
La semaine qui vient de s’écouler a été particulièrement spectaculaire, quant à l’activisme des milices de gauche. Non contentes d’avoir poussé les bobos de gauche parisiens à descendre dans la rue pour « fêter » la mort de Jean-Marie Le Pen, elles ont, dans la meilleure tradition révolutionnaire, détruit la tombe du fondateur du Rassemblement national, à coups de masse. Certains diront qu’il n’y a aucune preuve, mais qui d’autre qu’un gauchiste peut agir ainsi ? On remarquera que pas un dirigeant de gauche n’a protesté, et que le gouvernement est resté bien discret. L’excellente Marion Maréchal, suite à cet acte, pointe du doigt la vraie nature de la gauche, et s’interroge, dans Le Journal du Dimanche, pour savoir si nous sommes encore un peuple.






