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international - Page 1061

  • Un ancien d'Al-Qaïda dénonce la collaboration entre l'EIIL, la CIA et Baghdadi

  • Gaza la guerre pour le gaz ?

    La plupart d’entre nous l’ignore, c’était aussi mon cas jusqu’à aujourd’hui, la Palestine, et plus précisément Gaza, sont ont d’immenses réserves de gaz et peut être même de pétrole. Mais l’élection de Sharon en 2001 a été un revers pour l’autorité palestinienne. Sharon avait annoncé qu’islaël n’acheterait jamais du gaz venant de Palestine, préférant se servir lui même. L’une des excuses des Israéliens pour ne pas laisser les Palestiniens profiter de leur manne pétrolière est que le Hamas pourrait lui aussi en profiter.

    J’ai trouvé plusieurs articles en Anglais sur sujet. Les détails datent ne sont plus si importants. Le fait est que le premier ministre israélien, dont les services ont cyniquement tu le fait qu’ils savaient que les 3 jeunes Israéliens étaient morts afin de justifier des actions contre l’autorité palestinienne et Gaza, a tout intérêt à continuer son acharnement contre la population de Gaza. D’un côté ça lui permet de maintenir sa coalition avec le parti de Lieberman dont les membres veullent une solution finale au «problème» palestinien, et d’un autre côté mettre la main sur la manne pétrolière de la côte de Gaza.

    Dans le même registre, d’après un article du «Business Insider» du 22/02/2013, Israël octroie une licence exclusive pour l’extraction de pétrole et de gaz dans le Golan, province syrienne sous occupation sioniste, à une compagnie proche dans la quelle Dick Cheney serait impliqué.

    Références:
    War and Natural Gas: The Israeli Invasion and Gaza’s Offshore Gas Fields


    IDF’s Gaza Assault is to Control Palestinian Gas, Avert Israeli Energy Crisis

    Israel Grants First Golan Heights Oil Drilling License To Dick Cheney-Linked Company

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    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/gaza-la-guerre-pour-le-gaz_112023.html#more-112023

  • Traitement préventif du sida : qui va payer ?

    Pour la première fois, l'Organisation mondiale de la Santé a recommandé aux hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, de prendre quotidiennement des antirétroviraux à titre préventif, pour éviter d'être contaminés par le sida. L'événement n'est pas seulement médical, mais aussi politique, comme l'explique le journaliste Jean-Yves Neau sur son blog.

    En effet, "la seule spécialité pharmaceutique  actuellement utilisée dans cette indication préventive [est] le Truvada®. Le Truvada® est une association de deux médicaments antirétroviraux fabriqué par la firme américaine Gilead Sciences."

    Bref, une firme américaine détient le monopole de la commercialisation du médicament recommandé par l'OMS. Et le vend à un prix prohibitif. Qui va payer ?

    "Forts de cette nouvelle recommandation de l’OMS les responsables d’Aides ont choisi une nouvelle fois d’en appeler à Marisol Touraine, ministre de la Santé. Ils lui demandent de « sortir de l’immobilisme ». En pratique ils réclament de faciliter l’ouverture de l’accès au traitement préventif. Cette mesure ne pose guère de difficultés pratique : il suffit d’une « extension de l’indication au préventif » du médicament qui « permettrait la mise à disposition pour des personnes séronégatives ».

    Le Truvada® est actuellement disponible dans le cadre d’une recommandation temporaire d’utilisation (RTU). Il est commercialisé par la firme américaine 520 euros les 30 comprimés et pris en charge à 100%. Gilead Sciences maintiendra-t-il ce prix pour une utilisation préventive ? Sur le fond la question soulevée est de taille dans la mesure, notamment, où la sécurité sociale ne prend pas en charge les actes de prévention.

    Trente-trois ans plus tard le sida redevient une maladie politique. A-t-il jamais cessé de l’être ?"

    Louise Tudy

  • Les Etats-Unis sont-ils de nouveau menacés de sécession ?

    Divisions religieuses, inégalités sociales: de lourdes menaces sur l’unité nationale américaine se profilent à l’horizon.

    Il est venu et reparti le week-end du 4 juillet, fête de l’Indépendance américaine, synonyme de barbecues, de feux d’artifices illégaux et de manifestations de nationalisme gratuites. Cette année j’envisageais de me faire tatouer des pygargues à tête blanche [aigle emblème des Etats-Unis NdT] sur les biceps. Pour moi, la fête de l’Indépendance est aussi l’occasion de réfléchir sur notre identité en tant que nation et sur la direction que prend notre pays. Je dois avouer que je suis inquiet.

    La semaine dernière, pendant la Coupe du Monde, les Etats-Unis ont été éliminés après leur défaite face à la Belgique. Ceci dit, il n’est pas totalement déraisonnable d’imaginer que la Belgique n’existera plus lorsque viendra le temps de la prochaine Coupe, étant donné le fossé d’amertume qui sépare les Flamands et les francophones. N’allez pas croire que je m’en réjouis…

    Eh oui, bravo la Belgique. T’as gagné. Il ne te reste plus qu’à bien profiter des oubliettes de l’histoire pendant que ton pays se laisse déchirer par un ressentiment ethno-politique profondément enraciné. Les Etats-Unis, cette immense république continentale à l’incroyable diversité, à la population lourdement armée et notoirement irascible dépassant plus de 28 foiscelle de la Belgique, sera sûrement encore là, elle, en 2018, et nous n’aurons alors aucun mal à écraser les équipes de foot de Flandres, de Wallonie et du Grand-Duché de Bruxelles, quel que soit le hasardeux assortiment d’Etats qui émergera de ton naufrage.

    Raclée infligée à la Belgique mise à part, nous autres Américains ferions mieux de ne pas nous endormir sur nos lauriers. Certes, l’Amérique est grande, impressionnante et belle. Mais nous aussi avons nos divisions, que nous ne pouvons nous permettre d’ignorer.

    Cela ne veut pas dire que le pays soit sur le point d’éclater. Si les Etats-Unis le restent, il y a de bonnes raisons. Depuis notre sanglante guerre du même nom, l’idée même de sécession a perdu tout crédit.

    Sud profond et Ecotopia

    Ces dernières années, nous avons assisté à bon nombre de sécessions pacifiques, telle celle du «divorce de velours» entre la République tchèque et la Slovaquie. Si, pour une raison quelconque, l’électorat d’Hawaii ou d’Alaska manifestait la volonté de quitter l’Union, il est loin d’être évident que les Etats-Unis choisiraient de faire usage de leur puissance militaire pour les en empêcher. Par conséquent, je doute que ce soit la peur du chaos et de la violence qui assure notre unité.

    Contrairement à la Belgique, il n’y a pas aux Etats-Unis de divisions linguistiques reproduites relativement nettement par des divisions géographiques, ce qui contribue à étouffer les sentiments sécessionnistes. Pourtant il ne fait pas l’ombre d’un doute que les différences de sensibilités culturelles entre, disons, le Sud profond et le Nord-Ouest de la côte pacifique sont bien plus importantes que celles qui existent entre l’Ontario et les Etats américains voisins des Grands Lacs.

    Quelques doux rêveurs se sont ainsi demandés si nous avions partagé l’Amérique du Nord de la bonne manière, des écologistes rêvant d’un «Ecotopia» à l’ouest de la chaîne des Cascades aux nationalistes blancs imaginant un ethno-Etat aryen dans le nord de l’Idaho et le Montana.

    George Kennan, célèbre penseur spécialiste de politique étrangère et fanatique protéiforme, fantasmait à la fin de sa vie sur une fragmentation des Etats-Unis dans le style de celle de l’Union Soviétique.

    Serait-il possible que l’Amérique se divise en fonction de frontières religieuses, avec les chrétiens dévots d’un côté et le reste d’entre nous de l’autre? Pensez à ce mème, cette carte d’une Amérique du Nord divisée entre le «Jesusland» d’une part, c’est-à-dire les Etats qui ont soutenu l’élection de George W. Bush en 2004, et «the United States of Canada» qui seraient constitués du Canada et de ceux qui ont soutenu John Kerry d’autre part, carte qui réjouissait les progressistes furieux de la réélection de Bush.

    En tout cas, certains croyants fervents craignent qu’à mesure que croissent les rangs de ceux qui n’ont pas d’affiliation religieuse et que les Américains laïques insistent pour imposer leurs valeurs aux autres, les fidèles finissent par faire l’objet de persécutions. En 2000, le père John McCloskey, catholique conservateur à la réputation controversée, a écrit un article polémique sur la manière dont l’Amérique pourrait éclater. Il y dépeint un nouveau pays baigné dans la religion, appelé les Regional States of North America, y faisant sécession dans le sillage d’un «conflit court et relativement peu sanglant» contre ses oppresseurs laïques.

    Heureusement, en général c’est le bon sens qui prévaut.

    Politique d’immigration mal conçue

    Mais d’autres menaces à l’unité nationale américaine se profilent à l’horizon. Mon sentiment, certes fort peu scientifique, est que nous traversons une période dans laquelle le sens de la solidarité, ou la cohésion de groupe des Américains, est en train de décliner. Les progressistes ont tendance à considérer ce déclin de solidarité comme un symptôme des inégalités de revenus et de patrimoine. Les conservateurs l’imputent au fait que de plus en plus, l’identité ethnique l’emporterait sur l’identité nationale, ou à un tournant vers le relativisme moral. Pour ma part je le considère comme le produit d’un isolement économique et social de vastes pans de notre population.

    Un des problèmes tient à notre politique d’immigration mal conçue, qui empêche les immigrants qui vivent et travaillent aux Etats-Unis de trouver leur place dans la société américaine. Lorsque nous débattons des politiques d’immigration, nous avons tendance à nous concentrer sur l’impact économique qu’elle aura sur les travailleurs américains de souche.

    Ce que nous oublions, c’est que 13% des gens qui vivent aux Etats-Unis sont nés à l’étranger, et que la population active du pays est constituée à 16,3% d’immigrants. Ces derniers font déjà partie de notre société, et leurs intérêts devraient être pris en compte.

    Si certains de ces immigrés sont le genre de jeunes loups qui ont fondé les start-ups de la Silicon Valley et les hedge funds, une bien plus vaste majorité sont des gens aux talents modestes qui luttent pour trouver leur place dans une économie changeante.

    Le taux de pauvreté chez les immigrants naturalisés—c’est-à-dire ceux qui sont devenus citoyens américains—est plus bas que celui des Américains de souche. La pauvreté parmi les immigrants clandestins, en revanche, est un crève-cœur tant elle est élevée, à la fois parce qu’il est difficile de gagner sa vie lorsqu’on vit dans l’ombre, mais aussi parce que les immigrants clandestins sont généralement les moins qualifiés.

    Si nous légalisons la situation des immigrants clandestins et si nous acceptons le principe qu’il ressort de notre responsabilité de protéger les intérêts des immigrés qui vivent et travaillent actuellement aux Etats-Unis, augmenter l’immigration future est bien la dernière chose à faire, car elle ne ferait qu’intensifier la concurrence sur le marché du travail pour ces travailleurs-là.

    En outre, cela aura tendance à retarder le processus d’assimilation, car les immigrants seront moins susceptibles de s’installer dans des quartiers intégrés et de former des liens avec des Américains à l’origine différente de la leur.

    Et puis il y a cette intense concentration de la pauvreté, qui m’empêche de dormir la nuit. Si 14,9% de la population américaine vivait sous le seuil de pauvreté en 2010, un quart de tous les Américains pauvres habitaient dans des quartiers dont le seuil de pauvreté dépassait 20%. Ces «zones de pauvreté» sont, en règle générale, hors de portée des opportunités d’emploi et des établissements d’enseignement de haute qualité, et leurs habitants connaissent un nombre disproportionné de crimes violents et d’incarcérations.

    Conséquence, la légitimité des institutions américaines —le système de justice criminelle en particulier, mais pas uniquement— n’est pas franchement assurée dans ces parties du pays car elles semblent être de parti pris contre ceux qui y habitent. Aucun risque que les quartiers pauvres d’Amérique ne fassent sécession. Le vrai problème est que nous, ceux qui n’en font pas partie, avons culturellement et spirituellement fait sécession de ces quartiers.

    Alors puisque nous venons de célébrer notre nation, saisissons l’occasion de nous souvenir des coins oubliés de notre pays, là où la promesse de l’American way of life reste encore à réaliser.

    Slate

    http://fortune.fdesouche.com/347925-les-etats-unis-sont-ils-de-nouveau-menaces-de-secession#more-347925

  • Syrie : entretien avec un combattant islamiste français

    Maxime, Français de 22 ans est parti faire le djihad en Syrie aux cotés de l’Etat Islamique. Lorsqu’il parle de partir en opération il est difficile de ne pas penser aux milliers d’irakiens massacrés par cette bande de barbus.

    Sans doute que ce jeune con approuve l’exécution de ces gamins syriens par ses « frères » :

    http://www.contre-info.com/

  • Le summum de la désinformation sioniste.

    Afin d’obtenir le soutien de la population américaine pour les crimes que l’armée israélienne commet avec son argent, les merdias US sont prêt à tout et surtout à faire passer les Israéliens pour les éternelles victimes.

    Afin de montrer à quel point les Israéliens souffraient des attaques du Hamas, le chaine ABC a montré une familles dite israélienne désemparée à côté de la maison qu’elle venait de perdre à cause d’un missile. Mais en réalité aucune famille israélienne, contrairement à des centaines de familles palestiniennes, n’a perdu sa maison. La chaines ABC, appliquant le principe au plus gros le mensonge au plus ça passe, a donc filmé une famille Palestinienne et raconté à son public qu’il s’agissait d’une famille israélienne.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • Les martyrs ont un nom.

    Ils s’appelait Fakher Al Ajouri, était agé de 22 ans. Il était commerçant et livrait les magasins avec son tricycle à cargo. Un drone Israélien l’a pris pour cible sans raison. Comme la très grande majorité des victimes des raids israéliens, il n’avait rien avoir avec le Hamas.

    Fakher était aussi le cousin de Mohammed Moussa, l’un de nos contactes sur Gaza. Toute nos pensées vont vers Mohammed et sa famille.

    J’ai eu l’occasion de lui parler depuis la mort de Fakher. Il était bien sûr bouleversé. Ce qui est terrible, c’est qu’en plus des crimes dont ils sont les victimes, les Palestiniens ont l’impression que tout le monde est indifférent à leur sort. C’est aussi pour leur montrer que ce n’est pas le cas que j’écris cet article. Faites le passer, c’est la moindre des choses que nous puissions faire alors que les alliés de «notre» gouvernement, dont le premiers ministre est éternellement attaché à Israël, tuent les membres de leurs familles ainsi que leurs amis.
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    Elle s’appelait Maryam Al-Misry et elle avait 9 ans. Elle était la joie de sa famille. Après 3 fausses couches, elle était l’enfant tant désiré. Elle a été assassinée par l’armée israélienne.

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    La nouvelle maison de la famille Al-Haj a été prise pour cible par un missile israélien, faisant 7 morts. La photos est ce qu’il reste de l’une des petites victimes.

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    Les familles Al-Misry et Al-Haj étaient proches de Marwan, l’un de nos contactes sur place, qui lui aussi à perdu un membre de sa famille lors d’une attaque israélienne, il y a quelques jours.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • Partout dans le monde, les homosexualistes rencontrent des résistances

    D'après C-Fam, à l'échelle internationale, le bilan du puissant lobby homosexualiste est mitigé :

    "Les pays les plus puissants du monde et les institutions internationales qui font la promotion des « droits » homosexuels font face à des résistances là où les militants homosexuels pensaient avoir gagné la bataille. Ces pays, qui cherchent à normaliser les relations homosexuelles par le biais du droit, font face à une forte opposition dans les parlements, dans les tribunaux, et parmi les populations.

    Alors que les militants ont réussi à obtenir que les pays occidentaux acceptent l’homosexualité en général, ils n’ont pas réussi à mobiliser leur soutien en faveur de droits spécifiques sociaux et économiques en faveur des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transsexuelles (LGBT). Seulement dans certains endroits, les militants LGBT semblent avoir atteint ce qu’ils nomment « l’égalité ». Mais même là, leur succès est limité."

    • Etats-Unis

    "Aux Etats-Unis, pays où les droits LGBT sont les plus développés,plus de la moitié des Etats définissent le mariage comme une union entre un homme et une femme, et de nombreux Etats n’ouvrent pas l’adoption aux couples homosexuels."

    "Le président de l’Organisation des Etats Américains a récemment affirmé que le mariage homosexuel ne serait pas imposé par son organisation. La Cour Suprême des Etats-Unis elle-même n’a pas imposé le mariage homosexuel."

    • Europe

    "Même en Europe, où la puissante Commission a investi beaucoup d’énergie dans les droits LGBT, et réussi à obtenir le soutien de la plupart des Etats membres en faveur des unions civiles entre personnes de même sexe, plusieurs Etats n’ont pas seulement rejeté le « mariage » homosexuel, mais voté des amendements constitutionnels qui excluent le « mariage » homosexuel. La Croatie, la Hongrie et la Slovaquie sont les exemples les plus récents.

    La Finlande est le dernier Etat en date a avoir rejeté le « mariage » homosexuel. Le mois dernier, un comité du parlement finlandais a empêché le parlement de voter sur la question pour la deuxième fois depuis 2012 par un vote de 10 contre 6. La Finlande est le seul pays nordique à n’avoir pas encore légalisé le mariage homosexuel.

    Le mariage gay est un sujet tellement sensible que la Commission européenne et la Cour européenne des droits de l’homme ont adopté une approche prudente, plus favorable aux unions civiles. 

    L’adoption par les couples de même sexe est un sujet encore plus difficile, en particulier en Europe. Peu de pays européens la permettent. Le débat public sur la question s’arrête souvent aux droits des enfants, un argument très efficace pour les opposants au mariage homosexuel."

    • Afrique

    "Dans les pays du sud, les militants LGBT et les Etats qui les soutiennent ont devant eux une longue bataille s’ils espèrent convaincre toutes les populations du monde que ce qu’ils considèrent comme un comportement sexuel déviant devrait être accepté par la société.

    Cette année, l’Ouganda et le Nigéria ont voté des peines plus sévères contre le comportement homosexuel et pénalisé le militantisme favorables mariage et aux droits homosexuels. De nombreux pays africains projettent de voter des lois similaires, et les politiciens qui font campagne pour ces projets n’ont pas de mal à mobiliser le soutien populaire.

    Le Groupe Africain Group, une coalition d’Etats, a sélectionné l’Ouganda comme président de l’Assemblée générale suite aux menaces de représailles des Etats-Unis et de l’Union européenne exprimées en réaction aux nouvelles législations. Ce choix a est un signal fort des africains, qui montrent qu’ils ne reculeront pas.

    Les hauts fonctionnaires de l’Onu qui font la promotion des droits LGBT aux Nations Unies ne pourront probablement pas continuer leur militantisme aussi ouvertement après l’élection d’un nouveau haut-commissaire des droits de l’homme jordanien. Les procédures législatives ne sont pas les seuls obstacles sur leur chemin. Certaines cultures sont bien loin d’imaginer la notion même de mariage homosexuel et d’adoption, et n’ont pas même les mots pour les décrire."

    • Chine

    "Un auteur du blog pro famille Englishmanif a récemment déclaréque le chinois n’avait pas de mot pour le terme « couple » ou « parent ». En chinois, explique-t-il, le mot couple signifie littéralement « marifemme », et le mot parent « pèremère »."

    Louise Tudy