec de nombreuses précautions verbales déjà – que soit mis un terme à ces pratiques. Sans jamais pointer du doigt les musulmans bien sûr mais tout le monde avait compris de quelle religion il s’agissait car tout le monde la vivait chaque jour.

    L’attitude que ces musulmans radicalisés ont vis-à-vis de leurs collègues féminines ils l’ont aussi avec leurs usagers quand ce sont des femmes. Je me souviens d’une cliente qui était venue me voir au moment ou je reprenais mon service et qui m’avait dit : « Madame, le chauffeur qui était avant vous dans ce bus n’a jamais voulu me répondre ni me vendre un ticket. » Les barbus ont également cette attitude avec leur hiérarchie si elle est féminine. […]

    — Pouvez-vous nous rappeler l’histoire surréaliste des gobelets de café ?

    — Les gens ont du mal à l’imaginer peut-être mais je me souviens qu’il y avait des gobelets en plastique partout dans les toilettes et sur les lavabos. Les musulmans allaient jusqu’à boucher les toilettes avec ces gobelets qui servaient à purifier leur sexe avant d’aller se prosterner, car ils voulaient obtenir une douchette pour leurs ablutions avant la prière coranique. C’était leur revendication. Ils voulaient faire plier la direction.

    Quand on parle du grand remplacement, c’est exactement ce que j’ai vécu à la RATP. Je l’ai vécu dans ma banlieue française et dans mon entreprise publique. J’ai dû quitter mon quartier parce qu’il n’était plus possible d’y vivre et j’ai dû quitter la RATP parce qu’il n’était plus possible d’y travailler.

    C’est une petite France la RATP. Il y avait de tout comme chauffeurs mais c’était homogène, des fils d’instituteurs, des fils d’ouvriers, des gens très culturellement de gauche et très syndiqués mais c’était très convivial et familial. Tout a volé en éclat. C’est la charia qui règne et on y parle en arabe. L’islam c’est vraiment un bon moyen de faire exploser une société. […]

    Propos recueillis par Caroline Parmentier

    Extraits d’un entretien paru dans Présent daté du 4 octobre 2017

    https://fr.novopress.info/