Ce 11 janvier, le quotidien belge Le Soir a livré à ses lecteurs un long récit retraçant les origines et le déroulement de l’incroyable coup de filet exécuté par la police du plat pays chez la députée européenne grecque Éva Kaïlí et ses amis italiens ou belges.
Cette édifiante enquête arrive un mois après ce coup de tonnerre dans les institutions européennes, révélant soudain à quel point certains palpaient tranquillement l’argent de la honte, celui de deux pays qu’il faut citer, deux pays qui clament leur innocence, bien sûr, mais qui apparaissent dans ce dossier comme des forces de corruption et d’ingérence hostiles au sein du Parlement comme on n'en avait jamais vu jusqu'ici. Ces deux pays sont le Maroc et le Qatar.