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international - Page 1057

  • Recadrage en direct d’une journaliste qui évoque les provocations sionistes

    Dans l’émission Un œil sur les médias, la journaliste Mounia Ben Aïssa relate les provocations commises – via Twitter – par des extrémistes juifs avant la tenue de la manifestation parisienne en faveur de Gaza du 13 juillet. Le présentateur de l’émission l’interrompt et déplore, fait rare à l’antenne entre collègues, son manque d’« objectivité ».

    Voici l’extrait en question : retiré de Youtube et absent du site de France 24, ce passage a été mis en ligne par un internaute facétieux via la plate-forme russe Rutube.

    http://www.contre-info.com/

  • A Gaza, l’armée israélienne tue des civils mais on n’entend pas Barack Obama

    A Gaza, les “bavures” commises par l’armée israélienne s’accumulent. Des enquêtes sont annoncées par l’Etat israélien mais il s’agit avant tout d’annonces destinées à se couvrir sur la scène internationale car nul ne sait si les conclusions de telles enquêtes seront publiées un jour mais il est certain qu’il ne faut pas les attendre avant longtemps. Une enquête est donc signalée dans le cadre de l’opération “Bordure protectrice” au cours de laquelle l’aviation israélienne a détruit un immeuble occupé par des civils. Bilan : huit morts mais aucun membre du Hamas. Une autre enquête vise la marine israélienne qui a bombardé les plages de Gaza. Des caméras ont filmé la scène : des enfants affolés, hurlent, courent, puis sont déchiquetés par cette pluie d’obus. Des exemples parmi d’autres des frappes “chirurgicales” de l’armée israélienne.
     
    Rien de nouveau, en vérité. L’armée israélienne est coutumière de ce genre de “bavures”.
     
    En 1996, lors de l’opération “Raisins de la colère” visant le Sud-Liban, c’est une installation de l’ONU qui avait été bombardée. 800 civils y avaient trouvé refuge. 118 y sont morts et des centaines ont été blessés dans ce bombardement “ciblé”.
     
    Durant l’été 2006, lors de la deuxième guerre du Liban, l’aviation israélienne avait tiré des missiles sur des hôpitaux, rasé des bâtiments civils et utilisé des bombes à sous-munitions dont l’usage est interdit par la Convention de Genève.
     
    Depuis 2000, l’armée israélienne a frappé six fois la bande de Gaza. En 2009, l’opération “Plomb durci” avait fait 1.500 morts chez les Palestiniens, essentiellement des victimes civiles.
     
    Malgré des années de “bavures” répétées de l’armée israélienne, Barack Obama, grand donneur de leçons, n’est pas prêt de critiquer Israël avec le même ton véhément utilisé à l’encontre de la Syrie ou de la Russie. Mais cela n’étonnera pas nos lecteurs…

  • Ukraine : dans l’attente de la vérité, pour rétablir l’équilibre dans l’information...

    Ukraine / Donbass : crash du Boeing de la Malaysia Airlines, hypothèses et désinformation

    Alors que le contact avec l’avion a été perdu à 17h15, dans la foulée le SNBO, le Conseil national de sécurité et de défense, dirigé par un néonazi du nom d’Andriy Paruby, déclarait, à 17h26, que les forces indépendantistes possédaient une « nouvelle arme » pouvant abattre des avions, avant d’annoncer, à 17h46, qu’un avion de la Malaysian Airlines venait d’être abattu au-dessus de la zone rebelle. Surprenant !

    D’aucuns évoquent la présence d’au moins un lanceur Buk M-1 dans le secteur de Snizhne, hier après-midi, présence non confirmée d’ailleurs. On sait que les forces du Donbass ont pris possession d’un régiment de Buk M-1 il y a quelques semaines, mais pour l’heure elles ne semblent pas avoir été capables de le mettre en ordre de bataille, pour la simple et bonne raison qu’à l’inverse du Strela-10, ce type de système sol-air nécessite des équipages bien formés et spécialisés, ce dont la milice ne dispose pas. [...]

  • Ukraine : dans l’attente de la vérité, pour rétablir l’équilibre dans l’information...

    Ukraine / Donbass : crash du Boeing de la Malaysia Airlines, hypothèses et désinformation

    Alors que le contact avec l’avion a été perdu à 17h15, dans la foulée le SNBO, le Conseil national de sécurité et de défense, dirigé par un néonazi du nom d’Andriy Paruby, déclarait, à 17h26, que les forces indépendantistes possédaient une « nouvelle arme » pouvant abattre des avions, avant d’annoncer, à 17h46, qu’un avion de la Malaysian Airlines venait d’être abattu au-dessus de la zone rebelle. Surprenant !

    D’aucuns évoquent la présence d’au moins un lanceur Buk M-1 dans le secteur de Snizhne, hier après-midi, présence non confirmée d’ailleurs. On sait que les forces du Donbass ont pris possession d’un régiment de Buk M-1 il y a quelques semaines, mais pour l’heure elles ne semblent pas avoir été capables de le mettre en ordre de bataille, pour la simple et bonne raison qu’à l’inverse du Strela-10, ce type de système sol-air nécessite des équipages bien formés et spécialisés, ce dont la milice ne dispose pas. [...]

  • Aprè un ultimatum des djihadistes, les chrétiens fuient Mossoul

    Les chrétiens de Mossoul, une ville contrôlée par les djihadistes de l’Etat islamique (EI), fuyaient en masse hier après un ultimatum de ce groupe ultra-radical leur donnant quelques heures pour quitter les lieux, selon le patriarche chaldéen et des témoins. « Nous leur proposons trois choix: l’islam, la dhimma et, s’ils refusent ces deux choix, il ne reste que le glaive », précise le communiqué de l’Etat islamique distribué jeudi et lu dans les mosquées. Le « calife » Abou Bakr al Bagdadi donne jusqu’au samedi 19 juillet aux chrétiens pour se décider et, s’ils refusent de se convertir ou de payer l’impôt, « quitter le territoire du califat islamique »« Après cette date, il n’y aura plus entre eux et nous que le glaive », souligne le communiqué.

    « Les familles chrétiennes se dirigent vers Dohouk et Erbil » dans la région autonome du Kurdistan irakien, a indiqué Louis Sako, déplorant que « pour la première fois dans l’histoire de l’Irak, Mossoul se vide de ses chrétiens ».

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  • Libye : vers une intervention étrangère

    Dépassées et totalement impuissantes, les "autorités" libyennes en sont réduites à demander une intervention internationale afin de tenter de juguler l’anarchie qui a emporté leur pays depuis le renversement du colonel Kadhafi.

    Les problèmes sécuritaires qui se posent en Libye étant clairement identifiés, l’intervention qui se prépare depuis plusieurs semaines déjà sera essentiellement menée par trois pays :- l’Egypte interviendra en force en Cyrénaïque avec pour objectif la destruction des bastions islamistes de Derna et de Tobrouk,- l’Algérie agira indirectement en Tripolitaine en épaulant la coalition anti Misrata afin de réduire la force de ce bastion des Frères musulmans soutenu par la Turquie et le Qatar.- la France se réservera le théâtre d’opérations du Fezzan, ce Sahara libyen qu’elle connaît bien pour l’avoir eu jadis sous son administration.

    Quelles pourraient être les formes de cette triple offensive ?

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  • Mémoricide en Colombie

    Un article d'Eduardo Mackenzie

    Cette fois-ci, le « Sargento Pascuas » (alias de Miguel Pascuas, un vieux chef des FARC) n'est pas en train de tuer ou de kidnapper des paysans, des policiers et des soldats en Colombie. Il est actuellement à Cuba où il vit comme un roi, protégé par la dictature de Fidel Castro, et où il participe, à ce qu’on dit, aux « négociations de paix» entre les représentants des FARC et les délégués du président colombien Juan Manuel Santos.

    Mais ce qu’y fait Pascuas n'est pas moins répréhensible : il tente d'arracher à ses victimes, une fois de plus, le droit d'être reconnues en tant que telles. Il essaye aussi de dépouiller la Colombie de sa mémoire historique. Avec la complicité d'un quotidien de Bogota, il répand des mensonges, des calomnies et des demi-vérités sur des évènements clés, tels que le massacre d’Inzá en 1965, auquel il a participé sous le commandement de Pedro Antonio Marin, alias Tirofijo.

    Dans l'interview qu'il a donnée à El Espectador, Pascuas décrit ce terrible évènement comme une simple « embuscade » contre un bus de passagers et comme la « prise » pacifique d'un village. Il gomme la dure réalité du crime qui fut perpétré et le contexte de ces atrocités. Il veut évaporer de la conscience des Colombiens ce que les FARC ont fait pendant ces années-là. Avec l’aide de ce journal, Pascuas se présente comme un vieil homme enfin parvenu à la sagesse, et qui s'est toujours battu pour de nobles idéaux. Répugnant.

    Pascuas parle de la tuerie d’Inzá comme d’un acte de défense au cours duquel ils ont pris le bus en embuscade parce qu’il s’y trouvait « une escouade de policiers » et que c'est pour cela qu’ils ont tiré et tué « accidentellement » des religieuses qui étaient à l’intérieur du bus.

    Le désordre chronologique est la première astuce utilisée par Pascuas pour créer confusion sur cet acte ignoble. Il omet les détails de la tuerie des civils et cache même la date.

    Cependant, les faits sont connus. Même El Espectador de cette époque, dirigé par des journalistes d’une autre trempe, a expliqué que le 17 mars 1965, 120 bandits, sous la direction de Tirofijo et de Jacobo Arenas, un autre leader communiste, ont quitté la "république indépendante" de El Pato et s'avancent vers le petit village d’Inzá (Cauca) de trois mille habitants. Au cours de la marche, ils kidnappent les personnes qu'ils rencontrent. Ainsi, avant l'assaut, ils ont dix otages. Mais deux kilomètres avant d’arriver, Tirofijo décide de tuer cinq otages à coup de machette pour les empêcher de s'échapper et de donner l'alerte aux autorités. Puis ils prennent le bus en embuscade et tuent deux policiers et deux religieuses.

    Ils encerclent le village, attaquent le poste de police, tuant deux policiers et 15 autres personnes, dont le maire, le trésorier et le directeur de la banque agricole. Ils mettent le feu aux archives de la mairie et du tribunal, pillent la Banque postale et le Trésor municipal, ainsi que deux commerces et le poste de police. Tirofijo harangue la population effrayée. Il se réclame de Fidel Castro et présente sa bande comme une « armée de libération ». Il annonce le triomphe de la révolution pour la fin de l'année et s’enfuit avec un énorme butin, lequel est transporté par 30 indigènes Páez, exploités par lui comme des esclaves.

    C'était l'époque où les Cubains critiquaient la parcimonie des FARC. Les castristes avaient devancé les FARC en attaquant le village de Simacota (Santander), le 7 janvier 1965. L'ELN menaçait les FARC, le bras armé des prosoviétiques, d’occuper le terrain et de gagner la direction révolutionnaire en Colombie. Il fallait faire quelque chose pour montrer que le dispositif de Moscou ne se laisserait pas submerger par les Cubains. Gilberto Vieira, le secrétaire général du PCC, a t-il ordonné la tuerie d’Inzá ? Un jour les archives en parleront. En tout cas, pour confirmer cette offensive, trois jours plus tard, le groupe de Tirofijo enlève l'ancien ministre et entrepreneur Harold Eder qui sera tué par ses ravisseurs quelques heures plus tard. Ce fut le début des enlèvements en tant qu’arme politique des terroristes.

    Tout cela est dissimulé par Pascuas dans sa tentative de prouver, comme l’a toujours fait la propagande du PCC, que les fauteurs de violence étaient le gouvernement conservateur, les libéraux, l'église catholique et la police et que les groupes « d’auto-défense » communiste étaient des colombes effarouchées, des pauvres gens (« nous avions des espadrilles de sisal »), des gens affamés et sans armes (même si Pascuas se contredit et admet qu'ils avaient des fusils bien avant de se lancer dans la « guérilla de mouvement ».

    La mémoire sélective de Pascuas est étonnante. Il oublie de dire que les FARC et l'ELN recevaient l'appui technique de Cuba et de l'URSS. La presse de l'époque a informé qu’en effet, un individu connu par les autorités comme « le Cubain » était le conseiller de Tirofijo, et qu’une Vénézuélienne, Lucia Bocaranda, avait été expulsée de Colombie ces jours-là pour avoir eu des contacts avec des rebelles. Par ailleurs, des diplomates étrangers à l'époque (1)⇓ savaient qu'un autre agent, possiblement un colonel soviétique qui se faisait appeler « commandant Pompilio Figueredo », expert en guerre subversive, était entré illégalement en Colombie pour « unifier le mouvement armé ».

     Pascuas ne pipe mot sur toutes ces choses. Son histoire pseudo sublime évite ces réalités. En pleine guerre contre le terrorisme, l'armée et la police colombiennes avaient asséné des coups durs ces mois-là aux bandits sous influence communiste. Alias Desquite, communiste, auteur, entre autres, de la mise à mort des 40 passagers d’un bus --des hommes, des femmes et des enfants--,  début 1963, était mort au combat en mars 1964. Un autre criminel pathologique, orienté de plus en plus par le PCC, alias Sangrenegra, à qui étaient attribués au moins 120 assassinats, de nombreux viols et enlèvements, avait été abattu le 28 avril de cette année. Alias Tarzan, un autre dangereux chef de bande, sera éliminé par les forces de l’ordre le 17 mai.

    Habituée à diffuser la plus grossière désinformation, Voz Proletaria, organe du PCC,  a nié en 1965 que la tuerie d’Inzá avait été le fait de Tirofijo. L’hebdomadaire écrira que les « rebelles » avaient été « attaqués», que « l'agression était venue du bus » et que c'est pourquoi les deux religieuses furent tuées. (2)⇓ Faux. Tirofijo savait très bien que les religieuses voyageaient dans ce bus car il était en contact avec le couvent pour espionner leurs mouvements. Sa haine contre le clergé catholique, qui effectuait un difficile travail d’évangélisation dans ces régions, affleure dans l'interview. Pascuas dit que lorsqu’il a attaqué le village d’Organos il avait cherché le curé Monard pour l’abattre mais qu’il ne l’avait pas trouvé.

    Un autre détail que Miguel Pascuas oublie : que son premier surnom était « Muerte negra », ce qui le distinguait d’un autre bandit, « Muerte roja » (Januario Valero), connu pour ses atrocités dans la région de Guayabero. Le groupe de ce dernier s’appelait « Che Guevara ». Celui de Pascuas s’appelait le « Groupe Lénine » et était composé de 30 hommes armés opérant entre Gaitania et Palerme (Huila).

    C'est avec cet esprit que le « Sargento Pascuas » et d'autres chefs des FARC veulent parvenir à créer une « commission de la vérité », de la vérité fariana, disons-le tout net, pas de la vérité vraie, mais plutôt de la vérité communiste, qui est, comme nous l'avons vu, un nouveau crime, un crime contre l'esprit, un crime contre la mémoire des Colombiens. L'historien français Reynal Secher appelle cela un « mémoricide ».

    Ce crime contre la mémoire affecte également, et de façon primordiale, les victimes. Ce n’est pas une coïncidence si en même temps que El Espectador laisse répandre les impostures des FARC, le général Luis Mendieta, qui a été kidnappé pendant douze ans par cette organisation, se voit dans l'obligation d'attirer l'attention du gouvernement pour lui demander de faire quelque chose car certains veulent « rendre invisible les victimes des FARC ». (3)⇓ Mendieta et d'autres membres de groupes de victimes des FARC refusent de se rendre aux « forums des victimes » organisés par l'ONU et par l'Université nationale de Colombie. Ils craignent que la stratégie de ces « forums » consiste à noyer les victimes des FARC et des autres bandes marxistes sous une avalanche de groupes d’individus qui se présentent comme des « victimes de l'État et des paramilitaires » et des « mouvements sociaux » et des « syndicats ». Ce secteur feint de devenir le porte-parole des victimes pour, au final, excuser les FARC et consorts sous prétexte que c’est nécessaire pour « signer la paix ».

    L'essayiste français Alain Besançon dit quelque chose de très vrai : « Le communisme est par essence une falsification historique. Son système idéologique s’analyse comme une historiosophie, une métahistoire, dont le récit commence à l'origine du monde et en indique les fins dernières. Mais elle est fausse de bout en bout. »  Besançon conclut que « on ne sortira pas du communisme, on ne guérira pas de lui, sans une cure d’histoire, sans un retour au roc inébranlable de la positivité historique. » Ces propos s'appliquent parfaitement, comme nous l'avons vu,   au cas de la Colombie.

    Si nous voulons que les victimes du communisme soient reconnues comme des victimes et qu’elles reçoivent réparation par leurs agresseurs, les universités colombiennes doivent renoncer à leur jeu cynique qui consiste à opposer leur veto à tout ce qui ne correspond pas aux résolutions du comité central du PCC. Et les médias, la presse écrite en particulier, devraient cesser de répandre bêtement une propagande militante qui trompe l’opinion publique, qui nie la réalité historique et qui détourne les vraies solutions à nos problèmes.

    Eduardo Mackenzie 
            

    Apostilles

    1.  Voir Eduardo Mackenzie, Les FARC, échec d’un terrorisme (Random House Mondadori, Bogotá, 2007, page 198)
    2.  cf Lire l'excellent article du jeune historien Carlos Romero Sánchez, intitulé Terror en Inza.
    3.  Voir l'interview du général Mendieta.

    http://www.insolent.fr/2014/07/memoricide-en-colombie.html

  • Selon Bernard Lugan la France devrait intervenir en Libye…

    … Pour ramener un peu d’ordre. Un exemple de plus de l’anarchie causé par l’ingérence des nations occidentales dans les pays aux gouvernements autoritaires. Afghanistan, Irak, Libye, Syrie, les atlanto-sionistes mettent à feu et à sang le monde pour mieux le contrôler.

    « Dépassées et totalement impuissantes, les « autorités » libyennes en sont réduites à demander une intervention internationale afin de tenter de juguler l’anarchie qui a emporté leur pays depuis le renversement du colonel Kadhafi.

    Les problèmes sécuritaires qui se posent en Libye étant clairement identifiés,  l’intervention qui se prépare depuis plusieurs semaines déjà sera essentiellement menée par trois pays:

    - l’Egypte interviendra en force en Cyrénaïque avec pour objectif la destruction des bastions islamistes de Derna et de Tobrouk,

    - l’Algérie agira indirectement en Tripolitaine en épaulant la coalition anti Misrata afin de réduire la force de ce bastion des Frères musulmans soutenu par la Turquie et le Qatar.

    - la France se réservera le théâtre d’opérations du Fezzan, ce Sahara libyen qu’elle connaît bien pour l’avoir eu jadis sous son administration. »

    Source : Bernard Lugan