insécurité - Page 680
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Aulnay-sous-Bois : Hollande et la gauche s'allient à la racaille
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Aulnay-sous-Bois : « Le quartier s’est littéralement embrasé. Certains collègues ont dû prendre leur pistolet automatique pour tirer en l’air devant la violence des attaques » |
À Aulnay-sous-Bois, la nuit de lundi à mardi a été de nouveau agitée après l’arrestation et le viol présumés de Théo par quatre policiers de la ville. Comme depuis plusieurs soirs, de nombreux effectifs de police ont investi la cité des 3000 avant que des habitants ne soient interpellés et que des affrontements aient lieu. Des voitures et un restaurant KFC ont été incendiés, a notamment rapporté Taranis News.
Durant la nuit, des habitants ont affirmé avoir vu des policiers tirer des balles réelles. Joint par BuzzFeed News, le reporter indépendant Alexis Kraland, présent sur place, a lui aussi recueilli des témoignages: -
JT du mardi 07 février 2017 : Aulnay-sous-Bois : la tension monte
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L’auteur de l’attaque à la machette du Louvre est un islamiste égyptien
C’est le moment ou jamais de reprendre vos pilules de padamalgame ! En effet, ce vendredi dernier un individu répondant aux critères habituels aux terroristes, d’origine égyptienne et arrivant tout droit de Dubaï, a tenté de s’introduire au Louvre.
Il n’est pas venu admirer les oeuvres de ses ancêtres puisque muni de deux machettes achetées le matin même à Paris il agresse verbalement et physiquement les sentinelles. Puis c’est au cris d’Allah Akbar qu’il s’en prend à l’un des militaires. Ce dernier, blessé au cuir chevelu, a tiré trois coups de Famas avant de pouvoir arrêter l’islamiste dans son élan.
Abdullah Reda al Hamamy jusqu’à présent inconnu de services de renseignements s’est vu prodiguer des soins suite à ses blessures et se trouve en garde à vue. Cela permettra peut être d’en savoir plus sur ceux qui ont financé son entreprise terroriste, sans doute depuis les Emirats arabes unis.
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Journal du Lundi 06 Février 2017 : La police enflamme Aulnay-sous-Bois
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Reprise des hostilités dans le Donbass dans le contexte du rapprochement USA-Russie – Des dizaines de civils tués – Vidéo
Très importantes pertes humaines. Selon le rapport du chef de l’état major ukrainien, V.Mujenko, il y aurait, côté ukrainien, environ 80 morts et 70 blessés rien que pour l’offensive des 29 et 30 janvier. Le régime de Kiev en perdition face au rapprochement Trump/Poutine, a repris ses cruelles offensives, les dizaines de morts des bombardements ne sauveront pourtant pas le régime.
La vidéo ci-dessous a été tournée le 29 janvier le jour des grosses attaques meurtrières du régime de Kiev. Une guerre, il y a trois ans encore impensable, est en pleine escalade, alors que Kiev n’a jamais honoré ses engagements des accords de Minsk.
Mais la donne est en train de changer avec l’arrivée de Trump et le rapprochement USA/Russie. Un dialogue que le parti des mondialistes et de la guerre aimerait voir échouer. Du coup, on ne sait plus si Berlin et Bruxelles soutiennent le conflit en sous-main tout en le condamnant officiellement. Selon le Suddeutsche Zeitung, les autorités allemandes auraient condamné l’agression ukrainienne dans le Donbass.
Le régime autoritaire de Porochenko s’affole, peut-être soutenu en sous-main par la bande du coup d’Etat de 2014 du Maïdan: les oligarques ukrainiens, les milliardaires cosmopolites des coups tordus: Soros, BHL.., les néocons de Washington: McCaïn, Clinton etc.
Dans ce conflit meurtrier entre chrétiens, Le pouvoir subversif de Kiev, au lieu d’engager un dialogue pour dégager une solution politique avec une population russophone qui s’est sentie méprisée par le coup d’Etat du Maïdan, a envoyé, dés 2014, ses troupes pour agresser chez elle une population civile, qui depuis ne fait que défendre sa terre, ses familles, sa vie.
La semaine dernière, l’armée ukrainienne a lancé une offensive sur le front nord-ouest qui va de l’aéroport de Donetsk à Avdeevka. L’armée ukrainienne a alterné le recours à l’artillerie, dont le calibre a augmenté avec le temps, et les actions au sol avec, notamment blindés et tanks. Il est difficile de dire si l’avancée fut concluante, les données sont contradictoires de part et d’autres. Mais elle semble avoir été repoussée.
Le pic de violence a été atteint dimanche. Vers 18h, l’armée a lancé unpilonnage massif de toute la ligne à l’artillerie lourde. Les combattants de la République de Donetsk ont répondu, faisant eux aussi monté les calibres.Finalement, les roquettes Grad et Uragan furent à nouveau utilisées
Suite au lancement de l’offensive par l’armée ukrainienne, Avdeevka est au bord de la crise humanitaire puisque les combattants de Donetsk ont finalement répondu [Ce que leur interdisaient les accords de Minsk], l’administration de la ville hésite à évacuer la population, qui se retrouve sans eau, électricité, chauffage. Dehors, il fait presque – 20°. Les écoles ont été fermées, les enfants passent à l’enseignement à distance dans les villes du front. Iacinovata, Gorlovka et Makeevka sont dans une situation très proche, en raison du pillonage ukrainien.
A Donetsk, une mine s’est retrouvée bloquée suite aux bombardements ukrainiens. 200 mineurs environ sont bloqués à l’intérieur, à midi, 92 d’entre eux ont été sauvés. (Lire la suite sur: Novorossia Today).
Autre témoignage:
Cette pression offensive de Kiev qui concerne principalement les 5 secteurs de Debalsevo, Gorlovka, Yasinovataya, Dokuchaievsk et Shirokino (du Nord au Sud) s’effectue tant sur le plan militaire que diplomatique. En effet par des revendications territoriales de Kiev tente de légitimer les attaques de ses unités d’assaut, en agitant une carte du front de septembre 2014, méprisant celle qui a suivi lors des accords de « Minsk 2 » réalisés en février 2015.Ces grignotages de la ligne de front par l’armée ukrainienne, obligeant même parfois des unités républicaines à céder du terrain, provoque une tension qui vient d’arriver à un point de rupture à Yasinovataya, autour du contrôle d’une station d’épuration d’eau. Ce combat engagé en début d’année a débouché le 29 janvier sur une journée complète de bombardements et de combats au Nord de Donetsk.Je ne reviens pas ici sur les opérations militaires en elles-mêmes (voir article précédent) mais plutôt sur le contexte international dans lequel elles se déroulent, car malgré les combats violents du front du Donbass, la confrontation la plus importante est ailleurs, entre un impérialisme étasunien vacillant et une Russie renaissante… (Lire la suite: Erwan Castel, un Français qui vit à Donetsk)Avec la real-politik de Trump qui devrait rapprocher les intérêts américains de ceux de la Russie, cette guerre fratricide devrait cesser et les accords de Minsk enfin appliqués devraient ramener la paix dans une Ukraine partagée, dévastée, en totale faillite. Mais les morts ne ressusciteront pas! Et l’Europe de l’Atlantique à l’Oural pleure ses morts, du moins s’il lui reste une conscience chrétienne.emiliedefresne@medias-presse.info -
Les touristes chinois fuient Paris : « Pour eux, la délinquance est devenue un vrai fléau »
Les vols et les agressions auraient provoqué une baisse de 25% du nombre de touristes chinois à Paris en 2016. Un chiffre qui grimpe à 46% chez les Japonais.« La France est en train de devenir l’une des pires destinations pour les touristes étrangers ». C’était le thème de Radio Brunet lundi. Et pour cause: l’insécurité provoquerait une baisse sensible du nombre de touristes asiatiques venant visiter la France et particulièrement Paris. Sur les réseaux sociaux chinois, les touristes se donnent d’ailleurs le mot. Un constat confirmé dans Radio Brunet par Jean-François Zhou, directeur général d’Ansel Travel, agence est chargée de l’accueil de touristes chinois en France. « Depuis quelques années, en France et surtout à Paris, la petite délinquance est devenue un vrai fléau. Pour beaucoup de touristes chinois, le rêve de visiter la France et Paris s’est souvent transformé en cauchemar. A cause des vols, des agressions, et surtout parce que ces agressions sont de plus en plus violentes. A cela s’ajoute les derniers attentats. Mais pour moi, ce n’est que la dernière goutte d’eau qui fait déborder le vase ». -
Soldat français agressé à Paris
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Journal du jeudi 2 février 2017 - Sécurité / Gangs of Paris
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Les pays mis au ban par le décret Trump sont les mêmes que ceux choisis par... l'administration Obama
Le candidat Trump avait promis que le premier jour de sa présidence, s'il était élu, il «suspendrait l'immigration des régions sujettes au terrorisme où la vérification ne peut se faire en toute sécurité». Il a juste une semaine de retard. Pourtant, tout le monde surréagit.
Le décret que Trump a signé vendredi institue une suspension de 90 jours des immigrants de pays répertoriés par l'administration Obama comme ayant une importante présence d'organisations terroristes. La raison en est de donner aux organismes compétents le temps nécessaire pour s'assurer que «des normes adéquates sont établies pour empêcher l'infiltration par des terroristes ou des criminels étrangers».
L'ordonnance suspend également le Programme d'admission des réfugiés aux États-Unis pendant 120 jours, accordant à la Sécurité intérieure et au Directeur du renseignement national le temps de «déterminer quelles procédures supplémentaires devraient être prises» pour s'assurer que les terroristes n'entrent pas sous le couvert de réfugiés. Préoccupation légitime.
Il fixe également un plafond légèrement inférieur à 50 000 pour les réfugiés pour cette année, ce qui est en vigueur au cours de la dernière décennie.
Les pays visés par la suspension de 90 jours - l'Iran, l'Irak, la Syrie, la Libye, la Somalie, le Soudan et le Yémen - n'ont pas été choisis par Trump. Ils étaient déjà répertoriés par l'administration Obama comme des pays préoccupants en vertu d'une loi de 2015 qui exige que quiconque a visité un de ces pays doit subir un examen minutieux avant d'arriver aux États-Unis. Le président Obama lui-même a empêché des groupes importants d'immigrants d'entrer aux États-Unis. En 2011, l'administration a suspendu l'entrée des réfugiés d'Irak pendant six mois afin de s'assurer que les terroristes n'en profitaient pas pour pénétrer aux Etats-Unis.
De même, le président Bill Clinton a publié six interdictions, George W. Bush six interdictions et l'ancien président Ronald Reagan quatre. En 1980, l'ancien président Jimmy Carter a interdit les Iraniens après que Téhéran a saisi l'ambassade des États-Unis.
Concernant les réfugiés, les données du Migration Policy Institute montrent que le nombre réel de réfugiés admis au cours des 15 dernières années a été à peu près de 50 000 chaque année.
Ce qui est extrême, ce n'est donc pas ce que Trump a fait, mais c'est la réaction disproportionnée de ses adversaires politiques, de la presse.