Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

insécurité - Page 674

  • Du pizzagate au pédogate ?

    Le pizzagate  ne fait que commencer mais déjà s'affole le Système, du moins sa croûte d'élites moribondes. Nous savons de quel procédé principal ces dernières se servent afin de contenir au maximum la diffusion de la vérité qu'elles appellent confortablement « théories du complot ». En effet, dès qu'une parcelle de réalité est soumise à la lumière qui éclaire leur culpabilité, les élites parlent automatiquement, comme des robots, de « théories du complot ». Pour que ce procédé perdure, garde une partie importante de son efficacité, de son efficience, il faut cependant qu'il désigne encore et toujours un magma indéfini d'idées, de croyances, de fantasmes, d'inventions, d'absurdités diverses ou de choses indémontrables mélangés avec des faits indubitables, circonstanciés, prouvés, illustrés. La technique consiste à mettre sur le même plan les délires (souvent créés par le Système) et la terrible réalité qui incrimine d'une façon implacable un nombre considérable de Zélés au pouvoir. Les faits les plus dangereux (pour les élites) sont actuellement diffusés de plus en plus intensément sur Internet (mais l’information qui circule repose sur des faits véritables, des arrestations, des déclarations officielles, des photos authentiques, des viols, des toitures, des décès inquiétants et des disparitions mystérieuses notamment). Nous avons évoqué à maintes reprises cette façon d'amalgamer volontairement tout et n'importe quoi pour discréditer l’information véritable, la démonétiser en la mettant de force en contact avec des imbécillités créées de toutes pièces.

    La raillerie du "conspirationnisme"

    Et quand une partie de la population commence à faire le tri entre le bon grain et l'ivraie, à mettre de côté d'un revers de main les crétineries sur les aliens et les fantômes, pour se saisir en adultes des vrais sujets, des vraies questions, des vrais enjeux, pour s'intéresser honnêtement et calmement aux affaires qui concernent la vie de milliers d'enfants et de millions d'âmes, les élites rances macérant dans ce qui désormais saute aux yeux (de ceux qui veulent voir) interviennent pour railler les conspirationnistes. Ironie de l'histoire, parfois les plus grands conspirationnistes, non perçus comme tels grâce à un cachet de sérieux, sont, en fins stratèges, les conspirateurs eux-mêmes et les plus noirs d'entre eux. C'est le cas de l'épouvantable John Podesta (ancien chef de campagne de Hillary Clinton lors des dernières présidentielles américaines) qui passait pour un spécialiste des aliens aux États-Unis avant de travailler en première ligne pour le Parti démocrate. Aujourd'hui confondu dans son milieu de tarés, soupçonné d'avoir perpétré des horreurs, Podesta se débat dans tous les sens et, comme par hasard, reparle des petits hommes verts sur son Twitter à l'occasion de la découverte des planètes qui seraient potententiellement "habitables" du fait de la présence d'eau sur leur sol (ils nous prennent vraiment pour des buses avec leur odyssée de l'espace). Pour une foi, le petit démon aimerait bien que l’on ne regarde pas son doigt (tordu) mais la lune.

    Etrangement, alors que les chercheurs de vérité se fichent actuellement comme de leur première souris, de leur espace intersidéral, de leurs fusées et même du côté invisible de l'astre mort, le spationaute français qui parle de mots croisés du haut de sa cabine ou carrément de football en se filmant, vient de se moquer des conspirationnistes du haut de son ISS. Du grand spectacle à la Patrick Sébastien, mais dans l'espace ! Dernière facétie de Thomas Pesquet en train de flotter dans son néant ? Un selfie pour dire na ! Aux complotistes. À tous les complotistes, écrivent les journaux, complotistes qui seraient tous des fous paranoïaques comme le démontrerait sa photo de lui, dans son scaphandre qui lui sied à ravir. Qui est le plus ridicule dans cette affaire ? L'internaute derrière son ordinateur ou un astronaute coûtant des milliards d'euros à la France et qui se fiche du pauvre premier dans son ISS rutilant ? Il faut vraiment que les élites putréfiées soient aux abois pour profiter de l'espace et d'un cosmonaute (véritable gabegie) qui fait des coucous de débile mental dans le noir de son univers pour faire la nique aux "jaloux". Après Bergoglio, Pesquet ! Bientôt ils feront parler l'hologramme de Mélenchon, ou l'esprit tout-puissant de Nelson Mandela par l'entremise de Paco Rabane qui signerait par là son retour. Soyons sérieux. Encore un effort et leur homme de l'espace dont on se moque éperdument lancera une fatwa contre les chercheurs de vérité qui s'intéressent à autre chose qu'à sa pomme de gros fayot.

    Les enquêteurs se moquent des railleries

    Pour l'instant, la nouvelle présidence américaine, le FBI et les services de sécurité intérieure ne perdent pas de temps avec l'anticonspirationnisme , ils travaillent et sauvent des enfants sans faire beaucoup de seines, il est vrai. Podesta a, lui aussi, fini par le comprendre et s'est résolu à accepter une interview politique. Jamais, nonobstant, il ne put expliquer le nombre invraisemblable d'anomalies, les photos, les courriels très étranges, les liens avec des pédocriminels notoires mis en avant pas Wikileaks et les internautes. Tout cela, il n'en parle pas mais préfère axer sa défense sur le rôle supposé de « quelques éléments du FBI » dans cette affaire qui n'aurait servi qu'à ruiner la campagne de Hillary Clinton. Un fou furieux imaginant échapper à son sort en mettant en exergue les intentions du FBI en faisant mine d'oublier que les moyens pour les battre, lui et toute son équipe, sa patronne et ses proches, ne sont pas immoraux mais bien au contraire immensément salvateurs. Les moyens et la fin ne peuvent être opposés ici.

    Le dévoilement progressif de l’immonde est un bien, et un moyen de tendre davantage vers le Sien, Podesta proteste : c'est, de la triche ! Ses adversaires ont parié de cruautés mais les règles du jeu l'interdisaient, et il enrage ! Que cette engeance, ou plutôt cette génération de sadiques soit sacrifiée, qui s'en plaindra pourtant ? D'aucuns pensent cependant que tous ces démons vont s'en sortir et poursuivront leurs activités criminelles en renforçant leurs protections et après avoir colmaté les brèches. L'argent et les réseaux prendront le dessus sur la justice. Cette hypothèse semble, heureusement, de plus en plus hasardeuse, quelques faits récents témoignant objectivement de l'abandon des plus importants soutiens qui portaient Podesta et ses sbires.

    Des vedettes écoeurrées

    Nous ne parlons pas du célèbre acteur hollywoodien, James Woods, qui s'en est pris sans gant à ce vampire de Podesta (quelques jours après avoir fait scandale au Bataclan, mais c’est une autre histoire) en lui promettant l'enfer « Mets de la sauce à la noix sur ta pizza et ferme-la ! Tu as de la chance de ne pas être encore en prison ! J'ai dit encore... ». Nous ne voulons pas non plus parler du jeune acteur Ashton Kutcher qui dénonce depuis des mois, à l'instar d'Elijah Wood du Seigneur des anneaux, l'horreur pédomane au sein d'Hollywood après avoir mentionné le Pizzagate.

    Depuis quelques années, de nombreux acteurs, plus ou moins à succès, dénoncent les viols, les humiliations et les tortures non seulement dans le monde du cinéma mais aussi dans celui des riches et des puissants d'une manière générale. L'observateur aura repéré cette pression croissante exercée par la cohorte toujours plus nombreuse des artistes encore debout sur les pouvoirs publics pour qu'elles enquêtent véritablement. Face à cette rébellion, le clan richissime des pourris a opéré ces derniers temps une véritable fuite en avant, multipliant les outrances, les provocations sataniques et précisément (cela est démontré) pédosataniques. On ne compte plus les clips subversifs des K. Perry, des Miley Cyrus, des Lady Gaga, qui s'amusent avec les symboles phalliques et s'habillent avec des parts de pizza. Avant le déclenchement du Pizzagate, on n'y comprenait rien, on ne saisissait pas le message derrière cette esthétique douteuse.

    Demain, ces pourritures feigneront de ne rien y comprendre, évoqueront la mode du moment pour sortir du bourbier, répondre aux accusations que les Américains formuleront à leur encontre. Ça va chauffer dans le foyer de l'Oncle Sam dans les mois et les années qui viennent. L'un des plus gros indices du changement de "climat" est la prise de distance brutale de la milliardaire Lynn de Rothschild à l'égard de la clique de Washington. Elle qui fut un soutien de Podesta déclara la semaine dernière qu'il n'était qu'un perdant, un minable, un "loser" (le pire adjectif qui peut sortir de la bouche d'un Rothschild), bref, qu'elle ne voulait plus en entendre parler. Même la famille Rothschild prend désormais ses précautions en se désolidarisant de celui qui pourrait peut-être servir de bouc émissaire aux autres tarés, protagonistes de ce qu'il faut désormais appeler le Pédogate. Les Rothschild lâchaient publiquement Podesta le 22 février.

    Donald Trump parle publiquement des trafics humains

    Le 23 février, le lendemain, Donald Trump faisait une déclaration formidable (la vidéo est sur Youtube) sur les nouvelles enquêtes qui ont débuté sur les trafics d'êtres humains. Sur le volet pédosatanique, il a annoncé une enquête fédérale sur les réseaux pédomanes et il a promis d'aider à mettre fin « aux horribles, vraiment horribles crimes qui se produisent ». Aussi a-t-il ordonné « au Département de la Justice, au Département de la Sécurité intérieure et à d'autres organismes fédéraux d'affecter plus de ressources et de personnel à l'enquête ». L'enquête, a-t-il déclaré devant un parterre de journalistes, « s'est largement intensifiée au cours des quatre dernières semaines », depuis le début de sa présidence. Il est évident que de tels propos annoncent une nouvelle vague d'arrestations. Une nouvelle vague, disons-nous, car, déjà, plusieurs centaines d'arrestations ont été accomplies aux États-Unis depuis la prise de fonction de Donald Trump. Il n'est pas facile de connaître ces informations, ici, les gros média préférant informer les Français sur la guerre des toilettes transgenres aux États-Unis plutôt que des enquêtes concernant les trafics d'êtres humains. Certainement une position éditoriale relevant d'une grande pudeur... Des enfants sont libérés, des enfants sont sauvés, d'autres sont découverts ravagés par les sévices, mais la pudeur de Libération, du Monde, de Canal+, de L'Obs oblige les journalistes sensibles et si professionnels à ne pas parler de ces horreurs. C'est du grand, du très grand professionnalisme, on n'a jamais vu plus pros.

    Dévoilement aux États-Unis et ailleurs

    Alors qu'en 2015, les soupçons de pédocriminalité à propos de l'ancien Premier ministre Edward Heath (1970-1974) étaient relayés par le journal de référence, les nouvelles révélations sur l'énergumène (plus monstrueuses encore) mort en 2005 n'ont pas fait l'objet d'articles particulier dans le quotidien de Pierre Bergé… Les autorités anglaises évoquent pourtant la mort d'au moins 16 enfants. Toujours, en Angleterre (en plein pédogate), après les révélations officielles faites sur le comédien ami de tous les puissants Jimmy Savile (qui fournissait, en chair fraîche Edward Heath), l'ancien Grand maître franc-maçon Alan Wright a, été pris, la semaine dernière, en flagrant délit « de corruption de mineur ». Nous n'en savons pas davantage sur ce dernier point.

    D'autres énormes enquêtes sont menées actuellement en Australie, au Canada, au Japon, dans les pays Scandinaves... Mais l'épicentre de cette guerre contre tous ces tarés est bel et bien l'Amérique, même si les secousses sont ressenties partout dans le monde. Et d'aucuns se demandent si les arrestations des frères Katsiantonis ne sont pas en rapport avec cette guerre.

    À Détroit, 22 personnes ont été arrêtées et deux enfants sauvés. En Californie, 474 personnes ont été arrêtées ! À Memphis, 46 personnes ont été arrêtées. En Virginie, 11; dans l’Illinois 108; en Pennsylvanie 5. À Haïti, un énorme réseau a été démantelé. Il y a moins de trois semaines, le Département de la Sécurité intérieure des États-Unis (DHS) a publié un nouveau spot pour une campagne sur la lutte contre le trafic d'êtres humains avec des références évidentes avec ce que l'on appelle le Pizzagate (les officiels n'utilisent pas ce terme). La vidéo pédagogique présente un grand nombre de symboles utilisés par les pédosatanistes et les trafiquants, comme ces pizzerias décorées de spirales bleues, comme la combinaison des cœurs bleu et rose, comme le dessin d'un papillon formé de deux cœurs rose et bleu, et d'autres. Le message du DHS est limpide : il exhorte les citoyens à mener l'enquête partout. Four qu'un jour cessent ces cruautés perpétrées en quantité industrielle.

    François-Xavier Rochette Rivarol du 2 mars 2017

  • Orly : nouvelle preuve d’inefficacité - Journal du lundi 20 mars 2017

  • Attentat au FMI à Paris : la piste de l'ultra-gauche

    Et oui ce n'est pas un coup de l'extrême-droite :

    "Après l’explosion d’un courrier piégé dans les locaux du Fonds monétaire international à Paris, jeudi 16 mars en fin de matinée, l’enquête « s’oriente » vers la piste de l’ultragauche grecque [...]Un lien a été rapidement fait avec un autre acte du même type, commis à Berlin, mercredi 15 mars et revendiqué jeudi au matin par le groupe anarchiste grec nommé « Conspiration des cellules de feu ». Un plan baptisé du nom de « Nemesis » (« justice » en grec). [...]

    La Conspiration des cellules de feu est un groupuscule relativement connu des services de police européens. Apparu en 2008, il s’inscrit dans la mouvance anarchiste et d’extrême gauche toujours active en Grèce. Il a depuis été à l’origine de plusieurs actions violentes, notamment contre la résidence d’un procureur en 2009, contre le tribunal de Salonique ou encore contre le Parlement grec, en 2010. [...]"

    Qu'en pensent nos nombreux candidats d'extrême-gauche à la présidentielle ?

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Deux personnes égorgées à Paris

    Lu sur France Soir :

    "Deux personnes ont été découvertes égorgées ce vendredi 17 dans la matinée dans la cour d'un immeuble du XIe arrondissement de la capitale, rue de Montreuil.

    Un homme a déjà été arrêté, a priori très rapidement après son passage à l'acte pésumé. Celui-ci est ainsi soupçonné d'être l'auteur de cet horrible double homicide, perpétré à coups d'arme blanche. Les victimes auraient reçu des coups de couteau directement dans la carotide, l'une des principales artères du corps humain, selon LCI qui en premier a relaté les faits.

    Le mobile des faits n'est pas encore connu, mais la piste familiale est largement privilégiée. Les deux victimes sont le père et le frère de la personne arrêtée. Ces informations restaient encore, à ce stade vendredi en milieu de journée, en attente de confirmation par les autorités. Le Figaro, citant une source policière, avance pour sa part que le suspect aurait crié "Allah Akbar!" au moment de trancher la gorge aux membres de sa famille."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Policier condamné, tapis rouge au dictateur islamique : deux fautes lourdes du Système en deux jours.

    Ile-de-France : des policiers dans la rue contre la condamnation de Damien Saboundjian

    La semaine dernière :

    I. D'abord, on a appris que Damien Saboundjian - le policier qui avait tué un braqueur en cavale (Amine Bentounsi) - venait d'être condamné à cinq ans de prison (avec sursis tout de même). Ce policier avait été acquitté, sa condamnation intervient en appel. 

    On ignore si le gouvernement va se pourvoir en cassation. Pour l'instant, entre le braqueur en cavale et ledit gouvernement, le Système ne fait rien, ne dit rien, ne protège pas « son » policier » ; donc, concrètement, préfère la racaille à la police ! Et qu'on ne vienne pas nous parler de justice indépendante. Lorsqu'un gouvernement qui se respecte prétend assurer « la sécurité des biens et des personnes », il prend les lois et règlements qu'il faut pour protéger d'abord ceux qui protègent la société. Acquitté, Damien Saboundjian a déjà été jugé, ce qui est une erreur. Car, à partir du moment où un délinquant armé s'évade, il est dangereux, et, poursuivi, il peut faire feu à tout moment, quinze secondes avant ou quinze secondes après, et tuer un ou plusieurs policiers. Damien Saboundjian a donc bien fait de le mettre hors d'état de nuire. Il devrait être protégé par la présomption de légitime défense. Il est certainement triste que la mise hors d'état de nuire du malfrat se soit faite par la mort de celui-ci, mais entre la mort d'un délinquant et celle d'un policier, notre choix est fait. Celui du Système, aussi, semble-t-il. Mais un système contre « sa » police, l'expérience montre que cela ne dure pas très longtemps. Un haut responsable du syndicat Alliance l'a d'ailleurs dit très clairement, à la télé : cette annonce est un signal fort donné aux policiers, qui vont se dire que, dorénavant, il vaudra mieux, pour eux, regarder ailleurs. Au moins c'est franc, c'est dit...

    Quoi qu'il en soit, la horde entourant les Bentounsi a hurlé de joie et de slogans haineux à l'énoncé du verdict infâme : elle - et tous les délinquants dont regorge maintenant notre douce France - a très bien compris le message !

    Tant que la « justice » (?) enverra des signaux forts comme celui-ci aux délinquants (vous pouvez y aller !) les hordes ne cesseront de se renforcer : jusqu'où ?...

    II. Ensuite on a eu « l’affaire du ministre Erdogan » : Erdogan est un dictateur islamique, un danger pour la paix. Il veut tous les pouvoirs. Cela le regarde, lui et son peuple. Il a envoyé un « petit télégraphiste » rameuter les communautés turques de Hollande et de France. La Hollande a eu bien raison d'empêcher son ministre de venir parler chez elle à la communauté turque, pour faire campagne en faveur du prochain référendum turc.

    Erdogan a réagi en traitant les Hollandais de fascistes et nazis ! La France, par contre, ou, du moins, le Système, a eu tort de laisser le ministre pro Erdogan venir faire son sale boulot, sa sale propagande, chez nous, à Metz.

    Il faut choisir son camp. Toujours, en toutes circonstances.

    Laisser condamner un policier qui défend la Société ; laisser un pro-dictateur islamique faire librement sa propagande chez nous : notre Système a, très clairement, choisi. 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • "Affaire Méric" : les patriotes bientôt au tribunal

    2004635412.jpg

    Quatre ans après les faits, à savoir l'agression commise par une bande de nervis gauchistes contre des jeunes patriotes à Paris en juin 2013, l'affaire revient sur le devant de l'actualité. Estéban, victime du déchainement de la presse aux ordres et de la bien-pensance institutionnalisée, et trois de ses amis, vont bientôt être jugés.

    Rappelons que ce jeune, qualifié de skin par la presse, a déjà passé quinze mois en prison. Clément Méric, l'un des agresseurs "antifas", conditionnés par la police de la pensée, est décédé en tombant accidentellement sur un poteau. Voilà où mène le bourrage de crâne des médias "politiquement corrects".

    Nous vous tiendrons informés de la suite des événements et nous renouvelons notre entière solidarité avec nos camarades victimes de la répression du Système.

    Retour sur l'affaire cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Trump avait bien raison sur la Suède

    « Regardez ce qui s'est passé la nuit dernière (vendredi 17 février, NDLR) en Suède. La Suède ! Qui pourrait le croire ! la Suède ! Ils les ont accueillis en grand nombre, ils ont des problèmes qu'ils ne pensaient pas possibles ». Prononcée devant 3 à 4 000 fidèles rassemblés dans un hangar de Melbourne en Floride la phrase indicible de Trump a déclenché, d'un bout à l'autre de la planète les sarcasmes des média enchaînés contre ses "bobardsTrump invente un attentat en Suède » ricane La Croix avec des centaines d'autres canards.

    Karl Bild, habitué du Bilderberg, ancien Premier ministre Suédois, ancien délégué des Nations Unies en Bosnie, archétype de la droite la plus bête du monde twite aussitôt : « La Suède ? Un attentat ? Qu'est-ce qu'il a fumé ? ».

    Le Monde fantasme « Trump invente un attentat en Suède : le président des Etats-Unis a expliqué devant ses partisans qu'il était dangereux d'accueillir des réfugiés. Il a étayé ses propos en sous-entendant que la Suède, pays particulièrement accueillant, avait subi un attentat la veille au soir ». On voit bien qui ment et affabule nulle part Trump ne fait état d'attentat, de massacre ou de fusillade. Il dit simplement qu'il s'est passé quelque chose en Suède. Immédiatement tous les journaux du monde interrogent les porte-parole de la police, les responsables politiques et des journalistes du Système. Tous s'empressent d'affirmer qu'il ne s'est rien passé « hier soir » en Suède. En fait la seule erreur de Trump est d'avoir donné une date. Il se passe des incidents, tous les soirs, dans un grand nombre de quartiers des villes de Suède qui possèdent elles aussi leurs zones de non-droit - dénoncées par la bureaucratie et les média dominants comme inexistants, affabules par les idéologies racistes qui prétendent que les pompiers n'y entrent pas sans escorte policière et les policiers s'y font agresser.

    Tous les journaux qui se sont attaqués à Trump dans cette affaire et l'ont copieusement insulté pour avoir, prétendaient-ils, « inventé un attentat », ont cité une interview de Fox News. Tucker Carleson, journaliste très connu de la chaîne pour ses idées "conservatrices" - ce qui signifie dans le langage du Huffington Post, du New York Times ou du Washington Post qu'il privilégie les « faits alternatifs » ou la désinformation - avait invité un reporter du New York Times, Juif, sioniste convaincu ayant fait une partie de ses études en Israël, Ami Horowitz. Deux jours avant l'intervention de Trump, il expliqua donc qu'il s'était rendu en décembre en Suède afin de vérifier la réalité de ces territoires contrôlés par les immigrés, qu'il avait été interdit de tournage, menacé, insulté, tabassé dans la banlieue de Stockholm de Husby où se trouve implantée une forte communauté musulmane en provenance de l'Erythrée, de l'Afghanistan et de l'Irak. En août 2013 y éclatèrent des émeutes raciales. 129 automobiles y furent brûlées, des garages incendiés, de violentes échauffourées opposèrent immigrés et police.

    Or les propos de Horowitz furent contestés par les média, la classe politique et même la police, prétendant que tout se passait magnifiquement bien en Suède et que les immigrés s'assimilaient parfaitement. Il existe cependant sur Internet d'innombrables vidéos et cassettes audio qui montrent le degré de violence dans lequel ce pays a sombré depuis que l'immigration de masse a été instaurée, les frontières ouvertes à la migration islamique et les forces de l'ordre et la justice ont pour consigne impérative de prendre systématiquement la défense des populations en déshérence nouvellement arrivées.

    Un islamiste forcené

    Le Figaro titre « Donald Trump a sans doute inventé un attentat en Suède en regardant la Fox ». C'est le site Internet Vox.com qui est à l'origine de ce bobard médiatique. Vox a été créé par un ancien éditorialiste du quotidien gauchiste Washington Post, Ezra Klein, juif originaire du Brésil, qui à toujours évolué à l'extrême gauche du Parti Démocrate. C'est là que se situe Vox.com. En l'occurrence il diffusa ce qu'il présenta comme une intox « Si vous passez un peu de temps sur les sites extrémistes et islamophobes il y a une histoire très claire autour de la Suède: le nombre de viols de Suédoises par des immigrés musulmans aurait augmenté de façon considérable ». Prétendant que l'histoire avait été inventée par Breitbart.com « dirigé par le conseiller spécial de Trump », Steven Bannon, bien que celui-ci ait démissionné de son poste il y a plus de 7 mois. L'article explique que le commentateur de télévision Tucker Carlson, de la Fox (« Chaîne conservatrice ») « interviewait le journaliste du New York Times Ami Horowitz, lequel avait affirmé que "depuis le début de la crise des réfugiés, la Suède avait enregistré une hausse du nombre de viols et de violences par armes à feu"». Evidemment Vox.com est bien informé. Les viols imputés aux migrants sont inventés, il le sait. Il a ses sources. Par exemple le Globe&-Mail, quotidien canadien de référence, propriété des milliardaires Barons Thomson of Fket. Le directeur de l'édition britannique du G&M, Doug Saunders, est un solide islamophile modèle coranique. Il est d'ailleurs l'auteur d'un livre intitulé : « Le mythe de la marée islamique » dans lequel il soutient que « la démographie musulmane ne pose aucun problème aux pays dans lesquels les musulmans s'installent ». Que « les immigrants venus des pays islamiques ne risquent pas de nous submerger ». Qu'ils « ne deviendront jamais une majorité en Europe ». Qu'ils « ne seront jamais un groupe culturel d'étrangers dominants aux Etats-Unis ». Qu'en « Occident ils n'auront jamais les comportements arriérés qu'on leur connaît au Pakistan ou au Moyen Orient ». Certes « en Amérique ils feront passer leur religion avant leur pays. Mais cela ne sera pas plus un problème que pour les Chrétiens ». Face à ceux qui assurent que « les musulmans pauvres déferlent de régions surpeuplées vers l'Europe », Saunders conteste que ces légions soient surpeuplées. Il nie absolument que « les immigrants musulmans détestent les sociétés dans lesquelles ils s'installent ». Ou « qu'ils soutiennent le terrorisme ». Il reconnaît « qu'ils sont devenus si nombreux en Grande-Bretagne, que le prénom le plus répandu pour un nouveau né est Mohammed ». Mais ne considère pas que cela soit un problème.

    C'est donc le même théoricien qui conteste qu'il y ait quelque augmentation des violences en Suède depuis le début de la vague d'immigrants musulmans. En particulier dans le domaine des violences sexuelles où l'envolée spectaculaire des statistiques est aussitôt minimisée par les islamophiles et par les sociologues. L'ennui est que même la réalité des chiffres, aisément vérifiable sur Internet - au risque de passer pour complotiste - dit tout le contraire et donne raison àTrump.

    Les jeunes somaliens de Stockholm donnent raison à Trump

    En 2016 les crimes contre les personnes ont augmenté de 275 000 soit 7 %. Mais les experts disent que ces données n'ont pas de valeur et qu'il faut calculer sur des périodes de 10 à 20 ans. Soit : prenons les viols qui en 2016 ont augmenté de 13 % pour atteindre 6 560 (On imagine sans peine qu'il y a plus de Suédoises blanches violées par des Somaliens que de femmes somaliennes violées par des Blancs.). En 2014 on comptait 6700 viols. Mais 5920 (-12 % en 2015). Sauf que, au cours de la dernière décennie, entre 2006 et 2016, les viols sont passés de 4208 à 6560 annuellement. C'est là qu'interviennent nos providentiels experts afin de démontrer que l'implosion des migrants musulmans - dont par ailleurs les mêmes nous expliquent qu'il est normal qu'il y ait plus de violeurs parmi eux parce qu'ils sont jeunes, célibataires et sans le sou, n'est pas la cause de cette croissance exponentielle des violences. C'est parce que de nouvelles lois ont entretemps élargi la définition du viol. Et c'est la même raison qui expliquerait la multiplication des agressions sexuelles qui au cours de la même période ont crû de 20 % - passant de 8 840 à 10 500, alors qu'en 2014 elles atteignaient 9 640.

    « En 2016, nous explique-t-on, il y a eu énormément de débats sur les attaques sexuelles et sur les attaques sexuelles et l'immigration. Nous avons appris grâce à la recherche que, dans ces années où il y a plus de débats sur ces sujets, le nombre de crimes déclarés augmente ». C'est simple. Il suffisait d'y penser. Ce n'est pas qu'il y a plus de viols. C'est que les victimes pensent à les déclarer.

    Au cours du même entretien, interrogé par Carleson sur les raisons qui ont poussé les Suédois à accueillir de telles masses de "réfugiés", Horowitz répond sans hésitation « Ils se prennent pour une superpuissance humanitaire... Ils considèrent qu'ils ont un devoir moral d'ouvrir leurs frontières à tous ceux qui désirent venir chez eux ».

    Deux jours après l'intervention de Trump, de violents troubles éclataient dans le quartier de Rinkeby à Stockholm à forte population musulmane. Des voitures et du mobilier urbain étaient brûlés, des magasins détruits et pillés, des forces de police et des pompiers harcelés par une centaine de jeunes Somaliens. La police dut tirer à balles réelles contre des émeu-tiers qui utilisaient des cocktails molotovs et jetaient sur elle toutes sortes de projectiles. Le plus cocasse est que le matin même le New York Times sortait avec ce titre qui résume mieux qu'un long article la justesse des critiques du président contre les média menteurs : « Trump poursuit ses attaques contre la Suède sans aucune preuve ».

    Le Washington Post qui appartient à Jeff Bezos, propriétaire d'Amazon, 5e fortune dans le monde - aussitôt prenait la défense des immigrants accusant Trump d'avoir par ses propos provoqué la colère des pauvres immigrés et d'être ainsi responsable des derniers événements. Une nouvelle stratégie se dessine. Désormais le seul fait de condamner les désordres qui s'étendent à toutes les villes multiraciales des pays d'origine européenne en voie de colonisation, suffit à faire des dirigeants de ces pays des racistes susceptibles de poursuites pour avoir susciter la réaction légitime des hors-la-loi qui se sont installés de force chez eux.

    Horowitz donnera de plus amples informations sur l'enquête qu'il aura menée dans différents quartiers immigrés de Suède dans lesquels il aura été pris à partie par ces derniers lui refusant de filmer. Bien entendu les responsables locaux, et en particulier la police, prétendirent qu'il avait largement exagéré les incidents. Il est cependant facile de visionner sur Internet des vidéos tournées par plusieurs cinéastes - notamment l'équipe australienne de Channel 9 de la journaliste Liz Hayes (« 60 minutes ») violemment prise à partie dans le quartier de Rinkeby (« Little Somaliland ») par une bande de jeunes somaliens. Un journaliste suédois de NRK, Anders Magnus, connut la même mésaventure au printemps dernier -. D'une manière générale les média de masse exercent une sorte d’omerta sur de tels événements en accord avec le gouvernement socialiste, selon le principe énoncé par Horowitz de « la superpuissance humanitaire ». D'où l'universelle condamnation qui a accompagné les propos de Trump.

    Mais la loi du silence est en train de craquer.

    Jim Reeves. Rivarol du 2 mars 2017

  • Düsseldorf : encore un « maboul » ?

    8818-20170311.jpgL’« épidémie » de mabouls, de déséquilibrés, d’agités du bocal, de fêlés, de malades mentaux, n’en finit plus de faire des victimes. Que ce soit en France ou dans un autre pays de leur Europe si accueillante, pas une semaine où presque sans qu’un « perturbé » du mental ne fasse parler de lui. Jeudi soir, c’est une nouvelle fois l’Allemagne de « maman » Merkel qui a eu droit à son « fait divers », comme ils disent, perpétré par un homme atteint de « troubles psychiatriques ».

    Le « fait divers » en question s’est déroulé en gare centrale de Düsseldorf. Aux alentours de 21 heures, un homme est descendu d’un train de banlieue avec à la main, non pas un attaché-case, mais une hache. L’individu, un homme de 36 ans originaire d’ex-Yougoslavie, s’en est alors pris aux voyageurs présents dans la gare. Tel bûcheron déboussolé, il frappe au hasard parmi les usagers se trouvant sur son passage. Bilan : « sept blessés dont trois graves et quatre légers ». Après avoir pris la fuite et s’être grièvement blessé en sautant d’un pont, l’homme, présenté comme souffrant « apparemment de troubles mentaux », est interpellé par la police mais ne sera pas en état d’être interrogé dans l’immédiat, précisent les autorités.

    Peter Altmaier, chef de la chancellerie et proche conseiller d’Angela Merkel, a aussitôt réagi en apportant son soutien aux victimes du fou furieux. « Quoi qu’il se soit passé à la gare centrale de Düsseldorf, notre compassion et nos pensées vont aux personnes innocentes blessées. » Même compassion pour Thomas Geisel, maire de la ville dont les « pensées vont aux victimes et à leurs proches ». Des pensées qui, on s’en doute, font une belle jambe aux victimes et à leurs proches, tout comme au peuple allemand.

    Un peuple allemand de plus en plus sous le choc et sur le qui-vive à force d’être confronté à des « mabouls » et à une menace djihadiste qui pèse sur le pays, notamment depuis l’attentat terroriste au camion bélier – revendiqué par les barbus du groupe Etat islamique – en décembre dernier à Berlin.

    Pierre Malpouge

    Article paru dans Présent daté du 11 janvier 2017

    http://fr.novopress.info/

  • Un laboratoire de Captagon, la « drogue des dijhadistes », découvert en Grèce

    La police grecque a trouvé un laboratoire de Captagon, la « drogue des djihahistes », vendredi à Athènes. 635 000 pilules de cette drogue synthétique ont été saisies, rapporte Euronews, ainsi que de l’argent liquide et des armes. Le Captagon, une méthamphétamine, est tristement populaire au Moyen-Orient pour être utilisée par de nombreux combattants de l’Etat islamique. Les enquêteurs ne savent pas si les pilules étaient destinées au marché grec.

    « [Le Captagon] rend insensible à la douleur, elle neutralise les émotions, elle permet de tuer froidement et d’exécuter des attentats kamikaze. […] Ils sont [ainsi] insensibles à toute forme d’humanité », expliquait en novembre 2015, peu après le massacre du Bataclan, le docteur Jean-Pierre de Mondenard, spécialiste du dopage… dans le sport.

    Et pour cause : « Cette drogue a été largement utilisée dans le milieu du cyclisme dans les années 1960 à 1970 », expliquait Sciences et Avenir, qui ajoutait fin 2015 que « d’après les chiffres de l’Organisation mondiale des douanes (OMD), la quantité de pilules saisies dans les pays de la péninsule arabique a fortement augmenté ces dernières années : plus de 11 tonnes de captagon en 2013, contre 4 seulement en 2012 ».

  • Des militants de Génération identitaire sécurisent le centre ville de Rouen

    17103373_1872889159659553_5881543450052279230_n-300x200.jpg

    17155868_1872889309659538_6830898030743062115_n-300x199.jpgSamedi dernier, alors qu’une manifestation de « soutien à Théo » était prévue à Rouen, une trentaine de militants de Génération identitaire Normandie ont entrepris de sécuriser le centre ville. Vêtus de K-way jaunes, ils avaient informés les commerçants qu’ils se tenaient prêts à agir au moindre incident qui leur serait signalé, les précédentes manifestations ayant donné lieu à un déferlement de casseurs, toute la racaille se donnant rendez-vous pour agresser, détruire et brûler.

    17155750_1872356563046146_1880723932376485907_n-450x800.jpgL’opération militante de Génération identitaire Normandie a produit son effet :pour la première fois, la préfecture a mobilisé les moyens policiers nécessaires au moyen de l’ordre, qui n’ont pas hésité à faire usage de canons à eau pour disperser les gauchistes qui se préparaient à l’affrontement. Comme quoi…


    A Rouen deux manifestations « pour Théo » ce samedi