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insécurité - Page 746

  • Agressé par des « jeunes » dans le RER, un sexagénaire en poignarde un mortellement

    Samedi matin vers 6h, dans un wagon de RER arrivant en gare de Juvisy (Essonne), une bande d’une dizaine de « jeunes » fume.

    Un homme de 64 ans leur demande d’arrêter.
    Il est alors agressé et roué de coups. L’homme s’empare d’un couteau suisse qu’il avait dans sa poche et frappe l’un des membres du groupe, détaille le procureur d’Evry.

    Âgé de 22 ans, le jeune homme décède et le sexagénaire « s’est spontanément présenté aux services de police », poursuit le procureur. Il a été placé en garde à vue. « Les enquêteurs, après exploitation de la vidéosurveillance, audition de l’ensemble des protagonistes de cette affaire et analyse des constatations médicales, vont s’attacher à préciser les causes de cette altercation et les circonstances dans lesquelles le coup mortel a été porté. » (source)

    Quand le Français est excédé et réagit…

    http://www.contre-info.com/

  • La canaille rose et verte de 2016

    La société actuelle dite postmoderne ne se propose même plus de durer. Tout n’y est orienté que vers la jouissance immédiate.

    Georges Bernanos fustigeait en 1931 de façon cinglante la « canaille dorée de 1740 ». Que dirait-il aujourd’hui alors que l’actualité se concentre sur la légitimité, ou non, de produire un concert de rap à Verdun ?

    En réalité, la société actuelle dite postmoderne ne se propose même plus de durer. Tout n’y est orienté que vers la jouissance immédiate, la satisfaction des instincts les plus bas d’un peuple humilié par des repentances incessantes, avili par la pornographie, lobotomisé par une « déséducation » nationale tyrannique, coupé de ses racines et de ses élans par un consumérisme hédoniste frénétique.

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  • Violences

    Nous vivons un curieux moment, en cette dernière année de quinquennat de François Hollande. Inquiétant, à certains égards. Comment expliquer ce recours à la violence de toute une frange de la jeunesse d’extrême gauche ?

    Il est vrai que certains désignent des excès de répression policière. Mais même si certains faits sont à déplorer, la balance n’est pas égale entre la police et ceux qu’on appelle les casseurs et l’on peut s’inquiéter à juste titre de la charge qui repose sur nos forces de l’ordre, sans cesse sollicitées en cette période d’état d’urgence. Elles n’avaient vraiment pas besoin de cela alors que le pays doit faire face à la menace terroriste. On parle d’extrême fatigue de la part d’unités sans cesse sur la brèche.

    Par ailleurs, comment qualifier le débat public, qui enchaîne polémiques sur polémiques, avec diabolisation de l’adversaire ? Serions-nous condamnés aux échanges de noms d’oiseaux entre « fachosphère » et « bobosphère » ? C’est vrai que l’usage de certains mots peut s’avérer meurtrier sur le plan psychologique et moral. Mais arrive un moment où l’injure perd de son efficacité, tant elle devient banale jusqu’à l’insignifiance. Ainsi, à la suite de la polémique sur l’opportunité d’un concert à Verdun, animé par le rappeur Black M, la ministre de la culture a cru bon s’en prendre à « un ordre moral nauséabond » et le Secrétaire d’État aux anciens combattants a été jusqu’à prédire : « C’est le début du totalitarisme et je dis que c’est vraiment le fascisme qui nous attend. » [...]

    Gérard Leclerc

    La suite sur La France Catholique

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Violences

  • Voiture de police incendiée : l’enquête mène au groupe Action Anti-Fasciste Paris Banlieue

    Le JDD le décrit comme « fils de bonne famille, domicilié dans le quartier de Montparnasse et travaillant à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine) ». L’extrême-gauche quoi…

    Ces gens se font passer pour des prolétaires alors qu’ils sont généralement issus de milieux bourgeois, ils se font passer pour des gentils et des victimes (cf affaire Méric) alors qu’ils sont violents, remplis de haine et de volonté d’éliminer une partie de la population.

    A ce sujet, on notera le silence médiatique assourdissant concernant la véritable tentative de meurtre avec préméditation dont a été victime un jeune homme à Paris il y a quelques jours, par des éléments de cette mouvance « antifa ».

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    Précédemment, nous relations :
    parmi les cinq personnes gardées à vue, deux frères de 21 et 32 ans appartiennent au groupe action Anti-Fasciste Paris Banlieue. Le plus jeune, Antonin, avait fait un recours devant le Tribunal administratif contre l’interdiction de manifester mardi dernier émise par le préfet.

    Lire l’article sur I-Télé

    http://www.contre-info.com/voiture-de-police-incendiee-lenquete-mene-au-groupe-action-anti-fasciste-paris-banlieue

  • Les casseurs d’extrême gauche sont racistes, lâches et misogynes

    Ils ont tenté d’assassiner une personne d’origine visiblement non caucasienne et une jeune femme !
    Les casseurs d’extrême gauche sont racistes et lâches, voire misogynes, puisqu’ils ont tenté d’assassiner une personne d’origine visiblement non caucasienne et une jeune femme !
    Pourquoi aucun organe de presse — du moins les nombreux consultés — ne précise que le conducteur de la voiture de police n’était manifestement pas blanc ?

    Simplement parce que — même si ces organes de presse parlent rarement de manifestants de « gauche », ni même « d’extrême gauche », préférant le mot générique et apolitique de « casseurs » — les agresseurs des deux malheureux policiers ne peuvent être classés à droite ni (cela aurait été l’idéal) à l’extrême droite voire – cerise sur le gâteau – encartés au FN. Dans ce cas-là, même une catastrophe aérienne comme celle du Paris-Le Caire n’aurait pu empêcher la plupart des chaînes d’information continue de nous en rebattre les oreilles et de trouver le temps de dénoncer « l’agression raciste et lâche » contre un « policier noir » et une « jeune femme choquée par la violence des nervis d’extrême droite » !

    Là, on ne parle quasiment pas de ces agresseurs comme étant des manifestants venant de provoquer les policiers exprimant alors pacifiquement non loin de là leur colère contre précisément les violences de ces individus, sans contestation, de gauche.

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  • GPA et pédophilie

    Padamalgam :

    "Un homme de 49 ans de l’Etat de Victoria en Australie vient d’être jugé pour avoir abusé sexuellement de ses deux filles nées d’une mère porteuse étrangère. Il avait ramené les jumelles en Australie. L’homme, déjà condamné à 22 ans de prison pour avoir été reconnu coupable dans 37 affaires de pédophilie. Il avait commencé à abuser d’elles et à partager des films de mise en scène avec d’autres pédophiles depuis leur premier mois."

    Michel Janva

  • Un grand « frisson » libérateur

    Vernet a publié un article sur le site de MM. Colombani et Attali, Slate.fr,  consacré au succès rencontré par le candidat de la droite  nationale  autrichienne, Norbert Hofer du FPÖ,  lors du premier  tour de la  présidentielle le 24 avril. Avec 35% des suffrages il fait la course en tête,    loin  devant le candidat des Verts, Alexander Van der Bellen (21%).  « Les grands partis traditionnels, social-démocrate (SPÖ) et conservateur (ÖVP) qui se partagent le pouvoir depuis 1945, se sont effondrés. » A l’approche du second tour, le 22 mai, M. Vernet pointe l’impuissance des partis établis a endiguer la progression du populisme  national en Autriche. « La crise des réfugiés a donné un élan inattendu au FPÖ. L’Autriche a accueilli 90.000 réfugiés en 2015, pour une population d’un peu plus de 8 millions » indique t-il . « Mais elle en a vu passer plusieurs centaines de milliers en route vers l’Allemagne, en raison de la culture de l’accueil prônée par Angela Merkel. Dans un premier temps, le chancelier autrichien, Werner Faymann (SPÖ), qui a démissionné le 9 mai 2016, a adopté la même politique que sa collègue allemande. Puis il a opéré un virage à 180 degrés » (« quotas de  réfugiés », « fermeture des frontières », « réunion des États d’Europe centrale et des Balkans sans en référer à Bruxelles »), calquant son attitude sur celle du Hongrois Viktor Orban. » Ce raidissement, sous la pression du peuple autrichien dont le FPÖ  est  le porte-parole et le haut-parleur,  loin de marginaliser les nationaux  autrichiens,  n’a fait que légitimer  leur discours constate-t-il encore, selon l’adage bien connu qui veut  que l’original soit préféré à la pâle copie.

    Ce « succès incontestable pour le FPÖ » (…) fait passer un frisson d’angoisse dans l’Union européenne » ( comprendre au sein de l’oligarchie et de la technostructure bruxelloise, ce qui n’est pas la même chose !, NDLR), « où les partis populistes de droite ont le vent en poupe » souligne Daniel Vernet. Il voit se profiler l’obligation pour les partis du Système de transiger, de composer encore plus avant avec  ce qui est désormais, de manière incontestable, la première force politique autrichienne, laquelle bénéficie qui plus est d’un très large soutien de la jeunesse.

    Bref si « l‘Autriche a connu son 21-Avril » (lors du premier tour de la présidentielle), « tout laisse à penser que la mobilisation générale contre l’extrême droite qui avait permis à Jacques Chirac, quinze jours plus tard, le 5 mai, d’écraser Jean-Marie Le Pen au second tour de l’élection présidentielle de 2002 ne se reproduira pas à Vienne (…). Tout se passe comme si, avec ses 35% de voix, le FPÖ représentait la pensée dominante d’une majorité silencieuse qui, quand elle s’exprime, soutient les thèses populistes. Les sociaux-démocrates, en toute hypothèse, pourraient ainsi être amenés à codiriger le pays avec les nationaux (qui devraient  de nouveau triompher aux législatives), comme c’est déjà  le cas  dans « la région du Burgenland actuellement dirigée par une coalition entre le SPÖ et le FPÖ. En 2000, une telle alliance avait déclenché les foudres de l’Union européenne, qui avait décidé un boycottage de l’Autriche. » Mais ça c’était avant… Une attitude d’ostracisme antidémocratique, notions-nous il y a un mois sur ce blogue,  que les pontes bruxellois, acculés par la réveil des  peuples de notre continent, n’oseraient plus affirmer aussi franchement, car ils n’en ont plus les moyens…

    Sur le site Polemia, en octobre dernier, à l’occasion des élections municipales à Vienne, marquées par une forte poussée populiste,  Vincent lefebvre s’appliquait à tirer des enseignements pour notre pays de cette assomption de la droite nationale. Le bouleversement de la carte politique, du rapport des forces y sont comparables sous certains aspects à ce que l’on voit en Autriche. Le FN est lui aussi, de fait, le premier parti en nombre de voix face aux coalitions, diverses et variées, pour freiner sa marche vers le pouvoir .

    Certes, écrivait avec raison M. Lefebvre, « deux différences majeures semblent opposer France et Autriche en matière politique, qui n’ont qu’une même origine : le mode de scrutin en Autriche (exception faite de la présidentielle, NDLR)  est toujours à un tour, et laisse une place majeure à la proportionnelle, tout à l’inverse de la France. La conséquence est double (et là résident les deux différences) : il n’y a traditionnellement pas de bipolarisme politique, et les coalitions gouvernementales sont la règle. On a souvent pris le contre-exemple de l’Autriche pour expliquer qu’en France aucune place n’existait pour le Front National, troisième voie impossible, en raison du mode de scrutin majoritaire à deux tours. La deuxième différence (les coalitions) n’empêche pas non plus une convergence austro-française : dans les deux pays, la collusion entre les partis traditionnels de la droite et de la gauche est un sentiment populaire répandu. »

    « On remarque, par ailleurs, empiriquement que le mode de scrutin n’influe que peu sur le vote. Ou plutôt l’obstacle que représente un mode de scrutin est davantage un frein pour de bons scores mais, une fois le frein usé, les résultats des patriotes sont en roue libre et peuvent grimper, grimper, jusqu’à évincer la droite classique (…). De même en France, le scrutin majoritaire pourrait bien se retourner finalement contre la droite classique, une fois que le Front National aura atteint un seuil de non-retour, et que Les Républicains auront fini de montrer au grand jour leurs contradictions internes.« 

    La  campagne présidentielle française, précédée de primaires « à droite »  qui s’annoncent sanglantes, ne manquera pas de révéler au grand jour lesdites contradictions, dans tous les domaines. M Vernet, cité plus haut, notait il y a quelques mois déjà, les  failles existant au sein des Républicains dans le domaine de la politique étrangère, entre les atlantistes fanatiques d’un côté et, de l’autre, les partisans d’un rapprochement avec la Russie, à l’aune du conflit syrien notamment. « Lors du voyage de novembre 2015 à Damas, Nicolas Sarkozy avait qualifié Thierry Mariani et sa suite de gugusses.  Une fraction des élus et personnalités de LR  « s’opposent à toute une école de diplomates et de chercheurs qui avaient placé leurs espoirs dans les printemps arabes et avaient vu dans les manifestations des opposants en Syrie la promesse de la chute prochaine de la dictature baasiste. Nicolas Sarkozy et son ministre des Affaires étrangères Alain Juppé, puis François Hollande et Laurent Fabius à partir de 2012, ont tous misé sur le départ du pouvoir de Bachar el-Assad (…). Les critiques de cette politique (…) regrettent (aussi) les sanctions imposées à la Russie après l’annexion de la Crimée et la guerre en Ukraine. Soutenus à droite par François Fillon, ils voient en Vladimir Poutine un allié contre le terrorisme et contre l’État islamique. »

    Au-delà des déterminantes  problématiques  géopolitiques (qui pèsent peu en France, on peut le regretter, sur les choix des électeurs), mais aussi sociales, économiques, européennes, autrement plus prégnantes dans le débat, la question identitaire, migratoire, sera centrale en 2017 affirme Bruno Gollnisch. Elle est aussi une ligne de fracture, au sein de la droite libérale. Nicolas Sarkozy s’escrime pour sa part, face à Alain Juppé, à convaincre les Français, comme en 2007 et lors de sa campagne de 2012, que cette fois, enfin, il a compris, il prendra en compte leurs aspirations dans ce domaine. Qui peut encore le croire ?

    Peut être pas le collectif «NouS les jeunes», sachant que l’attachement à l’identité française est aussi affaire de symbole. Les médias rapportent ainsi que « la branche jeunesse des partisans de Nicolas Sarkozy » qui  organise son lancement le 28 mai à Paris, a envoyé un SMS aux adhérents de LR pour participer à ce raout les invitant à « s’enjailler ». Les ploucs et autres provinciaux que nous sommes se sont donc saisis du nouveau  Petit Robert pour y apprendre que ce terme est tiré de de l‘argot ivoirien, et qu’il signifie « faire la fête », « séduire…  » Quelle bravitude dans la branchitude chez Nicolas, candidat de la France d’après

    http://gollnisch.com/2016/05/20/grand-frisson-liberateur/

  • Pierre Cassen : une « Forteresse Europe » contre le danger islamiste

    ierre Cassen est fondateur de Riposte Laïque, et fut co-organisateur, entre autres, de l’Apéro saucisson-pinard et des Assises internationales sur l’islamisation de nos pays. Il a animé de nombreuses manifestations et des rassemblements. Depuis plus de dix ans, il consacre l’essentiel de son combat à la lutte contre l’islamisation de notre pays et de l’Europe, et anime de nombreuses conférences, souvent tournées vers l’action. À ce titre, il revient de Prague, et répond aux questionsde Philippe Randa, durecteur d’EuroLibertés.

    Vous venez de participer dans les locaux du Parlement tchèque à « une initiative européenne de lutte contre l’invasion migratoire et l’islamisation de nos pays »… Qui l’a organisée ? Quels étaient les participants ?

    Cette initiative a une histoire. Nous avons rencontré Tatjana Festerling, porte-parole de Pegida Allemagne qui revenait d’un entretien à TVLibertés, grâce à l’entregent de Jean-Yves Le Gallou. Le contact entre elle, Christine Tassin et moi a été excellent, et Tatjana nous a demandés si nous serions d’accord pour venir à Prague, le 13 mai, afin de participer à une réunion de résistants européens. C’est le genre de proposition qui ne se refuse pas, et nous nous sommes donc rendus disponibles.

    L’initiative avait lieu au cœur du Parlement tchèque. Les rôles avaient été répartis entre le parti tchèque Usvit (Aube pour la Démocratie directe), qui compte huit députés, et Pegida Allemagne, qui est la tête de pont de la Résistance européenne, surtout à Dresde, d’où est issue Tatjana. La volonté était de créer une structure européenne, « Forteresse Europe », avec tous ceux qui avaient envie de se lancer dans cette aventure. Au total, pour le moment, quatorze pays, majoritairement de l’Est, mais aussi, outre les Allemands, les Anglais, les Espagnols, les Italiens, les Autrichiens et nous, les Français. Notre pays était représenté par Christine Tassin et moi, au nom de Résistance républicaine – Riposte Laïque, et par Karim Ouchikh, président du SIEL (Souveraineté, identité et libertés). Après que chacun a pu prendre la parole, les organisateurs ont proposé à chaque représentant national de signer une pétition s’opposant à la logique des quotas de migrants imposés par l’Union européenne. L’objectif annoncé est de recueillir 1 million de signatures pour contraindre l’UE à ouvrir un débat parlementaire sur cette question. Nous avons respecté cette première initiative, privilégiant le cadre unitaire. Pour nous, l’essentiel était qu’un outil européen se mette en place, et donc que des actions communes, au niveau Vieux Continent, puissent se développer au plus vite. Avec la force militante de Pegida Allemagne aux commandes, et le savoir-faire de chaque pays représenté, il y a un potentiel prometteur, et nous sommes heureux d’avoir été conviés à cet événement.

    Les pays d’Europe de l’Est sont-ils confrontés de la même manière que ceux de l’Ouest aux invasions migratoires et comment appréhendent-ils le danger djihadiste ? Craignent-ils des attentats similaires à ceux qui viennent de frapper la France et la Belgique récemment ?

    Il y avait deux mondes, effectivement, ce vendredi, dans le Parlement européen. Les pays de l’ouest de l’Europe, déjà fortement islamisés, et les pays de l’Est, qui ne sont pas du tout confrontés à cette situation, mais ne veulent surtout pas y être. D’où la pétition pour refuser les quotas. Les pays de l’Est, à ce jour, ne vivent absolument pas dans la crainte d’un attentat. Certains pensent que seul l’Est pourra sauver la culture européenne, et que l’ouest est mal parti, même s’ils sont solidaires de nos combats. Par contre chose inquiétante, nous avons entendu le témoignage d’un militant de l’Usvit, qui a raconté au public l’offensive d’une jeune collégienne musulmane voilée dans une école, à Prague, et les nombreux soutiens dont elle bénéficie, scissionnant la société tchèque. C’est Creil, 27 ans après…

    Quelles sont vos impressions sur la République Tchèque après votre séjour ?

    Nous ne sommes restés que trois jours, et ne pouvons prétendre avoir tout vu de la réalité tchèque, n’étant demeurés qu’à Prague. On voit que la capitale est toujours une ville européenne. Les élèves que nous avons croisés dans les rues sont tous blancs, et par ailleurs paraissent fort bien élevés, et respectueux des enseignants. Naturellement, le centre-ville, autour du Pont Charles, est superbe. Gros point noir, les tags. J’avoue ne pas comprendre que dans une ville aussi touristique, ils soient aussi omniprésents, y compris sur la façade du musée Kafka (voir photo). Peut-être un Jack Lang tchèque ? Vous ne vous sentez jamais menacé, sur le qui-vive, ce qui est loin d’être le cas dans nombre de capitales d’Europe de l’Ouest, Paris en premier. On peut manifester librement à Prague. Nous avons vu un groupuscule nationaliste, un samedi, jour des 700 ans de la naissance du Roi Charles IV, tenir une réunion en plein centre-ville, à cinquante personnes. Pas de policiers, pas de gauchistes, pas de racailles. Il n’y a pas de chômage de masse, et il paraît y avoir du travail pour tout le monde. Nous avons vu de nombreuses usines en activité avec des hautes cheminées envoyant leur fumée dans le ciel, preuve qu’il y a toujours des ouvriers dans ce pays… et pas trop d’écolos ! Le salaire moyen tourne entre 800 et 1000 euros. La situation française passionne beaucoup les Tchèques, admirateurs de notre pays, et désespérés qu’il soit devenu un des maillons faibles de l’Europe. Ils cherchent à comprendre ce qui nous arrive, et paraissent décidés à ne pas se laisser envahir, ni islamisés.

    Source EuroLibertés cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/