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international - Page 1057

  • [Video] Pour comprendre la situation au Mali, en Centrafrique et au Nigeria. Exposé de Bernard Lugan

    Pour comprendre la situation au Mali, en Centrafrique et au Nigeria. Exposé de Bernard Lugan

    Une Vidéo d’Afrique Réelle, le blog de Bernard Lugan.

    A regarder et diffuser

     

     
  • Campagne de l'OSRE contre le traité transatlantique

    POINGS.jpg
    Une nouvelle campagne d’autocollants est maintenant disponible 

    pour la diffusion militante :

    3 euros les 25 exemplaires - 6 euros les 50 exemplaires 

    12 euros les 100 exemplaires

    Commande ( port compris)  : Rébellion  c/o RSE BP 62124 31020 TOULOUSE cedex 02

  • Algérie-Russie: la France retient son souffle

    ... et croise les doigts: certains médias un peu plus honnêtes intellectuellement que d'autres ont recensé les exactions commises par les supporters de l'équipe d'Algérie lors du dernier match (Algérie-Corée du Sud). Et prévoient que dès ce soir, les casseurs pourraient bien recommencer, quelle que soit l'issue du match (Algérie-Russie). Le Progrès de Lyon annonce ce match comme "une rencontre à très haut risque" et que les effectifs policiers seront multipliés: 

    "Par rapport à dimanche soir, les effectifs ont été fortement renforcés, en prévision d’actions violentes, notamment place Gabriel-Péri à Lyon, à Vénissieux et Vaulx-en-Velin, théâtres deviolents affrontements avec les forces de l’ordre."

    A Saint-Etienne, théâtre de nombreuses exactions lors du dernier match, le Progrès annonce que 

    "Des CRS renforceront les différents services de police, et un PC de crise sera mis en place."

    Un "PC de crise" ... l'expression laisse rêveur. Sommes-nous donc en guerre ? Il semble que oui, et que nos médias pour la plupart l'ignorent ou font mine de minimiser les faits. Les Identitaires, lassés de voir leur ville livrée à l'anarchie, avaient décidé hier un "rassemblement anti-racailles", d'abord autorisé par la Préfecture du Rhône, mais interdite ce matin. Il ne reste plus qu'à attendre de voir si les forces de l'ordre seront aussi intransigeantes avec les "racailles" qu'avec les Sentinelles immobiles: ce soir, plus que sur la pelouse, le match sera dans la rue, et nous compterons les points.

    Marie Bethanie

  • FEMEN ou l’art de se mettre au service de l’impérialisme

    Le groupe d’origine ukrainienne Femen, présenté en Occident comme un groupe féministe à l’avant-garde de la lutte contre le patriarcat et le fascisme, a pris ces derniers mois une part active dans le mouvement ayant servi à renverser le gouvernement de l’ex président ukrainien Viktor Ianoukovytch, qui a cédé la place au gouvernement fascisant actuel issu des violences de la place Maïdan.
    Afin de leur assurer une certaine médiatisation, les Femen se revendiquent du sextrémisme, féminisme radical qui se veut selon Inna Chevchtchenko, une des cofondatrices du mouvement, « un nouveau type d’activisme féminin qui est certes agressif mais encore non-violent, provocateur mais délivrant un message clair ». Les Femen sont devenues internationalement connues pour avoir organisé des actions volontairement provocatrices.
    Le 12 février 2013, les Femen se sont ainsi exhibé seins nus dans Notre-Dame de Paris pour fêter à leur manière la démission du pape Benoît XVI.
    Le 3 avril de la même année, trois membres du mouvement féministe ont brûlé un drapeau dit « salafiste » (en fait, un drapeau noir barré de la profession de foi des musulmans) devant la Grande Mosquée de Paris, en exhibant sur leur torse dénudé l’inscription : « Les femmes arabes contre les islamistes », « Liberté pour les femmes », et « Merde à vos morales ». Les FEMEN entendaient dénoncer l’Islam intégriste.
    Le lendemain, les Femen ont organisé une action coup de poing dans différentes villes d’Europe. À Berlin, six militantes ont manifesté la poitrine nue devant le plus ancien lieu de culte musulman de la capitale allemande, la mosquée Ahmadiyya, scandant en cœur « Freedom for women » ou encore « Fuck islamism ».
    Ces formes de lutte qui sont à des années lumières des pratiques des mouvements féministes ont atteint leur apogée le 2 mai 2014 lorsqu’une des membres du groupe a posé devant la maison des syndicats d’Odessa que les putschistes de Kiev venaient d’assiéger après y avoir mis le feu à l’aide de cocktails Molotov. Trente-huit personnes, essentiellement des militants antifascistes, perdirent la vie dans cet incendie.
    Le discours des Femen n’a pas résisté longtemps à l’épreuve des faits : leur apparente radicalité sert à accréditer des groupes ouvertement au service de l’impérialisme. Il faut absolument tenir éveillé notre sens critique dans cette affaire et dénoncer comme il convient toute récupération du patrimoine féministe et antifasciste.
    La presse occidentale présente les Femen comme un groupe féministe courageux, n’hésitant pas à protester avec véhémence contre certains rassemblements du Front national et d’autres mouvements se revendiquant de l’extrême-droite. Ce qui n’est pas suffisant pour les classer péremptoirement comme antifascistes. Car les Femen ont officiellement dit leur soutien à une alliance politique en Ukraine avec le parti Svoboda, un parti nationaliste, et fréquentent à l’occasion des skinheads.
    Loin de tomber dans le panneau, des étudiantes de Birmingham créèrent en avril 2013 le mouvement Muslim Women Against Femen (Femmes musulmanes contre les Femen). Elles considèrent à juste titre que les Femen sont islamophobes et impérialistes. Ce groupe lancera notamment une campagne sur Internet dont le slogan « Muslimah Pride » (Fière d’être musulmane) interpelle face à l’indécence de celles qui s’autoproclament féministes.
    En France, on ne voit pourtant pas les choses sous le même angle. Olivier Ciappa est l’auteur du nouveau timbre Marianne que François Hollande dévoila le 14 juillet 2013. S’il a choisi Inna Chevchtchenko comme modèle principal, « c’est parce qu’il est évident que la Marianne de 1789 aurait été une Femen. Parce qu’elle a les seins nus … Mais aussi en raison des valeurs qu’elle défend. Les Femen ne militent pour rien d’autre que la liberté, l’égalité et la fraternité. Il n’y avait pas pour moi de meilleur symbole ». La nominée réagira rapidement sur Twitter : « désormais, tous les homophobes, extrémistes, fascistes devront lécher mon cul pour envoyer une lettre ».
    Ces pseudo-rebelles soutenues par un des pays phares de l’impérialisme occidental sont bel et bien protégées par le système. Difficile de croire qu’elles n’en sont pas un des rouages. Elles en sont en tout cas les idiotes utiles. Et ça, tout le monde en conviendra aisément…
    Capitaine Martin

  • Les participants à l’assemblée 2014 du groupe Bilderberg

    Le groupe Bilderberg, l’une des plus puissantes officines mondialistes, a tenu son assemblée annuelle au Danemark, du 29 mai au 1er juin.

    Voici la liste des participants :

    Copenhague, 29 mai-1er juin 2014

    Président

    France Castries, Henri de Pdg AXA Group

    Participants :

    Allemagne Achleitner, Paul M. Président du Conseil de surveillance de la Deutsche Bank AG
    Allemagne Ackermann, Josef Ancien Pdg de la Deutsche Bank AG
    Royaume-Uni Agius, Marcus Président non-exécutif de PA Consulting Group
    Finlande Alahuhta, Matti Administrateur de KONE ; président d’Aalto University Foundation
    Royaume-Uni Alexander, Helen Président d’UBM plc
    États-Unis Alexander, Keith B. Ancien commandant de l’U.S. Cyber Command ; ancien directeur de la National Security Agency
    États-Unis Altman, Roger C. Directeur exécutif d’Evercore
    Finlande Apunen, Matti Directeur du Finnish Business and Policy Forum EVA
    Allemagne Asmussen, Jörg Ministre du Travail et des Affaires sociales
    Hongrie Bajnai, Gordon Ancien Premier ministre, leader du parti Ensemble 2014
    Royaume-Uni Balls, Edward M. Chancelier fantôme de l’échiquier
    Portugal Balsemão, Francisco Pinto Président de Impresa SGPS
    France Baroin, François Député (UMP), maire de Troyes
    France Baverez, Nicolas Associé Gibson, Dunn & Crutcher LLP
    États-Unis Berggruen, Nicolas Président de Berggruen Institute on Governance (Council for the Future of Europe)
    Italie Bernabè, Franco Président de FB Group SRL
    Danemark Besenbacher, Flemming Président du Carlsberg Group

     

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  • Soumis

    Sur son  blog,  l’éditorialiste du Figaro Ivan Rioufol  estimait hier  que le retour de Nicolas Sarkozy (dans la course pour la présidentielle en 2017) est « entravé par le FN ».  Appelant implicitement de ses vœux une union des droites  contre la gauche,  il affirme que « l’erreur qui démange la droite centriste serait de continuer à décréter le FN infréquentable en dépit des nouveaux électeurs qui le rejoignent : ce serait là le meilleur moyen de radicaliser une frange de plus en plus importante d’un électorat qui en a assez d’être méprisé ». Par ailleurs, « les réalités politiques obligent à plus de modestie vis-à-vis du FN et, probablement, à des compromis ou des rapprochements ». Ainsi, «  si les divergences (entre l’UMP et le FN)  ne manquent pas sur le plan économique (son idéologie antilibérale  contredit son pragmatisme sociétal), des convergences existent sur les risques du communautarisme, de l’immigration de masse, de l’oubli de soi, etc. Sarkozy   ne pourrait surprendre que s’il décidait de jeter des ponts, en rompant avec l’ostracisme qui n’accorde d’ouvertures qu’à la gauche. Son savoir-faire politique peut l’en rendre capable. Mais il lui faudrait alors affronter, nonobstant d’éventuelles suites judiciaires dans des affaires en cours, le tribunal médiatique et ses inquisiteurs. Chiche ? »

     Est-ce à dire que les divergences sur le plan économique entre l’opposition  nationale  et les partis européistes de droite, pour faire court, sont surmontables ?  Il est clair en tout cas que lagauche bruxelloise, dans son exercice du pouvoir, se livre à des avancées que ne renieraient pas de nombreux dirigeants de l’UMP.  Sous la plume de Laurent JauffretMinute se penche dans son dernier numéro  sur le reportage daté de 2012 « Le plan de bataille de financiers »  produit par La coopérative industrielle, Les mutins de Pangée, le journal Fakir et le site la-bas.org, le site non officiel de l’émission de Daniel Mermet Là bas si j’y’ suis.

     Si tout  ce petit monde évolue clairement  dans les eaux  de l’extrême gauche , ledit reportage n’en démasque pas moins le double langage, les mensonges du PS. A l’appui de sa démonstration, le journaliste  évoque les propos de  Nicolas Doisy , chief economist deChevreux, filiale de courtage de la Corporate investment Bank,  « qui conseille des centaines de fonds de pension ». « Dans une note confidentielle destinée aux opérateurs de marché il avait tenu à rassurer ces derniers quant à l’impossibilité pour François Hollande de tenir sa promesses de brider la finance (..) que le bonimenteur avait promis au peuple ».

     Selon  M.  Doisy, interrogé par les auteurs de ce  reportage le 19 mars 2012, Hollande  « qui allait  être élu quelques semaines plus tard,  ne pouvait  faire autrement que de libéraliser le marché du travail ou selon ses mots, de  réduire substantiellement un certain nombre de garanties dont bénéficient jusqu’à présent les titulaires de CDI (…) et imposer plus de flexibilité aux travailleurs. Ce fut effectivement le cas quelques mois plus tard  avec l’accord sur l’emploi signé le 11 janvier 2013 ».

     Passé largement inaperçu du fait de l’attention médiatique  qui s’est focalisée  sur la bataille autour du Mariage pour tous  (une diversion pour occulter cette trahison, faire passer  cette pilule là selon certains),  « un employeur peut donc, désormais depuis cette loi se fonder sur les compétences professionnelles de son salarié pour le licencier, ce qui est la porte ouverte aux critères subjectifs ».

     « C’est regrettable pour François Hollande mais la nécessité d’une libéralisation du marché du travail est le résultat de l’appartenance de la France à la zone euro. Aussi ne peut-on avoir l’une sans avoir l’autre écrivait Nicolas Doisy dans sa note ». Quant au pacte budgétaire européen, « il  estimait qu’il serait politiquement intelligent que les partenaires européens de la France permettent à François Hollande de prétendre qu’il leur a arraché quelques concessions, même si c’est faux en réalité. La demande de renégociations du traité serait alors utilisée pour tromper le public français en lui faisant accepter de réformes convenables dont celle du marché du travail ».

     Et Julien Jauffret de noter  que « la situation est aujourd’hui  beaucoup plus simple qu’on ne le croit parfois: une bande de prédateurs qui se prend pour la nouvelle race des seigneurs a décidé de réduire en semi-esclavage une bonne partie de la planète pour son profit exclusif».

     Si le  Front National est de très loin le plus cohérent dans sa dénonciation de toutes les perversités du  mondialisme  sur le plan économique, identitaire,  social  comme sociétal,   il n’a certainement pas échappé à M. Rioufol que le  « libéralisme » à la sauce européiste est incompatibles avec la défense de nos intérêts nationauxLibéralisme incarné par Jean-Claude Juncker, ex-Premier ministre du Luxembourg,   désigné  à la présidence de laCommission européenne par le Parti populaire européen (PPE) auquel appartient l’UMP,avec le soutien du Parti socialiste européen (PSE) …Pour faire bon mesure le socialisteMartin Schulz, alias « Papa Schulz , »a obtenu le soutien des mêmes pour  la présidence de l’UE. La boucle est bouclée…

     

     Dans une tribune publiée  sur le site du Nouvel Obs, l’inénarrable  Dominique Sopo,  président du SOS racisme, dénonce rituellement  le FN et sa « matrice » de haine » (sic). Il   appelle à une énième mobilisation contre le camp patriotique, tout en concédant que  « la gauche qui est aujourd’hui au pouvoir « , «  a trahi ses électeurs » que «  les deux années qui viennent de s’écouler auront été des années de renoncements ».

     Mais très significativement, M. Sopo se garde bien de pointer les véritables trahisons de la gauche euromondialiste dont nous évoquions plus haut un échantillon. Non la gauche aurait failli à sa « mission » en « (refusant) d’engager les combats du progrès en matière d’égalité », « d’ initier une nouvelle page dans la conquête de l’égalité ». «  Droit de vote des étrangers, remise d’un ticket lors des contrôles policiers, politique de lutte contre les discriminations, relance de la politique de la Ville, politique de la jeunesse : comment la gauche au pouvoir a pu abandonner ces combats ? »

     Il est évident que le poids électoral du FN a permis en effet de freiner  les manifestations les plus visibles, perceptibles aux yeux de l’opinion  de son  immigrationnisme  échevelé, et de son  laxisme délirant.  Un récent sondage n’indiquait-il pas également que 79% des Français estimaient qu’il y avait  « trop d’immigrés » en France ?

     Pour autant M. Sopo sait parfaitement qu’au sein de notre démocratie confisquée,  le projet  multiculturaliste, de disparition des identités nationales,  reste plus que jamais la mauvaise boussole qui guide les dirigeants de la caste politico-médiatique.

     Il  va de pair avec la soumission (par conviction ou intérêt)  de ce gouvernement et  nos élitesaux autres diktats de la   ploutocratie planétarienne. Pour répondre encore  aux interrogations de M. Rioufol,  force est de constater affirme  Bruno Gollnisch que dans le domaine de la politique d’immigration également,  la droite sarkozyste au pouvoir  s’est acharnée à décevoir et à mentir  aux  Français .  « Laisser faire, laisser passer », l’inoxydable slogan de toutes les démissions…

    http://gollnisch.com/2014/06/26/soumis/